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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. Bonjour Michel, si, certainement. Car au niveau du contact avec le sac, l'enveloppe corporelle sue, mais l'eau transpirée ne s'évapore pas et ne participe pas à la baisse de température du corps. Mais l'incidence ne doit pas être énorme car la face qui ventile le plus est la face avant, c'est donc elle qui évacue le plus de calorie. En contrepartie, la réserve d'eau du sac est importante, et cela permet de rester sur la selle plus longtemps. Expérience à faire en tous cas, ce sera peut-être un très mauvais plan, peut-être pas !
  2. Sans parler des chronos du TDF, et pour rester sur des choses plus comparables : je lis souvent (sur le forum, dans des revues ou des CR de compet) des allures moyennes de peloton entre 35 et 40kmh, voir d'avantage selon le niveau de la course. Hier, j'ai fait le test de donner tout ce que je pouvais sur un circuit de 46kms/D+300m, jamais plat, c'était ma sortie du jour. Résultat : 32kmh et qqs de moyenne, 91 rpm de moyenne en cadence, et 156bpm de moyenne en puls, soit 89% de mon FCmax. Il est vrai qu'étant seul, je prends la résistance de l'air plein pot. Mais l'écart par rapport aux moyennes de peloton sur des compétitions en dit déjà long sur la différence de niveau entre compétiteurs amateurs et simples sportifs entrainés (je n'ai certes pas 25ans, mais je me considère entrainé, je roule pas mal et je n'ai aucun surpoids). Alors quand je lis les moyennes des CLM, inutile de faire toute comparaison avec les meilleurs pros de la planète ni de s'interroger sur la faisabilité humaine de ces chronos en se basant sur ce que l'on fait soi-même. Même en étant meilleur que moi, ce qui doit être le cas de bcp de forumers. Aurait-on idée de comparer ses chronos sur un tour de piste en voiture de série apprêtée avec ceux d'un pro sur une voiture de pro de catégorie équivalente ?
  3. Bonjour Jaouen, justement je n'ai pas la réponse ! Je suis tenté de penser qu'il faut boire en étant bien à l'écoute de sa soif, sauf s'il fait vraiment chaud, car tout s'accélère : la perte d'eau, de sels minéraux et dans ce cas, s'en tenir aux recommandations habituelles. Mais bon, je ne suis guère spécialiste du sujet, simplement je m'interroge en ayant remarqué qu'en appliquant ces recos, justement, je bois sans soif. Pour garder l'eau au frais, je vais essayer une solution : sac à dos de couleur claire, avec poche à eau, bien calfeutrée dans un isolant thermique à forte inertie genre laine de bois ou ouate de cellulose (ces isolants ont une forte capacité à absorber la chaleur sans trop élever leur température de surface). Je reviendrai sur le forum pour dire ce que ça donne ! Il faut accepter de se trimbaler avec un sac un peu volumineux sur le dos ! Pour de longues sorties ou par temps très chaud, ça peut valoir le coup.
  4. Salut Daniel et Michel, je suis DID comme vous et porteur d'une pompe à insuline. C'est un moyen ultra-efficace pour bien stabiliser sa glycémie pendant ses sorties et s'adapter au métabolisme spécifique de l'effort. Si ça vous intéresse, on peut échanger en MP sur le sujet.
  5. Parallèle intéressant ! Et en plus, dans le domaine de l'agriculture et de l'élevage, la dérive est encore plus problématique : il y d'un côté des pays riches avec une politique de jachères, de quotas et une recherche de rentabilité déraisonnable et de l'autre des pays pauvres où sévit encore la famine ... L'agriculture bio, ou au minimum raisonnée, est certainement un espoir. La question est de savoir comment la rendre économiquement viable, avant que l'urgence sanitaire ne s'impose d'elle même, ce qui n'est pas souhaitable.
