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Olivier MILLIÈS-LACROIX

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Tout ce qui a été posté par Olivier MILLIÈS-LACROIX

  1. Bonjour tout le monde, Dans votre programme de cyclosportives pour 2010, si vous avez l'occasion ou l'intention d'aller au Moyen Orient, vous pouvez considérer l'épreuve Gran Fondo de Dubaï. J'ai eu l'occasion de la faire la semaine dernière, et j'ai trouvé que c'était une très belle expérience. Il y a un CR plus complet sur l'éditorial du site, dans la rubrique Cyclosport. Bon vélo...
  2. OK.. Tu as choisi de nous faire passer plus au sud. Mais sais tu qu'en passant par les pôles on pouvait économiser presque 70 km (40 007 au lui de 40 070 ) ? Trop tard, maintenant... Bon, je sors rouler un peu avant la nuit..
  3. Plus que 1660 km. Aujourd’hui on est entrés en Pologne !
  4. Hello tout le monde, Novembre terminé pour moi avec 799 km et 5000 m de D+. Plus que 600 km à faire pour boucler les 10000 km, pile au niveau où je voulais être à cette date ci. Pour le D+, avec encore 10600 m à grimper c’est mort pour mon objectif initial de 100 000 m. Si j’atterris à 95000 je serai content. Bon mois de décembre à tous..
  5. Le fichier est top, il n’y a pour moi rien à revoir (peut être un problème d’arrondi sur les km/semaine restant à faire, car il n’y a pas un nombre rond de semaines dans l’année, mais c’est vraiment un détail de rien du tout). Vraiment bravo et merci pour ce fichier..
  6. Hello, Il faut garder le moral ! Tu fais un super mois de novembre... Moi j'espère le finir autour de 800. Décembre sera forcément plus sec (il ne peut pas continuer à flotter autant !).
  7. +1. Et je roule souvent dans les Hautes Alpes, j’y suis tous les mois. Il y a des raidars où on est content de pouvoir mettre 32 ou 34, surtout les jours où on n’est pas au top où en fin de cyclo quand on est un peu cramé.
  8. +1. Et je roule souvent dans les Hautes Alpes, j’y suis tous les mois. Il y a des raidars où on est content de pouvoir mettre 32 ou 34, surtout les jours où on n’est pas au top où en fin de cyclo quand on est un peu cramé.
  9. Ce week end on devrait pouvoir arriver à Kiev...
  10. En fait c’est 2313 l km. On doit se rapprocher (un peu) de la Pologne.... Je suis plutôt optimiste pour ce TdM et pour mes 10000, ce sont les 100000 m de D+ qui me semblent infaisables. Il me reste 12100 m, soit 130 fois le Mont Valerien (seule côte pas trop loin de chez moi) en 40 jours. Mal barré.
  11. Bonjour, J’ai eu un Emonda ALR 6 de 1ère génération, (2016) et vraiment la finition était top (alu dit thermoformé, mais je ne sais pas à quoi cela correspond techniquement). On m’a hélas volé ce vélo que j’utIilisais aussi en vélotaf dans Paris, mais je me rappelle que sur les pavés parisiens (qui ne sont pas bien méchants j’en conviens) il n’y avait aucun souci côté confort. Je ne connais pas les CAAD, qui ont excellente réputation mais je peux confirmer les grandes qualités de l’ALR.
  12. Bonjour, Je suis aussi de l’avis que le ton hagiographique du début de l’article et autant de détails sur la carrière de ce monsieur dans la banque ne sont pas nécessaires... Ceci dit je trouve le sponsoring de l’équipe très pertinent, car il me semble être efficace en termes de notoriété et reconnaissance des marques. (Ps: Je n’entre pas dans le sujet sous-jacent évoqué plus haut car je ne le connais pas et n’ai donc aucune opinion dessus. Je veux juste dire que l’équipe sert plutôt bien à faire connaître les marques qu’elle arbore...)
  13. Bonjour, Si les belges étaient plus calés que les français ils n’auraient pas besoin de faire venir leurs professeurs du Dauphiné (private joke...., je sors...)
