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Ancien vs Nouveau cadre carbone


Nicolas MODESTE

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il y a 16 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

Y a un DK pas loin de chez moi, impossible de connaître la géométrie de leurs cadres...

mea culpa, il faut cliquer à gauche sur le dessin du vélo, drôle de conception du vélo d'endurance, avec ces tubes horizontauxx longs et douilles courtes, excellents pour le dos...non je plaisante!

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il y a 34 minutes, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

mea culpa, il faut cliquer à gauche sur le dessin du vélo, drôle de conception du vélo d'endurance, avec ces tubes horizontauxx longs et douilles courtes, excellents pour le dos...non je plaisante!

La majorité sont hypers contents de leurs velos mais toi être très spécial 😅

Une potence , une douille cela se change ou modifie au pire, pour presque rien et vue le tarif de leurs velos 50% moins cher facile que les grandes marques qui te pigeonne.....😁

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il y a 10 minutes, Sylvain KARLE a dit :

La majorité sont hypers contents de leurs velos mais toi être très spécial 😅

Une potence , une douille cela se change ou modifie au pire, pour presque rien et vue le tarif de leurs velos 50% moins cher facile que les grandes marques qui te pigeonne.....😁

Essaie donc de transformer un stack de 525 en 545, si ce dernier  nécessite déjà 2cm d'entretoises!

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Il y a 3 heures, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit :

pire, 515 à 545, et le cadre est encore trop long!

t vraiment mal foutu et de toute façon personne n'a le meme gabarit , j'ai eu un vélo course DKT pas de soucis pour ma position et j'ai 2 copains qui roulent en DKT idem .....tu joue sur ur le chariot de selle en l'avançant ou reculant , tu raccourci ta potence si besoin et tu choisis surtout la bonne taille de cadre épiCtou , c'est un vélo endurance  ! 

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Il y a 21 heures, Nicolas MODESTE a dit :

Merci à tous pour vos diverses réponses !

 

Je n'ai effectivement toujours rien acheté, d'une part en raison de quelques soucis de santé, et d'autre part car mon budget est assez réduit, et en entrée de gamme la situation est extrêmement pénible sur les disponibilités, tant sur les vélos que sur les pièces. Et je ne parle même pas du marché de l'occasion qui est devenu complètement fou...

 

J'avais ciblé ce vélo pour avoir les freins à disques hydrauliques, être à jour, bénéficier des nouveautés, notamment sur les roues. Par contre, pas sûr d'être gagnant sur le cadre, ni même sur le comportement du vélo (à moins d'y mettre une bonne paire de roues ?). 

Qu'est-ce que tu vas t'emmerder à changer de vélo !

Une paire de roues carbone à +/- 1,4 kg montées en tubeless et tu as un nouveau vélo !

Les freins à disque ne t'apporteront rien de plus.

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Mon vélo DKT, je l'ai acheté, parce que mon alu était fissuré. Je suis allé au magasin, un carbone brut de toute beauté était là, la matière visible le rendait très esthétique. J'y retourne 4 heures plus tard, décidé, et il n'y est plus. 

 

La dispo des modèles est aléatoire, pour ne pas dire inconnue dans cette enseigne. De fait, le même vélo, peint en noir mat, est en magasin. Je regarde pour faire genre, celui équipé en Shimano, et choisis évidemment celui en Campagnolo, une condition indispensable pour moi. 

 

Je repars avec mon vélo. La nécessité à parfois du bon. Je ne doutais pas de la qualité de ce vélo, mais fut toujours surpris qu'elle soit si bonne. j'y ai monté pendant des années des roues FR7, et c'était parfait pour moi. Très rarement, des Shamal, et c'était bien trop dur pour moi. Et enfin il y à peu, des Eurus, et là c'est insolent d'agrément et de facilité, toujours pour moi. 

