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Brigitte CRETON

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Tout ce qui a été posté par Brigitte CRETON

  1. J'aime bien ce mot . Ca doit être un petit KOM (pas dans le style St Michel de Maurienne Galibier) , mais pas spécialement laid. Komelet, est à Kom ce que Oiselet est à oiseau.
  2. Oh oui ! Un jour je n'ai pu trouver d'abri contre la grêle , pourtant à 8 km de chez moi et à 500 m des zones urbaines ! Aucune voiture ne pouvait plus circuler , il faisait nuit en plein jour. J'ai terminé la journée couverte de petites taches rouges 😃 Quant à la foudre, oui, c'est réellement dangereux ...
  3. Parfois ils sont vraiment très beaux, ils me fascinent ! On rencontre des phénomènes marrants parfois, du style , pendant 20 km tu as du beau temps sur le bras droit, et des gouttes qui te mouillent le bras gauche, qui viennent de la cellule orageuse de gauche. Le tout avec des arcs-en-ciel de folie, et un gros risque de se prendre tout sur la tête, la grêle par exemple.
  4. Oui, j'ai remarqué ça aussi, mais une vraie cellule orageuse est noire de chez noire quelle que soit la direction. Les autres nuages ne sont pas trop méchants 😃 Enfin bon, je fais au feeling, et parfois ça ne marche pas 🙄
  5. Je n'aime pas rentrer vent de face non plus, mais j'ai dérogé à la règle hier, le niveau de vent m'ayant paru "acceptable" . Sortie de 153 km, 1200 m D+ , moyenne 24 km/h , en me dirigeant à chaque fois du côté des nuages les moins noirs (Drômes de collines, ardèche "verte", vallée du rhône) . Une sortie avec un peu de dénivelé mais uniquement sur de faibles pourcentages, avec passage dans la très jolie et déserte vallée de la Cance, 15 km entre 1 et 3% (dommage quand même, la sortie haute un peu pénible autour d'Annonay -circulation)
  6. Grande classique col des Limouches/ col de Tourniol avec un copain que je n'avais pas vu depuis longtemps. 80 km/1200 m D+ ; température très agréable le matin . Montée au Limouches un peu poussive malgré le beau revêtement, bonnes sensations dans la seconde (courte) bosse de Léoncel au Tourniol.
  7. J'ai acheté recemment la Topeak backloader mais en 6 l . J'ai aussi une sacoche ortlieb XL mais un peu plus petite. Aucune autre sacoche de tige de selle ou de selle volumineuse ne convient avec ma taille de vélo (XS) et l'espace entre la roue et la selle. Par contre pour une randonnée à la journée, même en montagne, je n'utilise pas ces sacoches ... j'analyse attentivement la meteo ; s'il y a un risque de froid, ou en demi-saison, je prends un petit sac à dos genre camelback (le modèle décat similaire) pour y mettre une veste. Sinon juste le coupe vent dans la poche ou la sacoche de selle (modèle Vaude 1 litre = 2 chambres à air, outils, coupe vent) Pour une rando vélo de 3-4 jours en autonomie (ne dépassant pas les 1200 m d'altitude) , je mets la sacoche topeak, plus une petite sacoche avant (decat ... elle est légère) , et le petit camelback que je ne sens pratiquement pas sur le dos.
  8. Oui, ça devient pénible la nuit ... je vais passer en mode baignade et randonnée aquatique pour le WE 😄
  9. Je ne pourrai pas dire que j'y ai mis de la mauvaise volonté : 140 km , 1100 m D+ à 24km/h , avec retour dans une vraie fournaise (38°C à l'ombre d'après les sites meteo) . J'ai pris soin de ne mettre aucune montée dans les 60 derniers km ... mais malgré ça ... c'est dur ! Ces conditions meteo m'imposent des arrêts, des changements de l'eau du bidon qui devient chaude en 10 mn, des arrosages ... Je m'en sors quand même mais avec cette impression permanente d'avoir un paramètre en plus à gérer ... et je me sens plus "menacée" qu'avec un bon petit - 3°C 😆 Par contre, il n'y avait pas de vent , et ça, c'est cool (et rare) 🆒
  10. Tu es le contraire exact de moi 😃 . Je ne suis pas spécialement adapte du froid hors activité sportive, mais par contre dans le cadre du sport, je suis la dernière à mettre les gants ...je n'ai pratiquement jamais l'onglée et je résiste très bien à un froid prolongé... en revanche j'ai beaucoup de mal avec la chaleur qui me coupe l'envie de m'employer ; s'il faut rouler en sous-régime je m'en sors quand même, mais c'est tout. Et si je dois rouler une journée entière avec une température élevée, j'ai plus de mal à récupérer.
