Sylvain KARLE Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a 3 minutes, Michel DURY a dit : Surtout qu'on y est filmé... et le voir monter à pied, ce ne sera pas bon pour son image de marque! Tu sais quand tu a monté la Planche des Belles filles a 24-25% le final ou le col du Bastardi pu rien ne te fais peur ..... Non la Belgique c'set des routes pourries , une météo pourri il reste juste la bière pour se consoler 😄 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février (modifié) il y a 9 minutes, Sylvain KARLE a dit : Tu sais quand tu a monté la Planche des Belles filles a 24-25% le final ou le col du Bastardi pu rien ne te fais peur ..... Non la Belgique c'set des routes pourries , une météo pourri il reste juste la bière pour se consoler 😄 Ce qui me fait peur, c'est le comportement de certains cyclistes qui roulent comme s'ils étaient seuls au monde. En troupeaux, les gens deviennent bêtes et le contexte récréatif de l'événement fait oublier le code la route. Modifié le 10 février par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a 4 minutes, Sylvain KARLE a dit : Tu sais quand tu a monté la Planche des Belles filles a 24-25% le final ou le col du Bastardi pu rien ne te fais peur ..... Non la Belgique c'set des routes pourries , une météo pourri il reste juste la bière pour se consoler 😄 Question météo on est plus ou moins kif avec par chez toi, un peu plus il est vrai... Pour les routes je suis d'accord 100%, surtout LBL où les deux fois que j'y suis allé je me suis dit plus jamais, quelle misère, et après cet hiver ça sera encore pire car beaucoup de macadam aura explosé et ne sera pas remplacé. Et aussi lors de ces grand' messes, bonne chance pour trouver une place de parking. Même deux heures à l'avance tout est rempli. Pour moi ça n'a vraiment plus aucun intérêt, et demander 80 euros pour ça, je me demande bien pourquoi je donnerais un tel montant? Le seul truc qui est chouette c'est de rouler avec plein de monde, tu n'es jamais seul. Son corolaire direct est une absence totale de sécurité, rien n'est fait pour la garantir, il y a des carrefours carrément dangereux et vu l'affluence, ça tourne au n'importe quoi à tous les coups. Il était même question de supprimer l'événement à cause de la dangerosité générale... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février Il y a 2 heures, Franck PASTOR a dit : Bon, je me suis inscrit à LBL Challenge, pour le parcours médian (150 km). Pour rappel, l'événément a lieu le 28 avril. Ceux qui ont l'intention de le faire, ne trainez pas trop, le nombre de places est limité (8000 participants) et c'est déjà plein tarif pour l'inscription, sauf encore le 80 km. Et ce n'est pas donné : 80 euros pour le long parcours et le médian… Ha,ha,ha on va se retrouver alors !! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février il y a 37 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Dis plutôt que t'es pas cap, tu as trop peur de la Redoute et de la Roche-aux-Faucons J'ai regardé les profils : je veux bien croire qu'avec la répétition des montées, ça soit difficile mais dans l'absolu ce n'est pas monstrueux... c'est à chaque fois un km vraiment difficile et qques dizaines de mètres à faire à l'arrachée. C'est pas Sormano... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février (modifié) il y a 23 minutes, Pierre PLANA a dit : J'ai regardé les profils : je veux bien croire qu'avec la répétition des montées, ça soit difficile mais dans l'absolu ce n'est pas monstrueux... c'est à chaque fois un km vraiment difficile et qques dizaines de mètres à faire à l'arrachée. C'est pas Sormano... Tu es un cycliste expérimenté, endurant et habitué aux ascensions, Pierre ! Pas de panique... Les dénivelés des cyclosportives ardennaises ne sont pas nettement inférieurs à ceux des cyclos montagneuses mais le rythme est différent. En montagne, il faut adopter un rythme de grimpeur et lisser ses efforts alors que dans les Ardennes, la succession des côtes et des descentes est rapide, les parcours sont du genre "casse-pattes". Comme tu dis, c'est la répétition qui use et les plus grosses difficultés arrivent à la fin, il faut donc se retenir au début. Avec