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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Dans le cas des types dont je parle, qui marchent, roulent à vélo ou en voiture tout en téléphonant, «tchattant» ou pire, regardant des vidéos, ils peuvent t'entendre gueuler mais tout simplement ne pas absorber quoi que ce soit de ce que tu hurles ni même réaliser que tu t'adresses à eux, absorbés qu'ils sont dans leur univers parallèle. Vécu, et plusieurs fois… Il faut vraiment que tu te places devant eux et que tu les regardes dans les yeux pour qu'ils s'aperçoivent de ta présence, ou qu'il réalisent que tu t'adressais à eux. De tous les problèmes de cohabitations cyclistes — autres usagers, ces gens déconnectés de ce qui se passe autour d'eux, c'est ce que je trouve le plus dangereux.
  2. Sur les équivalents belges de nos voies vertes (voies sur berge et autoroutes cyclistes de Flandre, les RAVeL wallons…), ça arrive par contre fréquemment. Pour les abrutis dont tu parles, même la beuglante ils ne l'entendent pas, pour la plupart, perdus qu'ils sont dans leur monde. Et pourtant j'ai une voix qui porte. Le mieux est de les considérer comme ils sont : complètement coupés du monde. Des sortes de poteaux ambulants qu'on ne peut donc que contourner… largement, de préférence. Heureusement, ils demeurent quand même encore une minorité…
  3. Rare pour toi, sans doute. Mais quand ça arrive, on peut être bien content d'en avoir une, la preuve. 😉 Et pour moi et plus généralement pour tous ceux qui vivent en agglomération, c'est le genre de choses qui se produit assez souvent (euphémisme). 😃
  4. Soit dit en passant, utiliser une sonnette permet d'éviter ce genre de réactions. Les gens réagissent bien mieux au bruit d'une sonnette que lorsqu'on leur crie dessus pour les avertir de notre passage.
  5. J'allais proposer la même chose. Le changement de plateau avec des TA, Stronglight ou autres ne sera peut-être pas aussi fluide qu'avec les plateaux Shimano originels, qui sont conçus en fonction l'un de l'autre, mais il ne devrait pas y avoir de risque de coincer la chaîne. À condition donc que les deux plateaux soient de la même marque : deux plateaux TA, ou deux plateaux Strong, etc.
  6. Et alors ? Ben quand ça vous arrive, ça fait mal. Mal au point souvent de regretter amèrement de ne pas s'être protégé. Objectivement, il me parait bien plus probable de tomber sur la tête lors d'une sortie à vélo par conditions ordinaires, que de se prendre une branche d'arbre dessus lors d'une promenade dans le même type de conditions. Évidemment, toute personne sensée évitera de sortir en forêt pendant une tempête, ou même de faire du vélo, en forêt ou ailleurs, dans ces conditions-là. Ta comparaison ne tient donc guère la route, si j'ose dire. Fin de la discussion pour moi. On sait déjà par expérience où elle va mener…
  7. Bof… pour le casque dans la voiture, en dehors de l'obligation elle-même qui me rebuterait pour le principe, pratiquement ça ne me gênerait guère qu'il soit obligatoire : un réflexe de plus à acquérir, et hop. Si ça en gêne certains pour le côté apparence, aucun problème : je me fiche pas mal de mon apparence en général (sinon je ne ferais pas de vélo, puisqu'une tenue cycliste est déjà ridicule aux yeux de la majorité des gens). Et si gêne physique il y a je n'en souffrirai guère : je ne prends pas souvent la voiture. C'est parce que je ne pense pas qu'il soit vraiment utile que je ne le mets pas, vu le nombre de protections dont le conducteur d'une voiture dispose déjà…Peut-être ai-je tort d'ailleurs. Et justement, concernant le casque à vélo, ce qu'il faut réaliser, c'est que contrairement à la voiture où on dispose déjà de la ceinture de sécurité et des airbags (sans compter la carrosserie elle-même), il s'agit de la seule véritable protection passive du cycliste. Et qui protège un organe vital qui plus est. C'est depuis que j'en ai conscience que je porte le casque, systématiquement, depuis bien plus longtemps que l'époque où on a commencé à évoquer l'idée de le rendre obligatoire… J'ai d'ailleurs commencé à le mettre à une époque où ceux qui le portaient s'attiraient les remarques condescendantes des «vrais» cyclistes («c'est quoi ce bol à la %@!??»). C'est amusant de voir la roue tourner, parfois. 😃
  8. L'assistance se fait oublié au bout de quelques km, il n'y a que si j'arrête de pédaler qu'elle pousse encore pendant 2, 3 secondes. Il y en a à Bruxelles qui visiblement ont bricolé leur assistance de façon à ne pas pédaler pendant bien plus longtemps que ça. 😲
  9. Vous vous faites des films les gars : il y a trop de différences irréconciliables entre Michel et moi pour que ça marche entre nous. Comment voulez-vous que le cinglé du 40/25 et l'ayatollah du 24/34 arrivent à s'entendre ? Faut pas demander l'impossible !
