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Christophe MASSIE

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Tout ce qui a été posté par Christophe MASSIE

  1. Ah, la bonne nouvelle ! Et sur une sortie de 4h, ça fait 2l. Et question pratique, comment faites-vous : vous multipliez les bidons, vous vous arrêtez pour recharger en route, ou bien poche à eau sans un sac à dos ?
  2. OK pour boire davantage. Selon toi, ça rendra les fin de sorties plus faciles ?
  3. Le litre en rentrant, c'est plus de raison que de besoin, je le bois sans soif, sauf sortie par temps vraiment chaud. Mais bon, la sous-hydratation accélère la fatigue si je comprends bien ? Pour le mal aux jambes en rentrant, j'aurais bien aimé gagner 1 bonne heure et pouvoir atteindre les 120/130km sans trop souffrir au retour. Actuellement, sur une sortie de 115km, je lève franchement le pied les 20 derniers kilomètres (lever le pied = FC moyenne à 65-70%FCmax au lieu de 75%). Même pb à la nuque d'ailleurs passé 3 sur le vélo.
  4. Lors de mes sorties prolongées (>4h) ou intensives (fractionné+AR=3h), je ressens une raideur musculaire en fin de séance principalement des cuisses (ischios et quadri) et un peu moins les mollets, un peu douloureuse. Ca tire bien dirons-nous, même en effort modéré. A côté de ça, au niveau hydratation, je bois 0.5L avant de partir, 0.6L pendant mes sorties (c'est la contenance de mon bidon), et pas loin d'1L en rentrant pendant les étirements. Pour l'hydratation pendant l'effort, j'ai conscience que c'est bien trop peu, je vais me recaler sur 0.5L par heure. Ma question est la suivante : est-ce que mes "douleurs" musculaires en fin d'effort sont dus à la fatigue, à l'accumulation de lactates ? Est-ce qu'en buvant davantage, je vais limiter ou éliminer ce pb ? Merci d'avance pour vos explications ou suggestions.
  5. Ah non, non non, ce n'est pas un bon résumé de ce que j'ai dit ! Pourquoi supprimer les produits laitiers et les viandes ? Guillaume, si tu venais passer une semaine de vacances chez moi, ça m'étonnerait que tu sois en manque de plaisir à table. A vélo, je dis pas, parce que quelqu'un d'entraîné comme toi trouverait sans doute le coin un peu facile, mais aux repas, je te garantis que tu en redemanderais ! Et pourtant tu n'y trouverais ni sucre blanc, ni Nut..., ni compléments alimentaires inutiles aux probiotiques, ni huile de palme, pour reprendre les derniers sujets sur lesquels j'ai donné mon avis.
  6. "il faudra bien qu'il s'habitue ..........." Comment ? En l'occurrence, il s'agit du sucre blanc. Dans son état naturel, le sucre de canne ou de betteraves contient du saccharose, mais aussi des sels minéraux. L'assimilation du glucose par l'organisme s'accompagnant d'une consommation de sels minéraux, le produit, dans son état naturel, présente donc une bonne compatibilité : il apporte de l'énergie, et les composants qui permettent de l'assimiler. Les traitements qui permettent de raffiner ce sucre (qui n'est pas blanc au départ) font disparaître en même temps que la couleur, les sels minéraux. Ainsi, une consommation excessive de sucre blanc raffiné peut donc être déminéralisante, en l'absence de compensation. Résultat : ostéoporose, parodontie, etc. Je ne suis pas sûr que l'organisme sache s'habituer. Nous avons encore le choix de notre alimentation et c'est pour cela qu'il faut donner des informations pour inciter aux bons choix. L'heure de la résignation n'est pas encore arrivée !
  7. Le 6'+6' (6' en intensité, 6' de détente), en 2 groupes de 3 successifs, ça fait une séance de travail de 36mn au seuil au total. C'est honnête, et c'est le principe du fractionné. Après 3 semaines de séances, j'ai déjà constaté des améliorations. Sur un parcours de référence avec plusieurs bosses, j'arrive à prendre sur certaines de plus gros braquets (à cadence à peu près identique bien sûr) tout en restant à des FC inférieures, aussi bien en max qu'en moyenne. Il y a certainement d'autres exercices. Celui-ci est adapté à mon niveau. Je ne sais pas quel est le tien (puissance au seuil). Il est certain que si tu es déjà à 93/94% fcm au seuil (lorsque tu es en forme) et que tu développes à cette intensité plus de 300W, l'entrainement pour progresser sera différent.
