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Romain BORGET

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Tout ce qui a été posté par Romain BORGET

  1. Sortie club tranquille ce matin avec les anciens du club après les 260km de la veille : 102km, 780D+, 3h50
  2. Je ne sais pas où tu pars en montagne, mais peut être y a t'il un loueur de vélo? Tu peux te faire une ou deux sortie, même avec un simple VTT, ça sera toujours ça de pris! 😉
  3. ah ah la blague, j'arrive déjà pas à te suivre sur une côte d'1km alors j'imagine ce que donnerait dans le Galibier.... Le coup que je prépare, si je peux venir, c'est 10 minutes d'attente au sommet!😆 Sinon, super journée qui m'a sortie de ma zone de confort. Fini les 27 de moyenne sur un 200km. Il a fallu que je me fasse mal pour réussir à rester à peu près dans la roue. Heureusement que j'avais déjà fait cela la semaine dernière lors de Versailles-Chambord, sinon j'aurai pas pu tenir après le ravito de midi! C'était déjà tout limite, tant au niveau des jambes qu'au niveau cardio.🤑
  4. bonne idée mais le vélo doit faire 6.8kg et être homologué par l'UCI quand même...😃
  5. Romain BORGET

    Gps

    Après avoir longtemps critiqué mon MIO 505 HC l'an dernier, à cause d'une mise à jour qui l'a déglingué pendant plusieurs mois (avril à septembre), la mise à jour suivante a finalement réglé le problème. On a enfin des données normales (comparé avec les autres GPS Garmin). De mon côté, j'ai de la chance pour l'instant car la coque et le système de support tient toujours, et malgré les nombreuses sorties sous la pluie, il est bien resté étanche et fonctionne parfaitement. Mais tout n'est pas rose non plus : - l'autonomie de 12h annoncée n'est pas réelle, même avec une luminosité d'écran au plus faible, il ne tient pas plus de 8h30 avec ceinture cardiaque et compteur cadence activé (peut être que sans ces deux éléments il tient plus longtemps? pas essayé). Pour les BRM 300km, 400km et 600km j'ai été obligé de prendre une batterie externe pour le recharger et même ainsi pour le 600, ça n'a pas suffit pour tenir les 24 heures d'activité sur le vélo. - si on s'arrête plus de 15 minutes et qu'on souhaite reprendre l'enregistrement de notre activité, une fois sur deux le kilométrage ne rédémarre pas, contrairement aux autres données qui vont alors analyser la sortie sur le kilométrage arrêté. Ceci oblige donc à enregistrer la première activité et en démarrer une nouvelle à chaque arrêt important. - je n'ai pas réussi à télécharger et lire les fichiers GXP ou FIT mis à disposition par les organisateurs des BRM ou via openrunner (contrairement aux Garmin qui lisent ces fichiers). Je n'ai pas vraiment cherché à essayer de trouver une astuce pour réussir à lire ces fichiers importés, quelques compagnons de club qui ont des garmin me disent que cela est sans doute possible, mais je ne suis pas doué dans ce domaine et n'ai d'ailleurs pas très envie de m'enmerder avec cela. C'est d'ailleurs la raison de mon choix (outre le prix nettement inférieur aux garmin) à l'époque du MIO 505 et sa fonction "surprise me" bien pratique quand je vais rouler dans des endroits que je ne connais pas du tout, puisqu'il me propose trois parcours de difficulté variable selon le temps et la distance que je souhaite effectuer. Pas besoin de se créer un parcours la veille ou de partir avec une carte de la région dans la poche du maillot. Compte tenu du prix de l'objet (415 euros il y a deux ans, trouvable à 350 euros maintenant), je ne le conseillerai qu'à ceux qui ne roulent jamais plus de 8 heures et dans des endroits qu'ils ne connaissent pas (carte europe pré-chargé dans le GPS). Maintenant, vu la baisse de prix du garmin 810, je pense que ce dernier choix est plus judicieux (même si de nombreux amis du club ont aussi rencontré des difficultés avec le leur).