  10. J'imagine que comme souvent, si cela devient obligatoire, ce sera pour des raisons financières : les assurances et la sécu ne voudront plus avoir à supporter les frais occasionnés par les traumatismes liés au non-port du casque…
  11. 141 km aujourd'hui, pour un parcours vallonné dans les deux Brabant, le flamand et le wallon. Direction plein sud, pour commencer, vent pleine poire (il soufflait fort, le bougre!) jusqu'à Villers-la-Ville et les remarquables ruines de l'abbaye de Villers, toujours impressionnantes à contempler… mais jugez-en par vous-mêmes: http://villers.be/fr https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Villers Ensuite, remontée vers le nord, nord-est, direction Louvain (Leuven), en passant par quelques belles côtes, en particulier à Mont-Saint-Guibert (côte dite des «Trois Burettes») et mon habituel Smeysberg à Huldenberg. Et enfin, direction ouest pour le retour à Bruxelles, vent de côté et vélo parfois incliné pour compenser !
  12. Un grand merci pour la pensée positive mais comme j'ai pu faire 141 bornes aujourd'hui, je ne me mordrai pas trop les doigts de ne pas pouvoir sortir demain. 🆒 Ceci dit, comme tu l'as constaté toi-même il soufflait déjà joliment, le vent, aujourd'hui… 😬 J'ai d'ailleurs pensé à toi aussi, puisque je suis passé entre autres par Villers-la-Ville et Mont-Saint-Guibert.
  13. Ne prends pas peur, mais je n'hésiterai pas à monter plus petit encore que mon 24/34 actuel si nécessaire. Mon vélo actuel accepterait 24/40 comme braquet minimal, j'ai donc encore de la marge. 🆒 Qui sait, ça pourrait servir s'il me prend l'envie de faire la Scanuppia, par exemple… Mais par temps «normal», sur des pentes «normales», disons moins de 15% dans des bosses courtes et moins de 12% dans de longues montées ardennaises/alpines, je ne ressens pas le besoin de mettre le 24/34, ou alors c'est que je suis vraiment cuit ou hors de forme. Donc j'ai généralement plus petit en secours. Pour votre Artzamendi, ceci dit, ce ne serait sûrement pas le cas. Il y a une montée près de chez mes parents à Grenoble, la côte de Chalais, qui frôle les 11% de moyenne sur 6,5 km avec un long, long passage à 17 % vers le km 4. Plus régulière qu'Artzamendi apparemment, mais c'est déjà pour moi tout à gauche pour les quatre cinquièmes de la montée… https://www.cols-cyclisme.com/chartreuse/france/col-de-chalais-depuis-voreppe-c502.htm
  14. Ça, pour sûr… d'après ce que vous rapportez de l'Artzamendi, même avec mes braquets particuliers je devrai mettre tout à gauche !
  15. Tu sembles en douter ? Ça m'est pourtant arrivé plein de fois. 😢 Au cas où: par «plus petit», j'entend plus petit braquet, pas plus petit pignon… Edit : ou alors tu insinues que mes braquets sont déjà trop petits pour que j'en mette de plus petits encore ? Mauvaise langue !