  8. Non, ce n'est pas de la paranoia ! C'est de la prudence, c'est tout. Comme tu le dis, de nos jours c'est devenu très compliqué de séparer le bon grain de l'ivraie quand on fait ses courses. Etre obligé de lire les compositions pour se faire une idée, tellement l'image ou la désignation du produit n'est pas fiable, c'est un peu malheureux d'en arriver là ... Mais ce n'est pas de la paranoia, c'est simplement savoir ce que l'on mange et tu as raison de le faire. Mais bon, je vois dans tes propos que tu restes attentif à tout ça, c'est l'essentiel !
  9. Bonjour Lucien, même avis que Sébastien et Joaquim. Si un effort donné de permet de rester 10/15mn à ton seuil puis te le fais dépasser, c'est que la puissance de cet effort est supérieure à ta puissance au seuil. Les 15mn, c'est simplement le temps de réponse de ton coeur. Donc par rapport à tes capacités d'il y a 10 ans, soit c'est ton seuil qui a baissé, soit c'est ta puissance au seuil. Si au niveau jambes tu est bien, je serais tenté de dire que c'est plutôt le seuil qui a baissé. Donc mon conseil serait de t'orienter vers des exercices qui te permettent d'élever ton seuil. Je suis également dans cette recherche en ce moment, en vue d'être plus à l'aise pour des ascensions de cols. Je travaille en séances de fractionné long 2 fois par semaine : échauffement sur 15/20bornes, 2 séances de 3x(6'+6') avec 5km de repos actif entre deux et retour en faisant tourner les jambes. Je fais cet exercice sur une bosse de 6%. Mais en général, les 2 dernières montées, j'ai trop mal aux jambes pour atteindre mon seuil. Je fais cet entrainement pendant 4 semaines au total. Après, je passerai à des séances de travail spécifique pour la force. Bonne continuation.
  10. Salut Julien, je ne mettais pas en cause ton hygiène de vie bien sûr. Mais cette pâte à tartiner, en dehors de son goût addictif, n'a vraiment rien pour elle : trop riche en sucre, contient de l'huile de palme, des phtalates, suspectée aussi de contenir des OGM. Sur 100g de produit, on a tout de même quasiment 75g de sucre et d'huile réunis ! 10% de la matière est constituée d'acides gras saturés. Bref, l'antithèse de son discours marketing, celui-ci étant suffisamment trompeur pour que quantités de gamins en consomment au petit dèj et au goûter selon leurs envies. De ce point de vue, à considérer l'écart entre l'image cultivée et la réalité sanitaire du produit, c'est certainement un hors catégorie. Toi tu en consommes 55g par jour, tu n'en mourras pas, c'est sûr. Mais au fil du temps, lorsque les années passent, on est satisfait et rassuré d'avoir éliminé de ses habitudes toutes ces petites choses qui cumulées, peuvent exposer à un risque. Ça permet de rester serein. C'est mon point de vue, je l'expose mais n'oblige personne à le partager !
  11. J’ai un peu regardé de quoi il s’agissait pour les probiotiques. Le sujet est technique et très controversé, c’est difficile de se faire une idée. Le principal produit visé dans la consommation de tous les jours est le yaourt au bifidus, contenant donc les fameuses bactéries de type probiotique. Produit commercial plus que réparateur à mon sens, et en tous cas pas naturel puisqu’on y incorpore des bactéries. Maintenant que le doute est jeté, mieux vaut peut-être s’abstenir, et pour ceux qui souffrent d’un déséquilibre de la flore intestinale, rechercher et traiter la cause sera plus efficace que de soigner les effets. Pour rattacher le sujet au vélo, le yaourt nature tout simple est très bien après l’effort comme aliment alcalin !