ta constitution puissante, LBL devrait te plaire. Modifié le 10 février par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février (modifié) il y a 7 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Tu es un cycliste expérimenté, endurant et habitué aux ascensions, Pierre ! Pas de panique... Les dénivelés des cyclosportives ardennaises ne sont pas nettement inférieurs à ceux des cyclos montagneuses mais le rythme est différent. En montagne, il faut adopter un rythme de grimpeur et lisser ses efforts alors que dans les Ardennes, la succession des côtes et des descentes est rapide, les parcours sont du genre "casse-pattes". Comme tu dis, c'est la répétition qui use et les plus grosses difficultés arrivent à la fin, il faut donc se retenir au début. Avec ta constitution puissante, LBL devrait te plaire. J'avais beaucoup aimé le Tour des Flandres mais entre le froid et le fait que je suis parti avec des gars bien meilleurs grimpeurs que moi (que je tirais ensuite dans les parties plates) et que donc je montais les côtes un peu en surrégime, j'ai eu un peu de mal à finir... dans le Paterberg, je gérais les crampes... Modifié le 10 février par Pierre PLANA Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février (modifié) il y a 23 minutes, Pierre PLANA a dit : J'avais beaucoup aimé le Tour des Flandres mais entre le froid et le fait que je suis parti avec des gars bien meilleurs grimpeurs que moi (que je tirais ensuite dans les parties plates) et que donc je montais les côtes un peu en surrégime, j'ai eu un peu de mal à finir... dans le Paterberg, je gérais les crampes... Je connais, à mon niveau de cyclo vieillissant, le même problème : je suis largué dans les bosses par des cyclistes que je tiens sur le plat et je termine souvent avec des crampes, par excès de fierté... comme l'année où j'ai fait le petit parcours avec le schtroumpf. Sur les cyclos ardennaises, je suis à présent proprement déposé dès le pied des côtes par de jeunes compétitrices qui attaquent en danseuse, presque au sprint. Il me reste à accepter avec philosophie... non sans une pointe de jalousie Modifié le 10 février par Thierry GEUMEZ Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février il y a 5 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Je connais, à mon niveau de cyclo vieillissant, le même problème : je suis largué dans les bosses par des cyclistes que je tiens sur le plat et je termine souvent avec des crampes, par excès de fierté... comme l'année où j'ai fait le petit parcours avec le schtroumpf. Sur les cyclos ardennaises, je suis à présent proprement déposé dès le pied des côtes par de jeunes compétitrices qui attaquent en danseuse, presque au sprint. Il me reste à accepter avec philosophie... non sans une pointe de jalousie Généralement je tiens le coup jusqu'à ce que l'érection passe ! 🙂 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 10 février Share Posté le 10 février Pierre, un truc pour LBL: en général les routes sont les plus défoncées dans le bas des descentes, sois prudent avec la vitesse car tu risques de voir les trous au dernier moment. Pour le rythme, oui c'est casse pattes car tu n'as pas le temps d'adopter une allure de croisière que déjà le relief s'inverse, donc ça change tout le temps. Chaque montée en soit est facile, mais la succession use car on n'en voit pas la fin. Je ne puis que souhaiter une météo radieuse qui peut faire de cette journée une réussite, espérons! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février il y a 11 minutes, Michel DURY a dit : Pierre, un truc pour LBL: en général les routes sont les plus défoncées dans le bas des descentes, sois prudent avec la vitesse car tu risques de voir les trous au dernier moment. Pour le rythme, oui c'est casse pattes car tu n'as pas le temps d'adopter une allure de croisière que déjà le relief s'inverse, donc ça change tout le temps. Chaque montée en soit est facile, mais la succession use car on n'en voit pas la fin. Je ne puis que souhaiter une météo radieuse qui peut faire de cette journée une réussite, espérons! J'ai prévu de monter des 28mm et on est en groupe donc on va faire attention. Les casse-pattes mes