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Jean GUY

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Tout ce qui a été posté par Jean GUY

  1. Quel rapport? Eh bien tout simplement que le casque ne protège pas de tout. Et que ce n'est pas parce que certains roulement casqués qu'ils peuvent éviter les accidents en se comportant comme ça. Et qu'il est à mon avis beaucoup moins dangereux pour sa propre intégrité physique de rouler droit, à droite de la route, sans zigzague, en s'arrêtant sur les bas-côtés et non casqué, que de se croire tout permis avec le casque.
  2. Je n'ai rien contre les casqués. D'ailleurs, parfois j'en suis! Notamment si je vais à Longchamp, je fais un effort, car une chute en peloton est si vite arrivée. Bon, faut reconnaître que le casque avec le bonnet d'hiver, ça le fait difficilement, j'ai toujours froid à la tête avec ce machin-là. Bref, passons. Dimanche matin, alors que j'allais rejoindre mon club (casqué, pour donner l'exemple aux jeunes), j'ai eu l'occasion de doubler pas mal de cyclos, tous casqués, mais qui roulaient n'importe comment. Sur une grande rue en sens unique, par exemple quatre types et une fille qui roulaient à 20 km/h, de front, en discutant. Je me suis même fait engueulé quand je les ai doublés. Un peu plus loin dans la campagne, en haut d'un faux-plat sans visibilité, trois gars arrêté au milieu de la route, haletant, pour attendre le quatrième. Les quatre étaient casqués, et pourtant ils faisaient n'importe quoi. Tout ça pour dire que le casque ne protège pas de tout, et encore moins de l'inconscience. Enfin, tout ça pour dire autrement ce que pense Fabien Delande. Bonne route M'sieur dame, et faites attention à vous...
  3. Pour moi, il n'y a qu'une seule valeur à prendre en compte : les watts au seuil. Lorsque j'étais Elite, je faisais aux alentours de 300 watts au seuil pour 55 kg. 10 ans plus tard, je fais 270 watts au seuil pour 57 kg. Je suis un bon 2e caté, sans plus. La différence est flagrante. C'est par exemple 3 bonnes minutes de différence sur l'ascension d'un col de 15 km, en forçant pareil. Et aujourd'hui je suis incapable de terminer une course seul, alors qu'il m'arrivait avant de tenir un peloton à 20"" jusqu'à l'arrivée. C'est dur de vieillir ;o)
  4. 16 ans entre les deux, mais pas avec la même femme. La seconde, beaucoup plus jeune. Ce qui prouve la santé du phénomène ;o) Ses deux fils ont été et sont aussi coureurs cyclistes. Le premier, avec qui j'ai couru, était l'un des meilleurs amateurs français pendant une dizaine d'années. Il a arrêté en 2006, est devenu kiné chez Agritubel, puis DS chez Veranda U. Je ne sais pas ce qu'il va faire prochainement, après l'arrêt de l'équipe. Le plus jeune est aujourd'hui Elite. Il n'a pas fait encore grand chose, mais il est prometteur. Ah, j'oubliais : j'ai eu l'opportunité de courir avec les trois Leveau ;o)
  5. Il ne m'est jamais venu à l'idée de l'utiliser pour ce que tu décris. Le seul avantage de mon point de vue, et pas des moindres, c'est que l'éditeur ne peut pas te virer comme bon lui semble. Ou alors ça lui coûte un max. Et ça calme évidemment ses velleités d'abuser de son pouvoir financier à tes dépends (chantage à l'emploi). En d'autres termes il lui est difficile d'abuser de son pouvoir pour te forcer à faire des choses qui ne te paraissent pas éthiquement responsables. Tu soulignes que la presse écrite est en souffrance. Tu n'as pas tort, mais cependant pour ce qui concerne la presse de niche comme l'est celle du vélo, on a justement appris à fonctionner sans pub. C'est le cas depuis six ou sept ans, où le CA lié à la pub s'est effondré. Donc pour résumer, le magazine (et c'est le cas il me semble pour la plupart des mag sur le marché qui ont subsisté) est à l'équilibre avec ses ventes en kiosque et de par ses abonnés. La cerise sur le gâteau pour l'éditeur, c'est la pub quand elle arrive.
