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Franck PASTOR

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Tout ce qui a été posté par Franck PASTOR

  1. Mais comment diable a-t-on pu passer d'une discussion sur Gianni Moscon à un débat sur les Porsche ?? 😲
  2. Mon vélo actuel a des attaches au cadre prévues pour un garde-boue arrière… je crois que je vais en faire usage sous peu. Pas possible d'utiliser un garde-boue qui se fixe sur la tige de selle, la place est prise par un éclairage et surtout ma sacoche de selle. Impossible également de le fixer sur le tube de selle, le câble de dérailleur avant court le long de ce tube… je vais donc placer le garde-boue sur les attaches prévues. En espérant que le pneu ne passe pas trop près de lui… les pneus qui coincent sous le garde-boue lorsque des saletés s'accumulent entre eux, j'ai déjà donné.
  3. J'ai eu une expérience du même type avec le Challenge du Dauphiné en 1997. 160 km et plus de 8 h de vélo dans le Vercors sous une pluie permanente, dans le même genre de froid (5°). Pas de souvenirs particuliers en ce qui concerne le freinage lors de cette épreuve (dans tous les sens du terme), mais j'avais déjà appris à l'époque à freiner sous la pluie comme il le faut : avec l'anticipation comme mot d'ordre. J'ai eu cette chance qu'il ne s'est jamais produit de circonstances où j'aurais dû freiner d'urgence sous la pluie en montagne sans avoir le temps d'anticiper. Si ça m'arrive aujourd'hui, je serai mieux équipé pour y faire face.
  4. Il n'y a aucun risque d'aquaplaning avec des pneus pour vélo paraît-il. La raison serait qu'ils sont trop étroits pour cela. C'est l'adhérence qu'il faut surveiller. Certains pneus sont de vraies savonnettes par temps humide. D'autres, comme les Continental Grand Prix 4 Seasons ou les Specialized Armadillo Elite, pour ne citer que ceux que j'ai utilisés, sont très honnêtes sur ce plan-là, contrairement aux Schwalbe Durano Plus, dans la même gamme de pneus résistants et solides, qui m'ont fait plusieurs frayeurs.
  5. J'ai toujours nettoyé mes jantes (et mes patins) régulièrement. Ça n'a jamais empêché la disparition rapide de ces revêtements céramiques, d'autant plus rapide que je faisais des sorties sous la pluie en montagne. D'autre part, puisque tu me dis que ces jantes rainurées étaient l'ordinaire des jantes depuis 93, il est donc fort probable que je n'ai utilisé que ça depuis au moins 2002 (date d'acquisition de mon précédent vélo) jusqu'à 2019 (quand j'ai acquis mon vélo actuel, à disques)… mais je ne le savais donc pas, de même que M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir. Du reste, depuis que je suis en Belgique (septembre 2000), je devais changer de jantes très régulièrement (tous les 15000 km environ), à cause de leur creusement accéléré par mes conditions de roulage (routes tapissées de boue sablonneuse par temps pluvieux), ce qui ne fait que renforcer la probabilité que j'ai eu ces jantes rainurées. Ça n'a rien changé à cette fréquence de changement… et leur efficacité sous la pluie n'avait donc rien de remarquable, puisque je n'ai rien remarqué de particulier. Pour info, c'était systématiquement des Mavic Open Sup ou Open Pro, montées main par mon vélociste. Il n'y a qu'avec les disques que j'ai constaté une évolution lors de sorties sous la pluie. Une révolution, en l'occurence. Et de toutes façons, à partir de maintenant je n'aurai pas à changer de jantes tous les 15000 bornes. 🆒
  6. Le revêtement céramique ne durait pas longtemps avant de disparaître, j'ai pu en faire l'expérience… et sous la pluie, il ne faisait de toutes façons pas de miracle révolutionnaire. Quand aux jantes alu rectifiées dont tu parles, je ne suis pas sûr d'en avoir utilisé, donc je ne peux pas vraiment me prononcer. Mais il reste cette constante : à la longue ces propriétés anti-pluie bienvenues disparaissent. En raison d'une caractéristique fondamentale du freinage à patins : il use les jantes. Les freins à disques usent… les disques, qui ne s'usent semble-t-il pas aussi facilement et qui surtout sont beaucoup moins onéreux à remplacer.