  6. Tu peux aussi essayer de voir du côté de chez GT WHEEL (monteur artisanal 500 à 600 euros la paire en alu) Sinon, tu peux aussi opter pour la campagnolo Neutron (trouvable à 600 euros sur le n.e.t)
  7. Faut avoir un gros mental pour se lancer dans une telle distance avec un tel dénivelé après 15 jours d'arrêt! Le genre de parcours dans lequel on ne se lance que si on est forme! Au moins tu auras pu "profiter" du paysage malgré la fatigue dans les derniers cols.😉
  8. Merci Isabelle et bravo à Michel et Hervé pour leur 200! Quand à Eric, les images de ton 200 sont bien sympa! Ca donne envie de retourner à la montagne! Je fais deux fois moins de dénivelé sur un 200. D'ailleurs je n'ai jamais fait plus de 150 en montagne. Faudra que j'essaie un 200 cet été. Après le BRM 600 de la semaine dernière, le beau temps étant présent ce week end, on se décide au dernier moment avec deux camarades du club de participer à Versailles-Chambord. Une bonne douzaine de membres du club avaient prévu cette cyclo depuis longtemps, et ont donc loué une mini car pour les ramener avec leur vélo une fois arrivé à Chambord. De notre côté, on a choisi de ne faire que la première moitié du parcours ,qui est la plus interessante puisqu'elle concentre toutes les bosses du parcours, de déjeuner avec eux au ravito de midi, puis de revenir en faisant les bosses dans l'autre sens. En théorie, on avait 224km. Afin d'éviter les voitures, et de changer un peu le parcours final, on en fera 240. Parti une heure après les anciens du club, on ne traîne pas sur la route, le temps est bon ce matin 12°C, un tout petit vent de dos, gros rythme d'entrée, on se fera "plaisir" en prenant toutes les bosses grand plateau, on se tire la bourre à trois, l'un de mes compagnons ayant fait un week end au Ventoux la semaine dernière, il nous fait bien suer dés que la pente est un peu plus forte ou dans les bosses plus longues. Difficile à suivre : on voit qu'il vient de bouffer du dénivelé! Seul souci, un de mes compagnons se rend compte 10km après que nous soyons parti qu'il a oublié ses bidons! On hésite à revenir, mais comme j'en ai deux, je lui en passe un et continuons notre route. Mais avec un seul bidon, et la chaleur prévue cet après midi, il va falloir gérer et ne zapper aucun point d'eau. On se fait bien plaisir ce matin, on ne croise alors que peu de concurrents, jusqu'à ce que l'on voit un ami du club qui a crevé sur le bord de la route. Attendu par les deux seules femmes du groupe, il répare tranquilliement. Voyant qu'il n'y a pas de souci, on repart assez vite avec quelques autres participants de la cyclo et on s'amuse à s'attaquer dans les dernières bosses avant le premier ravito qui est au 60km. Beau bilan : on a tenu le 30km/h de moyenne sur les deux premières heures malgré la sucession de bosses! On repart avec quelques membres du club, après avoir rempli le seul bidon qui est déjà vide (logique après 60km) et notamment le tandem composé d'un non voyant. Si dans les bosses, ils ont un peu de mal à suivre, dans les lignes droites et les descentes, c'est une bombe! Deux gars qui ont la pêche sur un tandem, ça dépasse le 50km/h en ligne droite, on était tous dans l'incapacité de les relayer. Par contre, ils vont tellement vite, qu'ils se trompent de route et là pour faire demi-tour avec un tamdem et un non voyant sur une petite route de campagne, bonjour la galère! On les attend et reprenons notre folle cavalcade, il n'y a plus que des lignes droites avant d'arriver au ravito de midi au 112km. On se prend un sandwich, une tarte aux pommes et déjeunons assis dans l'herbe avec les compagnons du club qui arrivent les uns après les autres. Les jambes sont déjà dures, les mollets souffrent, on a trop tapé dedans ce matin, mais qu'est ce que c'était marrant de "lâcher les chevaux". Impossible de faire cela