Aller au contenu

Olivier TÉTART

Membre
  • Compteur de contenus

    455
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Olivier TÉTART

  1. Disons plutôt : tant qu'il y aura des "trous" à faire dans les poches... Un départ en 11, c'est absolument in-dis-pen-sa-ble au pékin moyen, au coureur départemental de base, même au régional... 😃 Un départ en 10 c'est encore mieux. Et puis le rendement : vraiment nickel... 😆
  2. "Pourquoi ne pas créer des équipes de foot,composées de 5 hommes et 5 femmes ? , où pourrait être le problème ? ,si tous les pays adopteraient ce changement .." Oui. Et puis comme ça les clusters qui contaminent l'équipe de France ne s'appelleraient plus forcément Tatiana mais aussi Roberto... 😃
  3. Quel argument d'autorité... Même par temps de pluie ça glisse mais ça peut aussi bien bloquer tout de suite après. Avec des freins à patins ça m'est arrivé de glisser en ligne droite dans un premier temps en bloquant en fin de descente pour éviter de me taper un obstacle qui a surgit en travers de la route, puis la roue c'est bloquée quand l'adhérence est revenue au point d'arracher la chape du boyau arrière (boyau léger années 80). Les chutes de ces dernières semaines où on voit des gars perdre l'adhérence de l'avant en fin de virage, et pas forcément par temps humide, n'étonnent vraiment personne ? Avec les sections utilisées de nos jours ? A part l'argument "mauvaise trajectoire" ? Il faut croire que cette année les pros savent moins bien virer, ils ont perdu le savoir-faire pendant le confinement ? Bon ben alors tout va bien...
  4. Verglas d'été+puissance disques=sport de glisse extrême. Sur les photos dispos d'Alaph attendant son dépannage impossible à la dé-visseuse on voit que le rayonnage de sa roue avant n'a pas du tout aimé quelque chose (au moins un rayon ou son accroche cassés quelque part). Le couple du freinage disque ? Pas de doute, le disque sur route, c'est l'avenir, ça farte... 😃 Au moins la moitié des concurrents ont chuté aujourd'hui. A-t-on un déjà eu un tel taux de chute par le passé, même avec "verglas d'été" (qui était bien plus fréquent à l'ère du quasi tout diesel) ?
  5. Il y a longtemps, en pleine canicule je me suis retrouvé comme ça avec un mélange d'eau et de rhum dans mon bidon. Et encore une bonne quarantaine de bornes à faire... Ou tu bois en essayant d'y aller molo, ou tu te dessèches. 🙁
  6. Il y a un biais d'appréciation pour les jeux vissés : ils sont en 1". Alors que les haedsets sont en 1"1/8 ou 1"1/5 et ont donc des roulements plus gros qui encaissent plus facilement les contraintes. Le surfaçage des cadres (douille, parallélisme des portées) est aussi capital. Sur un bon cadre une direction 1" ne posera quasiment pas plus de problème qu'avec une douille plus grosse (j'ai des cadres en 1", Morati et Gios, les directions BBB montées dessus se font totalement oublier alors que j'ai eu des cadre en 1"1/8 avec des directions intégrées pas aussi "fluides", dont une sur pivot carbone à reprendre quasiment tous les mois...
  7. Olivier TÉTART

    Mavic

    A la limite il va falloir vérifier s'il n'y a pas eu escroquerie quelque part parce que d'après ce que j'ai trouvé les gens qui travaillent chez Mavic l'on découvert seulement suite à la mise en redressement ! Sans compter que les paradis fiscaux du genre Delaware sont aussi des coins régulièrement très fortement soupçonnés, à tort mais aussi souvent à raison, de blanchiments d'opérations illégales... On n'est pas en zone purement mafieuse mais tout de même en zone bien grise, quand on fait des affaires avec des boîtes enregistrées là-bas on sait normalement à quoi s'en tenir...
  8. Olivier TÉTART