 

Le vélo est un B'Twin Mach 720, en promo à l'époque, moins 200 Euros quand même, à 1400 le bout, autant dire une affaire. Monté en Centaur, j'y ai greffé un pédalier carbone, parce que j'en avais envie, et donc des nouvelles roues. 

 

Je roule sur un Wilier Gtr, également. Cadre acheté seul, et monté au fur et à mesure, tout le contraire du B'Twin, donc. Monté en Campa Chorus, et Eurus, là aussi. Hormis quelques nuances propres à chacun, ils sont très bien tous les deux, je ne vois pas de différence de qualité. Malgré le mooonde qui devait exister entre les deux, selon certains vélocistes. Ah, ceux-là ... 

 

Après, je pourrais peut-être roulé sur un cadre un poil plus petit, je crois que cela pourrait être pas mal, il faudrait essayer. J'ignore tout, et n'y ai jamais rien compris, au Stack&Reach. Pas le plus petit début de commencement de compréhension. Je regarde la longueur de top tube, et la hauteur de la douille de direction. Et même si ce n'est sans doute pas optimal, ben faut reconnaître que je ne suis pas malheureux sur mes vélos. 

 

Ce que je veux dire, c'est que l'on peut toujours mieux faire, mais que même sans connaissances particulières, il y à moyen de trouver chaussure à son pied, sans trop se planter, et de s'y sentir bien, voir très bien même. 

 

Donc, à ceux qui hésiteraient à acheter un vélo, je dirais, ne le faites pas. Vous n'en avez pas assez envie, ou suffisament besoin !

A ceux qui hésitent quant au choix de vélo, prenez celui qui vous plait, ce ne sera déjà pas si mal. Veiller peut-être à ne pas prendre un pur compétiteur si vous aimez flâner, et encore ... Vous flânerez sur un beau vélo, comme on se promène au bras d'un jolie femme, sans forcément user de tous ses charmes, et après ? 

 

Prendre le plaisir là où il est ! Souvent, se restreindre, voir douter de ses choix, est une façon de ne pas s'accorder ce à quoi nous aimerions goûter. Parce que nous ne nous l'autorisons pas. Cela vient de loin, et s'exprime au travers de représentations, mais pas plus. Les choses, matériel ou pas, n'ont pas grand chose à voir là-dedans. La difficulté à choisir est en nous, pas devant nous, elle ne fait que s'y matérialiser. Ainsi, au travers de choix et d'objets, nous rejouons la possibilité d'une liberté qui nous est difficilement accessible, pour de vrai cette fois. 

 

 

 

Modifié par Franck Steinel
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Il y a 2 heures, Franck Steinel a dit :

Mon vélo DKT, je l'ai acheté, parce que mon alu était fissuré. Je suis allé au magasin, un carbone brut de toute beauté était là, la matière visible le rendait très esthétique. J'y retourne 4 heures plus tard, décidé, et il n'y est plus. 

 

La dispo des modèles est aléatoire, pour ne pas dire inconnue dans cette enseigne. De fait, le même vélo, peint en noir mat, est en magasin. Je regarde pour faire genre, celui équipé en Shimano, et choisis évidemment celui en Campagnolo, une condition indispensable pour moi. 

 

Je repars avec mon vélo. La nécessité à parfois du bon. Je ne doutais pas de la qualité de ce vélo, mais fut toujours surpris qu'elle fut si bonne. j'y ai monté pendant des années des roues FR7, et c'était parfait pour moi. Très rarement, des Shamal, et c'était bien trop dur pour moi. Et enfin il y à peu, des Eurus, et là c'est insolent d'agrément et de facilité, toujours pour moi. 

 

Le vélo est un B'Twin Mach 720, en promo à l'époque, moins 200 Euros quand même, à 1400 le bout, autant dire une affaire. Monté en Centaur, j'y ai greffé un pédalier carbone, parce que j'en avais envie, et donc des nouvelles roues. 

