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Rémy LORIOT

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Tout ce qui a été posté par Rémy LORIOT

  1. Rémy LORIOT

    Stade 2

    Ok, mais le Vargas, s'il n'est licencié dans aucune fédération relavant de l'UCI, quel moyen ont-ils de le sanctionner ?
  2. Peuh ! De la rigolade ! Les vrais mecs grimpent ça : https://www.cols-cyclisme.com/pyrenees-ouest/france/pic-de-beillurti-depuis-arneguy-c2078.htm Non, j'exagère, mais en gros, c'est la même chose, sur 6,8 km ! 😲
  3. Pfiou... Chuis à la bourre sur les CR... Après Bordes-Soulor : L'Ardéchoise : grande forme, mais gros gros soucis mécanique en haut du 1° col. Je passe ma chaîne sur ma manivelle, et là, truc que je n'avais jamais vu, un noeud genre noeud marin dans la chaîne. 10 mn pour être dépanné... Fin du bal. Pourtant, je monte à bon rythme. Gros regret. Je pense que je pouvais espérer un top 15, voir top 10. Ensuite, coupure 8 jours, qui, si elle a fait du bien, a rendu la reprise difficile. Reprise le 9 juillet, à Lahontan en 2/3/J. 70/80 au départ. Critos, puis 2 grands tours avec une bosse très dure en 2 temps. J'aime bien cette course. Je gère en bas, mais ne peux pas prendre l'échappée qui sera la bonne. 1° tour, je passe bien la bosse, et tente un contre en bas de la descente. 2° montée, je crampe... obligé de m'arrêter ! Gasp ! Je me remets en selle après quelques étirements. Je repars, en amenant un groupe de lâchés jusqu'à la ligne où un concurrent me double en sprintant pour la 40° place... grotesque. 16 juillet, course à Mauléon Licharre, 2/3/J. Beau, 60/70 partants il me semble. Circuit en ville de 2,5 km environ. On court devant en équipe, chacun son tour jusqu'à ce que la bonne sorte. Ils partent à 4. on contrôle, et on en laisse rentrer 2. Ensuite, contrôle à l'avant du paquet jusqu'à l'arrivée où notre homme échappé fait 4 (bon, il a tenté au km sachant qu'au sprint il serait surclassé). J'ai pu faire quelques primes... 24 juillet, semi-nocturne de St Palais en 2/3/J. Beau circuit difficile. Gros rythme. Pas bien dès le début. Je bâche à quelques tours de la fin et vais voir l'arrivée. Naufrage. 29 et 30 juillet : La Chambérienne. Le 1° jour, parcours modifié. 2 tours sur les rampes du Granier, puis Granier jusqu'en haut, descente, mini boucle en bas et retour. Dur. Gros niveau devant. Je tiens dans un bon groupe, mais je lache un peu l'affaire dans la dernière descente, où la pluie nous surprend. Et comme avec les roues carbones quand il pleut, je ne suis pas très à l'aise... Le lendemain, l'étape me plait bien. Sauf que, crevaison au fictif. Youpi ! On me donne une roue, mais le temps de repartir... Fini pour les groupes de devant. Je profite quand même bien du parcours magnifique, et fait un bonne montée du Revard. Rien jusqu'au 13 août, où je participe pour la 3° fois de suite à la Marcel Queheille, gros chantier Basco-Pyrénéen où après avoir fait top 15 et top 10, j'espère m'améliorer. Bon... ça sera pas ce coup-ci. Les 1° cols Osquich et Gamia passent bien. Les tous meilleurs sont devant, mais peu nombreux. Je me sens bien et me dresse sur mes pédales dès le pied de Burdincurutcheta que je monte un poil trop haut en intensité. Personne du groupe ne me suit, mais je ne les distancerai pas vraiment. ça me pousse à insister dans la montée aux Chalets d'Iraty. Erreur. Je perdrais complètement pied dans l'ascension du Soudet. mais jambes sont restée à St Engrace... Noir de crampe, je dois m'arrêter dans la descente, puis en bas, à la Mouline, où je dois même m'allonger et attendre presque 10 mn que ça passe... Reprise en fédé le 20 août à St Martin de Sx en 1/2/3/J, sur un nouveau circuit (l'ancien en fait...) très difficile. 