-
Compteur de contenus
1 676 -
Inscription
-
Dernière visite
Type de contenu
Forums
Galeries photos
Calendrier
Articles
Tout ce qui a été posté par François BABEN
-
Tiens, y a un Astana devant.
-
Strava prend le contrôle de Polar
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Frédéric-emmanuel SIDLER dans Le matos
Il me semblait que la période des poissons d'avril était passée ?? -
Salut Philippe, A ma connaissance, non. T'es obligé de regarder le pourcentage moyen ou la vitesse des classés. Sportivement, FB
-
Salut Emile, Un très grand monsieur du cycllsme, en tant que coureur puis et surtout à mes yeux en tant que dirigeant dans le monde amateur. Le cyclisme du Grand SO lui doit énormément.
-
Etd 2016 Megeve Morzine 149 km
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Cédric SAGANSAN dans Les évènements route
Ça devient de plus en plus mythique l'EDT... 120 bornes et 2700 de D+, sacré défi ! -
Qui à l'Ariègeoise 2016
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Gino BOISSINOT dans Les évènements route
Bonjour Bertrand, Voici mon "petit" CR. Comme prévu de longue date, puisque j'avais dit "oui" à la collègue en début d'année, je savais que le séjour de 7j en Allemagne, placé du 8 au 15 allait rendre cette Ariégeoise compliquée. Je n'avais pas anticipé en revanche dans quelle proportion... Par ailleurs, les 2 semaines qui l'encadraient se sont également révélées extrêmement chargées en terme de travail, d'où une pratique du vélo en chute libre complète sur les 3 semaines antérieures à cette belle épreuve. Une nocturne faite mercredi soir avait confirmé combien j'étais à court de forme, avec des chiffres inquiétants cardiaquement et en terme de puissance. Bref, hier matin, je savais intérieurement que je partais très certainement pour le format Ariégeoise simple et non XXL. Néanmoins, je ne me doutais pas de ce qui allait suivre... Rétrospectivement, le seul moment où cette cyclo a connu un déroulement normal, c'était au départ, sur les 60 premiers km. Ça ressemblait à une course, j'étais bien placé dans les 300 premiers grâce à mon art du remontage de peloton sans effort, j'ai géré assez calmement la petite côte de Nalzen en laissant les excités accélérer, sachant que d'autres excités allaient me ramener sur la tête ensuite. Bref, nous voilà à Bélesta, où je monte la Croix de morts bien tranquille, même si j'y fais un petit PR (mais les autres fois on avait posé la voiture à Bélesta et c'était le col d'échauffement). Le nombre de cyclistes qui me dépassent ne m'inquiète pas encore mais déjà je ressens des débuts de crampes (!?!?) à peine arrivé sur le plateau de Sault. La première idée qui me vient à l'esprit, c'est que la très forte hygrométrie m'a (déjà ??) fait perdre toute mon eau. Puis une pensée fugace me dit que peut-être bien je suis vraiment complètement hors de forme... J'opte pour la première solution en me disant que je vais vite le savoir. Je monte très en dedans la côte super raide qui donne accès à la partie orientale du plateau, mais ça me rassure, d'autres font comme moi. En attendant, je vide presto mes deux bidons, connaissant bien les fontaines dans le col qui suit. L'illusion se dissipe dès la vallée de l'Aude où j'ai le plus grand mal à suivre mon groupe, souffrant comme jamais pour sortir 200w à 160 bpm, soit 20 puls de plus que d'habitude. Surtout, les crampes confirment qu'elles seront bien mes compagnes de voyage dans très peu de temps... L'attaque du Pailhères me voit immédiatement à l'arrêt complet. Des hordes incessantes de cyclistes me doublent (comme à chaque fois dans cette cyclo où j'ai l'impression que tout le monde à des capacités de grimpeur dont je suis totalement privé...). Je m'arrête à la première fontaine à Rouze, je bois abondamment, marche un peu puis repars prestement... Euh, non, pas prestement... A partir de là, ça va être un long, long calvaire, avec une première station au ravito où il me faut user de tous les stratagèmes pour ne pas être crucifié par les crampes... Dans la suite du col, je m'arrêterai au moins 3 fois (de mémoire...), sous l'effet de crampes à des endroits totalement inusités : la fesse droite, les vasques externes des quadris, le bas du mollet gauche entre autre, mais jamais les quadris et les ischios... Les nuages, puis la bruine, et enfin une franche pluie fine nous accueillent à 2000m où en plus il manque de l'eau au ravito. Ne parlons même pas de Coca... Avec divers stratagèmes (changement de côté de la tente, bidon tendu entre deux concurrents qui me cachent, asséchage de tous les gobelets de mon secteur), je refais néanmoins le plein. Je marche encore 5 minutes pour tenter de relâcher un peu les muscles, puis je mets les manchettes et le coupe-vent. Et en avant pour la partie la plus délicate. La descente qui suit est tellement délicate -on n'y voit rien à 5m au départ et la route est d'une humidité assez inquiétante...