La comparaison ne me paraît pas recevable, Eric Dans ton exemple du resto, tu "voles" la nourriture du gars. Dans l'exemple du suceur de roue, hors compétition, j'insiste, le suiveur ne vole rien du tout au meneur. Je me fais volontiers l'avocat du diable, c'est vrai, je l'ai dit moi-même il y a peu. Le but n'est pas de juger quiconque mais d'essayer d'arrêter de tourner en rond. Et finalement aussi de moins souffrir, mentalement dans le cas qui nous occupe. La question est donc : quel est le véritable enjeu de la situation décrite ? De quoi sommes-nous réellement frustré ? J'ai déjà donné plus haut une interprétation moins vexante à cette situation : si je vois un gars me sucer la roue, c'est qu'il me considère comme un "meneur", ou un exemple pour lui; je sais, c'est assez orgueilleux, mais je ne me prends pas tout à fait au sérieux. Surtout, ça ne m'énerve pas. Sauf en situation de course, évidemment... Je vous propose de considérer ma question calmement, sans prise de tête, juste pour le plaisir de découvrir de nouvelles choses sur nous-mêmes...