Jérémie LAPLAC

Sauf erreur de ma part , il est déjà presque dispo mais en 11v , avec tout de même un tourne disque arrière Ce sont les déclinaisons 1x11 avec les K7 XD 10/42, qui existent depuis 2 ou 3 ans. Je me demande si Sram va introduire un 1x12 pour la route, avec une K7 soit mieux étagée, soit avec des extrêmes encore plus brutales

Eric, Campa propose toujours le triple en 11 vitesses, en Athena. Mais les ventes sont confidentielles .... Inversement, je ne serais pas surpris que Sram qui a pour habitude de faire glisser les gammes VTT vers la route, nous sorte un mono route 1x12, avec une K7 arrière comme une poêle à frire. Pour en revenir aux nouveaux groupes H11 de Campa, ça va sans doute me pousser à me remonter un route pur et dur, à disques of course (ne pas hurler) et avec l'ergonomie qui me convient parfaitement des leviers du fabricant italien.

Tout est dit. Le pédalier obtient une mention spéciale.

Parti pas très tôt pour une sortie plaisir en direction des Hautes Fagnes et du massif volcanique de l'Eifel. Traversée bucolique du plateau de Herve pour rejoindre les cantons de l'est, traversée de la réserve naturelles des Hautes Fagnes avec ses paysages de vallées alpines (si si, on se serait cru dans les Bauges), crochet par la petite ville de Montjoie en Allemagne qui a eu la chance d'être trop petite pour être rayée de la carte en 1944 (http://bit.ly/2q2SEi3) Ambiance moyenâgeuse à la "Michael Kohlaas", routes et chemins étincelants le long de ruiseaux, de petites étangs ..... Retour par le Signal de Botrange, vallée de la Hoëgne vers Sart les Spa (http://bit.ly/2pYWnid) Spa, Rosier, contournement du Maquisard par des routes forestières et seule route à fort trafic de la journée, la côte des Forges, avalée le plus vite possible tant la circulation y est désagréable. Bilan chiffré de la journée : 136 km en 5h36, soit 23,63 km/h de moyenne et 1845 mètres de D+. On re se fout pas de la tronche de l'ami Laplac : la moyenne a été pertubée par de très longs passages dans les sous-bois et par une navigation parfois aléatoire. Mais l'essentiel n'est pas là :-)) A bientôt pour de nouvelles aventures !

Chapeau bas, Brigitte. Tout le monde ici sait combien il est difficile de réaliser une telle performance !

J'avais en tête que tu avais un XT en 9 vitesses. Aurais-je loupé un épisode ? Pour en revenir à la question de notre ami, il faut simplement s'assurer que la poulie supérieure du dérailleur ne vienne pas brouter le plus grand pignon de la K7. Éventuellement, tricher un poil sur la longueur de la chaîne en gardant en tête que le bonhomme derrière le guidon ne sera jamais assez téméraire pour mettre 30/12 ou 11.Le 105 devrait faire parfaitement le job.

Il suffit de donner un coup de pince sur la fourchette du dérailleur pour qu'il pousse au bon endroit - ce que j'ai fait ;-))

Je n'avais jamais compris en quoi un plateau médian de 38 améliorait le passage vs un 36. L’essentiel, c'est que ça fonctionne !

Même taille, au cm près

Si tu étais en mono 1x11, ça ne te serait pas arrivé ! hihihi 😃 😆 🤐

La pression reste stable Puis si ça se dégonflait, pas de crainte de retrouver du préventif partout car la tringle ne se décroche pas à basse pression. Seul le chat dégueule sur le sol, mais ça, c'est une autre histoire ....

Didier, Content de te relire ! Mais, du coup, le Béhache est au clou ? La pauvre bête ....

Ou tu prends un dérailleur à braser avec un collier BBB, disponible dans toutes les dimensions.

Tu as quoi comme jante ? Le Tubeless est possible avec un fond de jante spécifique sur bien des modèles, avec le fond de jante ad hoc et un peu de préventif.... Et selon le fabricant, c'est plus ou moins simple à monter. Fulcrum et Campa, ça passe aux doigtd et à la pompe à pied. DT, par contre, tu pleures pour les monter et il faut un compresseur pour le gonflage.

Problème la pression est toujours trop élevée pour éviter le pincement. Simon, j'ai résolu le problème du pincement en mettant des pneus de 40, en Tubeless. Je roule à 1,8 bar devant et 2 derrière. Mais je conçois que ce n'est pas une solution pour le cyclo-cross en compétition car ces pneus ne sont pas autorisés.

Houla, 10x42, c'est pas possible pour moi. J'ai déjà du mal avec le 11 Ce que je ne t'ai pas dit, c'est que devant, c'est un plateau de 30 :-)) Bon, pour ma part, sur ce type de vélo, c'est 3x11. Même si ça fait has been, rien ne remplace un bel étagement et de larges extrêmes qui permettent de monter assis des chemins escarpés (plus de traction) ou de descendre plein pot une portion asphaltée.

Je sais bien que je vais m'attirer les foudres des puristes en ayant prononcé le mot vélo électrique, mais c'est tout de même une sacré invention pour les cyclistes du dimanche ! J'ai roulé - et je roule encore - avec des types qui ont investi dans cette technologie. Elle leur permet de sortir le dimanche, d'aller buter contre la limite du moteur et de faire travailler le cardio sans se trainer à 12 km/h. Ce que je constate, c'est que les VTTistes sont bien plus ouverts à cette pratique que les routeux. Dommage

Et bien, j'y ai déjà pensé, mais ça nécessite une logistique assez conséquente pour moi ; Mons, c'est 160 km de chez moi ....