  14. Tu peux rouler avec, moi je le fais sans problème, j'ai fait trois fois l'Eroica où tu te retrouves parfois tout d'un coup dans des raidards descendants "à l'italienne" (c'est à dire plus de 12%), en plus sur du gravel. Et je suis moi aussi toujours là. Mais il faut anticiper, comme le dit Michel. Et quand j'étais ado, je n'utilisais ce vélo que dans les Alpes. J'ai descendu pas mal de cols avec.
  15. Bonjour, J’en ai sur mon Mercier. Des « compétition » tout dorés. À l’époque (2 eme partie des 70s) on les trouvait plutôt sur les Peugeot haut de gamme (le PY10 de Thévenet). Les Mercier haut de gamme (le Mercier 300 tout Reynolds) venait plutôt avec des campa. Les Mercier moins haut de gamme (le 200, 3 tubes Reynolds ou le 100, tubes « ordinaires ») venaient avec les Mafac Racer simples en alliage alu blanc (dural forgé). C’etaient des étriers très appreciés en France à cette époque là. Ceci dit ça freine vraiment pas des masses, mais ça ralentit quand même un peu le vélo. Pour ce qui est de Poulidor, à la fin de sa carrière (74-76) il était en campa. Je ne saurais dire si ses vélos étaient des vrais Mercier 300 ou s’il faisait faire ses cadres par Bernard Carré, mais ses étriers étaient des campa. Bonne restauration...
  16. Par ce temps attention à ne pas se noyer dans la Berezina... Surtout que la destination finale, c'est tout près de Waterloo.
  17. Ce ne sont pas 2656 mais 2648 km qu’il reste à faire (j’ai pris mon vélo ce soir pour me déplacer . C’est beaucoup mieux que le métro, même le soir). Cela fait juste un peu plus de 28 km par jour pour chacun, jours fériés, jours d’incapacité et jours de flemme compris.... Une douce rigolade..
  18. Bonjour, Le braquet le plus petit utilisé par Raymond Poulidor dans le Tour 74 était 44x21. C’est ce qu’il avait dans le Mont du Chat (on en avait parlé), à St Lary il avait peut être plus gros.
  19. Bonsoir, Merci pour cette belle initiative. Je pense que je pourrai venir. Pour les réponses aux questions : - date : indifférent, je viens chaque mois dans les Alpes (à Gap). Seules dates à éviter : le 5 juillet (Etape du Tour) et le dernier week end de juillet (cyclo Risoul Queyras). - durée : deux jours, une journée pour se changer n peu et une deuxième journée avec un plus gros morceau - Parcours : si possible le Galibier et le Télégraphe, mais aussi Croix de Fer/Glandon, et Montvernier/Chaussy. La Madeleine et le Mont Cenis me tentent moins (plus les m^mes régions...) - Hébergement : je me débrouille (hôtel, sauf si difficile à trouver car pleins). Participants : seul ou à deux (avec mon fr!ère plutôt qu'avec mon épouse, mê si elle roule aussi, car elle doit en général rester à Paris quand je suis dans les Alpes). Encore merci !