- que je n'ai même pas le temps d'avoir froid... Alors qu'on commence à voir à 50m et que je reprends un peu confiance, je loupe un freinage en glissant de l'arrière sur une bouse de vache et je pars percuter le cycliste que je suivais en bout de freinage en catastrophe. On reste un peu miraculeusement tous les deux sur nos deux roues. Encore toutes mes excuses !! Cette descente ne me guérit pas de mes crampes et il me faut m'arrêter dès le début du Chioula, mais au moins je peux faire semblant qu'il s'agit d'enlever manchettes et coupe-vent... La pente plus douce de ce col va favoriser une montée moins chaotique, j'arrive à ne devoir poser pied à terre que 2 fois ! Mais pour ce qui est de la vitesse, ça ne s'améliore pas : je plafonne à 200w, soit 30 de moins que 3 semaines avant au même endroit... Quelle misère... Je bois tous mes bidons et continue à prier le ciel pour que ça finisse par aller un peu mieux. En attendant, je vois des choses que je n'avais jamais eu l'occasion de voir en cyclo : un autre cycliste me double, en VTT équipé de pneus route, puis un pépé qui doit très certainement avoir besoin d'un déambulateur lorsqu'il descend de son Colnago de 1960 et, enfin, un jeune qui ne doit pratiquer le cyclisme que très occasionnellement puisqu'il est en baskets, que son vélo à des pédales à réfléchisseurs et qu'il n'a même pas de cuissard... Pour tout avouer, ma fierté en prend un coup. La fin du col finit par arriver, tout comme un début de meilleure forme générale. Faut dire que redoubler quelques concurrents, totalement crispés sur leurs freins, ça fait un peu de bien... Je saute le ravito du col de Marmare car je sais qu'on est arrivé en fait et parce que bizarrement je sens que mes réserves sont suffisantes pour la fin. La descente de ce col me procure le deuxième moment de plaisir de la cyclo depuis le départ. Y a pas trop de monde, je peux doubler à peu près comme je veux, la visibilité est bonne et la route en bon état. Je dois dépasser une trentaine de personnes au total jusqu'à l'intersection avec la route des crêtes. Les crampes reviennent dès le premier raidar, où je réutilise ma tactique "une nécessité m'oblige à m'arrêter". Je croise un copain de course et on discute un peu avant qu'il ne faille le laisser partir sous peine de devoir à nouveau stopper en bord de route... Les villages défilent néanmoins et je me surprends à reprendre du monde... Un petit groupe s'est constitué dans ma roue que je lâche dans la courte montée d'Appy... Décidément, je ne comprends rien de ce qu'il m'arrive sur cette cyclo... Il ne reste plus que la descente de Verdun, où je fais la course avec un gars de Carcassonne qui m'a rattrapé. On redouble tous ceux que j'avais déjà doublés dans la descente du Marmare (eux m'avaient repris et lâché au début de la route des crêtes), y compris le copain de tout à l'heure. On fait attention à ne pas se désintégrer sur le mur de la mairie, puis nous voilà aux Cabannes. La séparation entre les deux parcours est un peu chaotique et il nous faut slalomer entre les cyclistes qui ne savent pas où aller. C'est sans crampe que je termine cette Ariégeoise 2016, la pire des 3 auxquelles j'ai participé, à la 380è place, en 6h35. -
Qui à l'Ariègeoise 2016
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Gino BOISSINOT dans Les évènements route
Hier course (nocturne), où j'étais à la ramasse, vendredi soir un déblocage, et samedi une longue balade. En espérant que le temps soit avec nous ! -
Qui à l'Ariègeoise 2016
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Gino BOISSINOT dans Les évènements route
Salut, Reco de la fin de l'XXL. La descente de Marmare était en sale état après les orages de veille et elle est effectivement en mauvais état même sans ça... Le pire ce jour était la bouse de vache et les limaces... Route très étroite, on n'ira pas très vite et ceux qui le voudront seront vite sanctionnés... La transition par la corniche est longue et usante, surtout qu'elle monte plus qu'elle ne descend et qu'on aura le vent de face... Beille reste Beille : long, chiant et dur... -
Votre course 2016!
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Guillaume EDMONT dans L'entrainement et la santé
Ah ! Ah !! Je vais poursuivre mon enquête !! -
Quel col autour d'Ax-Les-Thermes?
