Adrien FERRY

Oui voilà, je me disais qu'en même temps 4 jours c'est peu entre 2 courses mais je tenais à caser une sollicitation entre les deux. J'ai pour habitude de faire 2h d'endurance intermittente 48 h avant le jour J. Dans son bouquin, Mallet case au moins 3 ou 4 sorties entre les courses du dimanche : Force/vélocité 1h30 le mardi, Seuil/PMA 2h30 le mercredi et EI 2h30 le vendredi. Euh... ça ne fait pas un peu trop tout ça, quand on veut arriver frais le dimanche ? Dans ce cas, il ne faut plus s'entraîner en période de compétitions ?? C'est la première année que je fais les courses de fédérations; entre les cyclosportives c'était différent il y avait suffisamment de temps pour bien gérer récup. et entraînement.

Bonjour, J'ai couru mardi 8 mai dernier (100 km) et je cours de nouveau dimanche après-midi (110 km) qui vient, ce qui fait seulement 4 jours d'intervalle entre les 2 compétitions. Je n'ai rien fait mercredi, mais hier soir je suis sorti 2h20 - 70 km (sortie facile en souplesse) et je constate cependant que je n'ai pas bien récupéré. Pas de jus, jambes coupées, souffle court. J'avais prévu dans mon plan de l'endurance intermittente sur 80 km aujourd'hui, séance provenant du livre de P. Mallet : 20' échauffement + (4 x [5' VMA en 20-20 + 5' récup. + 5' 90 % VMA en 30-20 + 5' récup.] puis 15' à allure course). Je ne pense pas faire cette sortie car j'imagine que je vais me cramer pour dimanche. Que conseillez-vous entre 2 courses si rapprochées ? Une course chaque week-end c'est gérable mais là 4 jours ça fait short entre les deux. D'autant plus que je me suis beaucoup impliqué mardi dernier. Par aileurs, j'ai constaté une réelle progression en appliquant dernièrement l'entraînement proposé par Mallet dans son livre mais je trouve néanmoins que l'entraînement devient difficile la semaine entre les compétitions, en période de préparation d'objectif.

Bonsoir à tous, Depuis quelques jours, j'ai des problèmes de respiration. Je m'explique : au repos je n'arrive plus à respirer profondèment (faire le plein des poumons), il me faut bailler pour obtenir un réel soulagement, et ça recommence aussitôt. Ca ressemble à de la spasmophilie mais je n'ai pas vraiment de raison d'être stressé actuellement. Ca me gêne aussi à l'effort. Mon coeur bat tout à fait normalement à l'effort, même si dernièrement j'ai constaté que ma FC de repos était un peu plus haute de 3 à 5 pulsations (45 au lieu de 40). J'ai largement accentué l'intensité de l'entraînement depuis le mois d'avril et j'ai débuté les courses le 1er mai et le 8 mai dernier, je me demandais si il pouvait y avoir un lien. Si vous avez des avis, ils sont les bienvenus, car cela commence à m'énerver. Je fais parallèlement une cure de magnésium mais rien y fait.

Pas grand monde n'aime la pluie ! Mais si on doit programmer son entraînement en fonction du temps, on ne finit plus de régresser.

Idem, j'ai aussi un nettoyeur de chaîne. Je ne peux pas démonter la chaîne car j'ai une attache rapide définitive (sram). Avant je nettoyais maillon par maillon mais quel travail de fourmi, c'est vraiment ch**** ! La cassette, je lui envoie du dégraissant, j'essuie plateaux et cassette avec chiffons. Si c'est vraiment sale, je fais dent par dent.

Comment nettoyez-vous votre vélo après une sortie sous la pluie ? Je viens d'en finir, j'y ai mis 3h pour laver cadre, chaîne, cassette, roues et toutes les parties difficilement accessibles. Depuis longtemps je fonctionne toujours pareil mais ça prend du temps : chiffons provenant de draps/vêtements usés, brosse à dent, eau + liquide vaisselle. De plus, le lavez vous après chaque entraînement ? Imaginons que je me sois entraîné aujourd'hui sous la pluie et que demain le temps est prévu identique, c'est rageant ! Cependant, j'aime pas trop démarrer avec un vélo crade... Que faites-vous ?

