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Votre sortie du jour 2021


Sylvain KARLE

Messages recommandés

Ce dimanche, la pluie qui était théoriquement an menu n'est pas au rdv, soleil et nuages, 18° vent Ouest moyen. Sortie de club, groupe 2, une bonne quinzaine dont un petit jeune de 17 ans  en vacances chez son oncle, sur un super vélo de chrono Spé.

110kms, avec 500 de D+. A Apremont(85) dans la bosse de sortie, on a dit au jeune qu'il pouvait y aller, sur 1 km il a mis 100m mini à ses suivants, il s'avère qu'il courre en Junior 1, mais très sympa et respectueux du niveau du groupe. 

   

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Bonsoir,.

Sortie club ce matin , départ 7h00 sous 22° , ciel voilé mais pas de vent ni d'humidité,  direction la vallée du Gapeau (var 83 ) ou il ne fait que .....17° , on rejoint Forcalqueiret  pour grimper le col de Rocbaron par la face nord , descente sur Puget ville ou il y a encore de l'eau fraîche à la fontaine , on rejoint la vallée de Collobriéres pour grimper face nord le col du Gambet , il commence à faire chaud , retour par les toboggans des Borrels et la vallée de Sauvebonne et pour les plus "courageux" la côte de Maraval,  au bout de 104 bornes accomplies à 25 de moyenne.......il fait 36° .

Sportivement Serge. 

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De retour à Bruxelles avant-hier avec ma fille, après trois semaines dans la région grenobloise.

Hier après-midi, j'ai amené ma fille en voiture à son camp scout du côté de Paliseul (Luxembourg belge), sous un orage biblique et des trombes d'eau en guise d'accueil pour son retour au pays. Welcome back!

Ce matin, sortie de 50 km : temps sec, doux et forcément venteux (ça me manquait), et mes habituelles collines du côté de Huldenberg et Overijse : Horenberg, Smeysberg, Holstheide, IJkelderlaan, Moerenhoutstraat, Hertstraat, Schavei… Tout ça ne vaut pas une bonne vieille ascension grenobloise, mais ça vaut bien mieux qu'un véritable plat pays, après tout.

Pour l'occasion, j'ai retrouvé mon vélo actuel, celui avec freins à disques. Les grincheux à ce sujet ont beau médire, quelle différence avec les freins de mon ancien vélo que j'avais dû utiliser ces dernières semaines… 😇

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Mini sortie de 35km hier fin d'apm... beaucoup d'averses orageuses en ce moment mais je me dis que ça ça passer.  

Ben non 😃

J'étais à mi chemin quand ma femme m'appelle pour me demander ou j'étais car il tombait des cordes à la maison , je lui répond qu'ici rien , je raccroche 30s après des gouttes et s'ensuit un déluge pendant 15mn au point où j'ai failli m'arrêter car je n'y voyais plus rien....les 10 dernières mn seront à nouveau sous le soleil....

Une belle douche sur le vélo 😃

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Mercredi dernier, première sortie gravel longue distance.

291km, 4900m de D+, 72% de "non goudronné", entre Clermont-Ferrand, l'ex-capitale de l'Auvergne et l'ex-capitale de Rhône-Alpes. Je suis passé par Courpière, le col du Béal, Le col des Supeyres, le col des Pradeaux, Saint Anthème, Saint Bonnet le Chateaux, Saint Marcellin en Forez, Saint Etienne, puis le Pilat pour arriver à Lyon.

18h07 d'effort; une nuit complète sur un "gravel".

J'avais déjà passer plusieurs nuits sur le vélo, mais sur la route,... là, les chemins et sentiers, c'était a priori plus angoissants. Ca s'est très bien passé, avec l'équipement adapté.

Quel paysage! D'abord, j'ai roulé entre les puits entre Clermont et Courpière. Puis l'ascension du Béal par les chemins et petites routes fut longues. Mais là,... Jusqu'à Saint Anthème, c'est exceptionnel pour le gravel, parce que les chemins sont d'une excellente qualité et rouler sur la ligne de crête entre Forez et Livradois sans un nuage est sublime. Après, j'ai pris la nuit. Mais l'ancienne voie ferrée, entre Saint Bonnet et Saint Marcellin, enchainée avec le sentier le long du canal de la Loire, est sublime. Puis, les 4 chevreuils, en pleine nuit, à l'entrée de Saint Etienne, ajoute beaucoup au merveilleux souvenirs. Et, pour finir, le lever de Soleil, au col de l'Oeillon, avec la vallée du Rhône et les Alpes en toile de fond,...

Le vélo de route n'offre malheureusement pas les mêmes perspectives.