    Mavic

    Ca pue le circuit financier zarbi permis par une société plus ou moins fantôme enregistrée au Delaware, et qui se retrouve finalement propriétaire de Mavic ...
  9. Franchement, les goûts et les couleurs, chacun voit ce qui lui convient... Mais après avoir essayé tout un tas de trucs dont certains noircissaient quasi instantanément et coûtaient un bras en encrassant vraiment très bien les rouleaux (bidules "à la céramique" et autres machins "spécial pluie", dans ce cas seul un démontage et un bain dans du nettoyant pouvait rattraper les dégâts tellement la pâte de crasse pouvait s'être infiltrée, et la chaîne avait pris un "bon coup" dans les rouleaux), je suis revenu à du basique à pas cher : vaseline, 3en1 ou "huile fine" chez de chez Holts, CareOuf ou autre supermarché. Un bon coup de Sopalin imbibé de pétrole désaromatisé par semaine, on frotte jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de noir, un coup d'huile sur tous les maillons, on essuie bien (mais vraiment bien, ce qui compte c'est ce qui est dans les rouleau, sur les plaquettes ça ne sert pas à grand chose sauf à protéger de l'oxydation), et roule ma poule. Comme je ne roule pas beaucoup, ma chaîne reste bien esthétique et dure longtemps quand la saison n'est pas trop pluvieuse (sinon au bout de 3000 bornes elle est rincée quelle que soit la marque). Avec ces produits simples il me semble que la chaîne dure même plus qu'avec beaucoup d'autres produits "magiques" (elle prend moins vite de jeu), c'est donc doublement économique. (avec des chaînes Wippermann, KMC ou Campa). Et jamais le moindre couinement. C'est juste mon expérience, hein : mieux vaut acheter une bonne chaîne avec les bons métaux bien traités que mettre de l'argent dans des produits miracles.
  10. Ce n'est pas un raisonnement, juste des souvenirs (qui ne peuvent faire une loi générale, parce que le manque de bol est évident. Le seul truc positif c'est que je n'ai jamais déjanté avec des boyaux). Et c'est vrai que les dernières fois où j'ai crevé (avec des pneus, donc) c'était par pincement, et pourtant gonflé à un peu plus de 8 bars. A mon avis le boyau a dû son retour dans le grand public avec les jantes hautes en carbone. Très logiquement les fabricants ont dû faire en sorte qu'ils soient plus compétitifs du point de vue de la solidité pour décider ceux qui connaissaient déjà à y revenir, et le faire bénéficier des renforts qui sont apparu sur les pneus entre temps. A+ Olivier
  11. Christian, Je ne doute pas que les boyaux soient bien plus solides aujourd'hui que ceux des années 80... En même temps ça n'est pas bien difficile (j'ai eu sans rire au pire une période de 2 mois non-stop où je n'arrivais jamais à dépasser les 70 bornes sans crever, aussi bien en course avec des Clément qu'à l'entraînement avec des divers Wolber et autres. Un coup à croire au mauvais oeil). J'ai fini par courir avec des "Renforcés" qui pesaent 400 grammes le morceau. Mais à l'époque je crois que même les "Renforcés" n'avaient pas de toile de protection (juste une chape plus épaisse), à moins que je me trompe. J'ai réutilisé entre temps le boyau, fin des années 90/début 2000, sur piste. Tu ne me croira sans doute pas mais même là j'ai crevé avec lors du... Premier tour de piste de ma vie. 😃 Authentique, une épine, que j'ai eu même du mal à localiser tellement elle était fine. Me souviens plus de la marque du boyau , il était tout jaune et réputé pourtant costaud, il était raide et fait plutôt pour l'entraînement. Sinon en contre la montre avec des roues à bâton qu'on m'avait prêté pour des courses à étapes. Pas à l'aise vu mon expérience passée, à chaque fois je me demandais quand ça allait faire "pchhhit". Mais là, RAS de ce côté. Donc moi, le boyau, hum... Si ça fait le bonheur d'autres maintenant, c'est très bien. Mais même maintenant pour moi je me méfie (surtout qu'après même avec des pneus très fins, même usés jusqu'à la corde, je n'ai crevé que très exceptionnellement, et sur des routes bien crades et défoncées). Psychologiquement ça aura du mal à le faire. 😆 A+ Olivier