  12. Et même pour être encore plus précis, relevé sur carte IGN : - 2km entre 10 et 11.2% entre Ste Estève et le chalet Reynard - 6.85km entre 9 et 10%, les 3/4 entre Ste Estève et le chalet Reynard, le reste à l'arrivée - 3.2km entre 8 et 9% entre Ste Estève est l'arrivée Le reste (une petite moitié donc) , c'est du moins de 8%
  13. +1 34*28 à 55 rpm ça fait du 8.5 km/h. Dans du 10%, c'est typé exercice de force et le conseil est bon.
  14. C'est vrai, mais la préparation d'une épreuve est l'occasion de progresser pour un cycliste. Le progrès amène un potentiel supplémentaire dont on profite ensuite à chaque sortie selon ses envies : performance ou confort !
  15. Bonjour Pierrick, j'ai créé un post il y a quelques semaines intitulé "Préparation ascension Ventoux". J'ai le même projet que toi pour cet été, mais avec un peu plus de pratique et de km. D'après les conseils qui m'ont été donnés, je me suis fait un plan d'entrainement en 3 sorties par semaines : 2 en travail spécifique, une plus cool pour faire tourner les jambes et entretenir le foncier. Mon travail spécifique est en cycles de 3 semaines alternant travail au seuil et travail de force. L'objectif de ces entraînements est d'une part d'augmenter ma puissance, et d'autre part de relever mon seuil anaérobie. Pour des ascensions difficiles comme le Ventoux, puissance et seuil élevé sont 2 qualités à développer. J'ai 48 ans, 78kg pour 1.80m, donc pas vraiment un physique de grimpeur. Mais ces entraînements me font progresser : en 1 mois, sur une même côte de 1.8km à 5.2% montée à une fréquence cardiaque moyenne proche du seuil, j'ai diminué mon temps d'1mn (6'28" à 5'25"). Pris à l'envers, ça devient intéressant pour l'ascension du Ventoux : pour le même temps, c'est à dire à puissance égale, je gagne 10bpm en FC et donc j'ai plus de chances d'arriver en haut sans me mettre dans le rouge. Au total, je roule entre 200 et 250km par semaine. Bonne préparation.
  16. Voilà un exposé intéressant, et qui amène à se poser de bonnes questions. Le sucre, comme le sel d’ailleurs, est consommé largement en excès, c’est une réalité. Evidemment, tout est fait pour masquer cet excès et les problèmes de santé qui l’accompagnent : alimentation industrielle toute prête qui impose silencieusement des ingrédients que l’on ne mettrait pas si l’on cuisinait soi-même, désinformation organisée, contrôle indirect des organismes de santé publique, etc. Tout cela procède d’un lobbie économique très influent dans lequel l’industrie agro-alimentaire et la distribution tiennent un rôle prépondérant. Les questions d’argent passent ainsi devant les problèmes de santé publique, et l’on n’en saurait rien si des rapports comme celui-ci ne sortaient pas de temps en temps pour nous interpeller. Comme le dit Joaquim, tout cela fonctionne bien par la faute d’un consommateur non éduqué, non instruit et enclin à suivre la pensée suggérée plutôt qu’à s’interroger sur les bons choix. La connaissance est le premier pas vers le libre arbitre … En dehors de cette question générale, il faut être avec le sucre comme en toutes choses : averti et rester raisonnable. Un peu de sucre blanc dans un gâteau ou une pâtisserie à la fin d’un repas n’a pas les mêmes effets que celui que l’on met dans son café le matin. Derrière un bol alimentaire solide et conséquent, la transformation du sucre en glucose sanguin est très ralentie. En revanche, 2 sucres dans un café (liquide) qui arrivent dans un estomac vide, c’est en quelque sorte une agression pour le pancréas et l’estomac. Notre organisme n’est pas fait pour absorber des produits aussi raffinés que pauvres d'ailleurs. Personnellement, je ne consomme pas de sucre blanc, que du sucre roux ou brun (beaucoup moins raffiné) et bio : 2 sucres le matin dans le café, derrière le bol alimentaire, et c’est tout. Pas de sucre dans les yaourts (un fruit à la place, c’est bien mieux !), pas de desserts lactés industriels, peu de céréales industrielles trop sucrées aussi, confitures uniquement maison faites avec du sucre non raffiné, miel, etc. Ca n’empêche pas d’être heureux à table. Le yaourt nature non sucré, on lui retrouve une saveur qui disparaît avec le sucre ! Et comme dit plus haut, on peut craquer de temps en temps pour se faire plaisir avec