-
Compteur de contenus
16 440 -
Inscription
-
Dernière visite
-
Jours gagnés
95
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR
-
Jambe assymetrique
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Sébastien BLONDEL dans L'entrainement et la santé
Ouf! Ce n'est pas recommandé de les décrire avec des mots seulement ! Il faut faire attention aux moindres détails, dont la respiration et ta souplesse de départ. En plus, certains étirements conviennent à certaines personnes mais pas à d'autres. Ce serait certainement plus prudent d'aller consulter un kiné ou un prof de gym qui te conseillerait sur les étirements pour ces régions du corps, et qui te voyant faire te recommanderait ceux qui te sont les plus adaptés. Pour donner une idée quand même, mes étirements correspondent grosso modo aux numéros 17, 22, 26, 39, 45 et 46 de ces illustrations : http://a35.idata.over-blog.com/2/21/22/27/divers-articles/stretching.JPG -
Jambe assymetrique
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Sébastien BLONDEL dans L'entrainement et la santé
Étirements des muscles de la hanche (important!), du dos, des quadriceps, des ischio-jambiers et des mollets. C'est un kiné qui m'a indiqué les mouvements à faire et depuis je les pratique comme une religion. À chaque fois que j'ai forfait à cette pratique j'ai eu à le regretter 😬 -
Jambe assymetrique
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Sébastien BLONDEL dans L'entrainement et la santé
Ma jambe gauche est plus courte de 10 mm, et j'ai souvent eu des douleurs au genou, plus souvent le gauche que le droit, et j'en ai encore. J'ai essayé plusieurs semelles de compensation, des talonnettes, rien à faire, les douleurs finissaient par revenir. J'ai fini par laisser tomber toute tentative de rééquilibrage. J'ai pu constater que ce qui marche le mieux, en fait, (pour moi) ce sont des étirements réguliers et une progressivité rigoureuse dans l'entrainement. Et quand une douleur se déclare quand même, je lève le pied ou j'arrête de faire de faire du vélo le temps que la douleur disparaisse. C'est devenu bien plus rare depuis que je suis assidu aux étirements. Je n'hésite également plus à modifier légèrement ma position selon mes sensations, alors qu'avant je tenais à conserver la même toute la saison. Or quand on a une jambe plus courte que l'autre, la moindre erreur de position se paie cash. Certes il vaut toujours mieux commencer par faire une étude posturale chez un ergonome sérieux, mais ensuite ne pas hésiter à adapter la position obtenue ou à changer tel ou tel matos lorsque les sensations l'estiment nécessaire. C'est qu'au court de la saison la selle se creuse et s'assouplit, on maigrit et donc on est moins haut sur la selle, le coup de pédale change, etc. -
Salut Florian, Ce sont surtout les roues que j'ai adaptées aux pavés. Elles sont à jantes alu plates (Mavic Open Pro) et 36 rayons, et les pneus sont de 25 mm de section, le maximum pouvant passer sous la fourche et les freins. Pas de composant en carbone à l'exception des rails du chariot de selle (et d'ailleurs je me demande ce que ça apporte à la selle, sa légèreté ne m'intéressant pas). L'ensemble cadre-fourche est tout en acier, tubes Colombus Zona, il ne semble pas présenter de jeu malgré ses dix ans d'âge. Je l'avais fait faire sur mesure chez Gir's, qui sous-traitait ensuite avec Cyfac, et j'avais précisé que je donnais la priorité absolue à la solidité. Je roulais déjà sur les routes belges à l'époque…
-
