Rémy LORIOT

L'année prochaine, je vais voir un autre médecin... T'aurais dû commencer par là...

J'avais cru comprendre qu'il s'agissait d'un test effort classique avec évaluation de la PMA par "dernier palier avant explosion". Si ce n'est pas le cas, effectivement, à part détecter un éventuel soucis, le test n'aura aucune utilité sur le plan purement sportif.

Non, mais c'était une blague... En fait, ce que j'en pense, c'est que c'est difficile d'interpréter les tests pour nous "simples mortels". Sinon, j'ai 36 ans, et pas de tests depuis 3 ans, mais au dernier, j'avais 72 ou 74 (en février), et je suis "plus fort" maintenant qu'en 2013... Ce qui est important, c'est surtout le temps de soutien à PMA (donc en VO2 max). Bref, ça donne une idée pour bosser en fractionné court dans un premier temps pour faire progresser la PMA (et un peu la VO2 par voie de conséquence), et ensuite le temps de soutien à PMA. Parallèlement bosser le seuil. En fait, ce genre de données met en valeur les "paliers de travail". Mais pour une "interprétation"... Vaut mieux voir avec le corps médical.

Bof, difficile à dire. Mais bon, c'est une nocturne, donc j'imagine circuit court, nerveux, mais pas plus d'1h30 de course (ou à peine). Donc, assimilable à une séance de fractionné où tu tapes dedans, mais dont tu récupères bien en général. Si il faut, tu seras même mieux le lendemain. Dans tous les cas, je te conseillerais la démarche suivante : La veille de ta nocturne, rien. le matin, 45' d'éveil musculaire avec 2 accélérations progressives de 5' jusque 90%. A l'issue de la nocturne, tourne les pattes 30 mn souple, 100 tours/mn. Indispensable ! Massage, jambes au mur, manchons de récupération, beaucoup d'eau (dont une bouteille de Vichy). Et le lendemain matin, à peine 5/10' d'échauffement, sans besoin de faire d'accélération.

Allez, pour être sérieux : Loïc Chétout

Je dirais moi, mais bon, pas sûr encore que je puisse y aller...

50,52 ml/mn/kg, si tu veux mon avis, c'est nul.

Beaucoup de détracteurs pour les chambres Décat'... Pour ma part, je trouve que la qualité est équivalente aux autres marques, en moins cher. Bref... je continue à en acheter. Rarement de soucis. Je ne crève vraiment pas souvent (moins de 2 par an, et généralement, c'est plus parce que mes pneus sont en bout de vie), donc...

Ma parole tu es tombé ?!? Ton avatar est "sur le flanc" il me semble...

Bon, difficile de te donner un "bon conseil". Certains adorent la pluie (ça m'a toujours laissé rêveur...), d'autres détestent et ne prennent même pas le départ. Entre les 2 se situe l'immense majorité. Personnellement, je n'ai jamais aimé ça. Mais bon... Je fais avec. Sinon, dans ma région (extrême Sud Ouest) je bâcherais un tiers de mes courses... Donc, si il fait froid, je mets de la chauffante. Sinon, rien de particulier. C'est plus dans le peloton que c'est compliqué je trouve. On voit beaucoup moins bien, un peu plus d'appréhension etc... Hier par exemple, on a eu de la pluie, et en début de course, un circuit en ville de 8 km qu'on faisait 3 fois avant de partir dans la verte, ça frottait pas mal. Un peu chaud. Et ben dans ce cas, le mieux, c'est d'être devant. Plus sécurisant, et comme dans ce cas ça freine encore plus, les relances sont d'autant plus "faciles" que tu es à l'avant. Là où c'est plus chaud, c'est lors des portions descendantes... Hier, sur une descente de plusieurs km qu'on a commencé sous la pluie (et avec les roues carbones pour moi...). Là, j'avoue, compliqué. Si sur route sèche je me débrouille pas trop mal, là c'était plus compliqué, et j'ai pris 1 ou 2 éclats. Ce qui m'a coûté du jus pour rentrer. Bon, tout ça pour te dire que le mieux, c'est d'essayer de faire abstraction de la pluie autant que faire se peut, et de se concentrer sur la course en elle même. A mon avis , de cette façon, tu tétaniseras moins tes muscles, et ça ira sans doute mieux. Car ce n'est certainement pas la pluie qui tétanise tes muscles, mais plus le fait que tu dois être tendu par l'anxiété. Bref, "détends toi" et va devant. Encore mieux, pars en échappée !

Bonjour, je viens de voir ton fil. En vente d'occase, déjà, on peut dire qu'un vélo de 2 ans, même en excellent état, c'est 50% du prix neuf au max. Bon, c'est un principe "de base", donc, ça s'affine en fonction de la marque etc... Ensuite, tu appliques une décote de, disons 10 à 15% l'an en fonction de l'état. Mais bon, évidemment, on ne va pas jusque zéro. Et puis pour fixer ton prix, il faut voir ce que tu peux avoir dans le neuf à l'équivalent. edit : je précise, la décote annuelle, à ne pas calculer sur le prix du neuf, mais sur le prix n-1. Le compteur et les pédale, ça ne se valorise pas vraiment. A la rigueur, mieux vaut les vendre à l'unité. Donc, de ce que j'en dis, en appliquant une sur côte vu l'état et le fait que ce soit une marque "prémium" ton vélo vaudrait entre 1500 et 2000 euros. Maintenant, reste à trouver un acquéreur, sachant que 55, comme taille, c'est grand et que ça limite la clientèle... Moins, cher, ça partira plus vite... Et de toute façon, ton acheteur négociera. A ta place, si je ne trouve pas à plus de 1800, je me mets au vélo plutôt que de "gâcher le matos"...