durant les BRM 400 et 600, ça me manquait je dois avouer. Le retour vent de face va être plus dur, sans compter le temps de la digestion. On repart plus tranquille sur les lignes droites, le temps de digérer, avant d'enquiller les bosses dans l'autre sens. Fini les 50km/h sur le plat. Là c'est un petit 30km/h. Arrivé dans les bosses, on recommence à se tirer la bourre mais on se rend vite compte que les jambes ne répondent pas comme ce matin. On calme un peu le jeu et surtout on essaie de trouver une fontaine toutes les heures pour remplir le bidon. Un petit détour au final par des petites routes de la vallée de chevreuse afin d'éviter un maximum la circulation et une belle journée de plus sur le vélo, à peine gâchée par le coup de moins bien dans les 30 derniers km d'un de mes compagnons. (240km en 8h34 de selle + 1 heure de pause). La semaine prochaine, je vais faire le 200km de la monticyclo, mais y allant à vélo, ça va faire une sortie de 270km. Vivement samedi (en espérant que le beau temps se maintienne!)🆒
  9. pas suffisant pour le BRM 600km où tu passes au minimum 20h sur le vélo (pour les meilleurs). J'ai passé 24h sur le vélo pour 610km. J'avais enmené une batterie externe pour mon GPS (mio 505), mais il ne tient que 9 heures, et n'ai pu le recharger qu'une fois avec la batterie externe, ce qui n'a pas suffit pour qu'il tienne tout le BRM.🙁
  10. Sorties du week end : Samedi : 242km, 1958D+, 8h34 (+ 1 heure de pause à midi) Dimanche : 102km, 837D+, 3h46.
  11. Même les champions d'autre disciplines découvrent les "joies" des pizzas et la folie de certains automobilistes https://www.facebook.com/369856300342/photos/a.493378775342.387538.369856300342/10155672933850343/?type=1&fref=nf 🙁😬😢😠
  12. faire 200 bornes bloqué sur une seule vitesse et ce après 400 bornes, cela force le respect! 😲 J'espère qu'ils ont réussi à lui mettre sur le petit plateau.😃
  13. J'ai un Sram Force 10V. J'ai mis une K7 11-28 pour la montagne. Le 28 nécessite déjà un réglage parfait pour que ça passe (avec une chape courte). Je n'ai jamais essayé avec une 30, mais je ne crois pas que ça passerait.
  14. D'habitude, je vais au boulot à vélo. Mais lundi et mardi, je me suis abstenu. Trop mal aux pattes. En me rendant à un concert hier sur Paris, j'ai du marcher une demi heure, suite à une panne sur le métro ligne 7. Je pense que cela m'a fait du bien. Même si j'avais l'impression de marcher bizaremment. de manière heurtée. Aujourd'hui, j'ai repris le vélo pour aller au boulot. Une demi heure aller, une demi heure retour. Plus de douleur aux jambes, mais elles sont lourdes, pas de jus. Je voulais aller rouler deux heures après le boulot, ça attendra demain. Dire que deux anciens de 66 et 67 ans de mon club qui ont fait ce BRM sont paris aujourd'hui pour Paris-Bayonne...des fous!
  15. J'ai un WILIER Granturismo (renommé GTR depuis). Il fait partie de cette gamme endurance. J'ai fait la traversée des Alpes et aussi celle des pyrénées et roule souvent dans les apennins italiens et n'ai aucun souci. Justement, la douille haute permet d'avoir une position plus relevé en montée, donc pas de mal de dos, et plus facile en descente en prenant plus facilement le guidon en bas. Par contre, on est moins aérodynamique, mais ça, perso, je m'en fous, du moment que le confort est là même après 10 heures de selle! Par contre, ils sont souvent plus lourd. Le mien affiche 8kg (en taille XXL) équipé en Sram Force et campagnolo zonda. Pas les meilleurs pour relancer en danseuse. Je monte surtout au train assis d'ailleurs. Mais comme mon précédent vélo était un alu de 10kg, j'ai l'impression qu'il est très léger!😃
  16. 1 heure aujourd'hui. Après le BRM600 de ce week end, les jambes n'ont enfin plus de douleurs, mais elles sont très fatigués, lourdes, pas de jus. J'ai juste tourné les jambes tranquille.