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Vincent SAULNIER dans Les évènements route
Bon, là je vais rouler, je ferai une réponse plus développée ce soir. Juste pour dire que toute la vallée du Vicdessos est bourrée de montées sur les villages perchés sur les flancs, que le plateau de Sault est sublime et qu'il ne faut pas oublier de monter à Camurac aussi. Je confirme la montée de Goulier-Neige, ou un jour le TDF fera une arrivée (comme la Ronde de l'Isard) j'en suis sûr... A ce soir donc ! -
Quel col autour d'Ax-Les-Thermes?
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Vincent SAULNIER dans Les évènements route
Pour le Pradel en arrivant de Pailhères, c'est court et irrégulier, avec une section très pentue. Juste sous le col, il y a une ferme d'élevage qui transforme souvent la route en un bousier assez dégueulasse... et casse-gueule !! A ne pas faire par temps de pluie. La descente est longue, étroite et en état moyen et pour revenir sur Ax, il faut remonter à Camurac en descendant à Niort de Sault (superbe petit col !!), puis ensuite retour par Marmare ou Chioula. La boucle Ax-Ax par le Pradel et le Chioula fait 58 bornes et 1700m de D+. -
Quel col autour d'Ax-Les-Thermes?
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Vincent SAULNIER dans Les évènements route
Salut Vincent, Tu auras de très belles boucles à faire en descendant la vallée en voiture et en la posant à Tarascon, où tu seras moins "enfermé" que sur Ax. Il ne faut pas oublier en effet que les vallées pyrénéennes communiquent moins entre elles que celles de Alpes (souvent qu'un seul col à l'Est et à l'Ouest alors que les vallées sont N/S). Tu peux partir évidemment d'Ax pour les mêmes boucles sur Tarascon, en passant par la route des corniches, mais tu as alors invariablement des parcours qui vont faire entre 150 et 200 kms (plus souvent proches de ce dernier nombre d'ailleurs...). Le fond de vallée est une grosse nationale qui communique avec l'Andorre est c'est la route des Pyrénées la plus empruntée avec celle du Somport... Une horreur... Pour des boucles Ax-Ax, tu as les cols qui sont au sud et à l'Est (rien à l'Ouest) : Palhières, Choulia, Marmare, Puymorens et Envalira. Tu trouveras de belles idées sur Openrunner. Donne-nous un peu une idée des kilométrages envisagés (?). Sportivement, FB. -
:-D :-D A lire sur direct vélo : http://www.***.com/actualite/50903/dopage-l-afld-frappe-en-guadeloupe Visiblement, ils devaient se penser à l'abri...
-
On fera le bilan après le TDF si McLay est pris ;-)
-
Bonjour, je roule avec depuis un an, après 2 G5. Je me régale, aussi rigide et plus confort que le G5. J'ai même fini par m'habituer à ses formes sur le plan esthétique. Parfait pour tous les usages que j'en ai, sur les courses comme sur les cyclosportives, ainsi que les longues sorties montagneuses. Il doit y avoir mieux, mais comme je ne roule pas dessus, mon ignorance et mon G6 me comblent parfaitement pour l'instant.
-
C'est surtout McLay qui est sous-estimé... Si son équipe l'embarque au TDF, j'ai plus confiance en lui pour en claquer une qu'en Bouhanni (même si j'espère bien évidemment que lui aussi en mette une au fond !!).
-
Bonjour Mathieu, Ne te prends pas la tête, va courir le plus rapidement possible. Une fois que tu y auras goûté, tu seras accro, crois-moi. Commence en 3 ufolep cette année et tu feras le bilan en fin d'année pour savoir quelle fédé te convient le mieux. Entre temps, tu auras découvert par toi-même en discutant avec d'autres coursiers les réponses aux questions que tu te poses. Bonnes courses ! Sportivement, FB.
-
Intérêt d'un capteur de vitesse avec un GPS ?
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Philippe ROTA dans Le matos
"Ben moi avoir un affichage de vitesse instantanée parfois fluctuant ne m'empêche pas de dormir, ni ne me traumatise. Quand je roule vite ou en groupe, je regarde devant. Et dans le dur ma pensée se focalise plus sur "c'est bientôt finit?" que "fichue vitesse instantanée"." Salut Georges, Je suis exactement dans ta position. Je ne regarde ni' l'un ni l'autre. J'ai par ailleurs la cadence de pédalage avec le capteur du puissance.De plus, lorsque je l'avais, ça ma saoulait beaucoup cette histoire d'aimant lorsque je changeais de roue... Donc pour moi la réponse est "pas d'intérêt". -
Sans parler de carrière gâchée -je partage ton avis Guillaume-, c'est clair que l'ensemble n'est pas au niveau de son potentiel. En partie victime, en partie responsable de cette focalisation des équipes françaises sur les victoires d'étape au TDF qui sont à mes yeux que des victoires de seconde zone, comparées à des classiques ou des semi-classiques. Mais pour celles-ci, il lui aurait fallu aller dans une équipe étrangère.