Bonjour, Mon but n'est surtout pas de déclencher à nouveau la gueguerre entre les deux fédérations mais dans le cas précis qui me concerne, je suis hésistant quant au choix de la fédé pour ma première licence. Jamais fais de courses FFC ni UFOLEP à part CLM en côte ouvert au non licenciés, plusieurs cyclosportives chaque année depuis 3 ans où j'ai déjà figuré sur le podium dans ma cétégorie d'âge, néanmoins j'ai déjà 23 ans et l'effort en courses de fédé et en cyclosport n'ont à priori rien de commun. J'appréhende beaucoup les relances car je suis très diesel, capable de rouler plusieurs heures à un bon tempo régulier en montagne, mais difficile pour moi de faire constamment le yoyo entre 25 et 50 km/h pendant 2h. Je veux découvrir les courses sur route afin de prendre du rythme mais si c'est pour être lâché dès les premiers tours et ne jouer aucun rôle, ça m'intéresse très moyennement. Aussi, je vous demande quel peut être le meilleur choix dans ma situation : - une licence PASS OPEN avec laquelle je vais devoir courir avec des costauds, des habitués des podiums...où je vais certainement galérer mais prendre cela comme une possibilité de progression. - une licence UFOLEP où je peux rouler danas un premier temps en 3 ème catégorie ? A ce sujet, comment est déterminée au départ la cétégorie à laquelle on appartient ? Sachant que le nombre de courses dans ma région est équivalent. Adrien.

Je viens de voir dans une magazine que le port d'un cuissard long en hiver pouvait être en partie esponsable de douleurs aux genoux en raison de la pression exercée par le tissus. Je reste dubitatif mais il reste néanmoins vrai que j'ai moins de problème depuis que j'ai remis le cuissard court ...

Ca c'est clair, c'est pas en 1 semaine que tu vas te réhabituer à ce genre de sortie ! A la limite, tu peux faire 3h d'endu où "tu tapes un peu dedans" à J-3 pour surcompenser mais bon...

Non la route était plate, je travaille sur une longue ligne droite. C'est stable à 182 puis ça peut passer l'instant de 2 s même pas à 185 (le max que j'ai eu, 5 puls d'écart). A mon avis, c'est mon cardio qui disjoncte par moment, je ne vois que ça en fait !

Bonjour, Depuis que je fais des exercices à plus haute intensité dernièrement (PMA), j'ai constaté à plusieurs reprises dans la séance qu'il arrivait fréquemment que mon cardio fluctue rapidement. Je m'explique : lors de l'effort à PMA, typiquement 2 min, le coeur monte progressivement et imaginons que je sois stabilsé à 181 pulsations, il s'affiche subitement 184 (ça dure 2 s) et de nouveau 181. Je me suis demandé si c'était mon cardio qui déconnait par moment quand le coeur bat rapidement ou bien si c'était réellement mon coeur (étant plus jeune, on m'a décelé une arythmie), mais il me semble impossible que le cardio puisse détecter des variations aussi furtives des battements du coeur.

Bonjour, Bon, bah je crois que je ne vais pas trop me prendre la tête. Je vais faire 3 ou 4 sorties longues 3-6 semaines avant (sans les multiplier), dont une de 6 h en montagne, ça devrait suffir car il me faut surtout faire des sorties courtes pour améliorer ma puissance en ce moment.

La vache, en effet c'est du lourd avec de sacré côtes. Mais il n'y a plus le mur de Huy du coup.

Je ferais bien la grande oui! Mais je ne sais pas si je vais pouvoir tenir la distance à un rythme élevé car je vais privilégier le travail à PMA les prochaines semaines plutôt que sur la distance. Je ne sais pas si j'aurais le temps d'accumuler suffisamment de D+ d'ici là à l'entraînement.

Bonjour, En me renseignant sur cette cyclo, j'ai cru voir que c'était un peu "le bordel" au départ car les 2 parcours partaient en même temps. Il y a deux sas, les 200 km partent devant les 100 et il faut remonter pas mal de gars du grand parcours dans le premier col en jouant des coudes, c'est bien ça ? Car j'aurais bien participé, mais c'est cette organisation au départ et le nombre affolant de participants qui me rebute un peu (je préfère les cyclos avec moins de monde).