75 partants, dont 25 premières... Une horreur. Le rythme n'est pas du tout le même qu'en cyclosportive de montagne... Bref, 1h30 à souffrir au cul du paquet, je saute, reprend les roues de l'échappée 2 tours plus tard. Je les garde 1 tour, puis me relève pour prendre le peloton. Je passe la ligne en cachant mon dossard (on ne sait jamais), tenant à poursuivre l'effort en vue des courses à venir. Nocturne de Pau le 24 août, en 2/3/J ouverte aux 1° Aquitains. Super circuit amusant, sur une partie du tracé du GP auto de Pau. Top 15. Je me suis bien amusé. Heureusement que ça ne durait pas plus de 1h45. Car là encore, les crampes pointaient le bout de leur museau... Baigts de Béarn le 27 août, en 2/3/J. Environ 80 au départ. Beau et chaud (très chaud même). Critos, puis 2 tours avec une belle bosse (ils aiment bien ça dans le coin). Je crève à l'échauffement, coup de stress... On part. On est 5 de l'équipe. Je pars au fond, me replace en 4/5 tours. Je flingue à un sprint de classement, me fait passer, espère que la bonne va sortir... et non ! On se fait contrer, et là, la bonne part. A 6. On en a un du club, du coup contrôle. Un gars part seul. Personne ne le suit. Il mettra de longs tours à reprendre l'échappée qu'il rejoindra dans les grands tours... pour gagner ! Je pars dans un contre à l'issue des petits tours, grimpe pas trop mal, et finit presque au top 15. Bonne course d'équipe malgré tout, les jambes reviennent bien. Ces 2 et 3 septembre, Tour des Landes en 1/2/3/J. Normalement, j'aurais du être DS, mais une course internationale junior appelant 2 jeunes du club, j'ai dû enfourcher mon vélo... 142 gars au départ, 2 équipes de DN1, 6 ou 7 de DN3... bref, ça va piquer ! 1° étape, 120 km, presque 1200 m de dénivellé entre Dax et Eugénie les Bains. Les bosses sont en 2° partie. Très dur pendant 41 km. pour l'anecdote, je perd mon GPS vers le km 10... La loose... Puis, après le km 41, la bonne part, ça se calme un peu. Après Hagetmau, succession de toboggans. Je pointe mon nez en tête de peloton, et j'entrevois une ouverture. Sachant que je n'en aurais certainement pas d'autre du week-end, je met une mine et sort seul. Je suis rapidement rejoins par 3, puis 3 autres, puis encore 3 dont un du club. Très dur de tenir les roues mais je m'accroche. On insiste, mais un groupe d'environ 6 ou 7 rentre, ce qui signera l'arrêt de mort de notre contre. L'échappée arrive avec plus de 3'. Le classement est fait. Je finis juste derrière le 2° peloton. 2° étape, 120 km touts plats. Un peu de vent. En gros, une séance de derrière scooter de 120 km... Avec le ficitf (126 km en tout), on a avait presque 46 km/h de moyenne. J'ai été en tête de peloton 5/6 km au début, et un peu vers le km 90. C'était horrible. Sprint massif, paquet pour moi. Pas très intéressant niveau "course", mais j'es^père que ça va me mettre la caisse pour les quelques jours de course qu'il me reste (une en 3/J le 17 septembre, et la GFNY Provence).
  4. Je suis d'accord avec toi. Faire "2", c'est d'abord une défaite. Peut-être encore plus que quand tu termines "au paquet". Ma plus grande déception en course date d'un jour où je fais 2... Avec le recul, on se rend compte que c'est un bon résultat, mais sur le moment... D'autant que le gars m'avait battu en faisant exactement ce que j'avais prévu de faire, 5 secondes avant que je le fasse. Sinon, pour en revenir à Bouhanni, ce qui me gêne moi, ce n'est pas qu'il tire une tronche de 6 pieds de long, c'est qu'il essaye de justifier sa défaite... Qu'il soit amère d'une décision passée qu'il n'a pas digéré, je le comprend. Mais qu'il se serve de ça pour trouver une excuse à sa défaite, ou pour minimiser la victoire de Démarre, c'est naze. C'est petit. Et c'est ce genre de comportement qui nuit à son image.