-
Votre compteur GPS préféré ou pas
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Laurent BENET dans Le matos
J'en suis encore au garmin 500 et je prie pour qu'une longue vie lui soit accordée... La carto par flèche est largement suffisante lorsque je roule dans des coins que je ne connais pas et j'aime bien continuer à préparer mes itinéraires sur cartes (strava tout simplement). Lorsque il me faudra le changer, ça sera l'équivalent du 520 ou le 520 s'il existe encore. -
Plus grand nombre de Tops 10 sans victoire
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Guillaume LEROYER dans Discussions Route
S'il y a bien un coureur que je ne qualifierais pas de rat, c'est Valverde ! -
Votre première course ufolep catégorie 3?
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Mathieu LAFFIAC dans Les évènements route
Salut Eric, "FaiS-toi prêter" et non "FaiT-toi prêter". Non, de rien, c'est avec plaisir... ;-) -
Que penser des clubs de velos
François BABEN a répondu à un(e) sujet de Jacques LACROIX dans Discussions Route
Bonjour Jacques, Sans aucun esprit de polémique de ma part, car j'ai longtemps roulé en FFCT avec un grand plaisir, je pense que ce constat est propre à cette fédération. Les jeunes sont en FFC avec les vétérans qui roulent encore très fort. Les vétérans qui roulent fort sont dans cette fédé ou dans les deux autres affinitaires. Il ne reste donc à la FFCT que les super vétérans qui n'ont jamais eu d'esprit compétition (je me répète, ce n'est nullement une tare à mes yeux !). Cette population fait du vélo plaisir, sans œillères, et quand la vie lui offre des raisons, des excuses ou encore d'autres plaisirs que le cyclisme, elle n'hésite pas à les faire passer avant la sortie de vélo avec les copains. Il y a aussi des effets de cycle. Dans mon ancien club FFCT, dont je prends régulièrement des nouvelles, durant 4/5 ans la vie collective s'est étiolée peu à peu, les "plus jeunes" (la cinquantaine) sont partis vers des groupes qui roulaient un peu plus forts car le club refusait de faire deux groupes de niveau en fin de sortie. Ça ne sentait pas très bon... Et puis un trentenaire est arrivé, bon niveau mais pas d'envie de faire des compet', il a fait venir 2/3 copains qui débutaient, ils se font plus mal que les autres sur les sorties mais ils les attendent, ça a remotivé toute la troupe et maintenant le club est reparti. A toi de voir quelle est la situation propre à ton club. Peut-être même est-ce tout simplement toi qui a des envies de pratiques cyclistes qui ont changé ? Cordialement, FB. -
Bonjour Bernard, "c'est comme Bob BEAMON et ses 8.90 m à mexico en 1968: personne n'a jamais su le fin mot de l'histoire !" Sans pouvoir citer mes sources (je ne me rappelle pas où je l'ai lu...), pour ceux qui n'admettent pas que le saut fût valide (planche à 0 mm, limite des 2m/s, température et hygrométrie parfaites, effet de l'altitude), la théorie la plus plausible serait une bête panne de l'anémomètre (ou une mesure erronée de cet appareil due à la position d'un juge dans l'axe de l'appareil), donc un vent largement plus fort en réalité. Sportivement, FB.
-
Bonjour, Etant du SO, je peux te dire qu'il n'y a aucun silence autour du décès de Florent S. Beaucoup de messages de ses amis/adversaires circulent sur les réseaux sociaux pour faire part de la très grande tristesse de tous ceux qui ont couru à ses côtés. D'autant plus qu'à presque 40 ans, et après avoir fait beaucoup de clubs dans la région, il avait laissé une grande empreinte. Il avait percuté un mur à grande vitesse, se fracturant des os du visage, des vertèbres, se perforant un poumon et surtout se blessant très gravement à la tête, le casque ayant explosé à l'impact. Tout le monde espérait que l’œdème cérébral allait être contrôlable... Porter le casque ne l'a donc pas sauvé. Tu as raison. De toutes manières, un choc avec un objet lourd à l'arrêt est mortel à 50 km/h, les organes vitaux ne supportant pas la décélération au-delà de cette vitesse. Face à Florent à qui le casque a été inutile, nombreux sont ceux qui lui doivent la vie, en course ou non. Toutefois, à mes yeux, l'essentiel de ton message n'est pas dans la pseudo-polémique sur le port ou non du casque. Un cycliste vient de mourir dans ces conditions-là, et ton premier réflexe consiste à créer un sujet pour lancer la polémique sur la question ?? Je suis atterré... Ce que tu as écrit est au-delà de la bassesse, au-delà de vulgarité, au-delà de la bêtise. Ça en dit beaucoup sur ta compacité de compassion et ton égocentrisme... Toutes mes pensées vont à la famille, aux amis et aux collègues de Florent.