
Olivier PINEAU
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Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Bon bah moi je voulais juste dire (et sans vouloir juger d'autre personne que moi-même) que j'avais fait ma modeste sortie de 67 km avec un D+ de 780m en 2h15, que j'en étais content, que c'était vrai, qu'on pouvait rouler aussi à moins de 30 km/h de moyenne sur une ch'tite sortie et en tirer une certaine fierté. Voilà.... Et bravo à tous ceux qui font mieux, les Garreau, Morel, Rémy... Mais je suis sûr qu'ils savent pas faire moins bien que moi, nananèreu!!!!😃 -
Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
46 km, 370 D+. sortie force sur parcours vallonné vent de face, puis retour vent de dos sur du plat, 50/17 ou 50/15 entre 35 et 40 km/h. Moyenne, 31.2 (ça monte, ch'uis content!!!) -
Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
34/21 voire 34/24 par endroits si je me souviens bien. Pourquoi? Par "tranquille" je veux dire sans forcer sur les jambes en mettant un braquet trop dur. Je voulais y aller en souplesse, en fréquence. Je maintiens l'avoir monté à exactement (après calcul) 14,8 km/h, excuse-moi d'avoir grugé de 0,2. ça me semble loin d'être infaisable. Mais pour te rassurer, oui j'étais fatigué quand même la-haut, mais pas cuit, c'est ce que je recherchais. -
Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Sortie pèpère, 92 bornes, 1350 D+, dont un col de 14 km à 5%, pas dur mais long, monté à 15 de moyenne sans forcer, en moulinant. Le tout en 3h26. Bonnes sensations. -
Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Je me sens petit face à beaucoup d'entre vous avec mon 55km , 680 D+ à 30 km/h, c'est pourtant mon record pour ce qui est de la moyenne. J'en suis à ma première année, on verra si ça aura encore progressé dans 2 ans. -
Bah, pour ma première année (j'ai commencé en Septembre 2013), je cumule à peine 4000 bornes depuis Janvier, environ 37000 de D+(données openrunner), 2 cyclos moyen parcours (dont la mountagnole). Mon objectif c'est au moins 7000 km fin Décembre. J'suis dans les temps.
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J'ai peu d'expérience, ce n'était que ma 2ème cyclo, et je n'ai fait que la "petite". Mais pour ce qui est de la difficulté, j'ai été servi. Si certains trouvent que de terminer un parcours par un col HC du tour de France (16 km, 7.8%), c'est moyen, je ne sais pas ce qu'il leur faut! Je ne parle même pas du grand parcours. En tout cas je me joins aux autres témoignages de remerciements dédiés aux bénévoles de l'Ariegeoise, c'était vraiment super, j'y reviendrai.
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Après m'être mis au vélo en Septembre dernier, j'ai participé à ma 2ème cyclo en tout et pour tout: La Mountagnole, le "petit" parcours de l'Ariegeoise 2014. J’appréhendais pas mal, on m'avait dit: "fais gaffe, c'est noir de monde, ça part comme des fusées devant".... Eh ben en fait... c'est vrai! 4800 inscrits sur l'ensemble des parcours, et 4800 rien que pour la Mountagnole. Je m'étais levé super tôt pour arriver au départ à 7h15 (à ma première cyclo j'étais parti en queue de peloton, j'étais frustré) et ô surprise, j'étais dans les 20 premiers. J'en avais presque peur. Quant au départ, on passe de 0 à plus de 40 km/sur du plat en 1 km, le tout sans échauffement. C'est aussi flippant que grisant, bref, j'ai adoré. Au programme, 110km, 2600 de dénivélé avec le plateau de Beille pour nous achever. On part de Tarascon, très vite un 1er raidillon fait un premier écrémage, je l'ai passé beaucoup plus vite que lors de ma reconnaissance du parcours, sans pour autant être entamé, ça m'a motivé, du coup je me suis accroché aux wagons dont l'allure me convenait. On filait vite et pourtant beaucoup revenaient de l'arrière pour me passer( là, ça m'a pas mal calmé, y a du niveau et je suis pas de taille!!!) mais je m'en fous, ça reste l'éclate totale. On passe Foix à toute berzingue puis on prend à droite. Là c'est un long faux plat montant de plusieurs kilomètres, je suis le groupe; mon compteur affiche plus de 30 