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Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT
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Rapport poids puissance 175cm/83kg
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Jean LASTRICANI dans L'entrainement et la santé
Bon ce n'est pas qu'une question de poids/taille. Evans a gagné le tour avec 68 kil pour 1m74. Bon, je sais, certains diront... Mais tout ça pour dire que perdre du poids à tout prix n'est pas forcément une garantie de progression absolue. Ce qu'il faut trouver, c'est le poid "idéal" qui va permettre d'être performant sans être trop affaibli. Parce qu'avec un poid très (trop) faible, si ça va permettre un gain en bosse, tu peux avoir d'autres soucis, genre exposition aux infections, virus etc... plus importante. Et aussi une perte de puissance brute, donc moins bien sur plat, bosses courtes et sprints. Une fois que ce poid idéal a été atteint, il est intéressant de travailler ses qualités en montée pour améliorer ses capacités. Spécialement au sujet des forts pourcentages, qui se travailleront sur des passages pentus mais courts, ou sur des montées longues, en fractionné avec des accélérations franches de 30 sec par exemple. -
Salut ! Ben une fois que tu es au col de mehatxe, les pentes les plus dures sont derrière toi. Même si c'est dur, les jambes sont déjà "anesthésiées"... Par contre, une fois par mois, chapeau ! Moi je suis plutôt à une (ou deux) fois par an. Et je suis d'accord, on est plus dans le "numéro d'équilibriste" que dans le vrai vélo tant c'est dur. Mais j'aime bien le côté "montée impossible de la chose". Ca m'amuse (enfin, façon de parler).
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Oui, c'est un cul de sac. On reconnait facilement la montagne depuis la plaine (boule radar de l'aviation civile et antennes au sommet). C'est aussi la route qui conduit au col des veaux (toute petite route qui bascule vers la vallée du Baztan en Navarre Espagnole) et avant lequel il faut obliquer sur la gauche pour le col de Méhatché et le sommet.
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Merci ! Sinon, complètement à côté, est-ce que tu connais les vins d'Emilio Valério "Laderas de Montejura" ? Ils font aussi de l'huile d'olive et sont au sud d'Estella. Et si tu connais, sais-tu à quel prix peut-on acheter sur place la cuvée "standard" et une plus haute de gamme ? Merci d'avance.
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Enéfé... Mais bon, timing serré, le vélo prêt à partir sur le 25, 10' pour mettre le 28, un peu de flemme... et le tour est joué, me voilà comme un gland à forcer comme un âne pour faire presque du sur place...
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Ben avec le 39x25, j'étais déjà en hyperforce à 30 tours/minute. Alors à la plaque, j'imagine même pas... Y'a des risque de laisser un quadriceps sur le macadam...
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Bonjour, nouveau fil pour raconter ma dernière montée en enfer, hier matin, sur ce que je considère être la plus difficile ascencion cycliste (évidemment, je ne connais pas tout...). En référence, j'ai Soulor-Aubisque, Spandelles, Le Pont d'Espagne, Hautacam, Ahusquy, le Tourmalet, Couraduque, les petites montées du Pays Basque (Ibardin, Lizarrieta, Lizuniaga, Ispeguy, Otxondo, Gorramakil, Arichulegui, Jaizkibel, Gamia, Osquich etc...), les cols empruntés par le Tour de l'Ain, le Challenge du Vercors, La CAC, la Beaume Drobie et quelques autres que j'oublie. Et bien pas un ne s'approche de la difficulté de l'Artzamendi. L'Artzamendi, "Montagne de l'Ours" en Basque est un des derniers sommets Pyrénéens vers l'Ouest du massif. Environ 900 mètres à son sommet, de forme arrondie, que l'on reconnait depuis la plaine aux antennes et à la boule radar dressées sur son sommet, et auxquelles on doit la route. On peut l'aborder par Itxassou, avec un départ réel au restaurant situé après le pas de Rolland (route magnifique au bord de la Nive), ou alors par la route reliant Espelette à Itxassou, en prenant à droite avant Itxassou. Les 2 routes se rejoignent à Laxia. D'Itxassou, la montée se déroule en environ 11 km pour 874 m de dénivellé positif (mesuré hier sur mon VDO). Voilà pour la présentation topographique. Le terrain maintenant. Quand on aborde cette montée, il convient d'oublier toutes les références que l'on peut