  6. Le dopage serait donc une posture naturelle de l'homme soumis au défi et au désir d'être le meilleur ? Oui, c'est certainement vrai, je dirais que c'est la traduction de cette posture naturelle dans le monde du sport. On retrouve bien cette même dérive dans des métiers différents : regardez ce qui se passe dans le monde économique, dans le monde politique, dans le monde de la communication, etc. : à tous les étages des comportements/agissements peu glorieux, qui se justifient secrètement du désir d'être le premier et qui procèdent finalement de la même démarche. L'article est intéressant en ce qu'il pose bien le problème personnel du coureur et ce en quoi il a cédé à la tentation. On veut se surpasser, on veut les titres qui sont l'expression de ce surpassement, et pour ce faire, on choisit la voie ... qui remet tout en cause : les titres, le mérite, le travail, etc. . Le désir de gloire / de gain s'impose au désir d'excellence, c'est humain, et une fois avoué on comprend et on ferme la parenthèse. La "révélation" reste courageuse de la part de ce coureur. Elle rappelle à juste titre qu'on ne peut pas dissocier cette tentation des souffrances, privations et sacrifices qu'impose ce métier. Cela remet à sa juste place la défaillance dans la volonté et la responsabilité personnelle du coureur. Cependant, concernant les affaires de dopage dans le monde du sport, il manque 2 choses dans les débats : 1. isoler toujours l'action de dopage du reste de l'individu et de son entourage est une démarche de redresseur de conscience horripilante. Et cela, l'article le dit bien. Je ne pense pas que l'on puisse isoler à ce point le coureur dans une réflexion sur le dopage, et encore moins juger. Une fois de plus, je vais mettre en cause les médias qui orchestrent la mise au pilori des coureurs qui se font choper, se faisant ainsi l'instrument complice, sans le savoir, de ceux qui ont une responsabilité affligeante dans ces affaires : les directions d'équipes, les sponsors (regardez comment l'équipe Cofidis a géré le cas Di Gregorio : communication, image, notoriété du groupe Cofidis, maintien de l'équipe dans le tour, point barre). Et tout le monde est content : les médias ont leur scandale, les responsables ont le coupable qui les mettent à l'abri, le peuple s'occupe et le coureur, qui ne porte qu'une partie de la responsabilité, trinque. Il n'y va pas de même lorsque le coureur gagne sans se faire démasquer : la gloire, les titres et leurs retombées sont pour tout le monde. Au final, certains sont gagnants ou perdants, d'autres sont toujours gagnants. On pourra trouver ça et là des exceptions, mais c'est une généralité qui vaut. 2. on pourrait s'attendre à ce que ceux qui dénoncent le dopage avec autant de moralisme s'attachent à proposer des solutions pour y remédier, puisque les valeurs de loyauté et de sportivité qu'ils défendent s'en trouvent écorchées. Que nenni ! Et du coup, la légitimité du discours, et même sa conviction, s'en trouvent remises en cause. Comment être crédible dans l'indignation sans jamais porter son discours vers les solutions pour y remédier ? A quand les assises du dopage qui mettraient autour d'une table tous ceux qui sont concernés de façon à changer le contexte, les mentalités, les règles, les contrôles, etc. ? Les ambitions des uns et des autres (sponsors et sportifs notamment) seraient-elles à ce point incompatibles ? Tout cela est certainement un peu illusoire, l’appât du gain est un germe tenace, qui a contaminé des structures énormes. Avant d'en revenir à des positions plus justes, plus équitables, il y aura encore quelques coureurs qui seront soumis à la vindicte publique. L'arbre qui cache la forêt.