km/h, c'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi.... (pour la suite de cette phrase, rechanter le refrain de "il jouait du piano debout"). Descente sur Lavelanet, plus loin, je zappe le 1er ravitaillement, j'ai prévu le coup. Arrive ensuite la montée sur Roquefixade avec une première bosse de 1km à 7 ou 8%. On la monte au train, mais si je passe certains coureurs, j'en ai au moins le double qui m'enrhument venu du gras du peloton. En fait, la réalité commence à me rattraper méchamment. Mais je m'accroche encore, même si je ne peut tenir la même cadence. Je trouve quelques coureurs qui roulent à une allure qui me va et me cale dans leurs roues. On redescend sur Foix, cap au sud jusqu'à Bompas, ça roule encore assez vite, et c'est même trop vite pour moi. Quelques kilomètres avant de tourner à gauche et monter vers l'avant dernière difficulté (Le pas de Soloumbrie, une vraie vacherie!!!) je lève le pied pour m'économiser un peu. ça monte de plus en plus. Je m'arrête 2 minutes près d'une fontaine pour recharger bidons et refroidir la chaudière qui commence à fumer! Je ne suis pas le seul d'ailleurs. Cette montée a 4 kilomètres vraiment casse pattes. Je monte à 10, 11 km/h, avec tout à gauche, le 34/27. J'ai bien fait de mettre une cassette 12/27 dents à l'arrière, parce qu'avec le 25... (c'est peut-être un détail pour v... bon j'arrête). C'est long, c'est long (presque autant que ce texte que certains liront. D'ailleurs je salue les courageux qui sont parvenus jusque là. Ce passage vous est dédié.) mais on finit par en voir la fin, même si ça reste du faux plat montant (non, pas Yves!). Descente super dangereuse, très pentue, des lacets difficiles à négocier. Mais là encore, comme sur tout le reste du parcours, c'est bien indiqué, des bénévoles nous avertissent avant chaque virage. Malgré ça, y a toujours des imbéciles pour essayer de gagner le temps perdu dans la côte en prenant des risques inutiles et en engageant l'intégrité physique des autres. Pas étonnant qu'il y ait eu de la casse avec des zozos pareils. On arrive aux Cabannes, là je m'arrête et fais le point au ravitaillement avant l'enfer qui s'annonce. Je m'étais fixé 3h 30 au pied du Plateau, j'ai 25 minutes d'avance, ça c'est le positif... le négatif c'est qu'il commence à faire chaud, que j'aime pas ça et que je suis déjà bien cuit, les jambes dures, bref je sais déjà que je vais en ch... Je pars sur le 34/27, en moulinant à mon rythme. J'en dépasse certains, d'autres en font de même avec moi... bref tout le monde fait comme il peut: 16km à presque 8%. Les 5 premiers, ça va, ce qui me surprend. Puis d'un coup plus rien. J'ai pourtant bu et mangé régulièrement, mais là chaque tour de pédale demande une motivation surhumaine. Je me pose à l'ombre, allongé, le souffle court, me relève et part. Sur le bord de route, c'est le Verdun du cyclisme: visages marqués, rictus de douleur, étirements, recherche d'un inaccessible souffle nouveau... mais qu'est-ce qui peut nous pousser à ça? Je poursuis tant bien que mal (surtout mal en fait) mon périple, m'arrêtant encore 4 fois dont 2 aux ravitaillements. Une personne me propose de m'arroser pour me rafraichir, j'ai pour lui le regard enamouré d'une groupie des Beatles, à cet instant je suis prêt à l'épouser, lui et sa grosse... moustache (à quoi pensiez-vous?) Les 3 derniers kilomètres: c'est de moins en moins pentu, je retrouve des forces et accélère histoire de finir en beauté. Je passe la ligne d'arrivée. Une personne me propose de l'eau. Je la prend en la remerciant, mais lui précise que j'ai donné ma main au moustachu qui avait un gros tuyau 5 kilomètres plus bas. Repas salvateur: tartiflette. J'étais prêt à bouffer un boeuf tellement j'avais la dalle. C'est anecdotique mais bon j'en suis fier: Pour ma toute toute première fois (cf: Jeanne Mas) sur la mountagnole, je termine 874ème sur 2800, en 5h04 mn. L'essentiel est ailleurs, la vue est aussi magnifique que les visages sont marqués, les corps endoloris, mais l'esprit apaisé. Pour tout ça, je reviendrai. Voilà, d'habitude je fais long, mais là j'ai abrégé.