  7. Le fait qu'il ne sorte pas quand il pleut doit quand même jouer un rôle non négligeable. 🆒 Et comme il le dit lui-même, il adapte sa conduite de vélo si la pluie survient. Comme je le faisais moi-même quand j'étais en patins : freinage d'anticipation, allure moins rapide, etc. Je n'ai plus besoin de le faire maintenant, ou quasiment plus. Du moins en ce qui concerne le freinage proprement dit ! Il y a et il y aura toujours les problèmes d'adhérence des pneus, d'imperméabilité des vêtements, de visibilité, d'usure de la transmission… Et à propos de la transmission c'est bien à cause des intempéries que j'ai été tenté et le suis encore par les boîtiers à transmission intégrée façon Rohloff et Pinion… Probablement la prochaine étape que je franchirai dans ce domaine.
  8. Je ne sais pas si c'est un avantage ou un inconvénient, c'était juste que Gérard semblait penser que j'avais des Shimano et que j'aurais suivi un effet de mode dicté par cette grosse marque…
  9. Je suis originaire de Grenoble, dans les Alpes, et avant d'arriver en Belgique j'ai écumé les cols des environs par tous les temps. Contrairement à toi, je me suis fait de grosses frayeurs lors de freinages dans des descentes de cols sous la flotte… le freinage était toujours moins efficace que par temps sec, et parfois j'avais beau appuyer sur les leviers, rien ne se passait au début !! J'ai vite pris le coup de freiner légèrement par anticipation pour évacuer l'eau de la jante, avant de freiner pour de bon, et ensuite je n'ai plus guère eu de problème avec les freins à patins. Avec les freins à disque, plus besoin de ce freinage d'anticipation, le freinage est quasiment le même que par temps sec… et tant mieux en cas d'urgence !! D'autre part mes freins à disques sont des TRP Hylex, pas des Shimano…
  10. D'après le guide du Routard Belgique, les pluviométries annuelles de la Belgique et de la Normandie sont très proches. D'après ce site qui semble fiable, elle est en moyenne de 920 mm/an en Belgique. https://www.meteo.be/fr/climat/atlas-climatique/cartes-climatiques/precipitations/quantites-de-precipitations/annuel Sur le net, on trouve des estimations de la pluviométrie normande qui varient de 600 mm à 920 mm suivant l'endroit où on se trouve http://www.meteofrance.com/climat/france/normandie/regin02/normales Donc en fait… «avantage» global à la Belgique ;-) Et j'y peux rien s'il flotte les jours où je peux sortir, verdorie !! 📢
  11. Situation très analogue ici en Belgique… les joies du climat océanique !
  12. 38 km de sortie plutôt «relax» aujourd'hui, sauf sur la fin où un gars sur vélo électrique que je rattrapais dans la côte qui mène à chez moi, m'a vu arriver et a accéléré pour ne pas que je le double… résultat, j'ai été piqué au vif et je l'ai quand même largué, en dépassant les 25 km/h de sa limite d'assistance ! 😃 (Bon, ceci dit, la côte en question n'est pas bien longue et n'est pas pentue : 1 km à 3 ou 4%, pas plus.) Par ailleurs, première partie de la sortie sous la flotte, ensuite un grand soleil. Température de saison (7-8°), peu de vent (ouf).
  13. Si par vraie descente tu entends descente de col, pas encore. Mais des descentes brabançonnes courtes mais abruptes (et tu sais maintenant que ça ne manque pas ici, des descentes de ce genre 😉) sous le déluge, j'ai pu tester, et je peux déjà te dire que c'est le jour et la nuit par rapport aux patins : le freinage agit immédiatement, il n'y a plus ce temps de latence qui peut être si dangereux. Et plus besoin de «lécher» la jante avec les patins pour enlever le gros de l'eau avant de vraiment freiner… Et qui plus est, pour autant que j'aie pu en juger, c'est la même efficacité que par temps sec. Par contre, sous la flotte, c'est la seule occasion où mon freinage est bruyant : ça fait une symphonie pas très mélodieuse mais très audible ! Pas besoin de klaxon pour s'annoncer à l'intersection au bas de la descente, s'il y en a une ! 😃 Plus ennuyeux (en tout cas pour moi), lorsque la route est vraiment crade, recouverte de boue sablonneuse par exemple, il peut y avoir du sable qui s'incruste entre les plaquettes et le disque, et hors freinage ça peut faire alors un bruit de frottement continu très agaçant et qui peut durer quelques temps avant que ce sable ne s'évacue.