  17. Vendredi 29 mai, veille du dernier BRM qualificatif pour Paris-Brest-Paris, le plus long le BRM 600. Mon premier. Jusqu’à cette année, je n’avais jamais fait de longues distances. Le BRM 400, réalisé de nuit, s’était fini assez moyennement à cause d’une grosse envie de dormir dés 4h du matin. J’avais quand même réalisé ce jour 464 km ayant fait l’aller/retour en vélo. Côte matos, la veille du départ, je suis dans l’incertitude : j’avais cassé un rayon et fortement voilé ma campagnolo zonda arrière (que je pensais indestructible vu tout ce que je lui avais fait subir de plus de deux ans), et ne pouvais faire un 600 avec mes roues jantes hautes carbone, surtout que j’alourdis fortement le vélo avec un grosse sacoche de selle de 10L pesant 5 kg. J’ai donc opté pour la mavic ksyrium équipe arrière de mon mulet, que j’ai également du faire dévoiler (décidément…). J’ai récupéré les deux roues la veille du départ et en ai profité pour acheter une sacoche de guidon chez le vélociste. Achat non prévu, mais compte tenu du nombre d’affaires à emporter, j’ai craqué en la voyant en magasin. Mais je me suis rendu compte en la montant que je ne pourrai l’utiliser car elle cache mon éclairage fixé sur le cintre. Il faudra prévoir un support élévateur pour la prochaine fois. Changement de pneu arrière le vendredi soir en revenant du boulot, dîner trop important, j’essaie de me coucher tôt, mais le temps de tout mettre en place pour le lendemain matin prend du temps, je n’arrive pas à me coucher avant 23h et ne m’endors qu’à minuit. A 2h du matin, je suis déjà réveillé. Plus possible de me rendormir. Le rendez vous n’est qu’à 3h45. On fixe les vélos sur le porte vélo et partons pour Noisiel. Arrivé à 4h30, il y a déjà une trentaine de cyclos prêt à partir !!! Si ça les amuse d’attendre…. On détache les vélos, récupérons les cartons, retrouvons les autres membres du club (on est 10 sur ce BRM : 5 expérimentés en longues distances, 5 novices dont je fais partie) et après avoir attendu 5 minutes partons à 5h15. Un départ assez lent, faut réussir à passer la première bosse, composée de feux rouges, puis trouver le bon rythme pour que tous se mettent en route. J’ai des fourmis dans les jambes et après la première descente commençons à imprimer un bon rythme en tête avec notre capitaine de route. Je reconnais la route qui emprunte sur les 90 premiers km le même parcours que le BRM 200 fait au mois de mars. A l’époque, le froid et le vent avait rendu ce BRM bien pénible. Il est agréable de repasser sur ces routes avec un temps plus clément. Tout se passe bien jusqu’au premier contrôle, mais en repartant après seulement quelques kilomètres, un membre du club casse un rayon de sa mavic élite arrière. Tout comme lors du BRM 400 avec ma campagnolo zonda, on essaie de scotcher son rayon à un autre pour qu’il puisse continuer, mais la roue se voile tellement qu’il lui est impossible de continuer. On essaie de bricoler comme on peut la roue, mais rien n’y fait sans rayon de rechange, c’est impossible. On sort les smartphones et réussissons à trouver un vélociste situé à une dizaine de kilomètres seulement, mais à l’opposé du parcours. Afin de ne pas pénaliser tout le groupe, un ancien expérimenté sur les longues distances, et qui est très en forme, reste avec lui. Nous reprenons la route après avoir perdu une bonne vingtaine de minutes. Si l’on ajoute les 15 minutes de retard au départ, on a déjà 35 minutes de retard sur le planning. Car, il a été prévu une pause pour dormir à mi parcours dans un gîte, nous obligeant à arriver avant 19h afin de faire les courses à la superette du petit village des Riceys pour diner le soir. On ne peut cependant pas trop accélérer car le groupe est composé de