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Fontaine au pied de beille?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans L'entrainement et la santé
Les dernières prévisions météo nous ont l'air favorable: 14 degrés au départ, 23 degrés l'après midi, temps un peu nuageux, quelques gouttes. Si ça se confirme, ce sera nickel, Merci Florent!!! -
Fontaine au pied de beille?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans L'entrainement et la santé
J'ai reconnu le parcours (Mountagnole)ce week end, je confirme: de nombreuses sources à disposition dans la montée vers Roquefixade, puis dans la montée de souloumbrie (une à Arnave, l'autre à Cazenave). Je peux vous dire que si ça cogne autant le 28 Juin que le week end dernier, il vaut mieux anticiper au maximum ces points d'eau. Au passage, avec un temps chaud comme ça, je peux vous dire que ce parcours risque de faire mal, j'en ai chié. -
Velotaf pour s'entrainer?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Pour répondre à ma propre question, c'est vrai que le vélotaf maintient un minimum d'entrainement dans la semaine sans trop prendre sur le temps libre... et surtout ça m'a permis de me faire un peu la caisse et les jambes étant donnée la différence de poids entre les 2 vélos. Bilan: 8 kilogs de perdus depuis Septembre 2013, une préparation plus efficace que ce que je craignais, j'ai fait ma toute 1ère cyclo le 27 avril dernier à 27,5 km/h, Brevet OR, 149ème place sur 580 ... et l'envie de m'améliorer encore. Du coup je continue et le vélotaf et les cyclos. Vus les beaux jours qui s'annoncent aller au boulot à vélo c'est plutôt le panard. Je le recommande à tous ceux qui hésitent encore. C'est juste une question d'organisation. -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
Et moi que scott, look ou specialized et consort vont sortir d'ici là un modèle "pédalo de montagne"😆 -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
merci pour ces renseignements. La Barrouse Bales, je ne connaissais pas. Je viens de voir le lien, c'est tentant. ça pourrait s'intercaler entre la montagnole (fin juin), et la jalabert (fin aout). Sinon, sur le site http://la-ronde-castraise.fr/palmares/, tu peux te voir photographié dans le dernier col, c'est amusant de se voir avec un sourire crispé et 2 dixièmes de secondes pour essayer de bien capter la lumière (surtout ce jour-là!) et capter l'objectif. bonne continuation et à l'an prochain, voire plus tôt si tu fais l'une de ces cyclos. -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
Merci pour ton récit, ça me fait revivre ma propre expérience. J'ai consulté les résultats et comparé aux années précédentes: Il faut croire que ça a roulé beaucoup moins vite cette année. Avec le même temps (3h33, 149ème place en 2014), j'aurais été seulement 280ème en 2013 et au delà de la 300ème en 2012. Je crois pourtant que c'était le même parcours. La météo a du faire son oeuvre. Il y a eu pas mal d'abandon Mon objectif l'an prochain: faire moins de 3h25 sur le même parcours. Je ne suis pas attiré par le grand: trop long trop tôt dans la saison. Je vais surement m'inscrire à la mountagnole de l'ariegeoise, puis la jalabert à Mazamet. -
Votre sortie du jour 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans L'entrainement et la santé
