François BABEN

Salut Bertrand, - Par la montée côté Massat, panneau "route fermée" dans Massat même. - Par le versant Biert, route totalement engravillonnée dès le pont franchi. J'ai renoncé au bout de 100m tout simplement car les roues projetaient des gravillons partout (et surtout sur mon cadre !!), pleins de goudron fondu. Je n'ai pas cherché à voir s'il s'agissait de EDU... Je pense que c'est engravillonné au moins jusqu'à la jonction des 2 routes. Des infos ici : http://www.inforoute09.fr/ J'ai une question de mon côté : de Biert, à l'embrachement même du col de Saraillé, y a un panneau avec marqué "col de Bidal" qui part à droite. Les cartes routières ne donnent pas de déboucher à cette route : quelqu'un sait-il quel est ce col et s'il est franchissable ??

Salut Emile, Et encore, tu étais sur le petit parcours... Tous les CR du grand sont catastrophiques : des chutes en pagaïe, des comportements inadmissibles de la part des coureurs. J'ai un grand nombre de copains venus ou pour la cyclo ou pour la qualif et qui ont eu leur course qui s'est terminée au km 7 ou km 35.

Oui, Guillaume, je suis bien d'accord. En tout cas, comme tu l'as constaté avec ta sortie, la descente de Lhers a été entièrement enrobée...

Salut Guillaume, Il reste à me démontrer qu'en Ariège c'est bien ce fameux ESU qu'on répand sur la route, ce dont je doute beaucoup !! En effet, comme le fait remarquer Gérard, et comme j'ai pu le constater de visu : une fois les voitures passées, les gravillons sont simplement chassés et c'est l'ancienne surface qui refait... surface. Par ailleurs, en dehors du Saraillé, sur les autres cols, ce n'était que des bandes qui étaient faites, pas toute la route. Enfin, c'est quand même bizarre que lorsqu'il s'agit de refaire une route pour le TDF, c'est pas cette technique qui est utilisée, mais tout simplement celle d'un enrobage de macadam tout ce qu'il y a de plus classique ! J'attends toujours une explication convaincante...

C'est également le cas dans la descente des 7 derniers kms du col de Port. Un accident jeudi dernier. Le col de Saraillé avait été entièrement gravillonné et goudronné également. J'ai dû faire demi-tour au bout de 100m... Quelqu'un qui connaît les techniques de voiries peut-il m'expliquer quel est l'intérêt du soupoudrage de goudron liquide et de gravillons par-dessus ? Car le résultat est affligeant : en quelques passages les gravillons sont détachés et l'état de la route reste identique. L'exemple du col de port était archétypal : les 7 premiers kms de descente sur l'ancienne route très agréables, pas de trou, surface un peu gondolée mais rien de gênant, les 5 derniers, des gravillons projetés partout, du goudron sans gravillon et une surface de la route qui n'avait été en rien améliorée... Je n'arrive pas à croire qu'il puisse s'agir de simplement de dépenser des crédits et de faire vivre des fournisseurs... Il doit bien y avoir une raison logique à but d'amélioration ?? En attendant, pour les autres we de préparation à l'Ariégeoise, on ira dans le Luchonnais et les Hautes Pyrénées faire tourner le commerce local et bénéficier de routes qui n'ont pas été salopées.

Salut Jean-Philippe, Fait attention que ta selle ne se soit pas creusée avec le temps et qu'ainsi ta hauteur de selle s'en fut modifiée (à voir avec l'âge de ta selle donc. Ensuite, tu peux avoir un déséquilibre du bassin. Tu le règleras par un passage chez l'osthéo et 3 jours d'arrêt de vélo pour laisser ton corps s'habituer à un retour à la normale. Dans tous les cas, il est bon de faire un passage chez l'osthéo de toute manière. Pour les soins d'une tendinite (pour moi c'est plus souvent le tendon d'Achille), j'alterne entre du flector tissu-gel et de l'argile verte mélangée avec de l'huile essentielle de gaultherie (cataplasme que j'emballe dans du film étirable et que je fixe avec une chaussette -coupée pour toi vu que c'est au niveau du genou). Je me masse également avec du baume aroma, mais comme beaucop de crème, je crois que c'est davantage le massage qui soulage le tendon que les effets actifs du baume. Bons soins et bonne guérison !