  5. Excellent article. Qui démontre rapido toutes les contradictions du cyclisme pro, sport de "smicards" (à quelques exceptions près) pour lequel les exigences et contraintes sont énormes en comparaison des budgets. Et ce alors même que les retombées financières publicitaires sont énormes (que ce soit pour les sponsors ou aux travers des retransmissions TV), mais très faiblement reversées aux équipes. Et qui, par voie de conséquence, explique (sans pour autant le justifier) que : 1° un contrôle efficace de ses coureurs par une équipe est très difficile. 2° un coureur n'ayant que peu (voire pas) de garde-fou de la part de sa "structure", (et éventuellement une ambition supérieure à ses moyens physiques) s'il est un tout petit peu mal entouré, peut facilement franchir le Rubicon. Et si ça a déjà été le cas au niveau amateur, où les contrôles sont quand même très rares, autant dire qu'il n'y a aucune raison pour que ça s'arrête arrivé pro. Si on ajoute à ça que désormais, le dopage est à 99% un dopage d'entrainement et non de compétition, on comprend facilement qu'on n'est pas tiré d'affaire... Et du coup, de se demander si les contrôles tels qu'ils sont organisés ne sont pas avant tout des alibis.
  6. Un bon cassoulet... et hop ! Comme ça tu as le réacteur qui marche en plus des jambes !
  7. Ok merci. Je vérifierai tout ça en rentrant. T'as pas une schtroumpfette à me prêter pour aller voir ?
  8. D'accord, il a 40 ans de moins. Mais ce n'est pas tricher que d'être jeune. Non ? Alors que s'aligner sur une compétition avec un VAE...
  9. Merci pour la réponse. Donc, oui. Galets Ultegra 10 v remplacés à l'identique.
  10. Ben c'est triché si c'est en compète. Que ce soit course, cyclosportive, triathlon... Sinon, c'est juste un type qui fait du vélo, comme il veut, comme il peut, avec ses moyens physiques et financiers. Par contre, je ne comprend pas pourquoi tu dis (je reprend tes termes) qu'un type qui monte à 20 km/h une pente alors que toi tu rames à 9/10 km/h c'est de la triche...
  11. Salut à tous. Je déterre ce post. J'ai changé les galets du dérailleur de mon mulet hier. Bon, après quasiment 5 ans et environ 50000 km, il était temps ! Je vous l'accorde, je suis parfois un sagouin. Mais là n'est pas ma question. Au serrage, je me suis rendu compte d'un truc. Soit on serre jusqu'à ce qu'il y ait une résistance, et là, zéro fluidité, (impossibilité de pédaler "a l'envers", ça bloque presque la chaine) soit on serre juste "au contact". Et là, même avec le frein filet, j'ai un peu peur que ça se dévisse avec les vibrations de la route... D'où : Ai-je un risque que l'un de mes (ou les deux) galets se fasse(nt) la malle ?
  12. Des montagnes proches de La Rochelle ?!? Pour des montagnes proprement dites, ben les Pyrénées, les cols Basques autour de Saint Jean Pied de Port, ou Béarnais (Aubisque, Pierre St Martin, Ichère, Marie-Blanque etc...) mais t'as 4h aller et autant retour. Sinon, t'as des montées significatives quand vas vers le massif central, vers l'est de la Corrèze (Ussel) d'où tu peux te faire de magnifiques circuits aux confins de la Corrèze, du Puy de Dôme et du Cantal (le Mont Dore n'est plus très loin). Mais tu n'auras jamais de très grands cols type Alpin ou Pyrénéen.