Sortie de 55km avec 650 D+, force/vélocité qui fait suite à une sortie "reprise" de 80 bornes la veille (après la cyclo de Dimanche dernier). Bilan super positif, c'est mon 1er 30km/h de moyenne. "C'est peut-être un détail pour vous, mais pour moi ça veut dire beaucoup". (à lire en chantant du France Gall...non c'est pas le tournoi des 6 nations...bon je sors!🤐) -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Je ferai la Jalabert cet été, et je me tâte pour l'ariegeoise (mountagnole). -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Merci, guillaume. Pour l'histoire des bourdes à répétition, ce qui est rageant ce sont les conséquences: départ en queue de peloton, 3 arrêts inutiles...j'aurais sans doute pu faire un meilleur résultat$. Mais bon, on peut pas toujours avoir les jambes et la tête... c'est pour ça qu'on a nos femmes! -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
En fait, il a assez vite décroché, je l'ai attendu... sur la ligne d'arrivée, il est arrivé 20 bonnes minutes après moi, un peu déçu de sa performance mais pas surpris vu son manque de préparation. -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
aaaaaah! Que de saine lecture on trouve en ces endroits. C'était quoi ta première? Où as-tu laissé ta 1ère "trace de pneu"? ("cyclistement" parlant évidemment) -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
Bon beh voilà c'est fait, alors comme tout le monde brûle d'impatience je vous fais MON Compte Rendu de ma 1ère cyclo: La RONDE CASTRAISE 7h: lever, p'tit déj, dernières préparations, passage obligé aux toilettes histoire de s'alléger de 200g (c'est un rituel chez moi). Chargement de la voiture et zou. Le temps est moins catastrophique que prévu, mais ça reste quand même hostile: vent (mais assez léger finalement), pluies intermittentes et 7 degrés. 8h10: j'arrive au parking du parc des expo (lieu de l'arrivée avec repas, douches, organisation top du top) où je retrouve Thierry, une connaissance qui s'occupe d'un club cycliste et avec qui je vais être au départ. 1ère bourde: j'ai oublié mes chaussures! Pas le temps de tergiverser, je repars en 4ème vitesse, Thierry me faisant la sympathie de m'attendre. Je suis de retour sur le parking à 8h45. On peut enfourcher nos destriers pour rallier le départ au centre ville. Conséquence: 580 participants, nous sommes dans les 100 derniers. Mais bon, l'ambiance est bonne et on y est, c'est l'essentiel. 9h20: départ, enfin si on peut dire vu le nombre de vélos, c'est de la trottinette sur les 500 premiers mètres, les cadors devant sont eux déjà en train de passer le grand plateau. Sorti du centre ville, je roule en souplesse et augmente au fur et à mesure le développement, on est entre 30 et 35 sur le plat. Inutile d'aller plus vite, la 1ère difficulté arrive assez vite (6 km): côte de Lacrouzette. On a déjà remonté pas mal de personnes, ce qui me surprend agréablement avant la côte (5 km à 5.5%). Je la monte entre 15 et 16 km/h. Au bout d'1 km, plus de Thierry (il me dit avoir peu roulé cet hiver, 1000km depuis Janvier). Là je me sens pousser des ailes parce que je double un nombre incroyable de cyclistes plus ou moins à la peine. Arrivé au sommet, je suis encore frais, j'entame la descente à une allure modérée (chaussée trempée). 2nde bourde: c'est important de boire... pour cela vaut mieux ne pas laisser tomber sa gourde ...c'est pourtant ce qui m'est arrivé, j'y perd une bonne minute et je repars. Dans la partie "plaine" (en fait assez vallonnée), je rejoins un groupe, trop lent. Je le passe et profite d'une bosse pour en rejoindre un 2nd (pas très rapide, mais déjà plus vaillant) je décide de rester avec celui-là. Au bout d'un moment, sans chercher à remonter le groupe, je me retrouve devant et je comprend que les 2 seuls qui roulent en ont marre. Je prend la suite et là je m'aperçois qu'en fait le groupe ne suit pas. Alors j'y vais seul. 2nde côte: 4km à 6.5%. Je rejoins un autre groupe qui monte à un rythme correct pour