Marie-Noëlle FROMENT

Je plussoie! Il devrait y avoir une prime kilométrique pour ceux qui habitent des régions pas franchement réjouissantes niveau vélo! ;-)

Bonjour à tous, Un petit 70 bornes hier (à ce train là, les 10000 km vont être difficiles à atteindre) dans le froid et sous une espèce de crachin/neige. Ma veste a gelé aux manches et sur la poitrine, j'avais les bras dans une carapace de glace...c'était vivifiant! J'ai aussi fini par enlevé mes lunettes car les gouttes d'eau gelaient dessus... Bref, ça caillait!

Hier, Challenge du Centre à Chabris (Indre): départ à 6h30 à 4 pour 186 kms, aller-retour Orléans. L'aller s'est fait presque au sec avec un vent moins fort que prévu. Retour sous la bruine puis une pluie plus forte. A partir de la Ferté St Aubin, retour sur des œufs: un copain de club a cassé son cadre, réparation de fortune qui a tenu jusqu'au bout. Je crois que c'était ma dernière "grande" distance de l'année...

Moi je veux bien voir Tom Dumoulin! ;-)

Merci Michel! Il me semblait bien que je pouvais modifier mon objectif moi-même mais j'ai eu peur de faire une %@!?..rie et de pourrir ton beau tableau...

Salut Michel, Je viens de remplir mes km pour août et je vois que j'ai pratiquement atteint mon objectif initial, à savoir les 8000 km. Bon, soyons honnête, dès le départ, j'ai joué la sécurité pensant bien que j'y arriverais. Serait il possible que tu modifies mon objectif à 10 000 km qui est un "vrai" challenge symbolique? Merci!

Bonjour à tous, Après une sortie club de 115 km dans la Beauce dimanche dernier, sortie de 115 km en Sologne: les grands classiques de la région orléanaise quoi! Nous n'étions que trois à faire le grand parcours qui nous a fait zigzaguer dans la Sologne entre Vannes sur Cosson, Sennely, Ménestreau et la Ferté St Aubin avec de grands bouts droits et un vent très présent parfois favorable, parfois défavorable. Des nuages bien noirs sont arrivés de l'ouest et nous avons fini par nous prendre la pluie. Je suis revenue trempée mais je n'avais pas mis la bâche, la température étant assez douce. Malheureusement, après la douche, j'ai reçu un sms d'un de mes compagnons de route qui est également le président du club: en revenant chez lui après que nous nous soyons séparés, il s'est fait faucher par une voiture dans un rond point...heureusement, pas trop de dégâts ni sur le bonhomme ni sur le vélo!

Bravo Franck, La montée par le sud est tout de même plus facile, surtout si tu la commences du col du Lautaret. Au dernier BRA, j'ai eu les mêmes (mauvaises) pensées que toi quand j'ai regardé au loin le col et le peu de km qu'il restait à faire... ;-) Je me souvenais bien de mon précédent BRA que le dernier km était dur mais en fait, ce sont les 5 ou 6 derniers qui sont difficiles: j'ai vraiment un peu galéré une fois rentrée dans la "combe".

CR bien sympa. Je vois que toi aussi, à l'occasion de ce BRA, tu as rencontré "pour de vrai" Bridou et Poucet. Le monde du vélo est petit... ;-)

Merci Michel, félicitations à toi aussi pour ce beau BRA. On a du se croiser! Je trouve en effet que je ne m'en tire pas trop mal vu mon entrainement quasiment que de plaine: j'ai juste fait une sortie de 110 bornes dans les bosses de l'Essonne et un BRM de 300 avec quelques côtes du Sancerrois. Je compense par quelques longues distances. Je n'ai pas mon compteur sous les yeux mais je dois finir avec 19,60 de moyenne environ. Bon, ce n'est pas terrible mais entre de grosses montées et des descentes et du plat effectués quasiment toujours seule avec un vent assez fortement défavorable, je ne m'en sors pas trop mal. En fait, la moyenne, je m'en fiche un peu, l'idée était de finir et de ne pas trop galérer. Donc en fait, je ne me suis jamais mise dans le rouge et ai géré mon effort. Oui le Mollard est vraiment sympa et beaucoup plus court et facile à faire que dans l'autre sens. Je n'ai pas regretté de l'avoir fait; je crois que c'est le col où je me suis le plus fait plaisir.