Le vent dont parle Jean-Marc, tout à fait adapté à une régate, j'ai pu le déguster hier… Bien d'accord, il n'arrête pas de souffler cette année, et hier il avait décidé de s'en donner à cœur joie ! L'objectif de la journée, c'était la boucle verte du Tour des Flandres. Un circuit de 114 km, départ et arrivée à Audenarde, en passant par le point d'arrivée habituel du Ronde à Meerbeke et par les monts suivants : Achterberg, Varentberg, Foreest, Steenberg, Leberg, Berendries, Valkenberg, Ten Bosse, Parikeberg, les fameux Mur de Grammont et Bosberg, et puis sur la route du retour de Meerbeke à Audenarde, l'Eikenberg et le Rekelberg. Ouf! Et deux secteurs pavés (faussement) plats : Haaghoek et une partie du Kerkgate-Holleweg. http://www.crvv.be/fr/tourisme/itineraires/rvv-itinerairesdevelo/1.133 Départ de Tournai à 7 h 00 sous la bruine, laquelle a perduré toute la matinée, avant de laisser la place à un soleil voilé. Pour corser la sortie (comme s'il y en avait besoin), j'avais décidé de rallier Audenarde à vélo depuis chez moi, en longeant l'Escaut. Ça a bien dû rajouter dans les 80 km au 114 km du circuit (je n'ai pas de compteur). Au final je n'ai sûrement pas été loin des 200 bornes officielles, et si je compte tous les détours que j'ai dû faire quand un panneau manquait ou était masqué, je les ai sûrement dépassées! Rayon anecdote, une fois arrivé au pied du Mur de Grammont, j'ai pu voir qu'il était malheureusement fermé en raison d'une épreuve VTT qui s'y déroulait toute la journée… Je me suis rabattu sur son jumeau asphalté, l'Abdijstraat, qui lui est parallèle. En fait, l'Abdijstraat est le Mur de Grammont tel que l'ont connu les Coppi, Bobet et Van Looy, sauf qu'à leur époque il n'était pas encore asphalté. Il est plus court que le Muur, et plus régulier avec un pourcentage maximal moins élevé, mais il en revanche plus pentu en moyenne, donc je n'ai pas trop perdu au change. Ça m'a fait en tout 11 heures de sortie, record absolu de l'année, dont 1/2 h environ de pause-café et au moins autant à consulter la carte du circuit lorsque j'étais lâché par la signalisation. Pas une moyenne dont j'ai lieu d'être fier, mais il y avait ce p… de vent qui m'a détruit et le physique et le moral, surtout lors des 40 km du retour d'Audenarde à Tournai. C'est que d'Audenarde à Tournai, c'est orienté sud-ouest, et le vent venait du sud-ouest précisément… L'enfer du Nord, ce ne sont pas les pavés, c'est le vent!!!
-
Le seul "hic" du Sabot sont les passages à rouleaux qui empêchent les vaches d'emprunter la route. Pour traverser ces obstacles, il faut descendre du vélo et redémarrer en côte, ce petit désagrément n'est qu'une petite anecdote qui est une bonne occasion de s'arrêter et d'admirer le paysage Au dessus d'Annecy, le Semnoz a ce genre de passages à rouleaux : ça s'appelle des barrières canadiennes. J'ai habité un temps là-bas et grimpais alors souvent cette côte. Je ne prenais même pas la peine de descendre de vélo pour les franchir, je roulais directement dessus. À moins que les rouleaux du col du Sabot soit vraiment énormes ? http://fr.wikipedia.org/wiki/Barrière_canadienne
-
Aujourd'hui, les trois ascensions habituelles du Mont Saint-Aubert. RAS, sinon que l'été semble enfin là, pour de bon. La chaleur n'est pas pour me déplaire.
-
La Morte (par l'autre versant) et Vaujany, j'ai déjà fait à vélo, mais pas le col du Sabot… Je vais essayer de découvrir ce machin-là bientôt ! Au juste, La Morte, certains connaissent mieux sous le nom de la station de ski qui s'y trouvent : l'Alpe du Grand Serre. C'était la station où j'allais chaque semaine avec mon école. Y a d'quoi y faire ! http://fr.wikipedia.org/wiki/Alpe_du_Grand_Serre
-
Heu… Désolé de faire le donneur de leçons, mais à ta place, j'écouterais le chirurgien, on n'a pas de col du fémur de rechange… Et si tu tiens vraiment à monter au «balcon», tu ne pourrais pas te contenter d'un seul de ces cols, pour commencer? De préférence le Barioz (par Saint-Pierre), puisque comme tu le sais il est bien moins pentu que les Ayes via Theys… Et puis, surtout ne force jamais!!!