  13. Merci ! 😉 C'est vrai que je me suis bien régalé samedi. J'avais axé ma préparation pour être en forme là, et ça a fonctionné. Je suis content. Bon, le dimanche, piégé, c'était moins fun, mais je me suis consolé pendant la montée du Soulor (par Ferrières en plus, elle est géniale !). Sinon, pour la façon dont ça court, ça dépend... Si dans l'échappée y'a des costauds, et que dans le paquet aussi, autant dire que ça monte fort (surtout si les échappés insistent). Mais en général ceux qui ont la pancarte ont rarement des bons de sortie. Ensuite, quand il y a une difficulté proche du départ, comme samedi, en haut du 1° col, un écrémage est déjà fait, car dans tous les cas, ça monte au minimum à gros train. Ensuite, plus ça s'approche de la ligne, plus ça commence à se regarder, mais plus les organismes sont émoussés, ce qui laisse aussi des moments où ça peut sortir... Bref, ce sont généralement des courses bien sympa, surtout une comme samedi (bon, faut passer les bosses, évidemment). Mais parfois (et c'est ce qui s'est passé dimanche pour moi), dans une course avec une grosse ascension finale, si ça part fort, que tu es un peu fatigué, et que ça sort alors que tu es enfermé... ben après, une fois le rideau baissé, c'est moins fun. Soit tu roules et tu arrives cramé au pied de l'ascension, soit tu gardes des forces, et c'est un peu long...
  14. Je n'ai pas vu de grosses chaleurs. 24°C il me semble en maxi pour samedi. Autant dire conditions idéales !
  15. Salut ! 2 courses ce week-end, les 2 étant de gros chantiers ! - la première, Samedi matin, Mauléon - Col de Gamia, avec 4 cols au programme (Osquich par Musculdy, Ipharlatze par Ostabat, les Palombières par Lantabat, et enfin Gamia par Bussunaritz). Un petit 1500 m de D+. 75/80 bonhommes au départ, 2/3/J/PCopen. Ca part pas trop fort, route pas fermée et moyennement sécurisée en sens inverse, bof, bof par moment niveau sécurité... Bon, un coup sort à 5 avant le 1° col. Personne de l'équipe. Pas de quoi s'affoler, mais bon... On passe le premier col, bon gros rythme. Pas intenable, mais sérieux. Ca écrème par l'arrière. Je suis dans le "bon groupe", on doit être une quarantaine environ. Après la descente, je profite d'un moment ou le peloton se regarde pour sortir sur le côté, l'échappée s'étant réduite à 3 unité n'ayant plus qu'une 40 aine de secondes. Un autre concurrent me suis, et à 2, en se relayant bien, on a tôt fait de rentrer sur les 3 de devant. 3 vaillants, plus nous 2 ça fait 5, nous voilà parti ! On passe le col suivant, faisant grimper l'écart à environ 1'20. Cool, les coéquipiers derrière vont l'avoir "facile", puisque ça ne sera pas à eux de rouler. En haut du col suivant, l'écart a bien réduit sous l'impulsion des tentatives incessantes des costauds. Bon, à la fin de la descente, on se fait reprendre. Quelques km plus loin, à 12/13 bornes du but, un des membres de notre échappée ressort. Je le suis, et un 3° qui était aussi dans le coup tout à l'heure nous suit ! Nous voilà repartis ! On s'organise, et on sort bel et bien. Un groupe de 5/6, dont un de mes coéquipiers rentre sur nous à moins de 10 km de l'arrivée. Tout se profile bien. Sauf que à 2 km du pied de l'ascension finale (4 km à 9% de moyenne avec des passages bien costauds) je suis la proie des crampes... Pas de bol, obligé de me relever pour faire passer. Bon, je repars, et me fait reprendre à la fin du premier km d'ascension par les costauds de derrière. je monte en pensant au lendemain, et à l'autre gros chantier qui m'attend. Je finis autour de la 20° place, satisfait de ma course, mais un peu déçu par mes crampes... L'équipe a bien marché. 2 dans les 10, et le 1° junior. Partis autour de 22/23°C, arrivés dans la fournaise. Dimanche, Bordes - col du Soulor. Je ne vous ferais pas l'affront de vous décrire le final. L'an dernier, c'était tout plat jusqu'à Lestelle-Betharram, un gros taquet et route de vallée. Sauf que là, ils ont changé le début, et nous ont mis un vrai chantier avec plein de taquets... Toujours en 2/3/J/PCOpen, avec presque 130 partants. Départ 14h30, vent et chaleur au programme. Ca part de façon ignoble. Entre ceux qui n'ont pas couru la veille, et ceux qui veulent faire les sprints de début de course, c'est infernal. On se croirait dans une Flandrienne. 