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Perspectives ...


Franck Steinel

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J'aimerais, quand j'aurais quitter ce pays que tout le monde adôôre, et que je je déteste, La Bolivie, me remettre à rouler. Sur route, bien-sûr, mais aussi en sous bois. La végétation me manque tellement ... 

Bref, pour me projeter hors de cet endroit, au moins d'ors et déjà par la pensée, je commence à regarder à droite à gauche ce qui se fait. Je songe à me diriger plutôt vers le cross country, pour le choix de ma future monture, surtout parce que cela me semble moins éloigné de l'effort sur route. Mais j'avoue que je n'y connais rien, hormis une ou deux sorties il y deux, trois ans. 

Si quelqu'un pouvait me donner les grandes lignes des pratiques les plus communes de types balades pouvant êtres engagées, je lui en serais reconnaissant. 

Par ailleurs, toujours par goût, sans doute, de la route, les vélos qui m'attirent ressemblent toujours à des machines de routes. Et donc toujours en semi rigide, une erreur ? 

 

Merci

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Il y a 4 heures, Steven OVEN a dit :

Pourquoi es-tu encore là si tu détestes ce pays?

Peut-être parce que sa compagne s'y trouve bien et perçoit un salaire confortable.
Personnellement, ce que je comprends moins, c'est qu'il ne semble pas rechercher les points positifs que peut lui offrir la Bolivie.

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Je ne sais pas toi, Steven, mais les gens ne choisissent pas toujours le lieu de leur affectation, et où ils seront mutés. Le cas de ma femme, ici en l'espèce, et en effet. Mais disons que ça part mal, pour apprécier un endroit, quand tu es malade la moitié du temps sur place. Et 9 mois sur 18, ça fait beaucoup.

 

Tu vois ta condition décliné, et cela devient compliqué de chaque fois se remettre d'aplomb, pour rechuter, toujours trop tôt. Amibes, salmonelles, parasites, etc ... Je ne mange presque plus qu'à la maison, mais pas toujours, et il reste un risque, malgré tout. Même l'eau en bouteille, parfois est problématique. 

Pardon pour ce détail scabreux, mais avoir la colique, et devoir aller près de trente fois aux toilettes, en moins de 24h, ça te fout par terre, de façon radicale. 23 jours d'antibiotiques, et 9 semaines pour le denier épisode de réjouissances, ... Pas de quoi s'enthousiasmer. 

 

Ma vie sociale ici, est plutôt pauvre, malgré les liens créé sur place, et les événements divers. On ne peut pas non plus squatter les gens. Et les français ne sont pas les plus sociables, il semblerait que la communauté allemande est bien plus investit dans ce registre. Les profs restent entre-eux, et sincèrement est-ce plus mal ? Les jeunes s'adaptent bien, et créent des liens plus facilement. Eux, à l'évidence apprécient leur séjour. Mais ils restent entre jeunes. Personnellement cela ne me flatte pas d'être ici, à tous les sens du terme.

 

La ville, malgré la somme considérable de vidéos YouTube qui ne cesse de s'extasier sur les lieux, c'est agaçant mais compréhensible, est moche comme un cul merdeux. Pas d'agréments, et peu d'activité, physique ou autre. En plus des raisons évoqués plus haut, de l'altitude, et du peu d'endroit se prêtant à la chose. J'ai songé acheter un VTT, mais entre deux épisodes sanitaire, ma condition, et le reste, j'ai reporté ce projet à plus tard, loin d'ici. 

 

C'est moche, c'est laid, c'est ennuyeux, et sans intérêt, et la mentalité, je ne l'apprécie pas. Les boliviens avec qui nous avons sympathiser ont une mentalité d'occidentaux, et je passe sur les avatars personnels qui ne manquent pas de te faire te demander ce que tu fous-là. 

 

Je ne suis pas, un touriste. Je ne regarde pas avec bienveillance ce que je ne tolèrerais pas chez moi. Je suis pragmatique, et La Paz, à défaut de La Bolivie, n'a rien pour me séduire. J'attends que cela passe, comme un mauvais moment, et me barrer d'ici, le plus vite sera le mieux. 

