Tous les procédés mis en place pour faire perdre du poids répondent au même principe de base : avaler moins de calories qu'on n'en dépense. À côté de cela, il y a un tas de trucs qui peuvent y aider, physiquement ou moralement : pratique d'un sport, groupes et réunions, compléments alimentaires, coupe-faim, placebos... Tant que ça ne crée pas de carences, de déséquilibres et de frustrations répétées ; tant qu'on ne met pas en danger sa santé physique et mentale, pourquoi pas ? Alors, si les aiguilles peuvent aider sans blesser, pourquoi pas ? Le dernier truc à la mode, c'est de vanter des résultats de recherches en laboratoire, qui auraient l'air de dire que les minces (qui peuvent bouffer tout ce qu'ils veulent sans prendre un gramme) possèdent en abondance dans les intestins une bactérie (je vous en épargne le nom, ça m'évitera de le chercher parce que je l'ai oublié) que les gros (qui prennent du poids rien qu'en reniflant l'odeur d'un dessert) n'ont pas ou en trop petite quantité.