43 km/h de moyenne en première heure, malgré toutes les difficultés que nous avons au programme. Toutes les sorties de rond point, toutes les relances sont à 60 à l'heure... A croire que le nom de Soulot n'est pas assez évocateur. Pour ma part je reste au chaud, et ne tente même pas de mettre le nez devant. Bon, à force, une grosse échappée se forme en 2 temps. Quelques grappes s'intercallent, puis rideau. Nous, on a notre meilleur grimpeur devant, accompagné de notre meilleur rouleur qui descend tout juste de 1°. Autant dire qu'on ne se foule pas... Bref, on se la malaxe jusqu'au pied, malgré les tentatives désespérées de certains de sortir à quelques km du pied. On attaque la montée, à quelques bonnes minutes de l'échappée fleuve de devant. Je prend un rythme en accélération progressive, conscient d'avoir dans ma roue un junior du club (celui qui fait 1° junior la veille) qui grimpe très bien. Au bout d'un km d'ascension (difficile d'ailleurs pour ceux qui connaissent), je me retourne, et constate qu'il a sauté de ma roue. Je l'encourage à revenir progressivement, en lui conseillant d'essayer de récupérer un peu, le tout en me relevant (mais sans m'arrêter quand même) un peu. Je me rend rapidement compte qu'il explose. Du coup, je fais ma montée, et récupère tous ceux qui ont essayé de partir à moins de 10 km du pied. Je reprend quelques types de l'échappée, gère correctement ma montée, et finis entre la 25° et la 30° place. Bilan du week-end mitigé. La forme est là, comme je l'attendais. J'ai bien couru le samedi, et bien géré le dimanche. Mais j'ai un petit goût amer, dû à mes crampes du samedi, et au fait de ne pas avoir pu tenter de sortir le dimanche, où je pense que j'aurais pu faire bien mieux en arrivant au pied dans le groupe de devant...
  16. Une bassine, une pastille de javel, les bidons dedans une douzaine d'heure, un bon rinçage, et zou ! C'est reparti comme en 40 !
  17. Ah ! on peut aussi mettre des parcours humainement impossibles ? 😃
  18. Aux temps pour moi : http://www.openrunner.com/index.php?id=7502835
  19. Ouais, m'enfin Voeckler, c'est quand même bientôt de l'histoire ancienne. Coquard a 12 ans de moins, et un sprinter a potentiellement et statistiquement plus de chances de gagner des étapes qu'un baroudeur sur le retour.
  20. D'accord, mais alors, dans ce cas là, c'est "Saint Jean à côté de porcs" (fort bons au demeurant !) 😃
  21. Ah oui ! Le "faux plat" de Burdincurutcheta ! Sinon, y'a ça : http://www.openrunner.com/index.php?id=1426417 Là, ça cause !
  22. Petite précision, c'est Port avec un T. On ne parle pas de pied de cochon, mais du pied des ports permettant aux pèlerins de franchir les Pyrénées sur la route de St Jacques de Compostelle. Port = col en "Pyrénéen".
  23. J'ai récemment grimpé Beillurti (la voie la plus difficile pour Arnosteguy)... Probablement la grimpée la plus dure de ma vie... J'ai même eu l'impression que c'était la plus dure du monde ce jour là !!! Et comme je n'en avait pas assez, après Arnosteguy, descente par les cabanes d'Urculu pour remonter Elhursaro depuis St Jean Pied de Port par le refuge Orisson ! Là aussi, ça calme de suite... Pour Errozaté, j'étais passé à proximité la fois où j'avais grimpé Arthaburu (sur la route d'Errozaté depuis St Jean) avant de rentrer par la route d'Iraty. Cette fois là, j'avais au préalable grimpé Elhursaro par Arnéguy. Mais jambes s'en souviennent aussi...
  24. Salut ! Quel niveau de difficulté cherches-tu ? Parce que dans le coin, ça peut aller du cool au truc le plus dur que tu puisses imaginer, sur des périodes allant de 2 à 6 h (ou plus !).
  25. Bah le titane, c'est évidemment ce qu'il y a de mieux, à tout point de vue, mais comme c'est inaltérable, ça ne devrait pas intéresser grand monde de faire des cadres "à vie". A voir. Je pencherai plus pour un développement ultra haut de gamme de nouveaux alliages alu/magnésium/scandium ou autre bidule-ium selon les possibilités chimiques, afin de justifier des prix élevés.
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