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Vos incidents mécaniques


Adrien FERRY

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A part la crevaison que tout le monde ou presque a déjà connu, quels sont les incidents mécaniques (drôles, chiants, inattendus, malheureux, ...) qui vous soient arrivés à vélo au cours de vos sorties d'entraînement ou en compétition ?

Me concernant:

• Chute sur passage à niveau, un bon mal de cul et la roue avant pliée dans le rail... obligé de faire du STOP 

• Chute sur un rond-point en course : pédale automatique cassée, obligé de rentrer sur une patte. 

• Rupture du câble de dérailleur arrière à deux reprises, sur deux vélos différents : rentré sur 53/12. 

• Porte-bidon qui se dévisse en milieu de course... super chiant !

 

J'en ai sûrement oublié (bon je parle pas du vélo cassé et cadre plié sur la départementale, ce jour là ce sont les pompiers qui m'ont ramassé). J'attends toujours le bris de chaîne ou la rupture du câble de frein en descente de col ...  

A vos récits !

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beaucoup plus ridicule quand j'était petit j'ai eu un super vélo de course la réplique de celui de pantani a la mercatone uno le bianchi turquoise et jaune orangé , résultat je regarde mes vitesse un peu trop longtemp et je ne vois pas un encadrement de poteau électrique , je m'encastre dedans fourche plié

voila pour moi 

 

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Une chaîne cassée au début de la montée d'Hurtières, à Tencin (Isère). C'était avec un vélo où les leviers de vitesses étaient au cadre. En me mettant en danseuse mon genou a heurté le levier de changement de pignons. La chaîne s'est retrouvée d'un coup sur le petit plateau (d'un triple) et le petit pignon : CLAC ! Heureusement que j'avais un dérive-chaîne avec moi…

La pire avarie, c'est quand même la fourche qui s'est soudainement fendue en haut des deux fourreaux, vers la fin de la descente du col de Romeyère sur Saint-Gervais (toujours en Isère)… Je ne maîtrisais plus du tout la direction, j'ai donc fini la descente à pied et j'ai continué la marche jusqu'à une maison d'où j'ai appelé mes parents à la rescousse. En chargeant le vélo, la fourche s'est alors complètement brisée.

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Pour ma part:

A l'entrainement

- il y a très longtemps chez les minimes. Fourche changée après une chute. La neuve cède au bout de 10m, j'étais même pas sorti de chez moi. J'ai eu bien mal ou je pense...

- Bris de rayon en sprint en bosse, obligé de démonter le frein arrière pour rentrer. Depuis j'ai une clé à rayons.

- Roulé sur une plaque en métal inévitable, pneu explosé, retour en voiture.

- porte bidon alu qui casse

- bris de chaine en vtt, retour à pied, ou plutôt en mode trottinette.

- levier droit shimano 105 9V inopérant, retour sur un pignon. Remédié par un décrassage dégraissage approfondie, toujours sur mon mulet, mais doit être parfaitement propre pour fonctionner, bien fatigué.

 

En course :

- A l’échauffement, pédale qui se desserre de son axe, resserrée à la va vite avant le départ.

- liaison potence-guidon mal serrée, obligé d'attraper une btr au vol et de resserrer en roulant

- jeu de direction qui commence à bloquer en descente. Je n'ai pas pu rentrer dans la trajectoire mon voisin a failli finir dans le talus. J'ai fini la course dans le peloton, en me faisant distancer dans chaque descente. Le jeu de direction a été changé sous garantie. En soulevant le vélo à plat, la roue ne tombait pas, parfaitement dans l'axe.

- la cloche du dernier tour qui ne sonne pas. Juste avant l'arrivée,  je prends d'avance 20m dans la dernière bosse et gagne, au moment ou l'organisateur rajoute un tour car la cloche n'avait pas sonné

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pour ma part peu d expérience seulement 3ans de vélo   1 patte de dérailleur qui a cassé , mais je ne roulais pas vite , mes vitesses montaient descendaient toutes seules , ce que je trouvais louche tout en regardant a l arrière ce qui se tramait  j ai vu le dérailleur partir dans la roue et  j ai freiné tout de suite  , pas  de dégât énorme  ,seulement la patte , mais j imagine bien a haute vitesse ce que cela peut donné

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Le seul vrai incident chez moi est du à mon gros cul et à une position très en arrière. Je nique les vis de chariot de selle. Donc je me retrouve le cul sur la roue arrière. Je m'en tire bien, jamais de gamelle.