trois cyclos de plus de 65 ans et de cyclo qui n’ont pas le même niveau de forme. On tourne alors aux alentours de 26km/h de moyenne. Le soleil pointe le bout de son nez alors que nous traversons les vignes et passons à proximité des caves de champagne. Pas la meilleure boisson pour se désaltérer, on ne tourne qu’à l’eau. Arrêt trop rapide au contrôle peu après midi, le temps de passer aux toilettes, mes compagnons de route ont déjà mangé leur plat poulet/pâtes ! A peine le temps d’avaler un sandwich que j’avais emporté dans la sacoche et on repart. On croise quelques kilomètres après dans le sens inverse notre camarade de club qui était resté avec l’infortuné : il l’a laissé chez le vélociste ne sachant s’il pourrait réparer et avait dépassé le point de contrôle, situé légèrement hors parcours. Comme il souhaite prendre son temps pour déjeuner, nous le laissons et continuons notre route sous un soleil qui tape de plus en plus fort. Je mettrai de la crème solaire bien trop tard et aurais quelques coups de soleil le soir. Je commence à accuser le coup après 230km. Fini les routes vallonnées et sinueuses, on a alors de longues lignes droites plates au milieu des champs exposées au vent : CHIANT ! Surtout qu’une violente douleur sur la boule du pied sous le gros orteil commence à devenir insupportable. Il en va ainsi jusqu’à Troyes où deux camarades crèvent. Un juste avant d’arriver au contrôle, l’autre en repartant ! Il est 17h, il reste 50km avant les Riceys et on doit y être avant 19 h, sachant que le parcours sera de nouveau bien vallonné, avec quelques longues bosses pour finir. Pas le temps d’attendre qu’ils changent la chambre à air si on veut faire les courses. On part donc à trois afin de relever ce défi. On ne se relaie qu’à deux et arrivons à tenir 32km/h pendant 45 minutes sur une route toboggan avant d’entamer les grosses bosses. On arrive à 18h50. Ouf ! Juste le temps de faire les courses que vont faire mes deux compagnons de route, pendant que je surveille les vélos à l’extérieur ; courses qu’on trimballe tant bien que mal jusqu’au gîte situé à 400 mètres de là. Après être arrivé au gîte, je me rends compte qu’ils n’ont pas acheté la matière première : les pâtes ! Coup de chance : en se baladant dans le village, une vieille dame qui jardine accepte qu’on lui rachète trois paquets de pâtes. Re-OUF ! Surtout qu’un allemand qui séjourne au gîte nous informe que le cheese burger du café du village est le pire qu’il ait jamais mangé. Ca aurait été dur de mal manger ce soir. Préparation du repas, bouillon, pâtes, gâteau de riz, banane, douche, les autres membre du club dans les deux heures qui suivient et notre compagnon à la roue cassée était aussi de la partie. Un seul camarade aura continué sa route pour dormir à Montbard. Après le repas tous au lit pour 4 heures de sommeil. Le réveil à 1h’ du mat’ est difficile. Les jambes sont dures. La petite accélération en fin de journée aura laissé des traces. Petit dej’ rapide et on arrive à partir à 2h. Il ne faut pas trainer puisqu’il faut arriver avant 4h56 au contrôle, 48km en 2h50, pas trop difficile, mais il faut quand même composer avec la nuit noire et certains qui trainent derrière. Devant on impose un bon rythme qui fait grincer des dents ceux qui ne sont pas réveillés. Je pousse ma lampe FEREI à fond pour bien éclairer la route (800 lumens) en espérant que ça réveillera certains des mes compagnons et qu’ils verront bien la route. Je suis un peu étonné par le faible éclairage de certains. Au contrôle de Montbard, je prends un café pour me tenir éveillé, boisson que je n’ai pas ingurgité ces 10 dernières années. Arrivé parmi les derniers à cause de notre pause au gîte, il n’y a plus rien à manger hormis quelques