Est-il envisageable de terminer honorablement une cyclosportive en montagne longue de 200 km (au moins 6h30 d'effort) sans jamais faire des sorties de plus de 4-5 h à l'entraînement ? Certes pour certains ça ne pose pas de problème des sorties de 6-7 h mais l'année dernière, je faisais chaque week-end une sortie longue de type endurance sur-critique (de plus en plus longue et difficile) et j'étais fatigué à la fin du cycle d'entraînement. Ou bien faut-il placer ce genre de sorties beaucoup plus en amont de l'objectif ? Quand Patrick Mallet parle de sorties de 3 h pour préparer une cyclosportive, je suis très très septique quand même, faut pas abuser.

Pour moi, après expériences personnelles, c'est souvent rien du tout la veille ou à la rigueur une mini séance de sprints très courts c'est tout. Je préfère faire une bonne séance d'endurance intermittente de 2h 48h avant la compétition, ça me donne plus la caisse.

Bonsoir, Merci pour ces renseignements et sans doute au 17 juin alors !

Bonjour, j'aurais 2 questions à propos de cette course : Y a t-il des secteurs pavés sur le parcours (ce que je n'espère pas) ? Quand cette cyclo est-elle programmée ? Sur certains sites c'est le 17 juin, pour d'autres c'est le 10. Merci d'avance.

Bonjour, Depuis que j'ai reculé d'un peu mes cales je n'ai vraisemblablement plus mal aux genoux mais au pied gauche j'ai une douleur au niveau du metatarse qui apparaît au bout de 2h de vélo, et pas à l'autre pied.

Bonjour, A cet âge, il faut à mon avis privilégier la vélocité et la coordination musculaire: par exemple des variations de cadence du type 5' à 60 tr/min, 5' à 100 tr/min, 5' à 80 tr/min, 5' à 120 tr/min etc. avec braquet adapté en effectuant bien le geste. Toutefois l'entraînement ne doit pas devenir une contrainte pour le jeune. La séance de HT ne doit pas dépasser 45 min à 1h grand max. Bien récupérer après l'entraînement surtout.

PS: Gros pardon pour le T à quand dans le titre, quelle grossière erreur !

Pourquoi on entend toujours dire qu'il faille attendre d'avoir travaillé son seuil avant de commencer un cycle de PMA ? C'est une idée que je ne comprends pas. Pour moi, même si les deux sont complémentaires, on ne pourra déjà pas élever son seuil anaérobie très haut si la PMA n'a pas déjà été relevée à un certain niveau. De même, "la PMA ne se bosse généralement pas l'hiver"...mais comment conserver sa PMA dans ce cas? Dans le cas contraire, on repars toujours à zéro au printemps et il est difficile de progresser d'année en année? Même le docteur Mallet dans %@!? livre trouve que c'est aberrant de trouver une VO2 max et un seuil élevés en décembre... Pour finir, en course à pied, on travaille la VO2 max toute l'année.

Je me pose la question suivante concernant la récupération : plutôt que de faire une semaine complète de décharge après 3 semaines de travail, j'ai pensé à un enchaînement de microcycles de 2 semaines chacun du style 10 jours on (3 jours d'entraînement + 1 jour de repos + 2 jours de vélo + 1 jour de repos + 3 jours de vélo) + 4 jours off (récup. active et passive). Par exemple: Ven/Sam/Dim vélo, Lun repos, Mar/Mer vélo, Jeu repos, Ven/Sam/Dim vélo, Lun/Mar/Mer/Jeu récupération et ainsi de suite. Est-ce que ça vous semble intéressant comme méthode de travail ?

Reprise cet après-midi après 3 jours sans rouler, donc sortie d'endurance 104 km - 3h30 circuit vallonné (825 m D+), petit et gros plateau en alternance. Bosses en vélocité sur le 39 x 25 et quatre sprints courts la troisième heure. Temps presque chaud comparé à la semaine dernière :)