  14. Peut-être, mais c'est à relativiser : la seule tendinite que j'ai chopée à vélo (tendon et aileron rotulien), c'était lors d'une sortie estivale sous un magnifique soleil…
  15. Tu peux y ajouter l'adhérence diminuée et donc les risques de glissade, en particulier dans les virages. Si on s'équipe en conséquence (pneus solides et adhérents, imper efficace, éclairage, garde-boue éventuellement, freinage de qualité…) et si on est prudent, ça le fait quand même. Je commence à en avoir une certaine expérience, des sorties sous la pluie… Soit dit en passant : vive le freinage à disques qui reste efficace sous la flotte et qui n'use pas les jantes ! 😇
  16. Ceux qui préparent un objectif précis, genre une rando de 200 km fin mars (comme moi…) n'ont pas non plus trop le choix s'il pleut à chaque fois qu'ils peuvent s'entraîner. Ou alors ils renoncent à l'objectif. Mais moi j'ai pas envie d'y renoncer pour ça. D'autant qu'il peut aussi pleuvoir le jour de la rando… donc sortir sous la pluie fait aussi partie de l'entraînement, mine de rien. 🆒
  17. Le directeur sportif d'Ineos et ancien coureur pro vient de mourir d'une crise cardiaque. À 40 ans… https://www.velo101.com/magazine/article/nicolas-portal-est-decede--21806
  18. Je pense que c'est largement à ta portée, au contraire, mais il te faudrait peut-être faire un effort… psychologique. La clé pour faire de longues distances, en cette saison où on n'est pas encore complètement en condition, c'est de s'économiser. Entre autres, ça implique de ne pas considérer chaque côte comme un endroit où il faut envoyer les watts… ou, si on est en groupe, de laisser partir au loin les plus costauds que soi. Mais je conçois fort bien que ce n'est pas très compatible avec les sorties en club, par exemple ! Puisque je roule seul et avec la gamme de braquets kivabien pour avaler presque n'importe quelle côte en douceur, j'ai tout loisir de m'économiser autant que nécessaire. S'agissant du vent, il me fait toujours ch… de toutes façons. Hier à un moment donné j'en avais vraiment marre, mais j'avais largement passé le point de non-retour. J'ai donc continué à rouler à voilure réduite (traduction : sur deux ou trois pignons plus grand que la normale, voire plus encore) quand il était de face, le guidon par en-dessous, et j'ai pris mon mal en patience, comme d'habitude. S'économiser, toujours s'économiser, dat is de boodschap, c'est le mot d'ordre, comme ils disent par ici. Et heureusement, le vent a baissé en intensité dans la dernière partie de la sortie, quand je commençais à être fatigué.
  19. Le Norauto à 2 vélos que j'ai acheté il y a dix ans pour (de mémoire) le même type de prix a exactement les mêmes propriétés : il bascule, peut être verrouillé au niveau de l'attelage aussi bien que des fixations vélos. J'ai peut-être eu de la chance de tomber sur un modèle correct. Seul inconvénient notable : je n'ai pas trouvé d'adaptateur pour fixer le vélo de ma fille, nettement plus petit (et pour cause, elle vient d'avoir 11 ans).