  7. Merci Michel pour les explications, je vais tenter d'obtenir les différentes courbes rapidement.
  8. Le Qr en fin d'effort est de 1.41, je n'ai que cette donnée ! On peut en faire qqchose ?
  9. Sur le CR que m'a remis le médecin, j'ai les infos suivantes : FC, puissance et VO2 au SV1, (rien au SV2 donc), FC et puissance à l'effort maximal, Qr en fin d'effort, pente VO2/charge, VO2max, pente Ve/CO2 et pouls d'O2. Je n'ai aucune courbe de quoi que ce soit ni ECG, je pense que cela va partir directement chez mon médecin traitant, mais je vais en demander une copie. Pour ma fréquence max, je suis monté à 173 au cours du test, mais j'ai déjà atteint 175 en sortie, ce qui doit être ma vrai FCM. Ce n'est pas la donnée importante, pas plus que la petite différence, j'aurais surtout aimé avoir ma fréquence au seuil SV2. Le pb remonté par le médecin est désigné sous le terme "artéfact", j'ai cru comprendre qu'il s'agissait effectivement plutôt d'un pb sur l'ECG plus que les mesures ventilatoires. J'attends de voir ce que j'obtiens comme courbe de consommation d'O2. Si je comprends bien, la fréquence seuil SV2 est la fréquence observée au démarrage du plateau de cette courbe, et si à cette fréquence l'ECG est perturbé, on extrapole à partir de la courbe de FC ? Merci pour ces infos !
  10. J'ai passé aujourd'hui une épreuve d'effort avec mesure des échanges gazeux. Le chiffre qui m'intéressait était la fréquence au seuil anaérobie, et la puissance à ce seuil. Je fais donc le test normalement, et au moment des explications sur le rapport, j'ai toutes les données, sauf celles du 2ème seuil, pour cause d'"artéfacts", c'est à dire de perturbations des signaux électriques. Vraiment pas de bol ! Quelqu'un a-t-il déjà eu ça ? N'y a-t-il aucun moyen pour le médecin d'en faire une approximation avec les autres données de l'épreuve ? C'est quand même râlant, quand on sait qu'il faut 2 mois dans ma région pour avoir un RV, et que malheureusement cet été, je partirai dans mes ascensions de col sans cette donnée (pas indispensable, c'est sûr, mais cela permet de bien gérer au cardio). Globalement, je suis un peu déçu des conditions de réalisation. Il n'est malheureusement pas possible de mettre son capteur pour étalonner son cardio pendant l'épreuve. La fréquence de pédalage est imposée dans une certaine fourchette, en dessous de la fréquence de croisière de n'importe quel cycliste un peu entraîné. Le masque est assez gênant pour la respiration dés qu'on s'approche de l'effort maxi. Au final, on s'arrête un peu avant son effort maxi, comme le prouve d'ailleurs la FC maxi mesurée au cours de l'épreuve, qui est qqs unités en dessous de ce que j'ai déjà enregistré lors de mes sorties. Enfin, sans intention de pub, naturellement, et je précise cela car il y a déjà eu des discussions sur ce sujet, le fitness test des cardio Polar s'avère au final assez précis, aussi bien pour la fréquence maxi que pour la VO2max. Merci de vos témoignages, pour ceux qui ont eu ce genre de mésaventure au cours d'un test. Cordialement.
  11. C'est clair qu'il y a beaucoup de paramètres difficiles à connaître déjà, mais à modéliser également. Par exemple, l'incidence du vent dans une ascension de col où la route change de direction en permanence du fait des lacets (donc alternance sous ou contre le vent, mais qui ne s'annule pas forcément, ça dépend des longueurs entre les lacets ...), le vent lui-même, les passages abrités, les aspirations, les changements de position du coureur sur son vélo, etc. Bref, c'est très compliqué. Pourtant, ses résultats, d’après lui, sont très proches de ceux mesurés par les capteurs de puissance. Cela signifie qu'il fait ses calculs sur des portions "neutres" vis à vis de ces données, ou qu'il applique des valeurs moyennes très bien calibrées. Indépendamment de ce problème de justesse, les chiffres peuvent avoir une valeur comparative. C'est surprenant d'apprendre qu'il y ait un tel écart de puissance entre Froome (467W) et Voeckler (383W), les 2 chiffres ramenés en puissance étalon !