 

Je roule sur un Wilier Gtr, également. Cadre acheté seul, et monté au fur et à mesure, tout le contraire du B'Twin, donc. Monté en Campa Chorus, et Eurus, là aussi. Hormis quelques nuances propres à chacun, ils sont très bien tous les deux, je ne vois pas de différence de qualité. Malgré le mooonde qui devait exister entre les deux, selon certains vélocistes. Ah, ceux-là ... 

 

Après, je pourrais peut-être roulé sur un cadre un poil plus petit, je crois que cela pourrait être pas mal, il faudrait essayer. J'ignore tout, et n'y ai jamais rien compris, au Stack&Reach. Pas le plus petit début de commencement de compréhension. Je regarde la longueur de top tube, et la hauteur de la douille de direction. Et même si ce n'est sans doute pas optimal, ben faut reconnaître que je ne suis pas malheureux sur mes vélos. 

 

Ce que je veux dire, c'est que l'on peut toujours mieux faire, mais que même sans connaissances particulières, il y à moyen de trouver chaussure à son pied, sans trop se planter, et de s'y sentir bien, voir très bien même. 

 

Donc, à ceux qui hésiteraient à acheter un vélo, je dirais, ne le faites pas. Vous n'en avez pas assez envie, ou suffisament besoin !

A ceux qui hésitent quant au choix de vélo, prenez celui qui vous plait, ce ne sera déjà pas si mal. Veiller peut-être à ne pas prendre un pur compétiteur si vous aimez flâner, et encore ... Vous flânerez sur un beau vélo, comme on se promène au bras d'un jolie femme, sans forcément user de tous ses charmes, et après ? 

 

Prendre le plaisir là où il est ! Souvent, se restreindre, voir douter de ses choix, est une façon de ne pas s'accorder ce à quoi nous aimerions goûter. Parce que nous ne nous l'autorisons pas. Cela vient de loin, et s'exprime au travers de représentations, mais pas plus. Les choses, matériel ou pas, n'ont pas grand chose à voir là-dedans. La difficulté à choisir est en nous, pas devant nous, elle ne fait que s'y matérialiser. Ainsi, au travers de choix et d'objets, nous rejouons la possibilité d'une liberté qui nous est difficilement accessible, pour de vrai cette fois. 

 

 

 

La liberté relève toujours du paradoxe : nous ne pouvons l'exercer, la réaliser qu'à travers des choix et, du coup, nous nous condamnons à en accepter les limites.

Modifié par Thierry GEUMEZ
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il y a 46 minutes, Franck Steinel a dit :

Mon vélo DKT, je l'ai acheté, parce que mon alu était fissuré. Je suis allé au magasin, un carbone brut de toute beauté était là, la matière visible le rendait très esthétique. J'y retourne 4 heures plus tard, décidé, et il n'y est plus. 

 

La dispo des modèles est aléatoire, pour ne pas dire inconnue dans cette enseigne. De fait, le même vélo, peint en noir mat, est en magasin. Je regarde pour faire genre, celui équipé en Shimano, et choisis évidemment celui en Campagnolo, une condition indispensable pour moi. 

 

Je repars avec mon vélo. La nécessité à parfois du bon. Je ne doutais pas de la qualité de ce vélo, mais fut toujours surpris qu'elle fut si bonne. j'y ai monté pendant des années des roues FR7, et c'était parfait pour moi. Très rarement, des Shamal, et c'était bien trop dur pour moi. Et enfin il y à peu, des Eurus, et là c'est insolent d'agrément et de facilité, toujours pour moi. 

 

Le vélo est un B'Twin Mach 720, en promo à l'époque, moins 200 Euros quand même, à 1400 le bout, autant dire une affaire. Monté en Centaur, j'y ai greffé un pédalier carbone, parce que j'en avais envie, et donc des nouvelles roues. 

 

Je roule sur un Wilier Gtr, également. Cadre acheté seul, et monté au fur et à mesure, tout le contraire du B'Twin, donc. Monté en Campa Chorus, et Eurus, là aussi. Hormis quelques nuances propres à chacun, ils sont très bien tous les deux, je ne vois pas de différence de qualité. Malgré le mooonde qui devait exister entre les deux, selon certains vélocistes. Ah, ceux-là ... 

