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Giro 2021


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quest ce que tu en sais si c est a la portee de tous.Ca se rajoute au reste  et il en est toujours ainsi.Pendant ce temps eurosport encaisse de la pub en remettant le giro de l an dernier.Face cela j ai resilié mon abonnement depuis milan san remo.J ai un televiseur grand ecran et je ne vais pas payer pour regarder sur une tablette.J espere qu ils prendront le bouillon

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Pas faux sur beaucoup de points, Olivier. Rien n'oblige à regarder ces étapes purges - mais comme j'aime beaucoup le vélo, j'arrive encore à me contenter de ça - surtout avec un temps qui s'est vite couvert à midi en Savoie, avec beaucoup de vent. 

Quant au sprint, on peut bien sur faire sans, et il y en a d'ailleurs de moins en moins. Mais exclure toute étape de plaine des grands tours, ce serait exclure de la liste des vainqueurs d'étapes potentiels toute une catégorie de coureurs qui a aussi le droit de vouloir gagner. Reste la dangerosité des sprints - plus de risques collectifs en effet qu'une descente dans un col, même si les effets peuvent être les mêmes pour celui/ceux qui chutent; je n'ai pas vraiment de solution contre cela. 

Vaste débat...

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Les purs sprinteurs peuvent apprendre à passer les bosses !!! Les exemples ne manquent pas : Sagan, Sonny Colbrelli, Trentin,...même Démarre et Caleb Ewan qui se sont montrés très à leur aise dans le Poggio et la Cipressa... Et je ne parle pas de WVA ou MVDP. Pas mal de courses et je pense aussi leur métier n’en seraient que plus intéressants et au final ils gagneraient peut être aussi souvent et certainement de plus belle manière. On se souviendra davantage de Démarre vainqueur de MSR que de pas mal de collections de bouquets sur des étapes de GT 100% plates...
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On peut m'expliquer comment Viviani fait pour ne pas gagner celle-ci? 

Il est en 3è position derrière son coéquipier et un autre coureur avec une petite cassure et au lieu de lancer quand son coéquipier s'écarte, il regarde les autres revenir. 

Il faut vraiment une sacré entente dans l'équipe pour que les copains recommencent demain.

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Olivier, 

Sans être aucunement spécialiste du sprint, il me semble qu'il y a quelques "grosses cuisses" qui auront beau vouloir apprendre à passer les bosses, ils n'y parviendront jamais - question de poids et de fibres musculaires différentes entre l'effort du sprint et celui d'une ascension. Si c'était juste une question de volonté, il y a beaucoup de sprinteurs qui ne se seraient pas privés de gagner Milan - San Remo (je parle des éditions qui se jouent à la pédale dans le Poggio, et pas de celles où rien ne se décide et tout se joue à 50 dans les rues de San Remo). Ewan est un couleur léger, comme Coquard et Matthews; Demarre est en effet polyvalent et l'a travaillé mais avec sans doute des prédispositions à ne pas trop mal grimper - du moins les courtes bosses peu pentues, le Poggio ce n'est quand même pas un mur).

Mais des Kittel, Cavendish, Cippo à son époque, et beaucoup d'autres, la liste est longue... pas vraiment le physique à grimper - ou alors peut-être avec énormément de travail mais en perdant ce qui fait leur spécificité de sprinteurs et donc de vainqueurs. 

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Kittel et Cippo sont des exemples intéressants : Kittel n’a fini que la moitié des Tours qu’il a couru (il a bâché en 2017 alors qu’il était en vert), quant à Cippolini je ne suis pas sûr qu’il en ait fini un seul. Ce genre de participation, en n’étant présents que pour ramasser des bouquets en 1ère voire 2me semaine —sur le genre d’étapes qui sont le sujet de la discussion— avant des abandons programmés (la je parle surtout de Cippo) ne montrait pas une grande adaptation à l’épreuve.

A partir de là on pourrait même se demander s’il était parfaitement légitime qu’ils fussent là, et s’il était normal de leur réserver des étapes à gagner.

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quelque soit le sport, il faut un minimum de spectacle , il faut un peu d'adversité , il faut qu'on sente que les gens ont envie d'en découdre un minimum également, qu'ils nous montrent un peu de motivation ...  cela couterait quoi , qu'il y ait quelques attaques sur des étapes où il ne se passe rien ?  

 un peloton de cyclistes qui contrôle une échappée pendant 3 ou 4 heures de long, perso je ne vois pas où est le côté spectacle .. cela me donne plutôt envie de dormir et du coup, je n'hésite pas à faire le choix d'une bonne sieste   😆 

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Suggestion: on pourrait intercaler des séances de catch américain dans les longues portions où il ne se passe rien...

L'idée n'est pas idiote, pour du spectacle, tu serais servi, les mecs sont monstre fortiches et ça balance dans tous les sens, bien plus poilant que 120 cyclos qui se baladent en regardant le paysage.

Ou des vols en wingsuit, ou enfin je ne sais pas moi, des trucs bien balaise. 

Ben quoi, je dois retourner au coin...? Ah zut alors.

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C'est tout à fait ça, les sprinters que je cotoyais avaient plus ou moins de capacités à grimper, dans ma région (pays de loire) les bosses les plus longues font entre 1 et 2kms, il fallait un circuit qui les emprunte une dizaine de fois pour arriver à en faire sauter la plupart, mais il y avait quand toujours des sprinters petits gabarits qui parvenaient à suivre.

En revanche quand on partait à la montagne pour des stages ou des cyclosportives, aucun sprinter ne suivait, passé 4/5 kms ou alors ils explosaient ensuite et finissaient au pas. 

Je trouve que dans un grand tour de 3 semaines la capacité à récupérer sur des étapes variées joue un grand rôle,et puis  il n'y a qu'à voir quand le vent s'en mêle, le spectacle des bordures avec les écarts de temps à l'arrivée.

Respect pour les coureurs même si on est friands de spectacle immédiat à notre époque.       

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c'est vrai ,  et t'imagines une course de F1 ou les "24 H du mans" , avec 2 ou 3 voitures parties devant dès le départ et toutes les autres voitures qui contrôlent derrière pendant toute la course avec un regroupement uniquement à un tour de l'arrivée car des voitures seraient plus puissantes dans la dernière ligne droite  ?   😆  , pas sûr que les spectateurs auraient encore envie de regarder 😃   

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Hello Michel

Je me rappelle très bien de cette étape du Tour 2015, gagnée par je ne sais plus quel sprinter et au bout de laquelle Cancellara avait obtenu le maillot jaune pour la dernière fois de sa carrière. Une belle étape en effet, et sans l’aide de Valverde Quintana prenait un voyage encore plus long. Mais on ne va pas comparer la ventologie de la Plaine du Pô (très souvent dans le brouillard tellement il y a peu de vent) à celle de la Zélande (quand j’habitais aux Pays-Bas j’ai découvert le concept de pluie horizontale...).

Bon Giro...(petit aparté : je pense qu’Evenepoel va le gagner, il a perdu les kilos qui eussent pu l’handicaper il y a un an)

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Oui c'était en 2015 et pas en 2005.Je réponds d'un  smartphone ce qui entraîne souvent des erreurs

 de frappe. Je ne suis pas certain mais je crois que c'est Greipel qui avait gagné. A vérifier toutefois. Pour Evenepoel il faut voir ce qu'il vaut sur une épreuve de 3 semaines. On verra déjà demain s'il va rivaliser avec les grimpeurs. Aujourd'hui c'est déjà un peu plus vallonné.

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