  11. Aujourd'hui sortie en Chartreuse en duo depuis Tullins, 98 km et 1440 m D+ : boucle du col de Porte, montée par Quaix Sarcenas, descente Guiers mort, en presque 5 h. Température raisonnable pour la montée (23°C en haut) et presque pas de vent, juste quelques thermiques freinant légèrement la descente. Retour en plaine torride mais c'est que de la plaine.
  12. 83 km et 900 m D+ côté Ardèche, en balade (ou toujours en récup) , tour terminé peu après midi en évitant le gros de la chaleur . Toujours du vent, maintenant venant du Sud ... mais arrêtez ce sèche-cheveux !!!😛
  13. Tu peux juste t'inscrire à des brevets qui te plaisent, sans participer à PBP . En plus c'est peu onéreux !
  14. Oui, la motivation est essentielle , avec une forte conviction que sauf grosse tuile, on le réussira. Les grosses tuiles sont rares. Je pense que 50% des abandons sont dus à de vraies douleurs (tendinites, cervicalgies, ou brulures à la selle vraiment graves) mais 50% sont dus au "mental qui lâche" (plus fréquent avec assistance que sans !!!) Le coup du mental qui lâche est souvent temporaire ; si on l'a déjà vécu et surmonté avant, on le sait, et ça aide.
  15. Voilà, tu as tout compris 🆒 . Tes sorties un peu longues te demandent beaucoup de récupération car elles restent intenses (moi c'est pareil sur ce genre de sorties) . A noter que la Marmotte est bien plus éprouvante que 1/6 eme de PBP , de part la longueur des cols, l'altitude, le ratio dénivelé/km etc ... Sur PBP on roule "fatigué" , le corps passe dans ce mode, mais on ne s'en rend pas compte, et les 6000 petits copains le font aussi. J'ai été étonnée de la récupération après le PBP ; c'est très rapide ... j'ai fait une sortie en montagne la semaine d'après avec des performances au-dessus de ma normale 😉 Pour rouler un peu en-dedans (et sentir les ailes pousser après 200 bornes et plus), rien de tel qu'accompagner quelqu'un d'un niveau un peu en-dessous sur un premier 200 par exemple . Et le lendemain une sortie courte en solo pour voir l'impact.
  16. Cela va peut-être surprendre, mais je n'ai pas souffert pendant PBP, à part peut-être du déficit de sommeil, mais on ne peut pas vraiment appeler ça "souffrir". Habituée à la montagne, je trouvais le terrain très facile. J'ai roulé en dessous de mon rythme normal, mais sans m'en rendre compte ... ce qui implique que hormis les 200 premiers km, je roulais certainement avec une FC basse, sans appuyer plus que ça. Pas de douleurs les jours suivants, pas de mal aux fesses , juste des fourmillements dans les mains qu'il faut laisser disparaître tout seul tranquillement. J'étais d'ailleurs assez confiante en partant, et mon idée était d'être finisher ET d'arriver en bon état. Plus que de la souffrance, c'était un épisode de ma vie formidable !!!! C'est juste un peu dur dans les jours qui précèdent, et qui suivent, de raccrocher à la vie quotidienne ...on a presque du mal à s'intéresser à tout ce qui n'est pas PBP ... heureusement cette obsession passe aussi 😃
  17. Ouh là, ça fait peur avec mes 25 000 annuels 😃
  18. Hier tentative de départ à 7h20 pour la vélo marathon (278 km/5370 m D+ ) . Je savais qu'il y avait une quasi certitude de ne pas passer la barrière du Gerbier , là avec le vent j'avais même un très gros retard. J'ai décidé de continuer hors organisation pour me balader sur les Sucs, plutôt que de bifurquer pour une ardéchoise très moyenne. Du coup parcours à ma sauce (AVM sans le col de l'ardéchoise et redescente directe vers St félicien à la fin, obligatoire après 19h15 car route barrée) et 235 km/ 4700 m D+ ... solo presque du début à la fin (départ anticipé, puis groupes trop rapides, et ensuite en off plus personne ) Du vent du vent .... température idéale en revanche !
  19. Joli programme Ardéchoise Edt Marmotte ! Bonne Volcanique alors
  20. J'ai bien du mal avec la chaleur moi aussi. Effectivement l'effet est encore plus sensible sur une sortie longue et montagneuse, il y a une sorte de dose à ne pas dépasser 😉. Sur plusieurs jours c'est pire, car l'effet de la chaleur se reporte sur les jours suivants. Bref, ça use. En revanche, en voyage cyclocamping ça m'est égal, car je roule en permanence en dedans et du coup, je la supporte bien. Vive les toutes premières heures du jour ! en période de canicule, un petit matin avec 16°C est un pur délice, on se sent revivre jusqu'au fond de chaque cellule !
  21. Je me pose une question philosophique : le mistral me ralentira-t-il plus que la grosse chaleur ne l'aurait fait ? Ah ah, personne ne saura jamais 😃
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