 

Après, je pourrais peut-être roulé sur un cadre un poil plus petit, je crois que cela pourrait être pas mal, il faudrait essayer. J'ignore tout, et n'y ai jamais rien compris, au Stack&Reach. Pas le plus petit début de commencement de compréhension. Je regarde la longueur de top tube, et la hauteur de la douille de direction. Et même si ce n'est sans doute pas optimal, ben faut reconnaître que je ne suis pas malheureux sur mes vélos. 

 

Ce que je veux dire, c'est que l'on peut toujours mieux faire, mais que même sans connaissances particulières, il y à moyen de trouver chaussure à son pied, sans trop se planter, et de s'y sentir bien, voir très bien même. 

 

Donc, à ceux qui hésiteraient à acheter un vélo, je dirais, ne le faites pas. Vous n'en avez pas assez envie, ou suffisament besoin !

A ceux qui hésitent quant au choix de vélo, prenez celui qui vous plait, ce ne sera déjà pas si mal. Veiller peut-être à ne pas prendre un pur compétiteur si vous aimez flâner, et encore ... Vous flânerez sur un beau vélo, comme on se promène au bras d'un jolie femme, sans forcément user de tous ses charmes, et après ? 

 

Prendre le plaisir là où il est ! Souvent, se restreindre, voir douter de ses choix, est une façon de ne pas s'accorder ce à quoi nous aimerions goûter. Parce que nous ne nous l'autorisons pas. Cela vient de loin, et s'exprime au travers de représentations, mais pas plus. Les choses, matériel ou pas, n'ont pas grand chose à voir là-dedans. La difficulté à choisir est en nous, pas devant nous, elle ne fait que s'y matérialiser. Ainsi, au travers de choix et d'objets, nous rejouons la possibilité d'une liberté qui nous est difficilement accessible, pour de vrai cette fois. 

 

 

 

Je ne crois pas  que ton laïus va aider notre collègue.

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il y a 33 minutes, Gérard CRESPO a dit :

Je ne crois pas  que ton laïus va aider notre collègue.

Le "laïus" de Franck illustre pourtant très bien la difficulté de choisir et, là où d'autres imposent leur vision du monde, il encourage à (se) poser les questions qui permettent de se tromper un peu moins.

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A propos de matériel, de vélo et de cyclistes ... Si ceux qui goûtent ce sport, sont souvent identifiés tels des passionnés, ce n'est pas un hasard. En effet, le mot de passion induit en son origine l'idée de souffrance. Le cycliste est donc celui qui aura trouvé le biais pour se faire du bien au travers de la souffrance, ou du moins le coût nécessaire pour pouvoir (en) jouir.
 
De la même manière, si je prends un autre exemple, au-delà du vélo, une femme sera suffisamment ingrate, et suffisamment difficile à vivre pour que celui qui ne s'aime qu'avec difficulté puisse être avec elle, et s'accorder son amour, donc aussi le sien. ( L'amour propre n'étant qu'un don de l'autre que l'on s'approprie.)  Non sans quelques "frais" à payer en souffrance, là-aussi. Pourtant, cela lui rendra "la pratique" accessible. Tout est une question d'investissement symbolique, de projection, d'identification, de reconnaissance, et d'estime personnelle ... A chacun selon ses moyens.
 
Les violences conjugales, sont la suite logique de ce qui est dit ici, car qui se ressemble s'assemble, comme dit la sagesse populaire ... Mais c'est là un autre débat, fatalement hors sujet. 

 

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Donc, pour ce qui est des roues, cadres, vélos, etc ... Tout est une question de d'investissement symbolique, de projection, d'identification, de reconnaissance, et d'estime personnelle ... Les besoins et nécessités de chacun ayant pour origine des motifs intimes, propre à chacun, et exprimés différemment selon les conditions évoqués ci-dessus, leur besoin d'expression leur donnant leur réalité tangible. 