Avec un peu de retard, mon CR sur le BRA. C'était ma 3e participation à cette formidable randonnée qui est organisée de main de maitre par le Club des Cyclotouristes Grenoblois: merci à tous les bénévoles! Comme d'habitude, je suis partie à 3h00 du matin: ben oui, quand on est lent, faut se lever tôt! Bon, pas de souci pour me lever vu que je n'ai pas dormi de la nuit... Départ prudent dans le long faux plat montant qui mène au pied de la Croix de Fer: je n'ai pas trop de jambes en ce moment et de plus, vivant dans une région extra plate, il valait mieux que je m’économise... Les premières rampes de la Croix de Fer mettent tout de suite dans le bain; Contrairement à 2013, j'ai beaucoup mieux encaissé ce col qui était mon premier col de l'année voire ma première bosse un peu sérieuse (je n'avais pas fait de montagne depuis le brevet montagnard de l' Espinouse l'an dernier). Mais je le trouve plutôt dur et vraiment interminable, surtout la première partie dans la forêt. Heureusement, la deuxième partie est vraiment belle et l'arrivée au col est splendide avec de magnifiques vues sur la Meije (et un bon ravito! ;-) ) Je pensais zapper le col suivant, à savoir le col du Mollard qui est optionnel, mais finalement, comme je caillais dans la descente de la Croix de Fer, j'ai enquillé la montée du Mollard, histoire de me réchauffer. Je ne l'ai pas regretté car je ne me souvenais pas que ce col était aussi sympa à faire: de belles vues sur les aiguilles d'Arves (enfin je crois) et il est très bucolique: quasiment aucune voiture sur une route bien tranquille, contrairement aux autres cols de la journée qui sont devenus des circuits de compétition pour les motos et certaines voitures de sport en mal de sensations fortes! De plus, la descente est vraiment sympa et technique, dommage que la route soit un peu dégradée. Il a fallu ensuite remonter la vallée de la Maurienne, qui elle, n'a rien de bucolique. Pour corser un peu la chose, un fort vent dans la figure. Il a vite calmer mes ardeurs. A St Michel-de-Maurienne, un bon ravito nous attendait avant d'attaquer la suite du menu, à savoir le col du Télégraphe: celui-là, je ne l'aime vraiment pas: très peu de vues et beaucoup de circulation. Encore un ravito à Valloire, puis il a fallu attaquer le dessert, le col du Galibier: celui-là est vraiment très beau. Le vent assez fort ne m'a pas trop gênée, je trouve qu'il apportait une fraicheur bienvenue durant l'effort. J'ai assez bien passé le début mais j'ai un peu galéré les 5 derniers kilomètres. J'aurais aimé faire le dernier col en option, le col de Sarenne qui semble très beau mais franchement, je n'avais plus les jambes pour ça, sachant qu'au sommet du Galibier, il reste encore 80 bornes à faire; certes, surtout en descente. J'ai trouvé la descente du Lautaret moins interminable qu'en 2013, peut-être parce qu'il y avait, je trouve, un peu moins de circulation. Et le passage par la route de secours au dessus du lac de Chambon était superbe. Avant d'atteindre le faux plat descendant terminal vers Vizille, il restait tout de même quelques bouts droits où je me suis retrouvée seule la gueule dans le vent. J'ai fini les derniers kilomètres avec un gars avec lequel nous nous sommes relayés avec les jambes qu'il nous restait... Au final, j'arrive à Vizille à 17h30 pas trop ruinée mais comme disait une vieille publicité: "Ben j'ferais pas ça tous les jours!"

Bonjour Thibaud, Oui en effet, les "beautés" de la Beauce sont assez limitées...nous avons roulé vers la "vallée" de la Conie, c'est assez sympa. Je suis au Cercle Jules Ferry de Fleury-les-Aubrais.

Pluie ou pas pluie, quand tu vas en Beauce l'été, tu reviens souvent avec le vélo dégueu (grrrr!!!!) parce que les agriculteurs laissent souvent de grosses mottes de terre sur les routes et comme ils arrosent autant les champs de maïs que les routes (bonjour le gâchis d'eau!), tu finis avec de la boue sur le vélo...

