Jean GUY

Avec tout ça, je ne sais toujours pas ce que notre ami Charles appelle "Cyclos".

Sans compter qu'à 20 ans, indépendamment des qualités physiques, on n'a pas toujours encore toutes les cases là haut au bon endroit. C'était mon ças en tout cas, et j'étais 100 fois meilleur à 30 ans qu'à 20 ans. Et à 40 ans, avec l'expérience en plus, j'étais toujours plus fort qu'à 20 ans.

Sur du court, moins de 3 heure, un très bon junior, et dieu sait si il y en a en France, ne craint pas Rebellin dans l'Alpe d'Huez. Là tu t'avances sacrément. Et pour parler dopage, Rebellin, même si c'est passé inaperçu, a été blanchi des accusations de dopage qui ont pesé sur lui et qui lui ont valu deux ans de suspension. A un niveau bien moindre, un junior de niveau national (et donc mondial) a le niveau d'un première catégorie. Chose que j'ai pu vérifier il y a encore un an ou deux, quand je courais encore en 1ere caté (à 43 ans). Mais c'est quand même très loin du niveau de Rebellin.

Ta vision est réductrice. Et pourtant je suis plutôt d'ordinaire du côté des coureurs. Bref, la compétition classique en France n'est pas forcément adaptée au profil de tous les types de pratiquants. Je suis le premier à le regretter, mais le format des courses de 80 km au milieu d'une zone industrielle ne convient pas toujours à tout le monde. Et quant à un niveau plus élevé, j'en connais quelque chose, ce n'est vraiment pas évident d'y trouver sa place pour plusieurs raisons : la principale concerne le calendrier et la nécessité de s'impliquer énormément pour traverser la France tous les week end simplement pour pouvoir courir. A côté de cela, il y a les cyclosportives. Pratique détournée de ses origines, mais surtout très hypocrite à mon avis. Tu as des gars qui n'aiment faire que ça, et ne veulent pas se frotter aux compétitions classiques pour les raisons évoquées plus haut. Et puis il y a les gars qui voudraient que le haut des classements leur soit réservé, sans en avoir le niveau. Quoi qu'il en soit, il est extrêmement réducteur de parler de "cyclos" et de mettre une barrière de niveau, pour ensuite en soupçonner des pratiques dopantes.

Tu ne réponds pas à ma question. Selon toi, c'est quoi un cyclo? ça commence où, ça se termine où?

Mais c'est quoi un cyclo? Surtout en termes de performance... Considères-tu comme cyclo un type à partir d'un certain âge? Ou alors en fonction de sa pratique exclusive? Ou de sa manière de rouler? Parce que sur des cyclosportives par exemple, tu as des gars qui sont coureurs, parfois de très bon niveau, qui viennent participer, ou alors quelques cyclosportifs qui ne font que ça mais qui s'entraînent comme des pros, et qui de fait ont un très bon niveau.

Bah non... Pas besoin. Un vrai imperméable ne laisse passer ni la pluie ni la sueur. C'est donc une étuve, c'est inconfortable au possible. Avec une Gabba, tu finis par être mouillé, mais tu respires et tu n'as pas froid ! C'est déjà pas mal, non?

Non, sous-vêtement long, mais respirant (genre Damart). Et si possible avec col roulé, car je protège toujours mon cou et ma tête en hiver. La Gabba n'est pas un vrai imperméable. C'est une veste coupe-vent respirante, qui est très près du corps. Et donc quand tu es mouillé, le vent ne s'engouffre pas sous la veste. Je la mets aussi très souvent quand il fait sec, mais frais avec un vent frais. Donc ce que tu décris est parfaitement dans ses cordes. Seule obligation à mon avis, c'est une veste pour faire des efforts, pas pour se balader dans les longues descentes en roue-libre :) J'utilise aussi la veste courte avec un départ à 13/14°, et un retour à 19/20° (sur le sec). Il n'y a qu'à baisser les manchettes, et ça fonctionne très bien.

Je ne mets toujours que 2 couches (un sous-vêtement technique manches longues + une veste). La Gabba est supportable par temps humide jusqu'à 5/6°, mais il ne faut pas trainer en route. Sinon, il me semble que la Gabba convertible est un poil plus épaisse. Par contre elle n'est pas coupée tout à fait pareil. Elle flotte plus au niveau des épaules. J'ai deux Gabba : une à manches courtes, une à manches longues. Je réfléchis à prendre aussi la convertible.

Campa, c'est quand même la m... pour trouver des plateaux, avec l'histoire du petit plateau fileté (sur les générations 2013 et après).

Non, 53-42 ça ne marchera pas super non plus : la pente du 53 est prévue pour aller avec un 39, alors que la pente du 54 est prévue pour aller avec un 42. J'ai eu le même problème que toi avec 53-42. Et ce n'est pas un problème de compatibilité de dérailleur, puisque l'avant gère très bien les gros écarts. Si tu trouves des Rotor ronds en 4 branches, là ça devrait marcher pas mal, d'autant que les plateaux Rotor sont bien rigides...

Toi aussi il t'envoie des mails? ;)

Mas Simo = Jean Roule !