Malgré un état de forme général de presque méforme, je suis allé au suicide au Tour du Tarn Sud, très belle organisation FSGT dans le 81. Je saute au bout de 17 bornes dans l'étape 1 et finis avec les 4&5. Dans l'étape 2, je saute au bout de 35 bornes mais je ne finis pas avec les 4&5 puisqu'ils me reprennent dans le col de Dourgne et que je me fais doubler par l'intégralité de leur peloton et attardés. Bilan des deux épreuves, 100è sur 103 coureurs en 1/2/3 :-D :-D J'ai néanmoins passé une très belle journée de vélo, exceptée la souffrance physique.

Reprise des courses FSGT hier en banlieue toulousaine, après 3 semaines sans courir. D'abord pas de truc intéressant puis ensuite tendinite qui m'a obligé à lever le pied. Hier, plus mal, nouveau réglages sur le vélo et retour aux anciennes chaussures, donc faut voir si ça passe. Temps très mitigé avec des giboulées, mais on ne prendra qu'un bord de grosse ondée sur les tours 5/4/3 avant l'arrivée. Devant le peu d'affluence, on part 1/2/3 mélangés, pour un peloton de 38 coursiers. Gros vent de travers propice aux bordures, mais qui en fait ne jouera aucun rôle puisque tout le monde déborde au vent pour attaquer dans la grande ligne droite et qu'il n'y a pas assez de 1ères largement plus forts pour se démarquer physiquement et étirer durablement le peloton. (ils n'étaient que 6 partants). Ça roule soutenu mais supportable pendant toute la course, avec 2 équipes qui roulent derrière l'échappée de 4 qui reste toujours en point de mire. Bien au chaud dans le peloton, je m'attache surtout à rester placé pour ne pas prendre de cassures. De plus, en manque de cannes, il me faut gérer la durée. A 4 tours du final, ils ne sont plus que 2 devant, sans que je sache où sont passés les autres et on est à 15s d'eux. Et là, d'un coup, ça débranche, on roule à 25 !!! Puis sur un rond-point, 5/6 coureurs vont au sol à 2 tours du final. On ne reverra jamais la tête et on se dispute les places d'honneur au sprint où je fais 17è, aux bords des crampes que je sentais venir depuis 5/6 tours, bien entamé par le rythme dur de la course et la distance. 77 bornes en 2h pour 38.7 de moy. 164 bpm moyen, signe que je n'ai pas trop perdu cardiaquement. 218w moy pour 282 normalisés.

Elle m'a fait mourir de rire quand je l'ai vue jeudi. Heureux d'avoir pu vous apporter un sourire ! ps : il fallait lire "ma préféréE", bien sûr...

Ma préféré c'est celle-là :

Bon, comme toujours avec LBL, on s'est emmerdés. Merci aux Cofidis et au Cannondale.

Perso, sur HT, je réduis la zone ciblée de 10% par rapport à ma PMA sur route. Et je suis alors effectivement à la réalité de ma PMA puisque j'ai les mêmes ressentis qu'en extérieur. Après, j'ai un cdp, ce qui est quand même un gros plus pour faire de la PMA...

Première piste donc : remonte ton ancienne selle pour voir.

Du côté de l'usure des cales, ça donne quoi ? Attention, ça peut aussi être lié au changement de selle : cf ce qu'il en est dit ici http://cyclesetforme.blogspot.fr/2017/04/selle-specialized-power-et.html

@ Gilles : désolé pour toi, j'espère qu'il n'y a pas trop de casse de matériel ! @ Rémy : le club avait envoyé une équipe de "jeunes" à l'Enfer. Ils ont tous abandonné, victimes de multiples crevaisons, sauf Romain qui fait 5è. Mais tous sont revenus enchantés de leur we !

Tous mes voeux de rétablissement à Didier, les plus complets possible !

Salut Cédric, J'étais -pas longtemps...- dans le peloton devant toi. D'après les survols de Strava, tu me rejoins dans les toboggans entre Brignemont et Cadours. On a donc roulé ensemble avant que tu cèdes un peu sur la dernière bosse. Tu cours avec quel club ?