-
Avant-hier, une longue sorties dans les Ardennes flamandes et le pays des Collines en Hainaut sur un circuit que je commence à connaître sur le bout des doigts. 5 h 30 de sortie via le Mont Saint-Aubert (deux fois), les Hauts de Saint-Sauveur et les casse-pattes du circuit de la Hermesroute autour de Renaix, et 20 mn d'arrêt pour prendre un thé et remplir un de mes bidons. Sensations vraiment pas fameuses, compliquées par le fait que mon meilleur ennemi le vent était de retour, qu'il soufflait fort et en rafales et que je l'avais de face dans la plupart des côtes. J'ai pris une forte douleur au genou droit dans l'avant-dernière côte (les Hauts), douleur qui a disparu au fur et à mesure des kilomètres suivants et qui n'est pas revenue dans la dernière ascension (Mont Saint-Aubert). Espérons que ce n'est pas le prélude à une tendinite… Quoiqu'il en soit, repos complet maintenant jusqu'à mardi.
-
Sortie détente d'1 h 30 avec deux ascensions seulement, et « cool », du Mont Saint-Aubert. Enfin, «cool»… Il a encore fallu que le vent s'en mêle et me souffle dans la tronche dans les tronçons les plus raides. À part ce fichu Éole, temps splendide et lumineux qui contrastait agréablement avec les orages de la veille…
-
Aujourd'hui, 6 h de sortie dont 20 mn de pause café, et les 90 km de la très vallonnée et hennuyère « Route des Collines » au milieu. En tout, 130 ou 140 bornes de parcourues, au pif (toujours pas de compteur). Temps gris la première partie, ensoleillé ensuite, et peu de vent, youpi !!!!
-
Par exemple, les GP 4000, j'ai beau lire qu'ils sont inconfortables, ils ne m'ont jamais déçu. Peu de crevaisons, jamais de hernies et une accroche qui m'inspire confiance. Pareil. J'ajoute que je les trouve confortables, même si je suis apparemment le seul sur ce forum. Et je suis un poids léger (62 kg).
-
Si je décompte mes arrêts d'alors, j'avais dû faire autour de 13 h de vélo ce jour-là… Bien plus que ce que j'ai l'habitude de faire. C'était la deuxième fois de ma vie de cycliste, et jusqu'ici la dernière, où j'avais effectué plus de 200 bornes d'une traite. Et là boum, c'était 260 km à faire… La montée de la Croix-de-Fer avait été très dure sous un soleil de plomb et mon 30/28 d'alors m'avait paru beaucoup trop gros (aujourd'hui je mettrais bien plus petit ;-)). Mais le pire, ça a été du sommet de la Croix jusqu'à Grenoble : n'étant pas habitué à autant d'heures de selle, j'avais pris un mal au c.. terrible !
-
Forcément non, puisque je ne pourrai venir à Grenoble que fin juillet. Ça commence d'ailleurs à faire un sacré bout de temps que j'ai fait le BRA. C'était en 97, dans le sens Galibier - Mollard - Croix de Fer, et pour te fournir un élément de comparaison j'avais mis… 14h ! 😳
-
Tu vas faire le vrai BRA cette année ?
-
Oh moi d'après les temps de montée du coin qu'il a signalé, je n'ai probablement pas les cannes pour suivre Eric… Est-ce que tu penses pouvoir quand même grimper un col (à ton rythme) le mois prochain ? Attendre éventuellement ne me poserait pas de problèmes non plus. Je suis moi-même passé par une période forcée sans vélo de 8 mois (entorse + algodystrophie en 2004), je sais ce qu'à la reprise les grandes intensités sont exclues!