  6. Le confort : comme expliqué plus haut, c'est pour cette raison que nous avons choisi de proposer un test avec un capteur de vibrations sur une portion de route test. Toujours la même et dans les mêmes conditions. A ce jour, pas loin de 70 vélos sont passés sur ce banc grandeur nature. Je t'invite donc à nous lire si tu veux voir des résultats objectifs de mesure du "confort" passif, parce qu'on est bien d'accord toi et moi que le vrai confort, c'est déjà la position. Ensuite : Faudrait-il toujours tester un même vélo avec la même paire de roues? dans l'idéal, oui. On est d'accord aussi là-dessus. Mais le fait est que 90% des acheteurs potentiels de vélos "sportifs" achètent aujourd'hui un vélo complet prêt à rouler. Le pièce par pièce ne se pratique plus que par les vrais passionnés de matos. Donc un essai vélo aujourd'hui, c'est un essai d'un vélo complet. Pour le reste, il y a des tests de matos ciblé (roues, potence/cintre, pédalier, groupe, etc.) qui permettent je l'espère de se faire une idée de ce que ça peut apporter de mieux ou de moins bien sur son propre vélo.
  7. Je te reconnais bien là dans ta vision manichéenne des choses. "Donc, première réaction, le matériel essayé appartient-il à un des publicitaires du magazine ? Si oui, toute forme d'objectivité est impossible" Remplace publicitaire par annonceur, ce sera plus clair. Le publicitaire est celui qui recherche de la pub, pas celui qui en achète. Néanmoins, je te répondrai que tu as tort, du moins dans les rédactions sérieuses. Le matériel appartient à la marque sollicitée par le journaliste pour en faire l'essai. Que cette marque fasse de la pub ou non. Je n'ai personnellement aucune vision de la pub prévue dans notre magazine. La régie publicitaire est extérieure à la rédaction. Je suis donc totalement libre de solliciter la marque qui me semble intéressante pour le lecteur. C'est pour cette raison par exemple que les trois principaux équipementiers dans le vélo ne font pas de pub chez nous, mais que nous en parlons quand même, et autant que possible (en tenant compte du calendrier des nouveautés) de manière égalitaire (en place dans le mag). En revanche, il arrive que certaines marques mécontentes du traitement qui leur est accordé (tests mauvais) nous menacent de ne pas passer de pub à l'avenir. Pas grave, parce que en ce qui nous concerne nous n'avons que très peu de pubs de la part des institutionnels. Par contre, plus embêtant, suite à un mauvais test, elles refusent ensuite de nous envoyer d'autre matériel pour essai, même s'il s'agit d'un autre vélo. Des "représailles" qui sont plutôt gênantes pour le lecteur. Alors au final, après deux ou trois ans de mise au banc, elles reviennent sur leur position. Bien entendu, les magazines négocient avec les publicitaires potentiels les tarifs et ... le rédactionnel. ON comprend que l'objectivité n'est pas au pouvoir. Expliqué plus haut. Les négociations appartiennent à la régie publicitaire, mais n'impliquent pas la rédaction. Quand la régie manque de résultat, elle peut faire pression sur l'éditeur, qui lui même peut faire pression sur le journaliste. C'est possible. Mais un journaliste consciencieux brandit sa carte de presse, et généralement on le laisse tranquille ;o) Dans le cas où il n'y a pas ce rapport par la publicité, le service-presse du fabricant devra convaincre l'essayeur ou son patron de réaliser un essai. Et d'une manière ou d'une autre, en toute discrétion, les avantages en nature servent à récompenser l'essayeur " consciencieux". Le conflit d interet est a nouveau patent. Je suis complètement indifférent à ce type de pression. Je paie mes vélos. Des vélos qui ne passent pas dans le mag, et dont la marque n'est pas annonceur. La pression concernant un échange pub/rédactionnel est vraiment latente à un autre niveau : celui des organisateurs de cyclosportives, de challenges divers ou des organisateurs de stages. Alors eux n'y vont pas avec le dos de la cuillière. Pour être honnête, aucune pub ne peut s'échanger si on ne parle pas de leur épreuve. Et comme il n'y a pas grand chose à raconter, c'est un gros problème...
