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il y a 8 minutes, Franck PASTOR a dit :

 

On est à peu près du même gabarit tout frêle (178 cm et 62 kg pour moi), cela joue sûrement un rôle déterminant.

 

Et oui, le fait que l'ennemi soit « invisible » (même si souvent bien audible) contrairement à une montée bien pentue doit sûrement jouer dans la gestion mentale de la chose.

 

Et je gère comme je peux : vent défavorable, je travaille la position mains en bas, pas forcément la plus aéro mais certainement la plus stable. Généralement, je cherche l'abri des quelques vallées brabançonnes ou des rares forêts (celle de Soignes, notamment), je grimpe des raidards qui m'abritent… 🙂

Je partage ton avis concernant "l'invisibilité de l'ennemi" face au vent. 

 

Ceci dit, ta position n'est pas très aéro, on en a déjà discuté. il y a facilement 20 W à gagner de ce côté. Mais les douleurs à la nuque en décident autrement...

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il y a 6 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

 

Effectivement, décider qu'on ne pouvait plus changer est un signe de vieillesse 🤣

 

Depuis 25 ans que je vis en Belgique je n'ai pas réussi à changer mon mental vis-à-vis du vent, et j'ai 53 ans. Tu crois vraiment que j'ai encore une chance ? 🤔

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C'est un peu comme une lutte, un combat, mais  l'adversaire à vaincre est différent. Il faut de la puissance, de la technique...

Comme dans un match à 1 contre 1, il y a des adversaires qui nous réussissent bien, d'autres qui nous donnent du fil à retordre ou deviennent notre "bête noire".

Étant d'un gabarit voisin de celui de Franck, je subis les mêmes tracas face au vent.

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Suite à ces deux commentaires, je peux dire quant à moi, que je hais le vent et redoute les ascensions trop rudes, bien plus vieux que vous cela peut se comprendre! Au milieu des Alpes je regrette les endroits plus vallonnés, et dois me farcir soit les longues lignes droites, soit les béquets casse- reins! Mais le pire reste la pluie, comme je déteste d’avoir les chaussettes trempées…

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il y a 7 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Étant d'un gabarit voisin de celui de Franck, je subis les mêmes tracas face au vent.

Franck a surtout dit que le problème était selon lui "mental". "jiib73" qui a le même genre de gabarit a donné des chiffres intéressants : 220 W dans les ascensions, avec sensation d'aisance, et 170 W face au vent en étant au bout de sa vie.

 

La question qui me vient à l'esprit : existe-t-il une relation entre le gabarit et le mental ?

 

Je ne constate pas une telle différence entre les deux situations en ce qui me concerne et 170 W restent toujours 170 W. Franck me largue donc dans les côtes et il tient pas longtemps ma roue sur le plat. 

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Il y a 1 heure, Thierry GEUMEZ a dit :

(...) La question qui me vient à l'esprit : existe-t-il une relation entre le gabarit et le mental ?(...)

Je ne pense pas. Une relation entre le gabarit et le coefficient de pénétration dans l'air, ça, certainement. 

Entre un petit cycliste râblé de 65 kilos et une grande frite du même poids, les différences aérodynamiques sont certainement, à la base, assez importantes. Or, sur le plat, à grande vitesse ou par vent défavorable, l'aéro joue à fond.

Par rapport au petit râblé et sans tenir compte de la position prise par le corps pour rouler, la grande frite doit composer avec un vélo plus grand, un centre de gravité plus élevé, des vêtements probablement moins moulants...

Peut-être autre chose encore ?

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il y a 11 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Je ne pense pas. Une relation entre le gabarit et le coefficient de pénétration dans l'air, ça, certainement. 

Entre un petit cycliste râblé de 65 kilos et une grande frite du même poids, les différences aérodynamiques sont certainement, à la base, assez importantes. Or, sur le plat, à grande vitesse ou par vent défavorable, l'aéro joue à fond.

Par rapport au petit râblé et sans tenir compte de la position prise par le corps pour rouler, la grande frite doit composer avec un vélo plus grand, un centre de gravité plus élevé, des vêtements probablement moins moulants...

Peut-être autre chose encore ?

Tu évacues trop vite les chiffres de puissance, Nicolas ! Quand un cycliste dit "Je suis à l'aise à 220 W dans les côtes et à la peine à 170 W vent de face sur le plat" rien n'indique que la différence vienne de l'aéro. On ne peut invoquer l'aéro que si face au même vent, le grand mince pousse 220 W quand le petit râblé est à 170 W.