Contrairement à Olivier, je ne me suis pas recouchée en voyant la pluie tombée: après tout, nous sommes en été donc elle ne devrait pas être trop froide. Mais visiblement quasiment tout mon club est allé se recoucher: nous n'étions que trois au départ pour une sortie assez sympa en Beauce (oui, c'est possible!!!) de 113 bornes et juste un peu de pluie chaude au début, puis temps sec voire du soleil à la fin. Comme quoi, il ne fallait pas aller se recoucher! ;-)

Salut Olivier, Tu devrais pouvoir trouver réponses à tes questions ici: http://parisbrestparis2007.actifforum.com/t2373-recharger-son-gps-sur-la-route

Hier dimanche, Challenge Jeffredo à Vierzon, donc nous avons fait un aller-retour via la Sologne dont les routes sont globalement d'un grand ennui... Comme j'avais 191 km au retour et comme j'aime les comptes ronds, petit supplément de 10 bornes histoire de passer les 200. Donc au final, 201 km. J'ai eu la mauvaise idée de larguer mon coupe vent sans manche avant de partir car il y avait du soleil et la température était correcte: erreur de ma part: au bout d'une heure, le soleil avait disparu et en Sologne, la température est toujours un peu plus basse. Au bout de 50 bornes, j'ai mis le coupe vent/pluie car je meulais vraiment (si j'avais eu des gants longs et des jambières, ça aurait été encore mieux) ! Je ne l'ai pas quitté du reste de la journée; d'autant plus que nous avons pris la flotte au retour. Sympa pour un deux juillet!

Je suis tout à fait d'accord avec toi en ce qui concerne l'importance de la motivation. En 2007, année où il a plu quasiment pendant 1200 bornes, j'ai été assez étonnée du nombre d'abandons de cyclos qui objectivement n'étaient pas blessés. Ils ont arrêté juste à cause de la pluie. Moi, en dehors de toute blessure, il aurait fallu me couper les deux jambes pour que j'abandonne!

Salut Thierry, Si tu n'ose pas te lancer seul dans l'aventure des longues distances, pense aux BRM: je suis sûre qu'il y en a d'organisés dans ta région. En juin, la période est un peu passée mais l'an prochain, année pré PBP, il y en aura sûrement d'organisés un peu partout en France, du 200 au 1000. Et pour PBP, prochaine édition en 2019, donc tu as le temps d'y penser bien que selon moi, il faut l'avoir dans la tête dès la saison précédente. Mais tu sais, une fille de mon club l'a bouclé après un an et demi de vélo sans être super sportive à la base; elle a juste eu une super motivation...

Tout à fait d'accord avec le message de Brigitte sur PBP: Cela reste abordable par le commun des cyclos un peu entrainés et surtout motivés.

Hello Franck, Je n'aime pas la chaleur mais là, je crois que je suis dans une mauvaise période comme il m'en arrive régulièrement pour des raisons que j'ignore d'ailleurs: jambes molles, pas de force et le cœur en vrac malgré les kilomètres. La chaleur n'a pas dû aider mais il faut juste que j'attende que cela passe...

400 bornes à 28 km/h seul, bravo! Je crois que tu peux en effet envisager Paris-Brest (à faire au moins une fois dans sa vie de cyclo)...

Hier, sortie de m...!!! 130 km avec mon club sur un parcours mixant la Beauce (vent dans la gueule) et la forêt d'Orléans (vent dans le dos): je sens dès la descente de mon appart avec le vélo sur l'épaule que ça ne va pas bien se passer aujourd'hui. Bon, ça part tranquille puis on se retrouve juste le petit groupe des habitués dit des "rapides" (tout étant relatif évidemment), je prends des relais mais peu à peu, ils deviennent de plus en plus dur à prendre...je finis par rester à l'arrière du groupe. Et puis à un moment donné, je sens qu'il faut que je m'arrête à l'ombre quelques minutes. Je dis à mes collègues de club de ne pas m'attendre: quand je suis à la ramasse comme ça, je préfère être seule avec ma misère... Je suis revenue, j'aimerais dire "tranquillement", mais même pas: j'étais tellement HS que rouler m'a bien coûté. Bon j'ai tout de même fait un détour pour arrondir la sortie à 130 km mais Dieu que cela a été dur de remonter mes 4 étages avec le vélo!

Et encore, à Mer, il y a un semblant de relief comparé à l'immédiat autour d'Orléans! ;-)

Moi samedi, ce sera un tour avec une copine de club dans mon Essonne presque natale! Je vais lui faire découvrir les jolies routes et les belles bosses (comparativement à la platitude orléanaise!) de ce département où j'ai débuté le vélo.

Salut Romain, Mon club met toujours à son calendrier les randos organisées par d'autres clubs de la région (dans ce cas, pas de sortie club prévue). Nous venons toujours en nombre chez nos voisins...malheureusement, la réciproque n'est pas toujours vraie...