  12. Quand j'utilisais les boyaux (il y a très longtemps) c'était la norme de refaire les collages par sécurité à chaque nouvelle saison. Enfin, pour les roues avec lesquelles on n'avait pas crevé pendant cette période (donc rarissime pour qui roulait un peu). Le pneu a mis fin à ce rituel (et à la fréquence des crevaisons, aussi...) A+ Olivier
  13. J'ai rolé un bon moment en 25 jusqu'il y a 3/4 ans, avant que ce soit généralisé. Et puis un jour, suite à une promo, j'ai remis des 23 souples (Hutchinson Atom). Le sentiment de facilité m'a immédiatement bluffé. Depuis c'est 23.
  14. Bonjour, Les seuls qui fabriquent vraiment tous leurs cadres en France sont les artisans, et ils ne sont plus nombreux. Pour la fabrication "généraliste" et même les deux roue à moteur, voici un (très) vieux lien préhistorique pour se faire une idée, ça ne s'est sans doute pas arrangé : https://www.lafabriquehexagonale.com/2008/07/deux-roues/2/ Le lien a le mérite de distinguer l'assemblage de la fabrication... Il y a eu des délocalisations/rachats depuis, même des fabrications partielles loin, des créations/disparitions, etc... Mais ça donne une idée du désastre de la tradition française de l'industrie du cycle. Il manque surtout dans la liste nombre de fabricants artisanaux "régionaux" et traditionnels mais qui sont authentiques et portent réellement et à bout de bras cette tradition. En IdF il y a les Cycles Perrin que je connais qui font depuis des années du très beau boulot spécialisé dans l'acier, ce sont des vrais de vrais qui ont leur atelier sur place (et qui ont des outils aussi faits par eux-mêmes), qui sélectionnent minutieusement leurs tubes pour la fiabilité, etc... Ils n'en font pas des caisses mais rien n'est laissé au hasard. On les oublie souvent injustement dans les citations. Il doit y en a d'autres ailleurs faits sur le même modèle. Il y a Singer à Paris, etc.. Pour avoir une idée de la liste de ces artisans, voir les participants du "concours de machines" ces dernières années. Sur le site on précise la nationalité quand la marque est étrangère (et au début c'était français uniquement). Il y a même un artisan qui fait des cadres carbone lui-même (il dit avoir fait un cadre de gravel en 7 mois, de 1.4 kg) de la découpe au moulage sans partie préfabriquées venues d'ailleurs... Ce concours organisé par l'association des artisans du cycle confronte des machines devant obéir des contraintes spécifiques et plutôt cyclotouristes , mais comme tout artisan les participants seront dans leur majorité capables de faire des machines de course bien performantes s'ils le veulent... A+ Olivier
  15. Je croyais qu'il ne fallait plus du tout rouler avec ces cadres du fait du vieillissement de la colle ? Un mécano m'a dit qu'ils avaient eu la consigne de ne plus revendre ce type de matériel ancien d'occasion ou de stock ancien (idem pour les fourches premières fourches type TCR avec pivot alu collé). J'ai un beau 992 dans mon grenier (le super seven décor sublimé) que je garde en souvenir (un de mes meilleurs vélos, en tout cas celui sur lequel j'ai les plus chouettes souvenirs). A+ Olivier
  16. Une petite analyse sans appel (en anglais, désolé, mais tout y est) : Enjoy. A+ T.
  17. La vache, il se sont fait plaisir, là... En version 10v ça se trouvait pour 5 roros (ce qui fait déjà assez cher le maillon). Bon, ben D4 le fait très bien, hein... 😳 A+ T.