  8. Je ne te reproche rien. Je t'explique simplement que les tests trop catégoriques, c'est peut-être chez certains de nos confrères, mais chez nous nous l'évitons. En tout premier lieu parce que nous ne sommes pas infaillibles. Je n'avais effectivement pas lu ton profil. Cependant, peux-tu affirmer qu'au moment où tu tenais un magasin ton discours aurait été complètement objectif? Là encore, ce n'est pas encore un reproche, comme je n'en fais pas à l'ensemble des vélocistes. Ils ont une boutique à faire tourner. Nous avons enquêté auprès d'une dizaine de vélocistes, dans toute la France, et à chaque fois ils ne parlent à la presse de matos qu'en ces termes-là. Après, en Off, certains font état des soucis qu'ils ont rencontré avec telle ou telle marque (ce qui explique généralement pourquoi ils ont arrêté), mais comme je n'ai aucun moyen de vérifier leurs dires, je ne peux rien en faire. Bref, le terrain est glissant si on s'appuie uniquement sur des paroles. Ce qu'il faudrait, ce sont les vrais chiffres d'un SAV, mais évidemment, nous n'y avons pas accès.
  9. "Jean-Guy, Je trouve que tu présentes une bonne grille de lecture et de compréhension des tests médias. Peut-être, passionnés comme nous le sommes, attendons-nous trop de ceux-ci. Nous attendons tous ''notre meilleur vélo du monde'' alors qu'il n'y en a pas.... Je reste malgré tout ennuyé par certains tests trop catégoriques : dur, meilleur vélo du monde, permet de mettre 2 dents de moins, mou etc... Je suis par contre preneur de tests sur la durée (il en existe) et peut-être à venir un peu plus d'entretiens sans langue de bois avec des professionnels (vélocistes, mécanos...) sur les véritables apports de nouveaux produits ainsi que les soucis de maintenance ou de compatibilités..... Certaines , soit disant, révolutions tomberaient de haut." Tu devrais éviter les généralités. Le genre de conclusions catégoriques, ce n'est pas le genre de la maison, justement. De plus, on essaie, mais d'autres ont aussi leurs références, de proposer des données chiffrées, qui sont comparables d'un vélo sur l'autre. Top Vélo pèse chaque vélo pièce par pièce. Le Cycle mesure la déformation en statique. Nous nous mesurons les vibrations sur une portion de route test, toujours dans les mêmes conditions, pour en déduire le confort "passif" des vélos. Cela permet d'avoir une vision qui n'a rien à voir avec le ressenti du testeur, mais qui sont seulement des données brutes. Nous avons fait de même (mais c'est plus compliqué à réaliser) lors de certains comparatifs de roues, avec un capteur de puissance. Concernant les essais longue durée, nous en faisons aussi régulièrement, et sur plus de 10 000 km parfois. Le problème est que ça prend du temps. Et le temps que je passe à faire l'essai longue durée d'un groupe, je ne le passe pas à essayer un autre groupe. C'est mathématique. Alors bien sûr, pour compenser, et ce que Xavier Legrand prend pour un "cadeau", eh bien le groupe est monté sur mon vélo perso. Mais que ça rassure tout le monde, je le rends à la fin, à moins qu'il soit complètement mort ;o) Enfin, puisque tu parles d'entretien avec des vélocistes, sache que nous nous sommes engagés sur ce terrain-là. Mais ça n'a rien donné de concluant. Tout simplement parce qu'il faut comprendre la manière dont fonctionnent les vélocistes : ils sont tenus par les marques qu'ils vendent et par les conditions de remise. D'autre part, le premier souci d'un vélociste, c'est d'écouler son stock pour payer les traites de son magasin ou sa location de locaux. De ce fait, même s'il se rend compte de problèmes mécaniques avec telle ou telle pièce d'un vélo, il ne va pas en faire état car il ne pourrait plus alors écouler son stock. Donc, si on les écoute "officiellement", les vélos qu'ils vendent en général sont tous bons, et ceux vendus par le concurrents ne sont pas bons. Donc, désolé, ce n'est pas un gage d'objectivité non plus.
  10. "normal tu ne vas pas faire etat des kdo des fabricants, tu es oblige de rester politiquement correct........" Là, c'est de la diffamation pure et simple. Tu as de la chance que je suis plutôt de bonne humeur aujourd'hui.
  11. C'est ton interprétation. Et je ne vois pas où j'ai fait mention de fabricants qui "arrosent" comme tu dis... Quant aux lecteurs, il ne s'agit pas de ne pas les froisser s'ils disposent du matos, mais de respecter le fait qu'ils ne disposent pas forcément des moyens pour s'acheter le matos de leurs rêves, ou qui ne disposent pas des moyens physiques pour profiter pleinement du top matériel.