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Il y a 4 heures, Gérard CRESPO a dit :

Qu'est-ce que tu vas t'emmerder à changer de vélo !

Une paire de roues carbone à +/- 1,4 kg montées en tubeless et tu as un nouveau vélo !

Les freins à disque ne t'apporteront rien de plus.

Tout est relatif j'ai eu des roues carbones je n'ai presque rien gagné en rendement .....faut pas croire que tu vas rouler comme un avion avec des roues carbones ,bien sur si tu a des enclumes de 2,5kl tu vas sentir une nette différence mais perso avec mes Zonda de 1,6kl je n'ai presque pas vu des différence en ayant des Cosmic carbone de 50mm , c'est surtout l'entrainement et le poids de corps qui va te permettre de gagner beaucoup de watts ! 

La mode est au jantes carbones hautes mais il faut beaucoup de watts pour en tirer un bénéfice , il faut rouler déjà trés vite , un cyclo lambda c'est de l'argent foutu en l'air ......et c'est pas toujours les roues les + solides ...

Secondo pour avoir des freins a disques sur 2 vélos quand on roule dans une région pluvieuse ou montagneuse ou les 2 c'est bien sympa , tu freine vraiment mieux qu'avec des  patins  .......si on ne roule pas souvent sous la pluie effectivement les disques ne sont pas indispensables .....

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Il y a 1 heure, Thierry GEUMEZ a dit :

Le "laïus" de Franck illustre pourtant très bien la difficulté de choisir et, là où d'autres imposent leur vision du monde, il encourage à (se) poser les questions qui permettent de se tromper un peu moins.

Je ne crois toujours pas que les états d'âme de Franck soient de nature à aider notre ami. D'autant plus que son premier post commence à dater et qu'il n'a pas pris de décision. 

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il y a 11 minutes, Sylvain KARLE a dit :

Tout est relatif j'ai eu des roues carbones je n'ai presque rien gagné en rendement .....faut pas croire que tu vas rouler comme un avion avec des roues carbones ,bien sur si tu a des enclumes de 2,5kl tu vas sentir une nette différence mais perso avec mes Zonda de 1,6kl je n'ai presque pas vu des différence en ayant des Cosmic carbone de 50mm , c'est surtout l'entrainement et le poids de corps qui va te permettre de gagner beaucoup de watts ! 

La mode est au jantes carbones hautes mais il faut beaucoup de watts pour en tirer un bénéfice , il faut rouler déjà trés vite , un cyclo lambda c'est de l'argent foutu en l'air ......et c'est pas toujours les roues les + solides ...

Secondo pour avoir des freins a disques sur 2 vélos quand on roule dans une région pluvieuse ou montagneuse ou les 2 c'est bien sympa , tu freine vraiment mieux qu'avec des  patins  .......si on ne roule pas souvent sous la pluie effectivement les disques ne sont pas indispensables .....

Je n'ai jamais dit qu'il allait rouler comme un avion d'autant plus qu'il parle de pratique loisir. J'ai simplement dit que son vélo allait être métamorphosé, c'est ce que j'ai vécu en passant aux tubeless puis aux roues carbone.

 

Je regarde la Tour de Croatie,  des équipes roulent en patin sous la pluie battante...

Modifié par Gérard CRESPO
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Il y a 2 heures, Sylvain KARLE a dit :

La mode est au jantes carbones hautes mais il faut beaucoup de watts pour en tirer un bénéfice , il faut rouler déjà trés vite , un cyclo lambda c'est de l'argent foutu en l'air ......et c'est pas toujours les roues les + solides ...

 

Des jantes de 50 mm en carbone ne font pas gagner plus de vitesse à un cycliste rapide qu'à un cyclo lambda (à la louche, moins de 0.5 km/h dans les 2 cas), mais les enjeux sont différents : le cyclo pourra raconter à son entourage que sa moyenne est de 27.2 au lieu de 26.9 et le coureur montera peut-être sur le podium au lieu de terminer à la 20ème place.