Sinon, les inévitables retours sur la jante pour crevaisons multiples, flancs de pneus éventrés, chaîne qui casse en VTT le jour ou je n'avais pas de dérive-chaîne. Mais ça, c'est du banal...

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ah le classique (enfin peut être pas) roue avant coincée entre 2 planches sur un pont en bois.  jasant avec une amie, 1 seconde plus tard j'étais étendu par terre après avoir fait un soleil. le vélo restant planté sur le pont à l'envers.  pas de blessures ni pour moi ni pour le vélo. même pas eu le temps d'avoir la frousse, ce qui n'a pas été le cas de ma copine elle aux premières loges.

une autre fois dans une pente genre 7-8 % une plaque de maillon de chaîne se rompant et accrochant en passant dans les galets de dérailleurs et moi devant la résistance j'en ai rajouté une couche. résultat patte de dérailleur pliée et rentré à la maison en voiture mais toujours sans mal.

chute après avoir touché une roue d'en avant par mégarde, ouch là par contre...

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Bonjour

Dimanche dernier, sortie VTT pour varier, j'accroche une branche dans le pédalier arrière et bingo, casse de la patte fusible et de la chape carbone :

Visualisation immédiate des euros qui s'envolent et du retour difficile. heureusement, un pote de sortie a un dérive chaîne. On démonte et coupe de la chaine pour revenir en singlespeed.

problème, j'ai mis la chaine sur les petits pignons et à chaque rotation de roue, elle remonte sur le pignon supérieur (mauvais alignement je suppose). ses bases étant flexibles (scalpel), elle se tend a mort avec grosse contrainte sur les bases, la cassette et roulements.

ne voulant pas "fusiller" davantage de matériel, la seule solution est de redescendre la chaine sur le pignon initial et avancer par 1/4 de tour de pédalier.

Vous imaginez sans peine ma détresse sachant que je suis à 12 bornes de chez moi. heureusement, une bonne descente de macadam facilite le retour. gros ouf de soulagement à l'arrivée.

Merci aux gars de Marsannay la cote pour leur arrêt et la "discute", c'était sympa.

 

Cdt

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J'ai cassé une seule fois ma chaine sur un VTT et c'était de ma faute car j'avais mis un rivet 9v sur une chaine 8v.

Bref, me voilà avec une chaine cassée en pleine forêt à 30 km de chez moi et sans dérive chaine!

Qu'à cela ne tienne, j'ai placé mon vélo sur une clôture de prairie qui avait des piquets en acier, j'ai positionné le rivet qui avait sauté en face du trou de la maille, j'ai recherché une pierre qui était la plus dure possible, j'ai trouvé un silex et j'ai frappé sur la maille pour la re-riveter, le piquet servant d'enclume!J'ai pu rentrer sur 26/18 , chaine bien en ligne avec le minimum de traction dessus, elle a tenu le coup.

J'avais inventé le cycliste de néandertal!

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J'ai cassé un rayon sur une roue, la roue était tellement voilée qu'elle touchait le cadre.

Je commence à me demander si je ne vais pas mourir dans la vallée de Chevreuse, quand un automobiliste s'arrête.

Il me prend en stop jusqu'à la gare de Versailles, il me donne 100 francs (15 €) pour prendre un billet de train , car je n'avais pas d'argent.

Je suis rentré chez  moi, en marchant depuis la gare de destination, j'ai massacré mes chaussures.

L'automobiliste m'avait donné son adresse.

J'ai pu le rembourser.

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C'est vrai qu'en réfléchissant il arrive pas mal de trucs en vélo ...très bon post !