  12. Globalement d'accord avec certains commentaires ici. Je suis plutôt bien placé pour en parler, puisque je suis une des personnes citées dans ce sujet (GJ de CP). Rédiger un essai vélo, parvenir à décrire ses sensations, n'est pas chose aisée. Il y a bien sûr le niveau de base, le passé sportif, qui entrent en ligne de compte, et la forme du moment. Puisque nos attentes en dépendent. Et puis il y a l'expérience. Personnellement, je fais ça depuis 20 ans. En ce moment, je teste environ 25 vélos différents par an. Il y a forcément une part de subjectivité de ma part (inconsciente), mais disons que je procède forcément par comparaisons. Sans compter ma pratique personnelle à côté de ça. Pour ceux qui estiment qu'il s'agit de publi-rédactionnel, je les laisse à leurs illusions. Je ne vous cache pas que les pressions sont nombreuses, plus ou moins subtiles. Néanmoins, nous sommes globalement assez attachés à notre Carte de presse (quand nous en avons une, ce qui n'est pas le cas de tous les rédacteurs de ce type de magazine), ce qui implique que nous avons les moyens de résister à ce type de pression. Notre priorité est toujours d'informer le lecteur. Ensuite, il y a le ton, globalement positif, que l'on veut donner à chaque article. Il s'agit d'une presse de passion, l'idée n'est pas de donner au lecteur l'envie de se tirer une balle... Donc, on essaie d'insister sur les points positifs d'un vélo, sans occulter pour autant les points négatifs. Ce qui implique d'essayer également de se mettre à la place de la personne susceptible d'être intéressée par le vélo en question. Et ce n'est pas simple!
  13. SRM trop complexe. Notamment si je veux le passer d'un vélo à un autre. Et puis il y a le pb de changement de batteries, trop pénible à gérer. Keo Power : bah je ne suis tout simplement pas utilisateur de pédales Look (et ça ne changera pas). Powertap : implique de n'avoir qu'une seule roue. Et c'est inverse avec ce que je compte faire avec mon (mes) vélo(s), c'est-à-dire tester du matériel. Quant aux autres systèmes, pas encore assez de recul pour juger de la fiabilité et de la simplicité d'utilisation. Le Rotor s'annonce bien, mais pour l'instant je ne l'ai pas encore vu.
  14. "Il en est où Jean Guy de son essai ?" J'en suis nul part car l'importateur Quarq n'a pas de stock avant janvier. Donc, en gros, je mouline !
  15. Non, tu interprètes mes propos. Ce que je critique, c'est ta phrase : "le marketing me dégoûte". Parce que oui, comme nous ne sommes pas en Corée du Nord et que cette phrase ressemble à la jalousie du mec qui ne tente jamais rien, j'ai aussi le droit de la critiquer. Et manifestement tu es le seul ici que ça dérange. Le fait que je connaisse l'initiateur du projet n'y change rien, sauf que je me permets simplement de remettre les choses dans leur contexte.
  16. Bein si ça peut rendre service à qqun, pourquoi pas? Tu ne peux pas reprocher à qqun d'avoir des idées et de tenter de les vendre pour s'en sortir, non? D'autant plus que personne n'est obligé de les acheter...
  17. Marketing, non... Ou plutôt qui profite aux clubs de foot, mais pas au fabricant de maillot. Pour la petite histoire, celui qui a eu cette idée, je le connais très bien. Donc, c'est un gars comme toi et moi, cyclosportif amateur (et amateur de foot par la même occasion). En fait, il est sur un projet révolutionnaire depuis plusieurs années pour des tenues cyclistes. Sauf que son projet coûte cher en développement, et qu'il y a déjà investi toutes ses économies. Donc, il a dû marquer une pause. Et en attendant, pour retrouver un peu de fonds, il a eu cette idée de proposer des tenues aux couleurs des clubs de foot, en partant du principe que comme lui, certains pouvaient aimer faire du vélo et être aussi supporter d'un club de foot. Bref, il a contacté tous les clubs de Ligue 1 mais il s'est heurté aux histoires de Droits. Seul l'ASSE lui a ouvert la porte dans un premier temps (mais d'autres devraient suivre maintenant). L'idée est donc plutôt sympathique, et elle ne mange pas de pain. Mais ce n'est pas l'idée d'une multinationale qui voudrait se faire du blé sur le dos des cyclos, si c'est ce que tu sous-entends...