 

Les points positifs, Bernard ? L'endroit t'invites à te concentrer sur toi, et tes projets personnels, faute de mieux, et c'est déjà pas mal. Que peut-il bien y avoir de positif, ici ? Le poids de la législation est moins prégnant qu'en France, c'est le grand point positif, selon moi. Même si la mentalité bolivienne est psycho rigide, sur le sujet. Hormis ça ... Quand tu as l'impression de subir en permanence, cela ne te donnes pas le goût de creuser, de voir plus loin. Non, vraiment, rien ne m'attire particulièrement. La ville est moche, mais moche. La cuisine est à oublier, vraiment, hormis peut-être une table ici ou là, dans des endroits particulier. Mais rien de transcendant non plus au regard de ce qui se fait en France. La culture me laisse froid. Les paysages, sorti de La Paz, oui, une fois passé la pampa. Mais cela saurait-il suffire à agrémenter mon séjour ? Pas suffisamment malheureusement.

 

Il me tarde de partir, de retrouver quelque chose plus en accord avec ce qui selon moi fait le plaisir de l'existence, et de me remettre enfin au vélo. Ce jour-là, ce sera jour de fête ! Même si je sais que cela va être difficile. J'espère que nous aurons plus de chance pour notre prochaine destination ... 

 

 

Modifié par Franck Steinel
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Le choix d'un vtt va dépendre de ton terrain de jeu . Lorsque j'ai quitté ma région d'origine , j'avais un semi-rigide après avoir roulé un tout-suspendu (bon , à l'époque , ce n'était pas des débattements de fou ! ) . Arrivé dans ma région d'adoption (je suis resté en France , ouf ! ) ça n'a plus été la même musique , à tel point que j'ai laissé tomber le vtt pendant 7 ans .

Puis reprise  avec un semi-rigide , ensuite un tout-suspendu (quel confort, enfin ! ! ) avant de revenir à un tout-rigide , mais en version fatbike .Et là , pour moi , c'est parfait : un certain confort (ça ne vaut pas un TS ,mais c'est mieux qu'un SR ) et un entretien simpliste .Parce que les TS , il faut entretenir les suspensions et cela a un coût !

 

Cet été je suis remonté dans ma région d'origine pour des vacances , mon frère m'a prêté un SR : vélo parfait pour le terrain .

De toute façon on arrive à des ages où la performance n'est plus le critère n° 1 . Je pense que , toujours suivant le terrain , un TR peut même être un bon jouet , à condition de ne pas chercher la performance , mais le plaisir de " lire " le terrain et de jouer avec .

En gros je dirais qu'avec un TS tu roules sans t'occuper du terrain , avec un TR , tu roules en lisant le terrain , et avec le SR c'est un mix des 2 .

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Merci Claude, c'est éclairant. Je ne pensais que la différence était aussi flagrante de l'un à l'autre. Mais bon, j'aimerais avoir une pratique sportive, à terme, mais pas forcément sur des terrains très cassants. 

Comme dit, j'ai peu de points de repères. Pour moi, l'absence de confort m'évoque mon vélo de route alu, sur lequel j'avais commencé la pratique. Et où après 80 km je rentrais forcément moulu, et cassé de partout quand je tutoyé les 120. Et j'étais bien plus jeune, pourtant. 

 

Pour ça, le carbone fut une révélation, et sans doute le point le plus appréciable de ce matériau. Bon, en VTT, les distances ne doivent pas êtres les mêmes. Mais le terrain non plus. Je ne sais pas ce qu'est un fat bike, hors l'idée que je m'en fais. Gros pneus, mais après ? J'irais voir ...

 

De nos jours, je crois que les VTT TS, ont autant de rendement que les SR. Alors hormis l'entretien, cela vaut-il la peine de se pencher sur les seconds ? A lire des commentaires, deci delà, il y a quand même des aficionados, qui si je devrais résumer leurs propos ... Le VTT SR c'est plus simple et direct, d'entretien aussi, et cela demande une lecture du terrain, tout en préservant les sensations. Sans doute au détriment du confort. Quid de l'efficacité, et du plaisir quand on est pas un pilote aguerri ? 

 

Et un VTT TS, ça passe partout, et pardonne beaucoup au détriment du reste. Il faut une pratique engagée, de ce que je comprends, pour avoir des sensations. Mais pour un novice, c'est peut-être plus conseillé ? 

Pourtant, nombre d'amateurs de semi rigide, affirme que ce dernier, est le passage obligé pour apprendre à piloter. 

 

Bon, j'ai le temps d'y réfléchir, plus que je ne le voudrais 😄mais le temps passe vite ... Et puis comme le dit, René, un vieux biclou de 20 ans d'âge peut faire l'affaire, alors pourquoi se prendre la tête. L'occasion, vélo et terrain, fera le larron. 