Encore bravo, Franck !

Le lendemain pas de crampes ? Des jambes de feu !

Pour le monoplateau, fais l'essai. C'est le meilleur moyen pour savoir... Moi j'ai du mal. Je trouve que c'est seulement une mode. On récupère surtout de l'inconfort. On a multiplié le nombre et donc le choix des vitesses, afin d'en avoir toujours une qui correspond au terrain rencontré. Je ne vois pas trop l'intérêt de faire le chemin inverse, surtout en tout-terrain. Sram, avec son 10x42 XD, propose une solution dont les extrèmes sont intéressantes. Par contre, les trous dans l'étagement sont conséquents. Clairement pas pour moi, ni en route, ni en Gravel. Ma femme a testé un vélo monté de la sorte et elle, qui roule en souplesse, ne veut plus que cela ....

Quel marque, quel modèle ton gravel? Lynskey Cross, cadre acheté à -50% sur chainreaction

Presque tout a été dit :-)) Attention à la taille maximale qu'un cadre cyclo cross propose : mon Gravel, qui est un cyclo cross, n'accepte que du 38 - 40 mm max. Beaucoup de pneus intéressants sont plus larges. De plus, un 50/35 avec une K7 de 11/32 n'est pas génial, à mon humble avis. Freins à disques hydrauliques obligatoires ; les canti, c'est la misère et les disques à câble donnent un feeling proche de zéro - ou ils sont hors prix comme ceux de Paul Components. L'hydraulique, c'est pas d'ennuis, pas de réglage et une maintenance qui se limite à une purge par an dans le pire des cas. @ Simon : c'est une pratique importée des USA avec tout le côté folklorique qui va avec, et avec ses dérives comme par exemple, l'apparition de fourches suspendues avec plus ou moins de débattement.... Mais c'est très ludique, avec une pratique plus ou moins engagée selon la géographie locale. Tu as fait LBL, tu as sans doute vu ces campagnes et forêts qui sont un terrain de jeu terrible pour le Gravel. Je me suis déjà fait des sorties de plus de 150 km sur des pistes qui sont simplement des routes non asphaltées. Bien moins slalom entre les arbres que du VTT, ça roule vite, ça glisse, on traverse des ruisseaux ... Et tu as rézon : les enclumes moches, en tube de chauffage, c'est cool mais je ne souhaite ça à personne

Hier, participation à la Philippe Gilbert, entre Remouchamps et le mur de Huy. Météo clémente, un monde de fou et un parcours attractif sur le papier : 141 km et 2393 mètres de D+, et un enchainement de difficultés sur la première partie du parcours qui n'offre guère de répit. Les premières sensations étaient bonnes, j'avais décidé de rouler dans les bosse afin de ne pas souffrir sur le retour qui se faisait vent de face. KM 80, pied du mur de Huy : début de crampes dans les deux jambes. Inexplicable, j'avais bu énormément, mangé régulièrement ... mais soit : j'ai dû escalader cette horreur à 7 km/h, assis, sans trop forcer. Au sommet, longue pause ravito et me voilà reparti avec un groupe, bien planqué à l'abris du vent. Aucune histoire jusqu'à Limont où en une fraction de seconde, je me suis retrouvé à l'arrêt avec des crampes dans les deux jambes ; il m'a fallu 10 minutes avant de pouvoir repartir. Puis, plus rien, des jambes en coton, certes, mais aucune douleur résiduelle, aucune gêne. Je me laisse glisser jusqu'à la dernière difficulté, le Redoute. Et ce fut la Déroute 😲 : à nouveau, ces fichues crampes qui m'ont littéralement tétanisé. Une fois au sommet, retour à l'arrivée puis à la maison à vélo. Bilan : 169 km, 2520 M de D+ à 24,8 km/h de moyenne selon le GPS. Du relief, oui, mais une région moche, des routes entre lignes haute-tension, usines, zones semi-urbaines. Bref, tout ce que je déteste à vélo. Un moral dans les talons en pensant à ce que j'avais prévu de faire ce lundi : une rando organisée par un club local, Chaudfontaine Durbuy Chaudfontaine. Levé de bonne heure ce matin, j'ai retrouvé l'ami avec qui nous avions prévu de rouler. Nous voilà parti sur le parcours de 112 km, à allure modérée. Ravito 1 atteint sans encombre près de Werbomont, bien mieux achalandé que ceux de la veille (pour 5,50€ vs 17€, cherchez l'erreur) avec comme seul bémol, du vent, du froid et de la grisaille. Nous décidons d'augmenter un peu le rythme et nous voici partis en direction de Durbuy. Très beaux paysages ardennais, pas de circulation, ambiance bon enfant entre les participants ... Courte pause au dernier ravito, pour rentrer via les vallése du Néblon et de l'Ourthe, avec un bon vent favorable. Au total, 113 km et 1260 mètres de D+, à 27,3km/h de moyenne. Et surtout, beaucoup de plaisir - bien plus qu'hier.

Je pense que tu as raison, Simon, il y a un passage assez pentu après le feu rouge.... A vérifier dans le bouquin de vous savez qui :-)))