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Posté

Oui, j'aurai dit plutôt parler d'intelligence que de performance mentale. Mais c'est un mot délicat à utiliser. Car chez un sportif, il recouvre un grand nombre de choses, par exemple le sens de la course, la façon d'envisager et de pratiquer son métier, l'hygiène de vie, etc. Ce sont aussi des garde-fous qui pendant la carrière d'un coureur l'aide à se "cadrer". Quand la carrière s'arrête et qu'une addiction est présente, que ce soit aux produits interdits ou permis, l'addiction vient remplir le vide laissé par la fin des contraintes. C'est un processus bien connu qui ne touche malheureusement pas que les sportifs.

Posté

Il faut aussi une tête bien faite, une personnalité exceptionnelle. C'était le cas de Pantani, et aussi d'Armstrong. On peut regretter qu'ils aient gagné en trichant.

J'ai beaucoup de difficulté à mettre Pantani et Armstrong "dans le même panier" comme tu sembles vouloir le faire.Tous deux se sont dopés, effectivement, mais Armstrong a géré sa carrière de manière parfaitement calculée alors que Pantani n'a pu maîtriser un tourbillon qui l'a entraîné jusqu'à la mort. En écrivant ces mots, je pense aussi à Franck Vandenbroucke...

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Franck Vandenbroucke 

 

et moi à Juan Maria Jiménez .

Jiménez décéda d'une crise cardiaque le 6 décembre 2003 (32 ans) dans un hôpital psychiatrique de Madrid

Trois ans plus tard, Jesús Manzano déclare au sujet de Jiménez : 

« le dopage a tué El Chava comme il a tué Pantani1 »

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De tous les autres dopés morts c est le seul qui est resté présent dans le cœur de la plupart des passionnés .

Peut être pour toi et les moins de 55 ans. mais pour les autres c'est plutôt Tom Simpson





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