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Il y a 7 heures, Franck Steinel a dit :

Mon vélo DKT, je l'ai acheté, parce que mon alu était fissuré. Je suis allé au magasin, un carbone brut de toute beauté était là, la matière visible le rendait très esthétique. J'y retourne 4 heures plus tard, décidé, et il n'y est plus. 

 

La dispo des modèles est aléatoire, pour ne pas dire inconnue dans cette enseigne. De fait, le même vélo, peint en noir mat, est en magasin. Je regarde pour faire genre, celui équipé en Shimano, et choisis évidemment celui en Campagnolo, une condition indispensable pour moi. 

 

Je repars avec mon vélo. La nécessité à parfois du bon. Je ne doutais pas de la qualité de ce vélo, mais fut toujours surpris qu'elle soit si bonne. j'y ai monté pendant des années des roues FR7, et c'était parfait pour moi. Très rarement, des Shamal, et c'était bien trop dur pour moi. Et enfin il y à peu, des Eurus, et là c'est insolent d'agrément et de facilité, toujours pour moi. 

 

Le vélo est un B'Twin Mach 720, en promo à l'époque, moins 200 Euros quand même, à 1400 le bout, autant dire une affaire. Monté en Centaur, j'y ai greffé un pédalier carbone, parce que j'en avais envie, et donc des nouvelles roues. 

 

Je roule sur un Wilier Gtr, également. Cadre acheté seul, et monté au fur et à mesure, tout le contraire du B'Twin, donc. Monté en Campa Chorus, et Eurus, là aussi. Hormis quelques nuances propres à chacun, ils sont très bien tous les deux, je ne vois pas de différence de qualité. Malgré le mooonde qui devait exister entre les deux, selon certains vélocistes. Ah, ceux-là ... 

 

Après, je pourrais peut-être roulé sur un cadre un poil plus petit, je crois que cela pourrait être pas mal, il faudrait essayer. J'ignore tout, et n'y ai jamais rien compris, au Stack&Reach. Pas le plus petit début de commencement de compréhension. Je regarde la longueur de top tube, et la hauteur de la douille de direction. Et même si ce n'est sans doute pas optimal, ben faut reconnaître que je ne suis pas malheureux sur mes vélos. 

 

Ce que je veux dire, c'est que l'on peut toujours mieux faire, mais que même sans connaissances particulières, il y à moyen de trouver chaussure à son pied, sans trop se planter, et de s'y sentir bien, voir très bien même. 

 

Donc, à ceux qui hésiteraient à acheter un vélo, je dirais, ne le faites pas. Vous n'en avez pas assez envie, ou suffisament besoin !

A ceux qui hésitent quant au choix de vélo, prenez celui qui vous plait, ce ne sera déjà pas si mal. Veiller peut-être à ne pas prendre un pur compétiteur si vous aimez flâner, et encore ... Vous flânerez sur un beau vélo, comme on se promène au bras d'un jolie femme, sans forcément user de tous ses charmes, et après ? 

 

Prendre le plaisir là où il est ! Souvent, se restreindre, voir douter de ses choix, est une façon de ne pas s'accorder ce à quoi nous aimerions goûter. Parce que nous ne nous l'autorisons pas. Cela vient de loin, et s'exprime au travers de représentations, mais pas plus. Les choses, matériel ou pas, n'ont pas grand chose à voir là-dedans. La difficulté à choisir est en nous, pas devant nous, elle ne fait que s'y matérialiser. Ainsi, au travers de choix et d'objets, nous rejouons la possibilité d'une liberté qui nous est difficilement accessible, pour de vrai cette fois. 

 

 

 

La comparaison du vélo avec les femmes (ou l'usage de ta fréquentation des putes ?) fallait oser... 

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