 

Merci

Modifié par Franck Steinel
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Terre et pierres fixées au sol (terrain des " 24h00 des crapauds " autour de Metz ) , pas de passage très technique .

Oui , le TS , en exagérant un peu , tu restes le cul sur la selle et tu traces tout droit .Avec un SR , tu bouges beaucoup plus sur le vélo pour soulager l'arrière , mais je trouve que c'est ce qui fait le charme du vtt , lire et anticiper le terrain ; c'est vrai aussi que j'ai commencé le vtt fin des années 80 et que bien évidemment il n'existait pas de suspension , mais ça m'a appris les bases du vtt , et avec mon fat , je retrouve les sensations de ma jeunesse (mais pas les jambes ! ) .

Il y a aussi la question du budget , un bon TS sera plus cher qu'un bon SR .

Attention aussi , il est plus facile de passer du vtt à la route que l'inverse ! Le vtt , déjà , les moyennes n'ont plus rien à voir ; et puis le haut du corps travaille beaucoup , d'où une fatigue qui arrive plus rapidement . On avait coutume de dire que x km en vtt équivalaient à 2x km de route , mais là aussi , ça dépend du terrain ...et du vélo . C'est sûr qu'avec un très bon TS , tu peux faire de la distance .

  J'essaie de te mettre une photo d'un de mes fats .  Evidemment , sur Metz ce ne serait pas le plus recommandé , mais il ne serait pas ridicule quand même .

 

https://zupimages.net/viewer.php?id=24/33/3x4t.jpg

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Le Fatbike ,a été créé pour la neige , mais il va aussi très bien dans la caillasse et le sable ; mon terrain de jeu c'est surtout de la caillasse alors... Ce n'est pas plus physique qu'avec un autre vtt , sauf sur les parties très roulantes et évidemment , le macadam : on met peu de pression dans les pneus (autour de 400 g pour moi ) donc sur le macadam ça accroche bien , mais comme j'y pose rarement les roues !

Avant mon fat , j'avais un TS ; quelques sorties d'adaptation et mes moyennes étaient les mêmes en fat qu'en TS . Un collègue du Sud-Ardèche a fait la même démarche que moi ( TS=> fat ) pour se calmer dans les descentes , et au final il allait aussi vite .

Mais encore une fois , le fat n'est pas l'arme absolue , ça dépend du terrain .

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Merci Claude. C'est certainement ce qu'il me faudrait ici, les routes sont tellement défoncées, et il y a beaucoup de routes empierrées. Mais comme dit plus haut. Je ne suis vraiment pas en état physiquement, et j'ai remis mes envies de vélo à plus tard, mais ça risque de durer encore, alors qui sait ? 

Par contre, ici, trouver ce genre de vélo, je doute sérieusement. Très sérieusement ...

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Il y a 8 heures, Franck Steinel a dit :

Merci Claude. C'est certainement ce qu'il me faudrait ici, les routes sont tellement défoncées, et il y a beaucoup de routes empierrées. Mais comme dit plus haut. Je ne suis vraiment pas en état physiquement, et j'ai remis mes envies de vélo à plus tard, mais ça risque de durer encore, alors qui sait ? 

Par contre, ici, trouver ce genre de vélo, je doute sérieusement. Très sérieusement ...

si ta santé s'améliore et si tu te décides, ne te casses pas trop la tête, n'importe quel VTT en SR ou TS fera l'affaire pourvu que tu es des pneux corrects et des braquets adaptés... Bon courage pour la suite de ton exil. 

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  • 2 weeks later...
Le 19/08/2024 à 00:19, Franck Steinel a dit :

Merci Claude. C'est certainement ce qu'il me faudrait ici, les routes sont tellement défoncées, et il y a beaucoup de routes empierrées. Mais comme dit plus haut. Je ne suis vraiment pas en état physiquement, et j'ai remis mes envies de vélo à plus tard, mais ça risque de durer encore, alors qui sait ? 

Par contre, ici, trouver ce genre de vélo, je doute sérieusement. Très sérieusement ...

Claude a bien résumé le sujet mais si tu veux faire du VTT et que tu te sens juste physiquement, la solution c'est le VTTAE...

Pour ma part, j'ai toujours eu une pratique du VTT assez "violente", c'est à dire en montagne avec des montées avec de forts pourcentages, des descentes techniques avec des marches... etc...

Donc quand les TS sont apparus ça a été génial. Quand je roulais beaucoup mon vélo était même un All Mountain avec 150mm devant et derrière. 