  16. Dans l'absolu, je dis bien dans l'absolu, probablement les rafales à 80 km/h en cours de montée, on est d'accord. Mais ce que je trouve particulièrement dur, et là je parle d'un coup au moral qui m'est peut-être particulier, c'est que lorsque le vent souffle fort comme ça, de devoir mettre souvent encore plus petit à l'approche du sommet que pendant la montée proprement dite, alors que la pente est la même, voire diminue. J'aime pas le vent, de toutes façons. En cours de montée, au début, à la fin, ou ailleurs !
  17. Hola, du calme ! Où ai-je dit que c'était moins impressionnant au cours de la montée qu'au sommet? J'ai dit qu'au cours de la montée ça soufflait moins fort (je me trompe peut-être mais je l'ai toujours ressenti ainsi), ce qui n'est pas la même chose. Ce n'est certes pas une fois arrivé au sommet que le vélo va se cabrer sous l'effet du vent !
  18. En prendre plein la tronche d'accord, mais autant qu'au sommet ? Je veux bien te croire, mais je n'ai pas connu ça dans mes montagnes à moi. Sauf si le vent baissait en intensité globale au cours de la montée bien sûr. J'ai bien des souvenirs de galère de montées de cols avec vent défavorable (le Galibier face nord, par exemple), mais le pompon était toujours à l'espace découvert du sommet. À moins d'avoir le bonheur d'entrer dans une forêt au moment d'arriver au sommet par exemple… pas le cas le plus fréquent ceci dit, bien que j'en connaisse.
  19. J'ai déjà grimpé de solides raidards avec vent défavorable, justement, dans les Alpes ou en Ardenne, et je sais bien que ce n'est pas de la rigolade…Ce que je dis, c'est que le pire du vent, on l'a au sommet du raidard, ou à son approche. Sauf bien sûr passage à découvert lors d'une rupture de pente au cours de l'escalade. C'est d'ailleurs une bonne façon de deviner que le sommet s'approche : lorsqu'on sent tout à coup le vent souffler… ou souffler encore plus fort s'il était déjà bien sensible !
  20. Justement, la pente fournit un abri au vent, même incomplet. Pour preuve, même quand on a le vent défavorable dans une montée sévère, c'est au sommet ou à son approche qu'on se prend vraiment la totalité du vent en pleine figure… souvent on doit mettre plus petit alors que la pente diminue pourtant ! Moi ça me tue le moral à chaque fois.
  21. Pfff, de la petite bière, vos murs basques ! Essayez plutôt ça, aux Pays-Bas :
  22. Tu as vu que même eux, chez toi, ont dû écourter leur épreuve ? 😃 https://sporza.be/nl/2020/02/09/nederlands-kampioenschap-tegenwindfietsen/ (le championnat des Pays-Bas du vélo contre le vent !!)
  23. Je suis quand même sorti aujourd'hui pour ma part, malgré le vent. Mais à Bruxelles c'était 6 Beaufort «seulement», donc ce n'était quand même pas la tempête d'hier et avant-hier et c'était possible de rouler… à condition de faire attention en permanence (interdiction absolue de lâcher le guidon!). 44 km dans le sud-est de Bruxelles, sur des pistes et des routes souvent jonchées de branchages de toutes tailles, arrachées des arbres par cette fichue tempête. En plus du vent et de ses rafales, alternance rapide de périodes ensoleillées et de grisaille, et une averse de grêlons en fin de sortie pour conclure en beauté. 🙁 Travail de mon «coup de pédale» dans les côtes, alternativement en force et en vélocité.
  24. En VTT, il y a semble-t-il une vraie guerre de religion entre adeptes des pédales plates et ceux des pédales automatiques. Je m'en suis rendu compte en surfant sur des sites de vététistes anglo-saxons, notamment. Certains, études "scientifiques" (?) à l'appui, vont jusqu'à remettre en question le gain en rendement apporté par les pédales auto par rapport aux pédales plates...
  25. De la petite bière pour un expert du parapente comme toi !
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