Modifié par Thierry GEUMEZ
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Il y a 2 heures, Franck PASTOR a dit :

 

On est à peu près du même gabarit tout frêle (178 cm et 62 kg pour moi), cela joue sûrement un rôle déterminant.

 

Et oui, le fait que l'ennemi soit « invisible » (même si souvent bien audible) contrairement à une montée bien pentue doit sûrement jouer dans la gestion mentale de la chose.

 

Faute de mieux, je gère comme je peux : quand le vent est fort, je travaille la position mains en bas, pas forcément la plus aéro mais certainement la plus stable. Généralement, je cherche le creux des quelques vallées brabançonnes ou l'abri des rares forêts (celle de Soignes, notamment), je grimpe des raidards qui m'abritent eux aussi de par leur pente… 🙂
 

Oui même morphologie ! 1m74 pour 59 kg pour moi 😂

En règle générale, avec du vent j'ai deux stratégies préventives :

- Un parcours avec vent que latéral (ou presque). Est-ce vraiment mieux ? pas sûr...

- Un parcours Gravel plutôt en forêt (ça, ça marche)

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il y a 8 minutes, Thierry GEUMEZ a dit :

Tu évacues trop vite les chiffres de puissance, Nicolas ! Quand un cycliste dit "Je suis à l'aise à 220 W dans les côtes et à la peine à 170 W vent de face sur le plat" rien n'indique que la différence vienne de l'aéro. On ne peut invoquer l'aéro que si face au même vent, le grand mince pousse 220 W quand le petit râblé est à 170 W.

Oui. Je n'avais pas relevé ces chiffres de puissance (mais ça ne me parle pas beaucoup non plus, je n'ai pas de capteur, donc pas l'habitude). Ta dernière phrase donne un argument logique. Je ne comprends pas tellement pourquoi on serait plus à l'aise en faisant davantage d'effort, sinon, comme tu le dis, c'est dans la tête.

Je n'ai pas de chiffres, mais c'est clair que je suis davantage motivé à donner le max dans l'ascension d'un col que face au vent dans une vallée. On est davantage motivé à faire ce qu'on préfère faire.

 

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il y a 27 minutes, Nicolas JOARY a dit :

Oui. Je n'avais pas relevé ces chiffres de puissance (mais ça ne me parle pas beaucoup non plus, je n'ai pas de capteur, donc pas l'habitude). Ta dernière phrase donne un argument logique. Je ne comprends pas tellement pourquoi on serait plus à l'aise en faisant davantage d'effort, sinon, comme tu le dis, c'est dans la tête.

Je n'ai pas de chiffres, mais c'est clair que je suis davantage motivé à donner le max dans l'ascension d'un col que face au vent dans une vallée. On est davantage motivé à faire ce qu'on préfère faire.

 

Etant très porté sur la physique, les mesures, les chiffres, etc. je me demande si ça ne me freine pas dans certaines circonstances. Michel dira que oui, certainement, mais il est totalement à l'opposé donc son avis n'est pas plus fiable que le mien 😜. En fait, très sérieusement, je dépense une partie de mon énergie à réfléchir à la meilleure façon de rouler et cette énergie ne va pas dans mes jambes et donc ne me fait pas avancer... mais ceux qui n'y réfléchissent pas ne roulent pas de la meilleure façon et cela les ralentit également. Où est la vérité ? 🤣

 

 

Modifié par Thierry GEUMEZ
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11°C à 7 hr45. Temps couvert. Il a bien plu hier toute la journée , des averses  suivies d'éclaircies . En soirée et cette nuit il a encore plu.

Maintenant la pluie s'évacue vers l' E mais le vent d'O reste bien présent. Il est actuellement modéré.

 

En cours de journée le vent va se renforcer et de modéré il va passer à assez fort en moyenne Belgique. A la la côte le vent sera assez fort à fort. 

Tant à la côte qu'à l'intérieur du pays il faut s'attendre à des rafales de 50 à 60 km/h.

 

Les maxima seront sous les moyennes saisonnières et oscilleront entre 12 et 17°C. 

 

Ces prévisions dominicales ne sont pas terribles mais c'est sans doute la dernière journée venteuse et pluvieuse car dès demain les T° vont suivre une courbe haussière avec à partir de mercredi plus de 25°C et du SOLEIL . 🌞

 

 

Modifié par Jacques VANDEWIELE
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