Mais petit à petit, j'ai moins fait de VTT pour privilégier la route, donc à chaque fois que je prenais le VTT je me faisais hacher (probablement manque de gainage et de repères sur le vélo), notamment les passages délicats techniquement en montée ne passaient plus.

J'ai donc fait l'acquisition d'un VTTAE qui me permettait de passer les obstacles délicats sans me ruiner physiquement. 

J'ai vite revendu le VTT "musculaire"...

Le VTTAE te permet dans le type de pratique décrit ci-dessus de choisir ton niveau d'intensité physique. Si tu mets l'assistance à fond et que tu te mets à fond : 250W de Pierre Plana + 250W du moteur = Matthieu Van der Poel... C'est assez jouissif... mais un peu inutile...

Et l'inconvénient des VTT très assistés c'est qu'ils sont lourds à manipuler (bonjour quand il faut le soulever pour passer un arbre tombé) et un peu patauds en descente.

J'ai donc revendu mon VTTAE et je suis un peu dans la réflexion. Il y a une nouvelle génération de vélo moins assistés et beaucoup plus légers sur lesquels je m'interroge...

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il y a une heure, Pierre PLANA a dit :

Claude a bien résumé le sujet mais si tu veux faire du VTT et que tu te sens juste physiquement, la solution c'est le VTTAE...

Pour ma part, j'ai toujours eu une pratique du VTT assez "violente", c'est à dire en montagne avec des montées avec de forts pourcentages, des descentes techniques avec des marches... etc...

Donc quand les TS sont apparus ça a été génial. Quand je roulais beaucoup mon vélo était même un All Mountain avec 150mm devant et derrière. 

Mais petit à petit, j'ai moins fait de VTT pour privilégier la route, donc à chaque fois que je prenais le VTT je me faisais hacher (probablement manque de gainage et de repères sur le vélo), notamment les passages délicats techniquement en montée ne passaient plus.

J'ai donc fait l'acquisition d'un VTTAE qui me permettait de passer les obstacles délicats sans me ruiner physiquement. 

J'ai vite revendu le VTT "musculaire"...

Le VTTAE te permet dans le type de pratique décrit ci-dessus de choisir ton niveau d'intensité physique. Si tu mets l'assistance à fond et que tu te mets à fond : 250W de Pierre Plana + 250W du moteur = Matthieu Van der Poel... C'est assez jouissif... mais un peu inutile...

Et l'inconvénient des VTT très assistés c'est qu'ils sont lourds à manipuler (bonjour quand il faut le soulever pour passer un arbre tombé) et un peu patauds en descente.

J'ai donc revendu mon VTTAE et je suis un peu dans la réflexion. Il y a une nouvelle génération de vélo moins assistés et beaucoup plus légers sur lesquels je m'interroge...

"Il y a une nouvelle génération de vélo moins assistés et beaucoup plus légers sur lesquels je m'interroge..."

 

Au lieu de 24 kgs ils font 18, toujours de petites motos, pas très maniables et lourdes à manipuler...

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Je crois que dans l'idée, ou plutôt la philosophie, je vais avoir du mal avec le VTT à assistance. C'est peut-être idiot, mais je ne saurais trop l'expliquer ... Je veux faire par moi-même, ou je sais, c'est toujours toi, maiiiis .... Disons que j'ai la fierté mal placé. 😁

 

Bref, la réflexion continue, et si ce n'est pas pour demain, il me tarde. Merci de votre contribution. 

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Le 28/08/2024 à 13:31, René KUENTZLERRE a dit :

"Il y a une nouvelle génération de vélo moins assistés et beaucoup plus légers sur lesquels je m'interroge..."

 

Au lieu de 24 kgs ils font 18, toujours de petites motos, pas très maniables et lourdes à manipuler...

N’ayant pas encore essayé je ne sais pas comment ça réagit. Tu as déjà essayé ?

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il y a 50 minutes, Franck Steinel a dit :

Je crois que dans l'idée, ou plutôt la philosophie, je vais avoir du mal avec le VTT à assistance. C'est peut-être idiot, mais je ne saurais trop l'expliquer ... Je veux faire par moi-même, ou je sais, c'est toujours toi, maiiiis .... Disons que j'ai la fierté mal placé. 😁

 

Bref, la réflexion continue, et si ce n'est pas pour demain, il me tarde. Merci de votre contribution. 

En vélo on a toujours la fierté mal placée… surtout lorsqu’on atteint nos âges, surtout lorsqu’on a plus de mal à s’entraîner…

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