Alors patte de dérailleurs cassé ou plié trés souvent au debut du VTT il y a 25ans car mal protégé a l'époque , rayons cassés des le départ j'ai fait un brevet de 210 km avec la roue qui touchait le patin , chaîne casées 2 fois mais prêt de l'arrivée la chance ,cable dérailleur cassé classique,  pneu avant et arriére pincé dans un trou j'ai fait la méthode du nœud pour réparer ca marche hyper bien, pneu éclaté su tesson de bière dans un course en étant échappée  la rage , cale de chaussure cassé,   pendant l'échauffement de course adieu la course ..... 

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Quand j'avais 18 ans, et plein d'énergie, j'ai réussi à sortir la roue arrière de ses logements dans une solide montée où je poussais à bloc, en 53/18. Failli casser le guidon tellement j'y allais, ça craquait de partout et je trouvais ça bien rigolo...

Sinon, patte de dérailleur qui se casse sans prévenir et le dérailleur qui explose dans la roue arrière en pleine accélération. Arrêt instantané en dérapage, ça surprend! Heureusement que je roulais seul, en club, on serait tous tombés.

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Trois "bons" souvenirs

Grosse attaque sur la plaque en bas d'une côte (en 5V ou 6V à l'époque) : tout ce coince, la roue AR fait un bon en l'air. Bilan : un axe du dérailleur AR cassé. remplacé par une vis de butée du dérailleur AV pour pouvoir rentrer... tout doucement

Pneu neuf (5 kms), temps très froid, la roue AV est partie en passant sur les rails du tramway. Bonne chute et casque à changer.

Rupture de ???  dans la poignée droite (Campa Veloce, plus de 50 000 kms). Je ne pouvais plus passer que sur un plus petit pignon. Heureusement, le parcours à faire était à peu près plat, j'ai pu rentrer. Le plus dur est que la poignée est repartie deux fois chez Campa, revenue "réparée" mais ne fonctionnant toujours pas.

 

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Récemment sur un petit sprint avec plusieurs collègues de mon club sur un panneau d'entrée de village : au moment de placer la deuxième accélération,  le blocage de la roue arrière s'est ouvert et la roue est tombée. Elle s'est bloquée sur les patins donc arrêt*** de la roue arrière. Je me suis retrouvé assis sur le cadre, un pied déclenché... le tout à plus de 50km/h

Miraculeusement je ne suis pas tombé, ni aucun des cyclistes du groupe...

 

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Crever dans une côte à fort pourcentage et devoir redescendre à pied avec des souliers de cyclisme ( + cales blanches pour cale-pied à courroies)! Exploser la chambre à air une semaine plus tard, déjanter dans une pente tout aussi raide, je me rappelle plus comment j'ai réparé et pu rentrer! Evidemment tous des pépins de crevaison en montagne, une fois ma pompe s'est cassée au moment de regonfler, acheter une bombe anti-crevaison sans vérifier le type d'embout! Par contre casser un rayon, ou ne patte de dérailleur , je ne connais pas. Une fois j'ai fait du "régime sans selle" en cassant l'écrou qui la tenait.

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A part sur chute, peu de casse à part 2 bris de chaine. Le premier en grimpant le galibier, au pieds des lassets après Valloire. Grosse panique car le ravin est pret mais plus de peur que de mal. Retour en roue libre à Valloire ou j'ai pu faire reparer. Le deuxième au millieu du pays ou il ne passe personne (même pas le portable), j'ai nommé la Creuse, super endroit pour rouler au demeurrant. Retour un peu galere. J'ai juré depuis de m'équiper d'un dérive chaine et d'une attache rapide ..

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Juste un bris de chaîne, je devais avoir 18 ou 19 ans, mais qui m'a fait très mal parce que j'étais avec un pote et je venais de démarrer en danseuse dans une côte. Je me suis salement écorché cheville, genou, hanche et coude droits et j'ai fait quatre bornes à pied en poussant mon vélo. Heureusement, à l'époque, c'était baskets et cale-pieds à courroies.

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Au pied d'une côte, le dérailleur arrière qui pête, la chaine qui saute en le pignon et les rayons, du coup la roue se bloque, vu ma faible vitesse, arrêt instantané, le temps de me rappeler que j'étais passé récemment au pédales automatiques, paf par terre comme un %@!?.

Retour à pied au village voisin pour trouver une cabine téléphonique.

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