moi. Certains disent "y'a personne qui relance, comme toujours". Un gars s'y colle de façon assez franche, je décide de prendre sa roue sans rien me promettre. Surprise, je tiens le rythme, je relance même et finis par le lâcher. Intérieurement, je vous dis pas ma fierté (c'est mon alpe d'huez...enfin à 13 km/h...et en moins long.. et moins pentu...). Au sommet, j'en ai encore pas mal rattrapé. Du coup je me lance seul sur la partie suivante: un plateau où se succèdent plusieurs bosses. J'y rattrape encore une dizaine de gars un par un. La plupart reste dans ma roue mais ne prennent pas de relais. Tant pis. 3ème bourde: c'est important de faire réviser son vélo par un vélociste compétent... ce qui ne semble pas être le cas du mien. Dans la descente, j'entends soudain un "HIIIIIIIIII!" tellement strident que je m'arrête aussitôt. Je vérifie les patins, ça ne frotte pas, les roues ne sont pas voilées. Je repars. (1mn de perdue encore) Je comprend plus tard que ça vient du boitier de pédalier car ça ne couine que lorsque je ne pédale pas. (mon cher vélociste m'avait dit: "j'ai tout redémonté, regraissé... vous pouvez y aller tranquille!" CONNARD!!! J'ai donc perdu le bon wagon et je termine seul la descente en faisant tourner les manivelles histoire de ne pas affoler la faune locale! La dernière côte arrive... les jambes se font dures. Ce qui me rassure, c'est qu'elles sont dures pour tout le monde apparemment. Je plafonne à 11 km/h dans cette pente de 4 km à 7.5%. Un gars sur le bord de la route tient le compte des positions. Il me pointe du doigt et me dit: "tu es 173ème!" Je n'ose y croire mais ça me fait du bien d'entendre ça. Du coup je décide de ne pas m'écouter trop et tiens le rythme. Je suis dépassé par 2 à 3 personnes, mais j'en double pas mal aussi. 4ème bourde: C'est réconfortant de se voir encouragé sur le bord des routes, mais faudrait peut-être aussi regarder les pancartes et ne pas se gourer de chemin. C'est pourtant ce que j'ai réussi à faire dans la descente où je menais un groupe de 5. Du coup je perd une 30aine de secondes. Heureusement, le groupe est sympa (en fait ça ne relance pas du tout) je les rejoint et assez vite je me retrouve à nouveau devant. Avant d'entamer le dernier raidillon cote de 1km, je suis bien naze, mais les autres aussi. Je décide de la monter en costaud (enfin... je veux dire par rapport aux autres). Un seul me suit et passe devant. Je le suis, on terminera ensemble. Tout près de l'arrivée je vois le speaker :(surprise) c'est une de mes connaissances. M'ayant reconnu, il me fait un commentaire endiablé digne d'une arrivée sur les champs Élysées. Un peu too much mais ça m'a bien fait rire. Point très positif: Je suis crevé mais j'ai pas si souffert que ça. 27,3 km/h avec les pépins qui me font perdre quasi 3 minutes, brevet "or" sur le diplôme et une 149ème place sur 580. Tout ça pour une première cyclo. ça donne envie d'y retourner. Chapeau aux organisateurs, c'est vraiment impeccable. J'espère que les autres courses cyclo sont du même tonneau. Voilà, c'est fini. Si t'as pu tout lire sans t'endormir, c'est grâce à mon style littéraire inimitable... ou alors que tu es très tolérant! -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Bon beh voilà c'est fait, alors comme convenu je vous fais le Compte Rendu de ma 1ère cyclo. (La ronde Castraise, parcours de 97 km 1580 D+) 7h: lever, p'tit déj, dernières préparations, passage obligé aux toilettes histoire de s'alléger de 200g (c'est un rituel chez moi). Chargement de la voiture et zou. Le temps est moins catastrophique que prévu, mais ça reste quand même hostile: vent (mais assez léger finalement), pluies intermittentes et 7 degrés. 