un bon truc, même si c’est hyper sucré. Ce qui compte, c’est le quotidien, pas l’exception. Après, pour les sportifs, le seul intérêt du sucre blanc est sa rapidité pour corriger les hypoglycémies. Et pour ceux qui font de l’hypoglycémie réactionnelle, accompagner la prise d’un sucre plus lent, ou accepter de se resucrer différemment et de s’arrêter plus longtemps. Un petit mot pour JULIEN : pour la fameuse pâte à tartiner italienne : tout le monde a vu la vidéo du flacon laissé au soleil et de ce qu’il en est ressorti. On est bien loin du l’image bienfaitrice mensongèrement entretenue par la pub ! Franchement, ça mérite de laisser le produit dans le rayon, non ? Et par rapport à ce que dit David, l’article dénonce la consommation excessive de sucre de betterave/canne à sucre, par des sucres lents en général, qui sont indispensables et utiles à tout le monde, sportifs ou non. J’en profite également pour interpeller sur 2 autres sujets : le sel, où l’on est à peu près dans la même situation, et les huiles. 2 produits générateurs de maladies graves : hypertension, obésité, athérosclérose, diabète non insulino-dépendant. A propos de certaines huiles végétales, on connaît les conséquences en matière d’athérosclérose et de risque d’obésité (huile de palme, coco), mais moins celles sur la dérégulation de la glycémie : des études ont démontré chimiquement la perturbation du fonctionnement des récepteurs d’insuline par une consommation excessive de ces huiles, et les dérégulations de glycémie que cela provoque. Etudes frappées d’interdiction de paraître mais qui ont circulé sur le net il y a quelques années. Je n'en ai plus la trace, c'est dommage, je les aurais mises en ligne. Les Etats-Unis sont le pays où l’on consomme le plus de produits contenant ces huiles végétales très riches en AGS/AGPI, masquées dans les préparations industrielles, et comme par hasard, où les statistiques de diabète de type II sont les plus effarantes. Une vraie aubaine pour les industriels de l’aspartam qui est par ailleurs un poison alimentaire bien masqué et protégé. Et qui plus est, vendu en tant que substitut contre le méchant sucre blanc. C’est un peu l’hôpital qui se fout de la charité … Dans quel monde vivons-nous ! Vive le vélo en plein air et avec le supplément d’hygiène de vie qu’il nous impose ! J'ai été un peu long, désolé, mais ces sujets m'interpellent depuis bien longtemps.
  17. Il y a eu bcp de débats sur cette mécanique Renner pour pianos droits permettant la répétition, débats d'intellectuels plus que d'interprètes d'ailleurs, car il faut déjà un très bon niveau pour savoir profiter des possibilités offertes par une double échappement. Sur mon Pleyel, j'ai une mécanique dite à peigne, à double échappement aussi. Son seul (petit) défaut c'est qu'elle est un peu bruyante. Evidemment, il ne faut pas la comparer en toucher ni en régularité avec celle d'un piano à queue moderne, on serait déçu. L'intérêt de l'instrument, c'est surtout le timbre et l'équilibre sonore des registres, et aussi la présence dans un salon. Il incite surtout à travailler l'interprétation, plus que la technique, c'est vraiment un instrument pour le plaisir. Le mien est l'un des derniers 3bis sortis des usines Pleyel et donc le meuble est relativement "moderne" (le très recherché modèle F lui a succédé, mais il y a tant de spéculations sur ce modèle qu'il est difficile de l'acquérir à un prix raisonnable). La restauration a été longue : mécanique et sommier impeccables, mais la réparation de la table d'harmonie fendue a été une longue opération, magnifiquement réussie par le restaurateur, lorsque l'on voit la tenue des notes au final. Le choix des cordes a été compliqué aussi, car il fallait s'approcher du timbre d'origine. Malheureusement, le fabricant de l'époque (Firmini) a emporté la composition de l'acier dans sa tombe et plus aucun fabricant ne propose de cordes approchant ce timbre. Il a fallu faire plusieurs essais avant de trouver les bons compromis et au final le piano a été recordé en plusieurs marques. La restauration, c'est un art compliqué et passionnant ! Mais bref, je m'égare, nous ne sommes pas sur un forum de pianistes ... Désolé pour les cyclistes de cette digression ... Excellent rétablissement devant ton Sauter !