  12. Bonjour Luc, Cyril, j'aurais eu du plaisir à faire ces parcours avec les bons grimpeurs que vous semblez être. Mais je cherche plutôt à faire 1 ou 2 cols abordables pour terminer une longue préparation faite en plat pays ... et sur HT (pour simuler des efforts en prise de longue durée!), et dont l'objectif est le Ventoux. Je fais un petit séjour de qqs jours du côté de Carpentras au retour, et j'ai prévu de faire 2 faces : par Bédoin et par Malaucène. C'est l'objectif de l'année ! Et puis surtout, mes vacances à Nice sont en famille, donc avec des activités pour tout le monde, et le vélo ne sera pas 1 priorité. J'envisage plutôt de partir à la fraîche dans le créneau 6h-10h, pour pas compromettre le planning de la journée, tout ça en fonction du programme familial. On peut qd même s'échanger nos coordonnées en MP, je vous appellerai sur place si je vois que j'ai la dispo pour une sortie à plusieurs. A+, bien cordialement.
  13. Avec un décalage, merci pour les infos, je vous dirai ce que j'ai pu faire au final.
  14. "La raison est probablement qu'ils ne sont pas à la hauteur : Pour être à la hauteur il faut assumer et d'abord par la réussite y compris financière. Ensuite par le pieu : en général elles demandent quelqu'un qui assume. Et, enfin, il faut assumer, globalement dirons-nous, sa vie de famille (par exemple hygiène de vie). Si elles n'ont pas ça...elles se cassent" Bonne nouvelle les filles, on tient le profil idéal : gros compte en banque, grosse b... et en plus qui sent bon. Réjouissez-vous, vous allez être heureuses et fidèles à présent.
  15. Un petit message de soutien en MP ...
  16. D'autant que l'on lit depuis un moment déjà que les 1.5l quotidien, en dehors de toutes pratique sportive, c'est un peu du teasing commercial des vendeurs d'eau minérale. Et certains d'avancer même que l'excès de diurèse épuise le rein.
  17. Oui, c'est clair qu'il faut compenser tout ce que l'on consomme : glycogène, sels minéraux, etc. pas uniquement l'eau. Mais déjà rien que sur ce forum, il n'y en a certainement pas 2 qui boivent la même quantité d'eau pendant l'effort et pour autant très peu qui se plaignent d'effets secondaires liés à boire trop ou trop peu. Si bien que la théorie qui donne une consommation minimale pour tout le monde qui soit aussi élevée me laisse dans le doute. Toi, réellement, tu bois quoi sur ton vélo et en quelle quantité ?
  18. On lit partout que l'effort d'endurance en vélo doit s'accompagner d'une hydratation régulière pendant l'effort, quantifiée de 0.5l à 0.6l par heure. A comprendre comme une moyenne selon chaleur, intensité, etc. . Ce serait trop. Certaines personnalités médicales* tiennent maintenant un propos un peu différent : - halte aux idées reçues (et défendues par les fabricants de boissons de l'effort) - gare à la surhydratation : trop boire = accélérer la perte de sels minéraux, de sodium notamment, augmenter le volume d'eau corporel - la soif est un mécanisme précis d'alerte, pas de souffrance. Boire quand on a soif, c'est boire au bon moment (contrairement à ce que l'on peut lire partout). - à chacun d'estimer ses besoins par des pesées avant et après effort Ces affirmations m'interpellent un peu dans le sens où je n'arrive pas à boire, lors de mes sorties, la quantité d'eau mise en cause par cet article (souvent plus de 4h = 2l d'eau !), je n'ai pas assez soif. J'ai essayé de respecter cette quantité : rien de mieux, si ce n'est une envie de pisser avant l'arrivée. Finalement, le mieux n'est-il pas de s'en remettre à sa soif ? * Source de ces infos : http://www.lanutrition.fr/les-news/les-sportifs-boivent-trop-d-eau.html, et comme vous pourrez le lire dans cet article, étude parue dans le British Medical Journal, et interview d'un nutritionniste du sport, le Dr Kuhn
  19. Ca tue la course, le mot n'est pas trop fort. Consignes suivies à la lettre, ce que nous, Gaulois indisciplinés avons un peu de mal à admettre. Aujourd'hui, Froom est l'artisan de cet ennui (avec Nibali) et on lui en veut. Mais le ridicule va à Wiggins, leader désigné d'office par son équipe, et qui a du mal à démontrer sur le terrain en quoi ce choix est justifié. Un peu dérangeant de le voir se faire tirer par son lieutenant pour franchir la ligne d'arrivée pas trop loin derrière lui. Il ne suffit pas de surfer dans les CLM pour s'assurer le mérite sur le TDF. Mais bon, ne crachons pas dans la soupe, le plaisir est tout de même venu du savoir faire de Voeckler pour se trouver devant Kessiakoff à chaque sommet, des paysages Pyrénéens et du spectacle de ces ascensions menées à des cadences impressionnantes. Enfin, c'est ce que j'ai personnellement apprécié.