Hier c'était le jour de la très belle classique Aussonne/Aussonne, en FSGT 1/2/3. J'adore cette course, mais elle ne m'aime pas du tout... Elle emprunte bon nombre de mes routes d'entrainement, en particulier la bosse de Puysségur qui est LA grosse difficulté de la journée. Le circuit est varié, en ligne, dans de belles collines. Un peu trop nombreuses à mon goût, et celle de Puysségur a toujours eu 500m de trop pour moi. Je n'ai jamais réussi à terminer devant, une seule fois dans le peloton, la plupart du temps dans les lâchés de ma catégorie, absorbés par les 4/5 qui partent 2' derrière nous et qui ont 20 km de moins (ils partent du sommet de la bosse de St Paul sur Save). Pour que je puisse aller le plus loin possible, il faut que l'échappée parte assez tôt pour qu'ensuite ce soit davantage une course de 3è caté plutôt qu'1/2/3. Quelques signes néfastes m'entourent au départ : je crève mon boyau en descendant d'un trottoir et je mets un temps certains à trouver une roue de rechange (bien évidemment la seule fois où je ne prends pas la mienne). On a déjà bien rigolé pendant le départ neutralisé : une fois arrêtés au réel, on a tous consulté notre compteur pour voir la moyenne. 42 km/h... Même si c'est pareil chaque année, je n'arrive toujours pas à comprendre à quoi ça sert de neutraliser plus vite qu'en course... Ensuite, durant les 20 premiers kms, le vent de cul a favorisé un train d'enfer et n'a permis à personne de sortir sur le plat. Autant dire que je ne pouvais plus compter sur l'échappée salvatrice... On a monté la bosse de St Paul la tronche en travers, en tout cas moi.., à 35 km/h et 395w moyens. Les toboggans qui suivent vers Le Grès ont fini de me faire consommer tout mon glycogène et c'est avec une grande logique que j'ai explosé dans la bosse de Puysségur... Heureusement, un bon tiers du peloton des 3 avait déjà fait pareil, donc mon égo et moi nous nous sommes sentis un peu moins seuls. On n'a pas eu le temps de se constituer un petit groupe que déjà les 4/5 étaient sur nous. Je me suis dit qu'ils n'avaient pas dû amuser la galerie non plus, impression confirmée par la disparition de la moitié des coureurs et par l'allure imprimée dans les bosses par les meilleurs. Quelques 3 ont encore sauté mais pour ma part je me suis dit qu'il était hors de question que je passe également par la fenêtre. Je me suis donc fait la peau quelques fois, notamment dans la bosse de Caubiac puis avant le Castéra. Bien m'en a pris, le reste a été plus facile. J'aurais bien tenté de ressortir quelques fois, la forme revenant en cette fin de course, mais impossible de bouger sous peine de fausser la course. Les 4/5 n'ont d'ailleurs eu nullement besoin de moi pour saloper l'arrivée car malgré les avertissements oraux au départ, le marquage au sol, le drapeau qui trônait au milieu du rond point et mes consignes orales (certes difficilement audibles à 45 km/h), les 20 premiers ont loupé le dernier virage en partant tout droit. Le vainqueurs de la caté a été tout surpris de jouer la gagne. On le comprend ! Pour ma part, même si je saute comme d'hab, les stats montrent que je n'aurais guère pu faire mieux... Peut-être qu'en étant mieux placé en bas de Puysségur j'aurais réussi à franchir cette difficulté ? J'aligne une collection de PR de bout en bout et une moyenne supérieure de plus de 1 km/h à celle des autres années. Je ne suis pas tombé, ce qui n'est pas gagné sur ce genre de course. On reviendra l'année prochaine !

Bonjour Séb, si t'as envie, te prends pas la tête, va courir !! C'est sûr qu'en niveau, le plus simple sera de prendre une licence ufolep en 3è caté. Tu feras vite le tour pour voir si l'ufolep te suffit ou bien s'il faut que t'aille aussi dans d'autres fédés, nationale ou étrangère. Pour l'âge, ne te fais aucun souci, tu ne seras pas du tout le seul quarantenaire !!