  18. Moui. Ca semble à peu près passable vu de 3/4, mais sur une vidéo d'un site bien connu, on voit filmé de face que Bauhaus tasse Bouhanni non pas une fois mais deux coup sur coup, et pas qu'un peu, à la limite de le déséquilibrer totalement les deux fois... Même si c'est chez les pros c'est "rugueux", là c'est tout de même très très gros. Le maillot et le sponsor "régional" (très sensible en ce moment l'aide de l'Arabie Saoudite au Bahrein) de l'impétrant auraient-il aidé inconsciemment à modérer l'humeur des juges ?
  19. Les D4 sont des KMC, ils sont bons. Sinon le must en démontable/réutilisable ce sont les Connex Wippermann plus difficiles à trouver (pas besoin d'outil mais attention au sens de montage). A+ T.
  20. Alors là, le coup de la graisse sur le carré, il y a quelques années c'était une discussion qui pouvait vite dégénérer entre les pour et les contre... 😆 Campa disait dans ses docs : pas de graisse. D'autres disaient : un poil de graisse ça ne fait pas de mal. Pareil pour le boulon : graisse selon certains, frein-filet bleu selon d'autre (à mon avis perso : indispensable si axe titane pour éviter les desserrages avec certains modèles en pente ISO). A+ Olivier
  21. Tu prends des Uniroyal Rain Expert, c'est pas cher, c'est de la marque et c'est très sécurisant.
  22. Ce qui est incroyable c'est la fiabilité de ces cadres. Quand il y a eu le boom des alus légers soudés fin années 90/début des années 2000, et les débuts de la généralisation du carbone, il y avait encore des gars qui roulaient sur des Sablière qui n'avaient pas montré le moindre signe de faiblesse. Je me souviens avoir discuté avec une dame (Mme Sablière ?) au vélodrome Tête d'Or, il y a longtemps, qui m'affirmait que ces cadres alu polis qu'ils avaient faits roulaient encore sans aucun problème après des centaines de milliers de km même encore en compétition... André sablière a aussi commis des prototypes pour Vitus à une époque (j'en ai vu un, inconnu aux catalogues, et j'étais un fan de la marque, "signé" du côté du boîtier de pédalier dans un stock de cadres Vitus acheté par un grossiste roannais quand la marque a cessé ses activités). C'est peut-être pour ça que certains confondaient parfois les cadres Vitus et Sablière (comme dans l'article donné dans le lien d'Emile Arbes). On m'a dit qu'il a travaillé pour les fournitures de matériels sur mesure en chirurgie (titane), la précision de son travail y a été prisée, quand il a arrêté son activité dans le cycle... A+ Olivier
  23. Le témoin d'usure c'est soit un sillon qui fait toute la circonférence de la jante (profond, hein, on ne peut pas le rater quand les roues sont neuves, il est parfois même de la même couleur que l'anodisation), ça c'est surtout pour le bas de gamme. Sinon c'est un petit "trou" discret qui disparaît avec l'usure, à une endroit entre le trou de valve et le raccord de jante). En dehors de ça, principalement pour les montages à la main avec jante achetée à l'unité, il faut connaître la largeur externe de la jante donnée par le constructeur, mesurer sa jante au pied à coulisse, faire la soustraction et voir si c'est encore acceptable (en fonction de l'épaisseur des flancs que donne aussi normalement le fabricant, et la nature de l'alu : avec mes grosses paluches j'arrive à faire bouger les flancs d'une jante un peu fatiguée rien qu'en serrant avec les doigts, et je commence à me méfier si ça bouge beaucoup). Là il n'y a pas de miracle : jante légère = alu plus tendre et flancs plus mince = usure très rapide, surtout par temps de pluie. Jante "lourde" avec bon gros alu bien dur et flancs généreux (genre les Rigida Chrina qui étaient indestructibles si bien montées) = des années (parfois une dizaine si climat sympa) sans aucun problème et par toute condition météo. Il y a le "Maxtal" de chez mavic qui est relativement plus durable pour du léger, mais il n'y a jamais de miracle. A+ Olivier
×
×
  • Créer...