Pour moi le vélo, c'est quand je veux, où je veux et comme je veux, difficilement compatible avec la vie d'un club. Ben voilà, la synthèse parfaite. Plus de questions à se poser pourquoi les clubs se meurent, l''individualisme forcené de notre société Je ne vois pas en quoi ma pratique solitaire (je parle du vélo) affecte la pérennité des clubs. Je n'ai jamais été licencié dans un club cycliste, donc je ne manque à personne. Pour autant, ça n'est pas incompatible avec l'envie de vouloir rouler de temps en temps avec des copains. Mais il y a une différence entre planifier de temps à autres un rdv et un parcours, avec le rdv hebdromadaire tous les dimanches matin, queque soit le temps. J'y vois un avantage toutefois, c'est une motivation régulière qui m'aurait peut-être évité une pratique cycliste irrégulière.