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salut , ça m est arrivée aussi , deux jeunes que je rattrape et a qui je donne un coup de main face au vent , a trois ça tournait bien mais dans la bosse de cassel j ai bien vu que je ne passais plus et leur ai dit d y aller , ça n 'a pas trainé , j ai  du prendre 2 mn sur la monté  et les ai recroisé qui redescendaient  , grosse pluie en haut   demi tour vite fait

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CHAPEAU David, impressionnant et pas facile à te suivre. Je suppose que tu as suivi le SaintE- Lyon pédestre du mois de décembre ? Dans le Forez du Béal as tu fait Pierre sur Haute puis le GR 300 ?

Et c'est vrai pourquoi se punir en le faisant de nuit, c'est perdre beaucoup de point de vue, une petite halte à Montbrison aurait été la bienvenue, mais bien entendu c'est toi le maître d'oeuvre. Je suppose que tu en avais ras le bol des monts du Lyonnais et envie de voir plus.

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Bjr,

Super et bravo David !

Pour ma part sortie club habituelle du mardi avec le petit café noir accompagné de bugnes au port de Miramar à la Londe les Maures ( var 83 ) l' allée se faisant par les plages de la presqu'île de Giens et le retour par le col du Gambet , 22° à 7h00 pour 34° au final pour 105 kms , temps couvert au départ pour ce groupe de 12 cyclistes ,puis soleil et peu de vent de Sud - Est .

Sportivement Serge. 

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J'étais allé en TER à Clermont-Ferrand, mercredi matin, et je voulais rentrer à Lyon pour le plaisir. 

Cette sortie avait plusieurs buts:

- J'avais éprouvé beaucoup de plaisir, dans une autre vie, à rouler de nuit sur route. La nuit, il y a de la sérénité; c'est très agréable. Pouvais-je retrouver le même plaisir en gravel qu'en route, la nuit? La réponse est oui.

- Faire en gravel la crète entre le Livradois et le Forez, entre le col du Béal et le col des Pradeaux. C'est exceptionnel; les paysages, la qualité des chemins, le soleil,...

- Tester le matériel et le bonhomme. Ca s'est bien passé. J'étais quand même plus fatigué qu'il y a 15 ans. Mais, le gravel est également plus exigeant. La nuit, ça reste une attention de tous les instants.

J'ai tracé moi-même le parcours sur Komoot, et, je vérifiais grâce à Viamichelin, option satellite et outdoor. Les pneus sont des Specialized Pathfinder en 700x38. Ce sont des pneus avec une bande centrale lisse. Je conseille néanmoins de mettre plus large.

Pour l'éclairage, Karl, aujourd'hui, tu trouves vraiment des éclairages fabuleux. Sans parler de la Supernova M99, qui est trop cher, j'ai roulé avec une Klamp EXR1100. La vérité est souvent dans les détails. En discutant avec le patron de Klamp, j'ai changé l'optique d'origine pour un modèle à diffusion horizontale. C'est parfait. J'ai fait toute la nuit avec 500 lumens. J'ai fait des descentes engagées; nickel!

Cette semaine, je voulais faire 370km dans la même optique, mais le temps est vraiment pas merveilleux.

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A partir du Béal, j'ai fait Pierre sur Haute, le col des Supeyres,  le col des Pradeaux, puis descente sur Saint Anthème. J'y ai mangé. La nuit m'a pris entre Saint Anthème et Saint Bonnet le Chateaux. Je tenais à descendre par l'ancienne voie ferrée qui menait à Saint Marcellin en Forez, 24km de bonheur.

Après, je n'ai pas fait le parcours de la Sainté-Lyon, parce que le terrain est trop engagé. J'ai traversé le Pilat, par la croix de Chaubouret et le Col de l'Oeillon. Imagine, à 4h00 entre ces deux cols, 20km sans une route, sans une maison, sans rien.

Bernard, je ne cours plus. Je n'en ai plus envie. Toutefois, j'aime les défis et l'aventure. Je pense que je me suis fait plaisir.

J'en prévois d'autres. Mais, il faudrait que le temps s'améliore. Je ne veux pas prendre la pluie au milieu de nulle part.

Ah! Si le gravel avait existé à l'époque où nous courrions ensemble. Un Saint-Puy de Dôme ou Un Clermont-Aurillac-Clermont en gravel, ça aurait été épique.

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N'avais-tu pas fait BP? N'avais-tu pas trouver la nuit grisante?

Bien sûr, absolument, mais je roulais en peloton (ou dans un petit groupe) sur de l'asphalte, la route éclairée le plus souvent par des voitures suiveuses.

Il m'est même arrivé de faire Sizun-Landivisiau à vélo par une nuit sans lune en rentrant d'une course cycliste. Franchement moins grisant. A l'époque les routes étaient bombées et je cherchais à garder le cap en restant sur la partie la plus haute. Une 10aine de km (sur les 13 ou 14) dans une nuit totale que les moins de 60 ans ne peuvent pas connaître (du moins en France métro).

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