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Les descentes en cyclosportive


Florent JMT

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Jaloux...

Je doute qu'il soit jaloux des 3 gars dont il parle, je le cite :

Dans une des descentes un gars est parti à fond avec 3 autres, 500m plus loin il était par terre dans un virage pourtant largement signalé.

Par ailleurs je confirme ce que dit Eric Hennuy : à l'époque où je me trouvais toujours bien placé au sommet des cols, dans les années 80 et 90, je n'avais jamais de problème dans les descentes.

Plus tard, j'ai vu toujours plus de mauvais descendeurs et même certains qui me foutaient la trouille car me dépassant en prenant la gauche dans des descentes étroites et rapides avant une courbe aveugle. (Je pense à un anglais en particulier, s'il se prenait une voiture montante j'avais de fortes chances de le retrouver, lui et son vélo, de retour sur ma trajectoire. Je l'avais repris moins de 100 m plus loin)

Et bien sûr, au fil des ans, j'avais de plus en plus de cyclistes à dépasser pour descendre à mon rythme normal, ça finit par être désagréable.


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Non pas du tout car j'estime que je descends bien,sans faire le %@!? tout simplement.

Il faut juste freiner au bon moment et garder une trajectoire correcte dans mon cas.

Je ne perds pas beaucoup de places dans les descentes mais ceux qui me doublent prennent des risques à mon sens inconsidéré (voie de gauche dans les virages sans visibilité,etc...)

Etre jaloux du mec qui vient de bouffer le gravier,je te laisse la place volontiers ;-)

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Je n'ai fait qu'une seule cyclo (Etape du Tour 2015) mais je fais le même constat que toi.

Je descends relativement bien mais lors de cette cyclo je n'ai pris aucun plaisir dans les descentes malgré les routes fermées à la circulation automobile. Dans la 1ère descente, lors d'une épingle à gauche, j'ai failli me faire percuter par un gars arrivé en survitesse. J'ai senti qu'il arrivait trop vite et j'ai juste eu le temps d'élargir ma trajectoire pour le laisser passer. Il est passé à 50 cm de ma roue avant en allant tout droit dans l'épingle et il a frôlé la roue arrière du gars qui me précédait. 100m plus loin, il nous a doublé sans un mot d'excuse...

Certains descendent très bien et il suffit de leur laisser la place pour qu'ils doublent tranquillement. D'autres sont effrayants de manque de maîtrise mais cherchent à descendre aussi vite que les meilleurs. Ceux-là sont réellement dangereux (trajectoire incertaine, freinage trop tardif...). Sans parler de ceux qui descendent comme des escargots (c'est leur droit) mais complètement sur la gauche de la route !!

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Sans parler de ceux qui descendent comme des escargots (c'est leur droit) mais complètement sur la gauche de la route !!

Dans les cyclos ardennaises, je repère assez vite ceux qui n'ont aucune technique dans les descentes, et ils sont malheureusement nombreux : les mains sur les cocottes, les bras raides et le torse redressé, ils prennent d'habitude énormément de place sur la route, roulant en plein milieu sur route ouverte à la circulation, gênant ainsi les dépassements en plus de se mettre en danger. 

C'est peut-être parce que la majorité des participants sont des Flamands et Néerlandais vivant ordinairement dans des régions complètement plates. Ce qui expliquerait pourquoi ils n'ont pas appris à descendre correctement. Par contre, s'organiser pour rouler face au vent sur le plat, ils savent faire ! 

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Hello.

L'année dernière j'ai fait la cyclo des cimes du lac d'Annecy, plutôt franchement a l'arrière. Le niveau en descente était catastrophique. Je suis plutôt bon descendeur mais prudent et j'ai beaucoup doublé. Certes la route était un peu humide, mais de la a descendre sur les freins.. Après c'est vrai que la descente ça se travaille. Rouler en Savoie m'a énormément fait progresser dans le domaine. Le principal a mon sens : ne pas se crisper, et regarder loin, pas sa roue ni son compteur..

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La descente du Semnoz est rapide et technique avec de gros freinages.

L'an dernier, sur les Cimes, route bien mouillée du déluge de la nuit et premières feuilles mortes de début d'automne jonchant la route.

Tu as de la chance si tu n'as pas d'appréhension, car tu as sans doute l'habitude, habitant le coin ; quand tu fais occasionnellement (2 à 3 jours /an ce genre de descentes), je te confirme que c'est un petit morceau de bravoure.

Généralement, je me fais doubler dans cette descente du Semnoz (3 dernières éditions) ou perds mon groupe malheureusement ; heueusement je monte pas trop mal.🆒

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Descendre comme un branque pour faire remonter sa moyenne est ridicule, le gain de temps est trop minime par rapport au temps perdu en montée.

Moi aussi j'aime bien doubler une voiture, mais faut pas se faire d'illusion, on ne rattrape que ceux qui se trainent.

Pas question pour moi de freiner au panneau trop tard, rien à gagner et au moindre pépin, c'est la catastrophe.

Je n'ai jamais fait de cyclo, mais j'imagine bien le stress de sentir des vélos qui doublent n'importe comment.

Le plaisir, c'est l'ascension, la descente c'est agréable, mais pas plus.

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oui ok pour le semnoz mais c'était le cas aussi dans les autres descentes.

Je pense qu'on peut descendre prudemment sans gêner les autres. En lisant les posts on a l'impression que la descente c'est soit en mode escargot soit en mode casse coup. On peut très bien descendre vite et proprement, en sécurité mais c'est rarement un don, Ca se travaille

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L'été dernier à la grand-bo, en descendant la croix fry, un fou a dû me passer à plus de 100, quand j'ai vu les épingles qui arrivaient j'ai vraiment cru qu'il allait se tuer devant moi, il a guidonné en bloquant la roue arrière, je crois que j'ai eu plus peur que lui... Tout ça pour quoi ?

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"On peut très bien descendre vite et proprement, en sécurité "

Je pense que c'est a peu près mon cas. Si je dois doubler quelqu'un, je prefere attendre que de couper la trajectoire de celui qui est devant. Le problème vient souvent de là. Ceux qui arrivent comme des balles et qui ne s'occupent pas de celui de devant sous pretexte qu'ils vont  plus vite, là, ça m'enerve😠. Le pire c'est quand ils sont 5 ou 6 à se tirer la bourre🤐

 

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moi c'est l'inverse.

je suis un bon descendeur et c'est justement les gens qui descendent lentement que je trouve dangereux.

j'arrive vite dessus, leurs points de freinages sont plus qu'aléatoires tout autant que leur trajectoires.

ça va de gauche à droite sans aucune réflexion, ni sur le point de corde ni autre.

bref.

c'est pour ça qu'en peloton avant les descentes, je suis devant.

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Me concernant c'est au hasard des sorties et des rencontres que j'ai progressé. J'ai eu notamment la chance de faire la descente du galibier derrière un très bon descendeur et ça m'a complètement changé ma façon de descendre, une sorte de déclic en fait. Je n'aurais jamais pensé descendre si vite et propre avec des pointes à 100 Kms/h.

Après je suis conscient que descendre à cette vitesse est risqué même sans être casse coup, il faut pas grand chose pour se retrouver par terre. Pour moi ça reste assez rare. Sur ma dernière sortie dans les aravis (croix fry, aravis) je n'ai pas dépassé 65 Kms/h, mais ce n'était pas une barrière, je n'ai quasi pas regardé le compteur. 

Ca dépend aussi beaucoup du niveau de fatigue/lucidité du moment

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