  18. Au fait Patrick, je vois dans ton profil que tu fais du vélo et du piano ? Je suis pianiste aussi, j'ai déjà joué sur un Sauter droit, piano d'une prof que j'ai eue il y a 15 ans. Je le trouvais assez raide à jouer au niveau clavier, mais elle, elle se balladait et en tirait un son assez cristallin. Perso, j'ai déniché il y qqs années un Pleyel quart de queue 1926 que j'ai fait entièrement restaurer. La mécanique est encore très bonne, le meuble en palissandre reverni et surtout le timbre est magnifique, j'apprécie tant la sonorité des pianos de cette époque glorieuse des facteurs français, un vieux rêve que j'ai pu réaliser ... I stop it, ce n'est pas le bon forum pour en parler ! Si tu est immobilisé par ton genou, tu auras de quoi d'occuper devant ton clavier !
  19. J'ai fait deux sortie avec ma patate, 95km avec Mimi Pelsener il y a 10 jours (aucune séquelle), 70 samedi dernier + 20 de ballade dimanche avec Madame... état stationnaire, ça dégonfle pas Bonjour Patrick, s'il s'agit réellement d'un épanchement de synovie comme indiqué dans le titre du topic, il faut en identifier la cause (pb tendons, ménisque, traumatisme ?) car l'épanchement en soi n'est pas une pathologie, c'est la conséquence d'un pb au niveau de l'articulation. Ton médecin ne t'as rien dit sur la cause probable ? Pas de radio, pas d'écho ? A ta place, j'essaierai d'en savoir un peu plus avant de reprendre le vélo, même à petites doses. C'est dur de s'arrêter un moment, et l'on cherche toujours de bonnes raisons de ne pas le faire mais 100km de vélo, ça fait tout de même entre 15 et 20000 rotations des jambes, c'est beaucoup pour une articulation en souffrance ...
  20. Bonsoir Pauline, même expérience que toi l'année passée. J'ai commencé par des sorties régulières en augmentant progressivement la distance : 30km puis 40 puis 50 etc. jusqu'à 70/80 kilomètres. Mon objectif était simplement de terminer ma sortie sans me cramer les jambes et sans me mettre dans le rouge dans les côtes. Arrivé à cette distance, j'ai ensuite repéré des parcours de référence qui incluaient de petites bosses et sur lesquels j'ai progressivement amélioré mes temps. Cela passe par une cadence plus élevée sur le plat, puis des braquets plus importants dans les côtes. A la longue, les fréquences cardiaques diminuent et la capacité à tenir un effort augmente. C'est ce que l'on appelle "le foncier", c'est à dire l'endurance basse. C'est la première base à acquérir. Si tu veux progresser, il faut donc que tu fasses des sorties moins intenses (vises plutôt une FC moyenne de 140 dans tes sorties, pas plus), bien régulières, en allongeant progressivement tes distances. Pour info, pendant ma période de foncier, je faisais en moyenne 700km par mois, moins au départ, d'avantage après. Ensuite, tu pourras augmenter l'intensité de tes sorties. Tu trouveras sur ce forum de très bons spécialistes qui sauront te conseiller en entrainement spécifique selon ce que tu attends de ta pratique et ce que tu souhaites faire. Bon courage.