Z'avez vu dans les commentaires de la vidéo? Y en a un qui nous fait une spéciale dédicace 😃

Comme expliqué plus haut, c'est à cause de la pente à l'intérieur du grand plateau. Avec la paire "idéale", la chaine glisse d'abord sur la pente avant de tomber sur le petit plateau. Avec une paire de plateaux "non conforme" (j'ai fait aussi la bêtise), la pente descend sous le plateau remplacé. Et donc elle risque fortement de se coincer. Tu avais 52-38, je pense qu'avec un 39 cela passe, mais pas avec un 42.

Oui mais Peter n'a plus le droit d'y participer.

Plus que le cadre, ce sont les composants qui souffrent le plus des sorties humides répétées. Généralement, un mulet est équipé de matos moins cher et plus aisément remplaçable.

C'est le Français Damien Monier qui a gagné.

Le Garmin Edge 500 peut afficher la différence gauche/droite. Il suffit de paramétrer l'affichage. J'ai utilisé cette solution plusieurs mois avec un Quarq, avant de passer sur un Edge 810, principalement pour des raisons de taille d'écran (et aussi parce que mon 500 commençait à déconner un peu au moment de télécharger mes fichiers).

Qui fait fabriquer en France? Il y en a. Je peux te citer au moins Noret, et ce ne sont sûrement pas les seuls. Quant au reste de ton message, il me laisse pantois. Tu assumes acheter en toute connaissance de cause des copies, en ne te souciant que de ton confort, et surtout du prix. Mais quid du fait de faire bosser des enfants, de voler des sociétés qui investissent, ou des ingénieurs qui bossent pour créer un produit original? As-tu une idée de ce que coûte en Europe indirectement de ce marché des copies? Sans compter que c'est totalement hors-la-loi.

Tu as raison Eric. Bonne démarche à mon avis, car en maintenant une petite activité en course à pied, on reste prêt à "compenser" en cas de neige ou autre. De mon point de vue, c'est toujours mieux que le HT, qui pour moi devient très vite insupportable mentalement parlant, alors qu'on peut toujours aller courir dans la neige, et que c'est même assez rigolo.

Bah du coup, je ne suis totalement cycliste que les deux-tiers de l'année, et depuis quelque temps maintenant. Et sinon, je pense que ça ne pose pas de problème, une fois que sont gérés les risques de blessure (à chaque reprise).

TOUT ne vient pas de là bas. Déjà, il faut faire la différence entre la Chine, Taïwan ou le Japon. Ensuite, certains fabricants fabriquent encore en Europe (voir Campagnolo). Enfin, le terme "générique" est un peu facile aussi. En réalité, il y a plusieurs types de fabrications. - La fabrication ailleurs qu'en Asie. C'est le cas de Look. Dans ce cas, il est vraiment erroné de dire que TOUT vient de là bas. Un générique Look n'existe donc pas. - La fabrication en Asie par des marques qui ont leurs usines, ou qui travaillent avec des fabricants qui leur donnent une certaine exclusivité. Cela veut dire un suivi précis de la production, des ingénieurs de la marque là bas, etc. Les marques profitent dans ce cas d'une main d'oeuvre moins chère qu'en Occident, mais surtout d'un savoir-faire reconnu (et oui, à Taïwan, ils savent faire du super carbone). - Le tout venant sans marque, qui fabrique en très grande série, et qui peut être utilisé par certaines marques sans imagination ou sans bureau d'étude, juste pour coller des stickers dessus après. C'est ce que tu peux appeler "générique". Du moyenne gamme sans surprise, mais qui ne casse pas des briques non plus. Parfois, la finition intérieure (ce qui ne se voit pas) fait quand même un peu peur. - La contrefaçon, qui surfe sur cette méconnaissance entretenue sur les forums, et qui laissent entendre que TOUS les cadres sont fabriqués de la même façon, qu'ils sont TOUS pareils, et qu'ils viennent TOUS des mêmes usines. Or, impossible de savoir ce qui se cache derrière de la contrefaçon. Quelle proportion de carbone, de résine, de plastique? Comment est vraiment fabriqué le cadre? Qui poursuivre en cas de casse? La Chine est aussi le royaume de la contrefaçon dans tous les domaines. Mais il ne faut pas croire que ceux qui la font, ceux qui la vendent, le fassent pour contourner le système, hein? Ils le font juste pour s'en mettre plein les poches au passage, car 500 € pour une daube sans garantie, c'est toujours 500 € de trop. Donc c'est un peu facile de mettre tout le monde dans le même panier.

Course à pied pour moi (je viens de reprendre), à raison de trois séances par semaine, avec un programme à suivre pour la première fois assez précis. Sorties vélo à l'envi, et jamais très longues (2h à 2h15), jusqu'à mi-décembre où je rallongerai une fois par semaine. Un peu de muscu-vélo à partir de mi-novembre, mais pas d'intensité, puisque je les ferai à pied. Dans cette discipline, je prévois toujours un bloc d'intensités hautes en décembre, pour ne pas être 4 à 5 mois sans faire d'efforts. L'idée est de continuer à faire du sport presque quotidiennement (je suis un drogué), mais en variant les plaisirs, et surtout en diminuant le volume hebdomadaire de moitié au moins jusqu'en février.

http://www.bicycling.com/bikes-gear/components/catch-counterfeiter-sketchy-world-fake-bike-gear?cid=soc_BICYCLING%20magazine%20-%20bicyclingmag_FBPAGE_Bicycling__ J'espère que cet article va te décourager d'acheter une copie. En clair, c'est dangereux, et en plus interdit par la loi.