8h10: j'arrive au parking du parc des expo (lieu de l'arrivée avec repas, douches, organisation top du top) où je retrouve Thierry, une connaissance qui s'occupe d'un club cycliste et avec qui je vais être au départ. 1ère bourde: j'ai oublié mes chaussures! Pas le temps de tergiverser, je repars en 4ème vitesse, Thierry me faisant la sympathie de m'attendre. Je suis de retour sur le parking à 8h45. On peut enfourcher nos destriers pour rallier le départ au centre ville. Conséquence: 580 participants, nous sommes dans les 100 derniers. Mais bon, l'ambiance est bonne et on y est, c'est l'essentiel. 9h20: départ, enfin si on peut dire vu le nombre de vélos, c'est de la trottinette sur les 500 premiers mètres, les cadors devant sont eux déjà en train de passer le grand plateau. Sorti du centre ville, je roule en souplesse et augmente au fur et à mesure le développement, on est entre 30 et 35 sur le plat. Inutile d'aller plus vite, la 1ère difficulté arrive assez vite (6 km): côte de Lacrouzette. On a déjà remonté pas mal de personnes, ce qui me surprend agréablement avant la côte (5 km à 5.5%). Je la monte entre 15 et 16 km/h. Au bout d'1 km, plus de Thierry (il me dit avoir peu roulé cet hiver, 1000km depuis Janvier). Là je me sens pousser des ailes parce que je double un nombre incroyable de cyclistes plus ou moins à la peine. Arrivé au sommet, je suis encore frais, j'entame la descente à une allure modérée (chaussée trempée). 2nde bourde: c'est important de boire... pour cela vaut mieux ne pas laisser tomber sa gourde ...c'est pourtant ce qui m'est arrivé, j'y perd une bonne minute et je repars. Dans la partie "plaine" (en fait assez vallonnée), je rejoins un groupe, trop lent. Je le passe et profite d'une bosse pour en rejoindre un 2nd (pas très rapide, mais déjà plus vaillant) je décide de rester avec celui-là. Au bout d'un moment, sans chercher à remonter le groupe, je me retrouve devant et je comprend que les 2 seuls qui roulent en ont marre. Je prend la suite et là je m'aperçois qu'en fait le groupe ne suit pas. Alors j'y vais seul. 2nde côte: 4km à 6.5%. Je rejoins un autre groupe qui monte à un rythme correct pour moi. Certains disent "y'a personne qui relance, comme toujours". Un gars s'y colle de façon assez franche, je décide de prendre sa roue sans rien me promettre. Surprise, je tiens le rythme, je relance même et finis par le lâcher. Intérieurement, je vous dis pas ma fierté (c'est mon alpe d'huez...enfin à 13 km/h...et en moins long.. et moins pentu...). Au sommet, j'en ai encore pas mal rattrapé. Du coup je me lance seul sur la partie suivante: un plateau où se succèdent plusieurs bosses. J'y rattrape encore une dizaine de gars un par un. La plupart reste dans ma roue mais ne prennent pas de relais. Tant pis. Advienne que pourra. une dernière bosse plus prononcée me permet de doubler d'autres concurrents... et de voir 2 autres avions qui déboulent et me passent. Je prend difficilement leur roue mais je tiens bon: ils vont m'emmener dans la descente. 3ème bourde: c'est important de faire réviser son vélo par un vélociste compétent... ce qui ne semble pas être le cas du mien. Dans la descente, j'entends soudain un "HIIIIIIIIII!" tellement strident que je m'arrête aussitôt. Je vérifie les patins, ça ne frotte pas, les roues ne sont pas voilées. Je repars. (1mn de perdue encore) Je comprend plus tard que ça vient du boitier de pédalier car ça ne couine que lorsque je ne pédale pas. (mon cher vélociste m'avait dit: "j'ai tout redémonté, regraissé... vous pouvez y aller tranquille!" CONNARD!!! J'ai donc perdu le bon wagon et je termine