tranches de brioches. Le café fera effet au petit matin, période où j’ai eu tant de mal à rester éveillé pendant le BRM 400. Toujours mieux que le chablis que certains aimeraient déguster lorsque l’on traverse le village du même nom. Pour ma part, je préfère guetter l’ouverture d’une boulangerie pour manger autre chose que mes pâtes de fruits ou barres céréales Aptonia (D4). A 7h30, on en trouve enfin une dans laquelle je me régale d’une tartelette aux fraises qui fait du bien au corps et au moral. Je garde le pain suisse pétites chocolat pour plus tard. On a dépassé les 425km et le moral des troupes est au beau fixe. Ca discute autour de Paris-Brest-Paris et notre camarade qui avait dormi seul à Montbard nous rejoint ; tout le monde est en forme lorsque l’on arrive au contrôle de Joigny, contrôle que je reconnais pour y avoir dîné lors du BRM400. Pas de pâtes bolognaises cette fois, on y prend une tasse de thé/café/chocolat. On emprunte ensuite la route du BRM400 en sens inverse et certains commencent à tirer la langue, on ne peut pas accélérer sans en décrocher un ou deux. On passe donc en mode « tranquille » jusqu’à dernier contrôle de Moret sur Loing à midi. Un dernier sandwich, difficile à obtenir dans ce bar avec un service très lent, et on n’a plus que 75km à faire pour boucler ce BRM 600. Les mêmes 75km qui clôturaient le BRM400. On sait donc ce qu’il reste à faire et je suis étonnamment bien, hormis cette douleur au pied qui va, vient, disparaît, puis revient. Pas comme mon GPS qui ne tient pas plus de 8 heures et après avoir vidé pour la troisième et dernière fois la batterie externe s’éteint définitivement. Je roule aux sensations et elles sont bonnes. Mais derrière, ça râle parce que je vais trop vite. Je n’arrête pas de larguer mes compagnons à la moindre bosse et sur le plat on me demande de ralentir, chaque descente ou faux plat descendant est une bonne excuse pour certains pour ne plus rouler…cela me rend fou de traîner ainsi ! Mais on est parti ensemble, et on va arriver ensemble ! Les 50 derniers kilomètres me paraissent durer 10 heures ! Mais on arrive à revenir tous ensemble et vu l’état de forme de certains, sans compter les soucis techniques, cela relève de l’exploit ! Tout le monde est fatigué mais heureux en arrivant. On sait tous qu’on va pouvoir s’inscrire à Paris-Brest-Paris. Après avoir chargé le vélo sur la voiture, je tombe de fatigue et m’endors alors qu’on est pris dans les embouteillages de retour de week end. A peine de retour, j’essaie de m’inscrire à Paris-Brest-Paris en ligne. Ca ne marche pas, mais je force l’inscription en payant. Je choisis le départ le lundi à 5h15 pour 84 heures max, tout comme 3 autres camarades. Les autres partent la veille à 16h pour les plus costauds en 80h. Les BRM sont finis….sauf si je me fais un BRM1000 en guise de répétition début juillet.
  18. Heureusement, ces dernières années, les marques ont bien compris qu'il fallait diversifier leur offre entre les vélos de coursiers et ceux qui ont besoin d'un vélo plus orienté confort pour le cyclosportif longue distance ou le cyclotouriste. Pas mal de marques présentent donc un modèle dit "endurance" avec un douille pus haute. En plus de ceux déjà cités dans les précédentes réponses, tu as : - KUOTA KIRAL, - Colnago CX Zero, - FUJI Grandfondo, - Wilier GTR, - RIDLEY Fenix, - BIANCHI Infinito et Intenso - BMC Grandfondo, - Look 566, - CANYON Endurance, - ROSE xeon CGF - TIME fluidity - Peugeot R01, - MERIDA Ride - SCOTT Solace, - MERCKX Mourenx 69 - FELT serie Z - argon 18 Krypton etc...etc... Il en existe dans presque toutes les marques maintenant. Certains ont une douille un peu plus haute. A toi de voir celui dont la géométrie te correspond le mieux.