De toute façon, pas besoin de serrer les pédales, tu les visses juste au contact, et elles se serrent toutes seules en pédalant.

Moi je fais comme ça : Je pose le vélo sur sa selle, et je dévisse en tournant ma clef vers l'avant de la bête. En général ça marche.

Tu veux dire qu'ils freinent et que les roues continuent à tourner ? En même temps, les freins sur jante ont pas mal évolué aussi. Je pense pouvoir bloquer mes roues sur route mouillée sans aucun problème (et je l'ai déjà fait sans pourtant le vouloir...) et sans disques... Sinon, pour les commentaires journalistiques, tu me permettras de leur accorder l'intérêt qu'ils méritent, c'est à dire presque aucun, la plupart n'ayant jamais posé son cul sur un vélo de course (je ne parle même pas d'accrocher un dossard).

Certes, c'est comme l'histoire de la grosse truie qui a bu son café brulant dans un Mac Do aux USA, et qui a fait un procès à la boîte (et l'a gagné ! ) parce qu'elle s'est brûlée la gueule toute seule comme une conne, au motif qu'on ne lui avait pas dit que ça pouvait arriver... Mais bon, de là à ce que quelqu'un gagne un procès parce que le matériel acheté en janvier ne tenait pas compte de règlements parus 3 mois plus tard... J'ose penser qu'il y a de la marge...

Alors ça ce n'est absolument pas certain. Pourquoi Zoetemelk chute ? Il ne me semble pas que c'est parce qu'il n'a pas pu pas freiner, mais plutôt parce qu'il a glissé sur la chaussée. A la rigueur, avec de meilleurs pneumatiques, on peut peut-être penser qu'il aurait pu s'arrêter. Ou moins glisser. Et encore. Mais certainement pas avec d'autres freins, avec lesquels il aurait tout autant bloqué ses roues.

Mouais... Pas sûr que ce soit recevable. Quand on achète un vélo, on n'achète pas un usage. Tu ne vas pas te retourner contre un vendeur de fusils de chasse si tu t'en sers pour trucider la moitié de ton voisinage au motif qu'il ne t'a pas dit que c'était interdit. L'argument le plus cohérent est à mon sens que l'UCI cède aux pressions des fabricants de cycle.

Je ne comprend pas. Où est la rétroactivité ? Quand l'UCI dit : "à partir d'aujourd'hui, les disques sont interdits dans toute compétition dépendant d'une fédé affiliée à l'UCI." Il n'y a aucune rétroactivité. La fabrication de x vélos, ou l'achat de x vélos avant ce règlement n'a rien à voir avec la rétroactivité du-dit règlement.

Certainement en effet... M'enfin, pour avoir encore en tête une énorme gamelle survenue juste derrière moi au départ de la Marmotte 2014 (au pont avant le barrage), genre 100 gars par terre, je me dis qu'avec nombre de freins à disque, ça aurait pu faire un petit paquet de jolies tranches de jambonneau... Alors en effet, si une cyclosportive n'est pas à proprement parler une course, je pense (certainement naïvement) que partout où il y a peloton ==> interdiction des freins à disque. Mais bon, comme le dit l'auteur du premier post, le business commande... Et le business, comme il n'y a aucune avancée technique notable ces dernières années, c'est de convaincre tous les cyclistes de changer de vélo pour passer aux disques...

Le correcteur de strava n'est pas fiable non plus. Les données des compteurs barométriques sont en effet souvent faussées lorsqu'il y a un brusque changement de météo, mais sinon, elles restent juste. Et le plus souvent très en deça des infos strava, même corrigées.

Salut ! Question dénivelé, Openrunner est juste, Strava complètement fantaisiste (parfois +60% de dénivelé sur la même sortie...). Donc, pour contrôler, tu traces ton parcours sur openrunner en rentrant, et tu sais.

Ce type est un "troll de la vie réelle". Comme il ne sait rien faire de ses 10 doigts, il s'est fait un métier de déclencher des polémiques (pas toujours sur des sujets intéressants d'ailleurs). Pas pour faire valoir ses idées ou argumenter, non, mais juste pour "faire réagir", déclencher l'ire de ses contemporains. Il l'a fait sur le féminisme (là où il était le plus drôle selon moi. Après, il est devenu plus chiant), la shoah, l'économie, maintenant pourquoi pas sur le cyclisme... De toute façon, il se contente de balancer lieux communs et brèves de comptoir sur tous les sujets qu'il évoque, et à quoi la plupart du temps il ne connaît rien ou presque. Une sorte de poil à gratter (en plus %@!?).

Oui, enfin, un pro, à 40 dans le peloton, il est à la promenade. Il a largement le temps de regarder son compteur...

Chez les pros, mais aussi chez les amateurs. Quand tu fais une course en ligne, le problème avec les motos et les voitures qui doivent passer est le même que chez les pros. Certains coureurs font gaffe, d'autres pas. Certains conducteurs font gaffe, d'autres beaucoup moins. Et quand tu dois dépasser en voiture un peloton alors que la circulation reste ouverte en face, tu perçois rapido l'étendue du problème et les risques encourus... Une moto (pire, une voiture) dans un peloton, il n'y a pas grand chose de plus dangereux dans une course cycliste. Autant lui faciliter les choses et la laisser passer le plus rapidement possible.

Bonjour, coureur actuel : Philippe Gibert ! équipe actuelle : BMC coureur historique : Fausto Coppi équipe historique : Euskaltel