Salut Michel, C'est encore pire alors ! Du 33è km au 5è il a donc fait semblant de protéger son leader... On peut donc en conclure qu'il ratonne par nature et non par opportunisme. Mais ça on le savait déjà. 😉 ps : il m'est arrivé un truc bien rigolo, y a un gars qui a recopié mes messages de ce sujet pour aller les mettre en commentaires sur ma dernière sortie Strava 😆😆😆 Y en a qui ont du temps à perdre et qui raisonnent bizarrement, outre le fait que visiblement les concepts d'ironie et de second degré dépassent leur capacité de compréhension !!😆 🙄

Je suis d'accord avec Pierre, c'est clair que Démare va avoir affaire à une génération avec des gars plus forts que lui sur les Flandriennes... Moscon et Stuyven m'ont impressionné. Degenkolb a ratonné toute la journée, signe qu'il n'avait pas les moyens de faire mieux en ce moment. Parce qu'attention, y a ratonner par nature et ratonner par opportunisme (pour ce qui est de Valverde, y a encore débat...). Pour répondre à Guillaume, c'est pas parce que t'es en WT et que la course fait 250 bornes que personne roule comme un rat !! Ratonner est un trait de caractère. C'est même une caractéristique essentielle pour être recruté chez QS, en dehors de Boonen et de Gilbert !! Si on recoupe les interviews françaises et flamandes, on comprend donc que Stybar, certes après avoir joué son rôle d'équiper, à ratonné pendant 10 bornes (depuis que Boonen lui avait dit de jouer sa carte) avant de planter une attaque suicide. Quitte à essayer de gagner de la pire des façons, il aurait dû ne prendre aucun relai jusqu'à l'arrivée et laisser VA lancer le sprint. Non seulement il ratonne, mais en plus il court comme une chèvre (mais ça, on le savait déjà).

Et tiens, je viens d'en lire une excellente dans L'Equipe : Boonen peste contre la "lâcheté de Degenkolb". Excellent !! La QS a le droit de ne pas rouler derrière les autres, mais pas les autres derrière la QS ??? Vraiment une équipe de rats... ;-)

Salut Patrick, Je ne prétends nullement à l'objectivité, mais je propose une analyse de ce fait de course à la lumière de ce que je considère à la fois comme la bonne tactique et le respect des règles tacites qui gèrent une course. On peut toujours dire que ces règles n'ont pas à être respectées, mais je te laisse essayer de le faire en course, et tu vas voir rapidement que bizarrement tu auras tout le peloton contre toi. Montcassin n'a plus gagné une course le jour où il les a transgressées, c'est le premier exemple qui me vient en tête comme ça et parce qu'il a perdu un Paris-Roubaix directement à cause de ça. Je n'aime pas la Quick Step (sauf le we dernier) à cause de ce genre de tactique soi-disant bien pensée qui ne sont en réalité rien d'autre qu'une manière vicieuse de faire du ratonnage. Que tu ne roules pas parce que ton leader est à 30s derrière en train de revenir, je trouve ça totalement normal, mais une fois que l'écart est fait et que ton leader est clairement piégé, la règle dans l'échappée est de collaborer. Stybar a joué au %@!? bien trop longtemps. Là où je suis d'accord avec toi, c'est que c'est très certainement la grande crevure en chef, P. Lefévère, qui lui a demandé de faire ça. C'est exactement pour ça que je trouve que Sagan avait bien fait de ne pas vouloir rouler derrière VA quand Terpstra ne passait pas ses relais sur Gand-Wevelgem en prétextant de la même tactique fallacieuse. Par comparaison, regarde comment à procédé la BMC lorsque Oss est sorti alors que VA était juste derrière. Et c'est la BMC qui gagne la course... Pour en revenir aux autres coureurs : Boonen, pas au niveau, ses démarrages étaient certes impressionnants visuellement, mais ils n'ont jamais fait mal ; Sagan, pas de chance, mais c'est la course ; arrêtons de s'enthousiasmer sur Démare qui n'a visiblement pas la caisse pour cette course et qui gagnera peut-être un jour PR sur un coup du sort et un alignement des astres comme pour son MSR. A noter que ce PR a été beaucoup moins dur que les autres années : les noms du top 15 le démontrent ainsi que le fait qu'il y ait un si gros peloton à l'arrivée avec des écarts aussi serrés. Voilà ma petite analyse très partiale ;-) Mais comme disait G. Marchais : "c'est mon analyse et je la partage".

Bon, la Quick Step a perdu, donc la journée a été bonne. Cette crevure de Stybar qui roule pas "J'ai mon leader 1'30 derrrière" arrive même à me faire savourer la victoire de Van Avermaet !!

Salut Franck, Ouh là, va pas en Espagne toi, ou tu te feras lyncher !! Dire à un Aragonais que c'est un Méditerranéen, c'est comme comparer un flamand à un wallon... ;-)