  19. Je dépasse pour la toute première fois les 2000km sur un seul mois. Avec un BRM 400 début mai (460km), une flèche Paris-La Rochelle mi mai, et un BRM 600 fin mai, ce chiffre s'explique facilement.
  20. Je n'ai malheureusement pas de pistes à te donner, mais je souffre depuis le BRM 400 du même mal au même endroit, donc ce sujet m’intéresse aussi. La douleur n’apparaît qu'après 200km (pour l'instant) mais s'intensifie au fil des kilomètres, au point d'en devenir insupportable. Cela s'est reproduit ce week end lors du BRM 600. J'ai bien failli abandonner à cause de cela. heureusement qu'on s'est arrêté dormir quelques heures après 300km, sinon c'était fini pour moi. La douleur est comme une aiguille qui s'enfonce doucement dans cette partie du pied (dont j'ignore aussi le nom et que je n'arrive pas à trouver). J'aimerai régler ce problème avant Paris-Brest-Paris parce que je ne sais pas comment j'arriverai à le faire sinon...
  21. De retour du BRM 600 de Noisiel : 610 km, 3539D+, temps roulé 24h10 (25,2km/h de moyenne), temps réel : 34 heures (dormi 4 heures de 21h à 1h dans un gîte, mais avant de dormir, étant arrivé en premier avec deux compagnons de club à 18h50, il nous a fallu faire les courses et le diner samedi soir pour les 7 autres membres du club arrivé bien après nous). Je ferai un résumé de ce BRM dans un post spécifique demain (parce que là je vais aller dormir) BRM bouclés : il ne me reste plus qu'à m'inscrire pour Paris-Brest-Paris!😄
  22. Sortie tranquille après le boulot entre 18h20 et 20h40 : 61km, 592d+, 2h18. Samedi et dimanche il faudra faire 10 fois plus avec le BRM 600 de Noisiel. J'ai hâte d'y être !
  23. Laurent met le doigt sur un point important : avoir un groupe 105 ou ultegra complet (pas un panaché avec du tiagra et un pédalier shimano premier prix par exemple) Autre point important oublié : LES ROUES! Sur les modèles à 2000 euros, on a souvent des roues premiers prix et au mieux des Mavic Aksium. Si tu le peux, essaie de négocier avec le vélociste pour en avoir de meilleure qualité de suite au meilleur prix, en lui laissant les roues d'origine (pour avoir un rabais sur les autres roues), ça t'évitera d'avoir à en changer par la suite. Les meilleurs rapports qualité/prix (pour moi) : campagnolo Zonda et Fulcrum 3. 😉
  24. Je profite du sujet pour trouver une solution à un problème de transpiration qui se pose l'été : Ayant la peau très blanche (un peu rouquin sur les bords), je suis obligé de me tartiner de crème solaire,si je ne veux pas devenir un homard. Lors de longues sorties, je me rends compte que la crème solaire sort de la peau avec une forte transpiration lors de sorties par forte chaleur (plus de 30°C), surtout au niveau des cuisses, mais également du visage. J'utilise une crème avène waterproof 50+. J'ai essayé de la mettre une bonne demi heure avant d'aller rouler afin qu'elle ait le temps de pénétrer dans la peau, mais ça ne change rien, c'est comme si elle ressortait de la peau avec la transpiration, ce qui est assez désagréable. Du coup, je finis par m'essuyer les jambes avec un mouchoir pour enlever transpiration et crème qui dégoulinent. D'autres ont ils ce problème?
  25. Vraiment dommage que LANDA soit passé "à côté" de son contre la montre perdant 4 minutes sur Contador, soit l'écart de temps qu'il a au classement général à ce jour. On aurait pu avoir une sacré lutte entre Espagnol sur cette fin de Giro. Surtout qu'il reste encore une paire d'étapes de montagne sur lesquelles il risque d'y avoir du mouvement pour les places d'honneur au classement général.
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