  20. Oui, bien sûr, on est sur le ton de la boutade, il n'y a aucune fanfaronnerie ! Le jour où j'enverrai en continu 450W, ce sera dans une autre vie, car dans celle-ci, l'âge est passé ...
  21. Performance certainement surhumaine de Voeckler que d'enfiler 4 cols dont 2 HC avec autant de facilité apparente et tout ça dans une étape de 200km. Mais personne n'est dupe de cette réalité, et maugréer dessus ne change rien à l'affaire. Ce qui pèse sur le spectacle surtout, et qui n'a rien a voir avec le dopage, c'est l'immobilisme du peloton avec les Sky qui tétanisent tout le monde. Au final, même dopé et donc imposteur, même agaçant par son style et ses déclarations, Voeckler a donc assuré le spectacle, en tant qu'échappé. A tous les aigris de la sur-performance due au dopage, consolez vous en vous disant que même non dopés, ces gars là offriraient un spectacle quasi-identique et aligneraient des temps inaccessibles aux plus performants d'entre nous qui nous laisseraient tout autant rêveurs.
  22. Pas vraiment un sujet, juste un clin d'oeil. Sorti cet après-midi par vent d'ouest avec rafales, j'ai maudit la portion de mon trajet contre le vent, mais au retour, quel plaisir de se prendre pour Sagan, Voeckler et les autres, porté à plus de 40 de moyenne sur certaines portions (pas les descentes, je précise, tout de même) avec l'impression d'envoyer au moins dans les 450W. Fastoche ...
  23. Certes, et c'est vrai aussi en bien d'autres domaines. Cela trouve sa justification lorsque l'évènement est à la hauteur du spectacle. Lorsque ce n'est pas le cas, c'est sans doute que les journalistes manquent un peu de talent.
  24. Et bien elle était passionnante cette étape, que le sujet du jour, c'est l'attaque de Rolland, un épiphénomène tout de même. Les journalistes l'ont compris aussi : Rolland n'avait pas terminé que Gérard Holtz voulait déjà tirer cette histoire au clair. Mon dieu, quelle histoire ! Ça fait plus dans le sujet que l'enquête sur le semis de clous, certainement. Et franchement, se pâmer devant le fair-play de l'équipe Fly qui prend la décision de ralentir tout le peloton pour attendre Evans dans une étape qui, à ce stade de son déroulement, est sans enjeu, ça me fait un peu rire aussi. Décidément, c'est s'accrocher à bien peu de choses pour épingler les uns et féliciter les autres. Bref, commentaires bidon cherchant désespérément une once de spectacle.
  25. Noble aventure et magnifique récit, bravo ! Je ne suis pas encore contaminé, mais comme je vais dans le coin cet été tater 2 ou 3 de ces cols, ça ressemblerait presque à un vaccin, tu connais le principe, accepter l'intrus sans trop en souffrir ... Je regrette d'être si loin de ces évènements qui forgent la vie et la mémoire d'un cycliste. Encore bravo et merci pour ce partage.
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