  18. "Pour l'Ufolep, avec certains de tes collègues FFC, vous mettez tout le monde dans le même sac sans vouloir admettre que la majorité des Ufolep n'ont pas une mentalité plus pourrie que les FFC" C'est curieux comme les généralités vont bon train. Je pense qu'Yves, comme certains de ses collègues FFC comme tu dis - et dont je fais parti - veulent simplement remettre les choses à leur place. L'Ufolep cloisonne au maximum en interdisant l'accès à ses compétitions aux coureurs qui risqueraient d'être trop forts. Pour cela, elle limite dans la plupart des Comités l'accès à une simple licence à des coureurs qui sont au mieux au niveau Pass'Cyclism FFC. Soit. Donc, à partir de là, j'imagine que le niveau en 1ere Ufolep est au mieux équivalent au Pass'Cyclism FFC. Ce n'est pas moi qui le dis, ni même Yves, c'est l'Ufolep elle-même. Je trouve donc très curieux que certains se gargarisent d'un "niveau" en Ufolep qui est à des années lumières d'un niveau compétition FFC. Chercher des équivalences autres que 1ere Ufolep = Pass'Cyclism FFC est totalement hors sujet. Cela étant, je respecte les coursiers Ufolep, qui se font plaisir avec des compétitions à leur niveau. Et il y a bien moyen de partager des choses entre coursiers, comme entre cyclistes tout court, quel que soit le niveau.
  19. Rabaisser les autres? Mais ce n'est pas ce que tu as fait en t'inventant une licence de 1ere caté pour rabaisser Igor? De plus, je ne crois pas que parler de sa propre expérience - du vécu, du réel, pas du mensonge - soit fait pour rabaisser qui que ce soit. Enfin, en tout cas, ce n'est pas mon but. Enfin tu parles d'empiéter sur des plates bandes? Mais quelles plates bandes? Faudrait déjà que tu sois réel pour empiéter sur quoi que ce soit. Et pas un fake ambulant. Et si tu étais réel, je serais ravi d'échanger avec toi, de confronter nos propres expériences, et qui sait... d'apprendre quelque chose. Mais non, ça ne marche pas, parce que tu mens, sciemment ou non, pour faire le guignol ou pour te rendre intéressant, mais justement ça te rend tout, sauf intéressant.... Nombreux sont les gens ici avec lesquels je ne suis pas toujours d'accord, loin de là. Et alors, ça se passe toujours bien la plupart du temps, parce qu'ils n'adaptent pas leur discours en fonction des circonstances et n'inventent pas quelque chose pour essayer d'avoir le dernier mot, comme tu le fais...
  20. Je n'ai effectivement pas de temps à perdre à faire des recherches sur toi. Mais il suffit de compiler tes différentes interventions pour se rendre compte que c'est pas cohérent. Bon maintenant, tu nous dit que t'es peut-être pas en première, mais que tu te contentes d'y courir. Jusqu'à preuve du contraire, y a même des pass'cyclisme ou des 3 qui peuvent prendre le départ d'une première. Cela n'en fait pas des premières pour autant. Je te rappelle que c'est toi qui as utilisé cet argument pour rabaisser des cyclosportifs comme Igor sur un autre sujet. Mais ça montre juste que sur ça au moins tu as menti pour te faire mousser. Alors ça te fait peut-être bien marrer. Mais en être réduit à mentir pour asseoir ses arguments, c'est assez pathétique. Tu vois, tu as beau connaître mon nom ( ce qui nécessite soit une petite recherche, soit un certain suivi du forum), il n'en reste pas moins que mes interventions sont plus crédibles que les tiennes. Pas besoin d'être un gourou (comme tu l'as dit aussi à mon sujet par ailleurs), il suffit juste que les gens jugent par ce que j'ai pu accomplir dans le vélo et ce qui m'aide également dans mon boulot. Je suis certainement loin de détenir la vérité absolue, comme le démontre Yves avec ses méthodes d'entraînement - qui est sûrement dans le vrai à son échelle, mais qui a juste le tort de s'exprimer de façon un peu abrupte - et j'ai sûrement fait aussi beaucoup d'erreurs. N'empêche, puisque je m'exprime avec le même pseudo depuis 10 ans maintenant sur ce forum, le secret que tu crois dévoiler est juste un secret de Polichinelle. Au final, qui tu es, je m'en contrefous. Ce qui est sûr par contre, c'est que tu as menti. Et c'est finalement assez drôle les types qui s'inventent une vie pour exister....