  20. Ouais, Môssieur me charrie quand je sors par forte intempérie mais ne s'en prive pas non plus… 😇 De toutes façons, même si je l'avais voulu, je n'aurais pas pu sortir hier, j'étais dans le train qui me ramenait de mes vacances de ski à Grenoble. Après 8 jours sans vélo, je me suis rattrapé aujourd'hui : 165 km de sortie au total. De chez moi à Bruxelles, je suis parti faire les 93 km de la route cycliste Sven Nys, à l'est de Louvain (Leuven). https://www.toerismevlaamsbrabant.be/fr/producten/fietsen/fietsproducten/sven-nys-cycling-route/index.html Comme son nom l'indique, c'est un circuit (pour vélo de route) tracé par Sven Nys, l'ancien champion du monde de cyclo-cross, dans sa région d'origine et d'entrainement, le Hageland (littéralement « pays des haies »). Joliment vallonné, avec quelques beaux paysages. Et, malheureusement, des routes dans un état très inégal. Pourtant, quasiment tout était en «dur», et il y avait très peu de pavés, mais, surtout dans sa partie sud, le circuit passe souvent par des routes en béton aux plaques disjointes et des pistes cyclables défoncées… mes pneus de 28 n'étaient vraiment pas du luxe ! Après avoir loupé des panneaux d'orientation du côté de Tielt-Winge puis Meensel-Kiezegem (village natal de Merckx, soit dit en passant), j'ai perdu une bonne heure sur mon planning et suis rentré chez moi «à la lanterne», vers 18h30… Heureusement que j'ai toujours un éclairage sur mon vélo en cette saison. Au bilan, j'ai fini assez fatigué, mais pas complètement cuit. Mon premier « plus de 200 » de l'année n'est peut-être plus très loin… Temps sec à quelques gouttes inoffensives près. Vent bien pénible pendant la première moitié de la sortie, qui a heureusement diminué en intensité ensuite.
  21. Ici en vacances d'hiver dans la région grenobloise, j'ai eu droit hier matin à ma première chute de neige depuis le début de l'hiver. D'avant-hier à hier, à la station de ski de Prapoutel - les Sept-Laux, le temps a changé du tout au tout : le mercure a chuté de près de 20°, pour descendre jusqu'à -5° degré hier après-midi, et surtout il s'est mis à neiger et le vent s'est levé. Rebelote aujourd'hui, en un peu moins froid (0° en cours d'après-midi) et encore plus venteux, voire tempétueux tout en haut des pistes. Il va de soi qu'on ne voit plus un seul cycliste sur la route de la station ! 😃
  22. En ce moment je suis dans la région grenobloise, chez mes parents, pour faire du ski alpin avec ma fille à la station de ski de Prapoutel, dans le domaine des Sept-Laux… Soleil éblouissant mais surtout, tenez-vous bien, 18° à l'ombre en bas de la station, à 1300 m d'altitude !!! En redescendant de la station cet après-midi, j'ai croisé quelques cyclistes qui y montaient, eux… de quoi me faire languir de ma bécane, restée à Bruxelles. Mais je n'aurais de toutes façons pas eu le temps d'en faire, donc pas trop de regrets.
  23. 62 km durant cet après-midi à parcourir le sud-est de Bruxelles, en passant par quelques murs patentés (Smeysberg, Moskesstraat, Moerenhoutstraat, Félix Sohiestraat…). Grimpés à fond pour la plupart, signe de bonne forme. Temps sec et (relativement) doux, de belles éclaircies de temps à autre, mais encore et toujours énormément de vent. Lorsqu'il était de face, j'étais à 18 km/h de vitesse de croisière, sur les portions de route plates… La semaine prochaine, vacances de ski (alpin), en famille. Si tout va bien, reprise du vélo dans neuf jours.
  24. L'idéal est d'aller dans les bosses. Tu y es un peu plus abrité. Tiens, ça me rappelle une discussion récente... 😇
  25. 42 km cet après-midi, du côté de Zaventem, avec au cours de la balade l'agréable circuit balisé pour cyclistes appelé « Vliegeniersroute», la route des aviateurs. https://www.routeyou.com/nl-be/route/view/177644/fietsroute/vliegeniersroute Temps sec, alternativement ensoleillé et grisâtre, mais à nouveau un vent très pénible, avec par moment des rafales d'une force à vous clouer quasiment sur place. C'était plus un temps pour véliplanchistes que pour cyclistes ! Et pour ne rien arranger, la météo prévoit une possible nouvelle tempête pour la fin de la semaine… 🙁
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