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Pluie et risque


Dominique TEYSSIER

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Ton ami de la Haute-Garonne c'est parce qu'il avait mal été habitué, ça faisait 10 mois qu'on était en été 😃

Mais bon, Samedi/Dimanche/Lundi, c'était roulable en manches courtes… c'est vrai que depuis il pleut, mais samedi/dimanche on va rouler au sec...

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C'était du second degré. Jumbo et UAE roulent en patins, il ne sont pas plus fous que les autres. Si les disques étaient bien meilleurs la question ne se poserait pas. Et puis le principe est le même un étrier ou des mâchoires pincent un disque ou la jante qui est aussi un disque en plus grand. Peut être qu'un jour nos étriers seront hydroliques. 

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Les freins sur jantes hydrauliques existent depuis longtemps (Magura).

Si on considère le problème uniquement sous l'angle de la qualité du freinage (scoop : les freins c'est d'abord prévu pour freiner, si si), le freinage sur disque est globalement meilleur, particulièrement si on prend en compte toutes les conditions climatiques.

Évidemment, cet argument parle beaucoup moins à ceux qui habitent une région à fort ensoleillement et ça parle tout aussi peu à ceux qui ont suffisamment de temps libre devant eux pour replanifier leurs sorties en cas de mauvais temps. Ne parlons même pas de ceux qui cumulent ces deux privilèges. 😉

S'agissant des pros, le problème des freins à disques pour eux par rapport aux freins sur jante, c'est que

  • c'est plus lourd ;
  • la roue est plus longue à changer en cas d'avarie.

Ça suffit pour que certaines équipes pro renâclent encore à passer au freinage à disques.

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Hello,

alors pour casser quelques théories.. ma dernière expérience sous la pluie s'est soldée par une chute, sur du plat, en ligne droite, avec des freins à disque hydro.

Après avoir légèrement freiné à l'approche d'un rond point, la roue arrière a chassé et en moins de 5/10 de secondes j'étais par terre

Bonne route

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Le genre de choses qui m'arrivait aussi… avec des freins à patins. Pas (encore) avec des freins à disques mais je n'en utilise régulièrement que depuis très peu de temps.

Mais ce ne sont pas les freins qui sont à incriminer, c'est le temps, et la façon de freiner. J'ai appris «grâce» à ce genre de déboires qu'il vaut beaucoup mieux amorcer le freinage à l'avant si l'adhérence est douteuse… même en ligne parfaitement droite.

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Quand on freine, le poids se porte sur la roue avant et c'est le freinage sur cette roue qui ralentit le cycliste.

Bien que la roue arrière ne joue qu'un rôle de freinage restreint, il faut quand même freiner de l'arrière car cela stabilise la trajectoire, pas besoin d'appuyer très fort.

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