  21. Attention, concernant Yves Martin, je pense qu'il appartient à une autre génération. Celle des coureurs qui n'ont jamais fait de spécifique en le voulant vraiment. Une explication : beaucoup de courses quand il était plus jeune. Le reste, c'est de l'entretien à l'entraînement. Et puis, d'après ce que j'ai pu comprendre, il roule au feeling, mais plutôt vite et fort. Ce qui fait que la force, la vélocité, le seuil, il le travaille indirectement, ce qui est le cas quand tu roules toujours à 35 de moyenne, que le vent soit de face ou de dos. J'ai 42 ans, et je suis justement à la croisée de ces générations. Quand j'ai commencé en première caté (à 19 ans, faites le compte...), personne ne faisait du spécifique. Les entraîneurs de club qui nous prenaient la tête avec ça, on les prenait pour des "chiants". mais je courais beaucoup, de l'ordre de 100 à 110 jours de course par saison (avec des critériums en semaine). C'est seulement un peu plus tard que j'ai compris que pour cibler des objectifs et optimiser mon potentiel, il me fallait beaucoup moins courir et cibler spécifiquement mes sorties. J'ai eu de super résultats compte tenu de mon potentiel de départ grâce à cette méthode. Je reconnais néanmoins qu'elle ne s'applique pas à tout le monde. Dans le même temps, le mouvement cyclosportif s'est développé, avec des cyclos qui ne "préparaient" que deux ou trois cyclos dans l'année. Ils ont pris conscience avec littérature et informations que pour combler le manque de compétitions ils devaient eux aussi s'entraîner spécifiquement pour espérer progresser. Mais il n'y a pas de bonne méthode ou de mauvaise méthode. Chacun s'épanoui comme bon lui semble.
  22. Oui, un coureur de Plus de 40 ans en première caté FFC, je m'intéresse forcément à lui. Parce que dans la plupart des Comités, à plus de 40 ans, tu peux redescendre automatiquement en 2 quand tu dépasses les 40. Cela était mon cas en 2010 et 20011. Quant aux très rares coureurs qui "marchent" encore à cet âge, je pense les connaître tous (Balland, Taillandier, Thilloy par exemple), pour les avoir croisés sur ma route tout au long de ma carrière. Au vu des photos que tu as posté dans l'histoire de la position, tu n'es aucun de ces gars-là. De plus, tu nous a parlé aussi d'une performance dans l'Etape du Tour où tu as terminé à 30 minutes du premier. J'ai regardé, aucun de ces gars-là non plus. Enfin, tu dis vivre vers Beauvais. Le seul coureur 1ere caté classé de plus de 40 ans c'est Thilloy en Picardie, mais désolé, tu le lui ressembles pas du tout ;o). De plus je pense qu'il demandera à descendre en 2 vu son âge. Donc, dans tout ce que tu racontes, pas besoin de faire de recherches pour constater que tu mythones quelque part (en dehors du pseudo, mais c'est d'usage sur Internet). C'est ton droit, mais alors, quel crédit apporter à ce que tu racontes par ailleurs???
  23. Tu as bientôt 47 ans et tu es en première caté FFC? Il ne doit pas y en avoir beaucoup....
  24. Les potences carbone n'(apportent effectivement aucun avantage en termes de poids. Par contre, certaines potence monocoque sont vraiment plus rigides que des potence alu, pour un poids équivalent. Exemple : la Time Monolink, 132 g en 110 (vérifié) est beaucoup plus rigide que n'importe quelle potence en alu du même poids. Pour arriver à une équivalence, il faut viser les potences alu à + de 170 g. Concernant les potences en alu à 100/120 g, j'en ai eu quelques unes. Mais je sentais une mollesse au guidon en arrachant en danseuse. Note que c'est surtout sensible si ton cadre et la partie avant notamment est très rigide. Dans ce cas, la faiblesse se ressent vraiment au niveau du poste de pilotage. Si ton cadre est plutôt souple, ça fonctionne correctement. Enfin, j'ai vu peu de potence céder, à part les ITM il y a quelques temps. Souplesse ne veut donc pas dire forcément fragilité.
  25. Dans un autre registre, j'ai vu des mecs se priver de dessert tout au long de leur courte carrière. Ah c'est sûr, ils étaient secs. Sauf que je ne suis pas persuadé à 100% que c'était le mieux pour marcher. Surtout en tenant compte des frustrations que cela engendre à long terme.
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