Quand on arrive au sommet, on est stimulé par ce fait et on s'en fout que le vent souffle, mais pdt la montée c'est autre chose, un bon exemple la montée du GD ST Bernard qui dure 50km, les 7 derniers à découvert étant nettement les plus durs, il arrive souvent que les bourrasques de vent y soient terribles, et l'on n'avance plus, et effectivement on n'a jamais de plus petit braquet...