-
Tiens, je suis étonné de ne pas avoir entendu parler ce genre de cuissard en Belgique, vu l'état des routes ici (je sais, je me répète) ce ne serait pas du luxe pour certains casse-cous. Je vais en toucher un mot à mon vélociste, je suis curieux de voir à quoi ça ressemble. Ça pourrait peut-être me tenter! À dans un mois environ, peut-être, alors !
-
Fin juillet, début août, oui, normalement pour deux semaines. Je me réadapterai aux cols pendant la première semaine. À la fin de la deuxième je pourrai peut-être faire une cyclo dans le coin, s'il y en a une. On pourra peut-être aussi faire des randos ensemble, si tu consens à m'attendre aux sommets ! 😉
-
Un short de protection? C'est quoi?
-
Pédalier campagnolo triple plateaux , en carbone
Franck PASTOR a répondu à un(e) sujet de Patrick BOYER dans Le matos
Sur un vélo de route, un triple, ça donne 8 pignons utilisables par plateau ? Sur le plateau médian, oui, certainement, peut-être plus. Certains (pas moi) n'hésitent pas à utiliser tous les pignons avec le plateau médian. Mais sur le grand plateau et le petit plateau, je compterais plutôt six pignons pour éviter de tenter le diable. Note que je suis encore au 9 pignons, donc j'extrapole en reportant sur le dix pignons mes principes d'utilisation sur le neuf pignons, à savoir : 6 pignons utilisables pour le grand et le petit plateau, tous les pignons utilisables sur le plateau médian sauf les deux pignons extrêmes. Je suis peut-être trop prudent, mais au moins je n'ai jamais cassé de chaîne avec ce principe depuis que j'ai ce groupe. -
Bien sûr, avec un 28 ce sera mieux qu'avec un 23 ou 25, parce que tu pourras mettre une pression plus petite dans ces pneus tout en gagnant en robustesse. Pour ma part, avec mon poids de 62 kg, je gonfle à 6 bars avec des 25 sur les pavés, et à 8 bars avec pneus de 23 sur des routes en bon état (ailleurs qu'en Belgique donc!). Mes pneus sont des Continental Grand Prix 4000 dans les deux cas. Mais déjà vérifie que ton mulet les accepte, ces pneus de 28! Les jantes doivent être compatibles avec cette taille, et ils faut voir ensuite s'ils passent correctement sous les freins et la fourche. Pour ma part, avec un 25 la fourche ne laisse que 5 mm de marge, ce qui est déjà limite, alors je sais qu'avec un 28 ça ne passera jamais… Ensuite, les pneus c'est certes le principal, mais il faut aussi faire attention au reste des roues. Privilégier la solidité à l'aérodynamisme ou au poids. Plus il y a de rayons, mieux c'est. Et pour le matériau des jantes, je me méfierais du carbone, à moins que ce soit des jantes de pro prévues pour les Classiques du Nord… Et puis il y a le cadre, mais bon là, je suppose que tu ne changeras pas celui de ton mulet ! 😃 Enfin, ne te fais pas d'illusions : même avec des pneus de 28, ce ne sera jamais vraiment comme dans un fauteuil. Ce sera moins inconfortable, c'est tout ! 😕
-
Jusqu'à présent, seulement deux casses de matériel : j'ai eu à déplorer un rayon cassé l'année dernière, et une tige de selle fendue au niveau du serrage de selle cette année. Cette dernière avarie me donne encore des sueurs froides rétrospectives : d'après mon vélociste, le dernier qu'il avait vu avoir ce problème s'est retrouvé les deux bras dans le plâtre, et lui aussi roulait sur des pavés. J'ai eu droit également à une manivelle desserrée et un serrage de selle qui s'est… desserré aussi (je m'étais retrouvé avec une selle inclinée vers l'arrière en fin de sortie, et je m'étonnais de ne me sentir plus bien). Moralité : si vos routes sont en mauvais état, contrôlez vos serrages, mais sans exagérer. J'ai aussi cassé la vis de serrage de tige de selle cette année en y allant trop fort avec la clé. Rien au cadre proprement dit pour le moment. Il faut dire que je l'avais commandé sur mesure chez Gir's en 2002 (qui faisait faire ses cadres par Cyfac, une garantie de qualité) en insistant sur le fait que je voulais du solide. J'habitais déjà en Belgique à l'époque, l'état des routes, même quand elles ne sont pas pavées, oblige à être exigeant sur ce point. Donc, j'ai eu un cadre acier légèrement oversize, plus lourd que la moyenne, que je munis de roues à jantes plates mavic 36 rayons et de pneus de 25 mm de section.