  21. Bonjour Romain, personnellement, j'utilise un écran total indice 50. C'est très efficace, je l'ai testé récemment sur des sorties de 4h/5h en plein milieu de journée. On en trouve de différentes marques en pharmacie et para-pharmacie. Je peux t'envoyer la marque que j'utilise en MP. Préventivement, on peut aussi faire le plein de vitamines A/E pendant l'hiver et s'exposer progressivement pour préparer la peau aux expositions prolongées. Plus elle se débrouille toute seule au soleil, mieux c'est pour la synthèse de la vitamine D, qui est compromise quand on met des crèmes de protection.
  22. Bonjour Jean-Pierre, allez je me risque à un petit calcul sur 1 semaine : 9h de vélo à 110 bpm de moyenne et 45 de FCR, ça représente une dépense calorique de 4500 Kcal environ, un peu plus un peu moins selon tes propriétés physiologiques. A côté de ça, on peu considérer que tu es sédentaire donc ta dépense calorique est de l'ordre de 2100 Kcal par jour, soit 14700 Kcal par semaine. Au total, ton besoin énergétique globale est de l'ordre de 19000 Kcal par semaine dont environ 25% dépensé sur ton vélo . Ce sont des ordres de grandeur bien sûr. Mais à présent, tu peux rapprocher ça de tes apports caloriques hebdomadaires en essayant d'évaluer le contenu de tes repas. C'est un peu casse-pied à faire : tout noter pendant 1 ou 2 semaines et faire ses calculs ensuite. Tu risques de t'apercevoir que tes apports ne sont pas significativement inférieurs à ta dépense. Autre remarque : en roulant à 70% de ta FCM, tu entames modérément tes réserves de glycogène. Tes muscles carburent surtout en brûlant les graisses. Du coup, lorsque tu te remets à table, ton stock de glycogène étant peu entamé, des apports glucidiques excessifs se transformeront principalement en triglycérides, et rejoindre le tissus adipeux. Une activité fonctionnant sur la lipolyse ne peut donner de résultats en perte de masse grasse qu'avec un apport contrôlé et équilibré des glucides/lipides pendant les repas. A titre d'exemple : une plâtrée de pâtes la veille d'une sortie ou le repas qui la suit, ça chiffre vite : 100Kcal pour 100g cuits al dente. 200g de pâtes, c'est déjà une ration raisonnable et c'est loin de remplir l'assiette. Les légumes secs ont presque le même apport énergétique aux 100gr avec l'avantage qu'une partie est fournie en protéines et nourrit le muscle. Pour approfondir le sujet de manière efficace, il faut avoir recours à un diététicien du sport, ou à défaut apprendre soi-même sur le net. Et une dernière réserve : je crois que plus on avance en âge, plus il est difficile de brûler des graisses présentes depuis de nombreuses années. Il doit sans doute aussi y avoir des modifications du métabolisme avec l'âge.
  23. Bonsoir Jean-Pierre, au vu des chiffres que tu donnes, le résultat affiché par ton Garmin paraît faible. Pour des efforts en dessous du seuil, la dépense calorique d'un effort est proportionnelle au nombre de battements cardiaques pendant l'effort. Le rapport de proportionnalité dépend de l'individu, et notamment de la capacité d'oxygénation de ses battements cardiaques. Avec les chiffres que tu donnes, c'est dire une vitesse moy. de 25kmh soit 1h48 pour accomplir les 45kms à 110bpm de moyenne, tu devrais plutôt être entre 600 et 800Kcal. Ou bien alors, c'est que ton organisme est doté d'un rendement exceptionnel et donc consomme peu pour produire une puissance donnée ... Au fait quelle est ta fréquence cardiaque au repos ?
  24. Il n'y a rien de plus tenace que la graisse abdominale - je mets à part Joaquim qui est un mutant avec son adiposité persévérante aux ischios ! Pas sûr que l'on puisse un jour exhiber de belles tablettes bien sèches passée une trop grande période de négligence ... Mais comme l'a dit plus haut Gérard, la pertinence, c'est l'équilibre apports/dépenses. Ce qui passe inévitablement par un effort sur le comportement alimentaire : éviter de se resservir, pas de grignotage, équilibrer ses menus, raisonner son appétit, etc. C'est d'autant plus compliqué à mettre en place lorsqu'il y a des habitudes prises depuis longtemps au sein de la famille et que tout le monde n'est pas dans la même logique ...
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