conviennent généralement mieux que les montées longues... pour la météo, sauf s'il fait très très froid, je suis assez résistant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a 55 minutes, Pierre PLANA a dit : J'ai prévu de monter des 28mm et on est en groupe donc on va faire attention. Les casse-pattes mes conviennent généralement mieux que les montées longues... pour la météo, sauf s'il fait très très froid, je suis assez résistant L'effort est plus difficile à gérer en groupe sur un parcours accidenté. Je ne sais si tu accepteras de laisser partir les plus grimpeurs de tes copains, ce serait pourtant la meilleure solution pour bien finir, parce qu'on perd toujours beaucoup de temps quand les crampes arrivent. Comme évoqué plus haut, je me suis mis la pression lorsque j'ai fait le petit parcours avec Michel et je l'ai payé sur la fin. Alors qu'avec Franck P. en 2021 sur le 150 km, nous avions convenu que nous monterions chacun à notre rythme et qu'il m'attendrait en haut des côte. J'avais donc pris un départ très prudent et ce mode "économique" m'a même permis de le rattraper dans la Roche-aux-Faucons (mais pour tout dire, cette édition de LBL avait lieu en septembre à cause du covid et j'avais monté 3 fois le Ventoux pendant mes vacances au mois d'août, et ma condition physique est toujours meilleure en automne qu'au printemps). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a une heure, Pierre PLANA a dit : J'ai prévu de monter des 28mm et on est en groupe donc on va faire attention. Les casse-pattes mes conviennent généralement mieux que les montées longues... pour la météo, sauf s'il fait très très froid, je suis assez résistant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 10 février Share Posté le 10 février (modifié) Pour ma part, j'aurai des pneus de 32 mm de section, et je sais déjà que je n'aurai pas à le regretter sur certaines portions de route. À noter que je n'ai pas passé une seule édition de LBL Challenge sans que je prenne des crampes sur la fin. Elles ne me forcent pas à mettre pied à terre mais elles sont forcément toujours gênantes. Le plus souvent, elles apparaissent dans la Redoute et je dois négocier avec elles jusqu'à la fin. Même quand on roule seul a priori dans cette randonnée, l'ambiance générale est tellement « compétitive », particulièrement dans les montées, qu'il est très difficile de ne pas se mettre dans le rouge dès le début. Pour moi qui roule quasiment toujours seul à l'entrainement, cette « compétition » qui ne dit pas son nom est encore plus délicate à gérer mentalement. Mon objectif sera de faire comme l'a fait sagement Thierry en 2021 : commencer très en dedans pour finir plus fort. J'espère ainsi éviter les crampes cette fois. Modifié le 10 février par Franck PASTOR Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février il y a une heure, Thierry GEUMEZ a dit : L'effort est plus difficile à gérer en groupe sur un parcours accidenté. Je ne sais si tu accepteras de laisser partir les plus grimpeurs de tes copains, ce serait pourtant la meilleure solution pour bien finir, parce qu'on perd toujours beaucoup de temps quand les crampes arrivent. Comme évoqué plus haut, je me suis mis la pression lorsque j'ai fait le petit parcours avec Michel et je l'ai payé sur la fin. Alors qu'avec Franck P. en 2021 sur le 150 km, nous avions convenu que nous monterions chacun à notre rythme et qu'il m'attendrait en haut des côte. J'avais donc pris un départ très prudent et ce mode "économique" m'a même permis de le rattraper dans la Roche-aux-Faucons (mais pour tout dire, cette édition de LBL avait lieu en septembre à cause du covid et j'avais monté 3 fois le Ventoux pendant mes vacances au mois d'août, et ma condition physique est toujours meilleure en automne qu'au printemps). Je vais essayer de maintenir le niveau de forme que j'ai en ce moment. Ce serait déjà bien. Bien que la balance soit très en colère (86 kg après le popo du matin), ça se passe très très bien sur le vélo. Je vais croiser les doigts... l'an passé, je ne suis pas arrivé au premier objectif de la saison (infection urinaire 10 jours avant l'Ariègeoise...) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a 17 minutes, Franck PASTOR a dit : Mon objectif sera de faire comme l'a fait sagement Thierry en 2021 : commencer très en dedans pour finir plus fort. J'espère ainsi éviter les crampes cette fois. Mine de rien, ces parcours sont très exigeants et en décalage par rapport à notre pratique habituelle (mais notre organisme ne tolérerait pas forcément d'en faire beaucoup plus, je le constate lorsque j'augmente ma charge d'entraînement et que la fatigue fait régresser mes performances) . Les pros sont capables d'enchaîner la Flèche wallonne le mercredi et LBL le dimanche... un autre univers ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre PLANA Posté le 10 février Auteur Share Posté le 10 février Il y a 2 heures, Thierry GEUMEZ a dit : Mine de rien, ces parcours sont très exigeants et en décalage par rapport à notre pratique habituelle (mais notre organisme ne tolérerait pas forcément d'en faire beaucoup plus, je le constate lorsque j'augmente ma charge d'entraînement et que la fatigue fait régresser mes performances) . Les pros sont capables d'enchaîner la Flèche wallonne le mercredi et LBL le dimanche... un autre univers ! Je ne peux pas présumer de ce que j'arriverai à faire dans 10 ans. Pour l'instant, je peux encore faire une semaine "rude" avec des distances entre 100 et 200km tous les jours et des D+ >2000m, et 2-3 périodes d'intensité dans la journée. Et en fait, je finis plutôt bien la semaine : je vois que les avions de début de semaine se calment à mon niveau en fin de semaine. Le secret c'est de bien dormir et de bien manger... Quitte à faire des siestes. Quand nous sommes montés au Pico de Veleta, j'ai eu un gros coup de mou. Je me suis arrêté à la station (2500m), j'ai mangé (pas mal), fait une petite sieste de 10 minutes et j'ai fini la montée assez vite (500m D+ en 40 minutes). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Thierry GEUMEZ Posté le 10 février Share Posté le 10 février il y a 53 minutes, Pierre PLANA a dit : Je ne peux pas présumer de ce que j'arriverai à faire dans 10 ans. Pour l'instant, je peux encore faire une semaine "rude" avec des distances entre 100 et 200km tous les jours et des D+ >2000m, et 2-3 périodes d'intensité dans la journée. Et en fait, je finis plutôt bien la semaine : je vois que les avions de début de semaine se calment à mon niveau en fin de semaine. Le secret c'est de bien dormir et de bien manger... Quitte à faire des siestes. Quand nous sommes montés au Pico de Veleta, j'ai eu un gros coup de mou. Je me suis arrêté à la station (2500m), j'ai mangé (pas mal), fait une petite sieste de 10 minutes et j'ai fini la montée assez vite (500m D+ en 40 minutes). Le repos et l'alimentation n'expliquent pas tout. Je n'ai jamais été en mesure supporter un tel régime, j'ai très rarement dépassé 500 km en une semaine il y a 25 ans et maintenant, c'est 300 km/sem maxi trois ou quatre fois par an. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 10 février Share Posté le 10 février (modifié) il y a 39 minutes, Thierry GEUMEZ a dit : Le repos et l'alimentation n'expliquent pas tout. Je n'ai jamais été en mesure supporter un tel régime, j'ai très rarement dépassé 500 km en une semaine il y a 25 ans et maintenant, c'est 300 km/sem maxi trois ou quatre fois par an. C'est déjà pas mal… Pour ma part, ne sortant généralement que deux fois par semaine, plus rarement trois fois, c'est vraiment exceptionnel que je dépasse 300 km en une semaine. Ça ne n'est peut-être pas arrivé depuis cinq ans, ce qui doit d'ailleurs coïncider avec la dernière fois que j'ai fait une sortie de plus de 200 km (durant la première pandémie de Covid, où j'avais beaucoup plus de temps que d'habitude pour m'entraîner). Modifié le 10 février par Franck PASTOR Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jean-christophe RINCENT Posté le 11 février Share Posté le 11 février J'ai fait LBL en 2022, le grand parcours (environ 250km, presque 4300m D+) et le plus dur, c'était le faux plat dans les derniers kilomètres. Après toutes les côtes répertoriées, on ne s'attend pas à ce final. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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