-
Hier, faute de Tilff-Bastogne-Tilff, j'ai décidé de jouer au dur, un vrai, un tatoué, et j'ai fait la boucle bleue du Tour des Flandres (Ronde van Vlaanderen - blauwe lus), un des trois circuits balisés des Ardennes flamandes ayant pour thème les principales difficultés du Ronde. Il y a la boucle orange que j'ai déjà fait quatre fois dont deux cette année, la boucle verte que j'ai faite une fois l'année dernière, et cette boucle bleue donc. C'était la seule des trois que je n'avais jamais faite, parce qu'elle me faisait un peu peur. La particularité de ce circuit, c'est que les difficultés qu'il reprend ne sont pas tant les fameux «Monts», peu nombreux, que les secteurs pavés… Le parcours et quelques commentaires ici : http://www.crvv.be/fr/tourisme/itineraires/rvv-itinerairesdevelo/rvv-itinerairedevelo-bleu La boucle fait 80 km, et j'ai fait à vélo les 80 km environ aller-retour séparant mon point de départ réel du point de départ de la boucle. Soit 160 bornes couvertes en… neuf heures. Mon record sur une selle cette année, et mon séant s'en est ressenti! Moyenne à oublier, d'autant que le balisage n'était pas top et que je me suis égaré quatre ou cinq fois… Il y avait quatre «monts» officiels au programme : le Nokereberg (pavés), Den Ast (tout deux très faciles), le Molenberg, méchamment pavé, très pentu mais court, et le Wolvenberg, le plus pentu mais asphalté. Et comme d'habitude sur ces circuits, quelques casse-pattes non répertoriés. Mais la caractéristique du circuit, ce sont ses secteurs pavés à la Paris-Roubaix. Bon, en meilleur état sans doute que ceux de la classique du Nord, mais quand même, je les ai sentis passer : Huisepontweg, 1500 m, pavés réguliers, ça allait encore ; Doorn, 1650 m, le pire de tous, une horreur, et légèrement descendant en plus ; Paddestraat, assez bon état, mais très long, 2400 m, j'en ai escamoté une bonne partie en roulant sur le bas-côté qui était longtemps praticable ; Lippenshoveweg juste après, 1300m, état moyen, en pente montante, ; Kerkgate, le plus long avec 2600 m, lui aussi en pente montante, au point que je me demande pourquoi il n'est pas répertorié comme mont…, les derniers 500 m sont bordés d'une piste cyclable asphaltée que je me suis fait une joie d'emprunter ; un petit bout du Holleweg (heureusement vu son état) ; Et pour finir la descente du Kattenberg, un mont tellement bien pavé (des «klinkers» bien assemblés), qu'on ne les sent quasiment pas. Si seulement tous les pavés étaient comme ça. Comme presque à chaque fois que je vais dans les Ardennes flamandes, il me faut affronter le vent de face au retour, et ça n'a pas manqué. En plus, il a choisi ce moment pour souffler plus fort, à croire que ce salopard le faisait exprès rien que pour m'emm… Aujourd'hui, mal au c.., mal au jambes, mais au moins mon vélo a survécu et je l'aurais fait une fois dans ma vie, ce circuit!
-
Je pense aussi que c'est le côté du Reposoir qui est le plus dur. Pas tellement à cause de sa portion très raide (qui est d'ailleurs très courte), mais parce qu'il est très irrégulier et donc casse-rythme. La montée par la Croix-Jubaru versant sud est beaucoup plus régulière.