avoir en montagne au sujet du braquet, rythme, gestion du palpitant, cadence de pédalage etc... Il ne faut pas se bercer d'illusion, ici, c'est la pente qui commande. On n'y vera point d'Ours, mais on se retrouvera face à de nombreux et longs murs. Même bon grimpeur, on subit. Et surtout, surtout, je m'en suis encore rendu compte hier, le 39x25 est beaucoup, beaucoup, mais alors beaucoup trop gros !!! Les 3 premiers km, faciles, avec une pente moyenne tournant autour de 5/7%, sont entrecoupés de légères descentes, qui inciteraient presque à la relance et à l'attaque. Ce serait une grave erreur et connaissant ce qui m'attend, je m'en abstient. D'autant qu'il me restera encore 2h de selle après la descente pour finir mon parcours du jour. Arrivé à Laxia, où les 2 itinéraires de départ se rejoignent, et au gros virage à gauche, les choses sérieuses commencent. On attaque des rampes qui flirtent avec le 15%, ponctuées de nombreuses et incessantes ruptures de pente. Il y a encore quelques moments de répit, et s'ils empêchent l'adoption de tout rythme régulier, il faut en profiter pour souffler un peu, ce qui sera impossible plus haut. Arrivé au restaurant "St Pierre", à environ 5 km du sommet, on passe encore un cran. Les pentes les plus dures deviennent plus dures, les portions "faciles" moins faciles, et surtout moins fréquentes. Toujours des ruptures de pente et pas le moindre espoir de pouvoir "trouver son rythme". On est alors sur des pourcentages tournant autour des 10%, et qui arrivent à 16% au max. Après environ 7,5 km d'ascension, et un raidar de 15/16% suivi d'un "replat" de 8/9%, on sort de la partie boisée, et on bifurque à gauche, vers le sommet. On ne peut pas se tromper. La pente est là. Elle se dresse devant le cycliste, raide, implacable, rectiligne sur plusieurs centaines de mètres, et si l'asphalte a été récemment refait et est un vrai billard, il ne faut pas se tromper. Ca va être très, très dur. A partir de cet endroit, pour un peu moins de 3,5 km, la pente moyenne sera de 13,8%, ne passant pour ainsi dire jamais sous les 10%, excepté le replat du col de Méhatché sur environ 2 à 300 mètres. Ici commence l'enfer. Tout à gauche déjà avant d'attaquer cette portion, le dérailleur ne sera plus d'aucun secours jusqu'au sommet. Il est environ 9h45, et j'ai 24°C au compteur. C'est déjà trop (pourtant j'aime bien la chaleur). Je plains ceux qui monteront plus tard, sous le cagnard de l'après midi. La pente augmente, de degré en degré, tous les 10-15 mètres pour atteindre 19%. Quand la pente "faiblit", c'est pour descendre à 12%. En hyperforce imposée, la vitesse décroit inexorablement, pour descendre à 7,5 km/h sur les pentes les plus fortes, à environ 30 rpm de cadence de pédalage. Je suis presque en rupture. Mon cardio, qui n'est pas descendu en dessous de 180 depuis déja une quinzaine de minutes est à 188 pulses. Le col de Méhatché et son replat salvateur arrive. Le plus dur est passé. Il ne reste plus "que" 1,5 km à 13%, mais sans dépasser les 15%. En haut, c'est la récompense. Pied à terre 5 mn pour profiter du panorama sur le paysage. A l'Ouest, la Rhune et la côte Basque, un apperçu sur les monts du Guipuzkoa. Au nord, les vallons Basques et la plaine Landaise à perte de vue. A l'est, les Pyrénées majestueuses où on voit nettement se découper les massifs de l'Orhy, de l'Anie, l'Ossau qui dépasse et le Pic de Midi de Bigorre. Je crois même deviner le Néouvielle tant la visibilité est bonne. C'est magique. S'ensuit la descente, dangereuse, sur une route étroite où on croise quelques automobiles, et surtout où des Pottoks (petits chevaux Basques) paissent en liberté. On a parfois l'impression de se jetter dans le vide. Prudence donc. Je croise des cyclistes qui se dirigent vers l'enfer, et que j'encourage. Pour moi, c'est fait. J'ai mis 47 mn, sans mettre le pied à terre (détail qui a son importance ici !!!). Je continue mon périple du jour en me jurant de ne jamais plus monter ici sans mon 28 à l'arrière... Voilà. Ca faisait longtemps que je n'avais pas grimpé cette montagne, et même si depuis la dernière fois, certaines grandes montées Pyrénéennes et celles du Challenge du Vercors avaient "rabotté" dans mon souvenir la difficulté de cette ascencion, cette dernière s'est clairement rappelée à moi hier, reléguant le Tourmalet ou le col de la Machine au rang de vulgaire faux plat. Vivement la prochaine fois...
