Karl, J'ai lu en travers et en vitesse...tu m'en excuses stpl. Avec ton exemple de la grippe, sciatique, et autres réelles maladies pour lesquelles nous avons l'habitude d'être cloué au lit, il n'y a bien évidement, selon moi, aucune discussion. Je peux également difficilement imaginer demander un médicament qui pourrait avoir des notions "dopantes" pour essayer de soigner la grippe et ainsi participer à une course avec la volonté ou non de s'être dopé volontairement ou pas pour la course ou pour se soigner et faire la course. Par contre, pour un malade chronique, par exemple une personne de 50ans ou même moins à qui on a diagnostiqué une maladie qui nécessite tel ou tel médicament qui aurait (un peu, moyennement, beaucoup) des notions dopantes, je ne peux pas m'imaginer le considérer comme un dopé et par conséquent ne plus pouvoir faire de course. Imagine le jeune bébé, greffer du cœur à 5 ans à qui on prescrit un médicament à vie et qui aurait des vertus (selon la liste des produits interdits) dopantes et qui souhaite à son adolescence / adulte faire du vélo et faire des courses....et à qui on dirait, tu es dopé, tu peux pas... Je trouve qu'il faut preuve d'un peu de parcimonie car il faut toujours garder en tête que certaines maladies nécessitant un suivi médicamenteux (par exemple dopant) n'a pas été choix, mais une obligation...faute de quoi la personne serait déjà au milieu de 4 planches en bois. Je ne souhaite pas ici d'avoir de contre exemple provenant du fil de discussion que X a dit ceci ou cela, je souhaiterais juste à défaut d'être d'accord, de considérer que des situations, dopantes dans les faits, n'ont pas été choisies par la personne. Si mon fils devait prendre des médicaments à vertu dopante pour vivre et qu'il souhaite faire des courses de vélo, je ferais mon possible pour qu'il puisse, sous couvert d'une autorisation, participer aux courses et ainsi réaliser son souhait. Olivier