  20. J'ai entendu le nom de Raymond Poulidor pour la première fois à l'âge de 8 ans, lorsque ma grand mère m'a raconté "qu'il était tombé sur le nez". Quelques jours plus tard, j'ai pu regarder pour la première fois une étape du Tour, sur la télé d'un voisin : le CLM dans lequel Jan Janssen coiffe Van Springel et gagne le Tour 1968, un Tour, m'avait t'on dit alors, que Poulidor aurait certainement remporté s'il n'était pas "tombé sur le nez". Les années suivantes, avec enfin la télé dans notre maison de vacances, je suis devenu accro au Tour mais il me semblait que la carrière de Poulidor était presque finie : il fut devancé par Pingeon en 69, moyen en 70, absent en 71, et il tomba encore en 73. Certes il avait été 3ème en 72, mais il m'avait semblé cette année là que son co-équipier Guimard avait été plus brillant que lui. Puis il y eut le Tour 1974 : le voir lâcher Merckx dans le Mont du Chat fut une surprise qui me fit presque oublier la mauvaise humeur qui était la mienne après la défaite même pas une heure plus tôt des Pays-Bas contre l'Allemagne en finale de la CM. Impossible par contre d'oublier sa victoire au Pla d'Adet quelques jours plus tard. Cette victoire, qui fut sa dernière sur le Tour, fit vraiment plaisir à tout le monde.... 40 ans plus tard, je me suis retrouvé avec lui au Salon du Livre du Touquet, invités par la même personne, un grand libraire picard. Notre groupe étant petit, pendant 2 jours avons partagé tous nos repas, et fait table commune des heures durant au Salon, lui vendant "son" livre (sa seule biographie autorisée, écrite à 4 mains avec Jean Paul Brouchon), et moi vendant ceux de ma petite maison d'édition. Et pendant ces deux jours nous avons évoqué plein de souvenirs. Le Tour 74 bien sûr : je lui ai dit combien j'avais été déçu de voir revenir Merckx et Martinez dans la descente du Mont du Chat, mais il m'avait répondu qu'il n'avait pas beaucoup d'avance, il m'avait dit aussi qu'il n'avait jamais su pourquoi deux jours plus tard dans le Galibier il n'avançait pas.... Nous avons parlé de plein d'autres courses, comme l'étape du Ventoux dans le Tour 72, où il avait fait toute l'ascension devant avec Merckx et Ocaña jusqu'à ce qu'il voient Thévenet revenir comme une balle de l'arrière pour aller gagner (je garde pour moi ce qu'il m'a alors dit sur cette étape..), où le championnat du Monde de Montréal, encore en 74, où Merckx et lui étaient arrivés à 2. Ces deux jours là j'avais été frappé par sa sympathie —je me demande encore comment un homme de sa notoriété et de sa stature avait pu se montrer aussi amical envers une personne comme moi—, mais aussi par sa mémoire d'une précision millimétrique, et son esprit très éveillé. Ce post étant déjà bien long, je ne peux rapporter ici toutes les choses qu'il m'avait dites durant ces deux jours... Je n'en rajouterai qu'une : il semblait déjà savoir que son petit fils, qui n'avait alors que 19 ans, était un grand... C'est avec émotion qu'une fois ce week end fini je l'avais vu prendre la route, au volant de sa Mercedes. Et c'est avec une immense tristesse qu'aujourd'hui je voudrais lui dire au revoir et lui adresser un immense merci, pour toutes les joies et émotions qu'il nous aura procurées, à nous simples cyclistes, ou simples spectateurs pendant toutes ces années. Adieu Monsieur Poulidor, reposez en paix.
  21. Hello, Curieusement, en 2018 c’est sur le Koppenberg que ça bouchonnait (et beaucoup), avec zéro souci sur le Paterberg, alors qu’en 2019 cela a été le contraire. Une question d’heure de passage, peut être...
  22. Bonsoir, Le vélo semble être de la marque Louison Bobet. En fait les vélos de cette marque étaient des Mercier. J’ai vu sur un autre site un vélo Bobet de cette époque et il ne m’a pas semblé très différent de mon Mercier de 74 : même guidon (on ne disait pas cintre à cette époque là) et potence Pivo, même freins (ou plutôt ralentisseurs) Mafac Racer des familles, même fournisseur de tubes (Reynolds), à peu près le même poids.... C’est étonnant de voir comme les vélos ont peu changé pendant une période assez longue, entre les années 50 et les années 80. Sinon article très sympa, les 3 messieurs semblent vraiment en forme pour leur grand âge.
  23. Hello, De mon côté, j’essaie de rouler le plus souvent possible, en faisant court (30-40 km), ce qui permet de passer entre les gouttes et aussi de garder les lampes actives, car elles n’ont pas beaucoup plus d’1h d’autonomie (je parle des lampes, pas des feux/veilleuses qui permettent d’être vu mais pas de voir). Et en cette saison il y a aussi la joie des crevaisons : 2 en une semaine, idem pour mon épouse... Mais je reste confiant pour mon 10000 et pour notre TDM. Bon vélo...
  24. Les 2 films (celui de 62 comme celui de 75) sont de Jacques Ertaud...
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