seul la descente en faisant tourner les manivelles histoire de ne pas affoler la faune locale! La dernière côte arrive... les jambes se font dures. Ce qui me rassure, c'est qu'elles sont dures pour tout le monde apparemment. Je plafonne à 11 km/h dans cette pente de 4 km à 7.5%. Un gars sur le bord de la route tient le compte des positions. Il me pointe du doigt et me dit: "tu es 173ème!" Je n'ose y croire mais ça me fait du bien d'entendre ça. Du coup je décide de ne pas m'écouter trop et tiens le rythme. Je suis dépassé par 2 à 3 personnes, mais j'en double pas mal aussi. 4ème bourde: C'est réconfortant de se voir encouragé sur le bord des routes, mais faudrait peut-être aussi regarder les pancartes et ne pas se gourer de chemin. C'est pourtant ce que j'ai réussi à faire dans la descente où je menais un groupe de 5. Du coup je perd une 30aine de secondes. Heureusement, le groupe est sympa (en fait ça ne relance pas du tout) je les rejoint et assez vite je me retrouve à nouveau devant. Avant d'entamer le dernier raidillon cote de 1km, je suis bien naze, mais les autres aussi. Je décide de la monter en costaud (enfin... je veux dire par rapport aux autres). Un seul me suit et passe devant. Je le suis, on terminera ensemble. Tout près de l'arrivée je vois le speaker :(surprise) c'est une de mes connaissances. M'ayant reconnu, il me fait un commentaire endiablé digne d'une arrivée sur les champs Élysées. Un peu too much mais ça m'a bien fait rire. Point très positif: Je suis crevé mais j'ai pas si souffert que ça. parours ouclé n 3h33 à près de 27,3 km/h avec les pépins qui me font perdre quasi 3 minutes, brevet "or" sur le diplôme et une 149ème place sur 580. Tout ça pour une première cyclo. ça donne envie d'y retourner. Chapeau aux organisateurs, c'est vraiment impeccable. J'espère que les autres courses cyclo sont du même tonneau. Voilà, c'est fini. J'ai fait long. Si t'as pu tout lire sans t'endormir, c'est grâce à mon style littéraire inimitable... ou alors que tu es très tolérant! -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Ben c'est juste ma "toute toute première fois" comme dirait Jeanne Mas, alors j'essaie de ne pas faire de bêtises. Je me prends pas la tête pour autant. En tout cas merci de votre bienveillance et votre bonne humeur, sympa ce forum. -
1ère cyclo: du retard dans ma préparation?
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans L'entrainement et la santé
Oui papa!😃 j'ai fait tous mes devoirs: vélo révisé, provisions faites, petit tour ce matin pour faire tourner les jambes, pâtes à midi et ce soir riz (mais raisonnablement).Dodo à 10h, lever à 7h. J'ai prévu palmes et tuba vu le temps annoncé. Je vous fais le CR demain soir. En attendant, tout comme Edith, je piaffe. (oui quand je m'y met, je la sort bonne🤐) -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
Bah... 'faut s'enduire de graisse de canard du sud ouest: efficace, naturel et local. Plus sérieusement, il va pas faire si froid à mon avis, la pluie mais 10 degré c'est supportable avec un bon coupe vent imperméable. J'ai plus peur du vent et de la pluie (descentes plus délicates à négocier) que du froid qui ne sera pas si redoutable à mon avis. -
La ronde castraise 2014
Olivier PINEAU a répondu à un(e) sujet de Olivier PINEAU dans Les évènements route
Parcours refait une dernière fois ce Lundi de Pâques, je me suis fait plus violence: bilan j'ai bouclé seul les 97 km à + de 26 de moyenne. Je pense être prêt pour ma "toute toute première fois" (à dire en chantant du Jeanne Mas, ça passe mieux... quoique...) Bonne course à vous tous et rendez-vous Dimanche (sous la pluie apparemment 😢)