Je suis horrifié de la fallacieuse réputation que d'aucuns entretiennent en permanence à mon encontre. Dès qu'on parle petit braquet, zou, on a notre Franck qui débarque. Normal. Par contre, quand ça envoie du lourd, on (on = pronom indéfini) attend que je me manifeste, alors que je n'ai rien à voir dans l'histoire. Je soupçonne une provocation amusée du on en question, le connaissant bien maintenant, vilain garçon. Apôtre et chantre de la juste mesure (interdit de rire), je prône au contraire une saine adaptation de la machine à l'homme en fonction des conditions de la route. Ceci veut dire qu'on pousse petit quand ça grimpe dur, moyen quand ça grimpe moyen ou léger, et solide quand c'est plat. Le tout adapté à l'âge du capitaine et à sa condition physique du jour. En somme que de la logique. Retour 30 ans en arrière, ça envoyait du lourd en permanence. Oui je sais, patati et patata, évolution, cardio, fréquence, au secours. J'avais des copains à l'époque qui ont cassés des guidons et même des manivelles, en plus de quelques chaînes. Bon, c'étaient des boeufs aussi :-)