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AMSTRONG:la rumeur


Claude CARRIES

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c'est surtout que les sportifs de haut niveau ne sont pas construits comme nous autres les êtres humains...

Au-delà de ses problèmes de dopage, Armstrong est quand même déjà un extra-terrestre

13/14 km/h pour un Jalabert, un Armstrong, un Martin Fourcade ou tout autre sportif de haut niveau qui pratique un sport d'endurance et qui s'entretient un peu, c'est du pipi de chat...

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Tu sais très bien de quoi je parle, comme le savent la plupart des participants du forum.

Tu as les amis que tu veux mais je pense qu'avoir choisi Berthelet comme tel n'est pas un service que tu te rends à toi-même

Et c'est pas de la polémique, uniquement destinée à provoquer ?

Oui t'es un gros pervers. Tu inventes, et ton seul but est, comme cela l'a toujours été ici, de foutre la zizanie.

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"Au-delà de ses problèmes de dopage, Armstrong est quand même déjà un extra-terrestre

13/14 km/h pour un Jalabert, un Armstrong, un Martin Fourcade ou tout autre sportif de haut niveau qui pratique un sport d'endurance et qui s'entretient un peu, c'est du pipi de chat..."

+, Pierre.

Rien à ajouter, aucune réserve      🆒

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"Et nous avons bien tous la même base génétique."

J'ai la faiblesse/prétention de penser exactement l'inverse, Bernard.

A part deux "vrais jumeaux", of course, et encore ... je me suis enquis du "cas" des 2 frères Izagirre-Insausti, Gorka et Ion : leurs rézultats sont étonnamment proches mais ... ils ne sont pas jumeaux, il y a 14 mois d'écart ... bon, ils sont "simples" frères.

Comme les 2 Jalabert ou les 2 Bouhanni ou les 2 Bobet dans les années 50 ou les 2 Coppi ou les 2 Indurain ou les 2 Fourcade (biathlon) ou les 2 Yates ... tiens, les 2 Yates : intéressant, ils sont jumeaux, mais ... vrais ou faux ?? Il faut questionner Pasteur ou Di Grazia ... si cela te dit    🆒

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TOI : " ... Bien sûr, la génétique est fondamentale, sur tous les plans. C'est "la base"


MOI : "Et nous avons bien tous la même base génétique."


TOI : J'ai la faiblesse/prétention de penser exactement l'inverse, Bernard.


Ce que je veux dire c'est que nous avons tous la même base.


Ce qui détermine la variabilité du potentiel athlétique de 2 individus pris au hasard tient à de minimes différences de ces bases génétiques. Il n'y a pas de gène de la performance, du VO2 max, de l'explosivité, etc. 


Je veux bien croire en de minimes différences sur un certain nb de gènes, avec un effet cumulatif important qui devient flagrant quand on ne considère que les extrêmes.


Entre les différents niveaux successifs du haut en bas de l'échelle, les variations sont minimes. Ce n'est pas comme s'il y avait 2 populations : les élites d'un côté, les ordinaires de l'autre.


Or c'est ce qu'il faudrait qu'il y ait pour pouvoir affirmer que les pros "sont différents de nous", comme le disait Pierre Plana un peu plus haut.

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Réponse intéressante, Bernard, qui se veut argumentée, donc "je prends".

Je crois savoir que "la génétique" est une spécialité fort peu connue ; je la perçois, parfait ignare en la matière, comme une discipline fondamentale qui va se développer dans les années/décennies ki viennent, ce qui ne signifie pas que les scientifiques qui vont "s'y coller" vont percer tous les mystères ...

Je parcourais hier sur Wiki les biographies de Franz Lizt et Richard Wagner, les Coppi/Anquetil/Merckx de la "grande" musique ... vies compliquées voire tourmentées, limite dramatiques parfois mais, "au départ", des aptitudes évidaman hors-normes (des révélations à 4 ans ! ) qui, par la suite, ont été développées au maximum ... la génétique est bien là, je suis plutôt sceptique quant aux "différences minimes" que tu convoques dans ton développement qui précède. Intéressant mais je reste sur mes positions - et toi sur les tiennes, of course !

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Georges, tu ne prends pas le problème par le bon bout.

S'il y avait 2 populations humaines distinctes : les doués pour le sport et les pas doués pour le sport,

on aurait par exemple dans le cas de la distribution des VO2 max, une courbe de gauss bimodale, dont on trouve un cas extrême, donc plus apte à faire ressortir l'idée, dans le lien ci-dessous :

http://www.maxicours.com/se/fiche/1/8/378318.html

Bonne nuit studieuse 😄

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Ta démonstration repose sur la négation de l'existence de 2 populations distinctes, un peu comme si tout ne pouvait être exclusivement "blanc" ou "noir" (blanc et noir ne font pas référence à la couleur de la peau, tu l'as compris). Mais qui prétend cela ? 

Le contraire n'est pas non plus un gris uniforme, une sorte de mélange "équitable" entre le "blanc" et le "noir".

N'est-il pas plus simple d'admettre, ce que la réalité donne à voir, une répartition variable de "blanc" et de "noir" selon les individus ?

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Figure-toi Thierry qu'à une époque pas si lointaine, des racistes aux USA, appuyés par un Prix Nobel dont je préfère ne pas me souvenir du nom, proclamaient la supériorité de la "race" blanche sur la "race" noire sur la base de leurs tests respectifs de Q.I.

Evidemment, dans la population US les noirs représentaient une fraction relativement importante du total, dans les 15%. Donc, dans une courbe de distribution globale on pouvait voir une forme atypique de la distribution des QI. Cependant, l'écart des valeurs moyennes étant assez faible, environ 1 écart-type, il n'y avait au final qu'une déformation de la gaussienne. 

Dans le cas de sportifs endurants, les cyclistes pros (ou sportifs équivalents) par exemple, ils ne représenteraient qu'une minime fraction de la population globale, mais avec un distance entre les modes non plus d'1 écart-type, mais plutôt de 5 ou 6 écarts-type, donc s'il y avait une telle population de surdoués du VO2max, il ne fait aucun doute qu'on les repèrerait facilement dans la distribution des VO2 max de la population globale comme étant extra-terrestres.

Pour en revenir aux tests de QI aux USA, c'est bien sûr parce que les tests étaient biaisés que l'on trouvait ladite différence entre blancs et noirs. 

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