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Bon, le choix est difficile, mais moins que pour le plus sympa. Je vote pour Daniel Berton ! Je suis sur qu'il sera dans le top 3.😃
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A ceux qui roulent en CANYON SLX
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Didier SALEMBIER dans Le matos
Et ben... Plus que 2 ans de tergiversations, et il l'aura son nouveau vélo. Si le modèle existe encore... 😆 -
Le grand déballage commence
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Damien DANGELO dans Discussions Route
Ben dis donc... Même Laurent Desbiens... Je savais qu'il y en a un paquet qui se chargeait à l'époque, mais je ne pensais pas que c'était à ce point... -
Bonsoir, 1- M Cavendish 2- P Sagan 3- A Greipel 4- P Gilbert 5- M Kittel Grog
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Bonsoir, 1- M Nieve 2- A Contador 3- C Evans 4- J Rodriguez 5- J Fulgsang Grog.
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Bonsoir, 1- T Martin 2- A Contador 3- C Froome 4- S Chavanel 5- M Kwiatkowski GROOOOOOOOG!
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BMC RM01 vs CANNONDALE SUPER6 EVO
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Cédric HEMMERLIN dans Le matos
Non, c'est pas ça, c'est juste une question de géométrie et de conception qui fait de ces machines qu'elles sont tournées vers la transmission la plus efficace de chaque watt envoyé par le type qui est dessus, au détriment parfois d'une certaine souplesse/flexibilité, et avec une position "course" (douille de direction plus basse...). Les vélos plus "cyclos" sont conçus différemment, justement pour optimiser la position du cycliste et le comportement du cadre dans un objectif de confort avant tout. Ca ne veut pas dire qu'un cyclo ne sera pas content avec un Cannon Super 6 évo, ou qu'un coursier ne pourra pas gagner en 1° FFC avec un Willier Granturismo. Ce qui compte, c'est les jambes avant tout le reste. -
2013, montée du venteux, contradictions des chrono
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Bernard MOREAU dans Discussions Route
Le chouchen, à boire, c'est déjà écoeurant... mais alors, à vomir... -
Impressionnant - hallucinant - la montée de Froome
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Pierre BEZIZ dans Discussions Route
Oufff ! Qu'est-ce qu'il leur a mis !!! -
Ben Froome pardi !
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Et là, qu'est-ce qu'il me gonfle avec son "Mickaël Nieve, de l'équipe Euskatel Euskadi"... Pfff... ce type n'arrive même pas à lire correctement ses fiches... Affligeant 🙄
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Le douanier n'est pas dopé à l'exces de zèle
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Philippe GARCIA dans Discussions Route
Mouais, bon, en même temps, un commissaire de police n'a aucune raison de connaître l'origine (fortuite ou suite à un renseignement ou enquête) d'une affaire douanière, attendu que ce sont 2 administrations complètement distinctes... -
Berk... Encore un co..ard du Dakar...
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Le douanier n'est pas dopé à l'exces de zèle
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Philippe GARCIA dans Discussions Route
Ben au sujet de Voet, sans trahir aucun secret, tout ce que je peux dire c'est que ce contrôle est totalement du au hasard. Quant aux affaires sur dénonciation, bien sur, ça existe, mais c'est loin de représenter la majorité des cas. Et dans le cas où c'est bien ce qui s'est passé, il est évident que le représentant de l'état (qu'il soit gendarme, flic ou douanier ou que sais-je encore) ne va pas révéler sa source... D'autant que les questions, dans pareil cas, ce n'est pas le prévenu qui les pose... -
Le douanier n'est pas dopé à l'exces de zèle
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Philippe GARCIA dans Discussions Route
Qu'est-ce qu'il faut pas lire... Si vous saviez pour Willy Voets... Quand à la balance derrière chaque grosse saisie, j'en ai lu des conneries, mais celle là elle vaut son pesant de cacahuètes... -
Bonjour, 1- T Pinot 2- A Valverde 3- I Anton 4- A Contador 5- N Quintana Grog
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Le petit c... a recommencé
Rémy LORIOT a répondu à un(e) sujet de Rémy FAURE1639476388 dans Discussions Route
Ton point de vue est défendable, en effet. Celà étant, s'il est normal que celui qui fait le sprint pour son leader coupe son effort lorsque celui-ci est passé, il doit néanmoins s'écarter. Il est évident que le geste du Cav est volontaire, mais je pense qu'il tient plutôt du "réflexe" que de l'acte mauvais. D'autant que les sprinters (et les poissons pilotes tels Veelers) savent tous frotter, et sacrément. Je crois même pouvoir me hasarder à penser que le Cav a du être surpris de le voir tomber, et que Veelers a perdu son équilibre parce qu'il a été frotté sans s'y attendre. Sinon, il serait resté "debout". -
euh... je viens de voir que Boasson Hagen a abandonné... Possibilité de le remplacer ou non ?