dAuvare

Lh = Left-handed = sens anti-horaire, inverse.

Si le respect de la réglementation, en l'adaptant un tantinet, peut nous sauver la vie dans certaines circonstances, force est de constater que celle-ci n'est pas adaptée au cyclisme sur route pratiqué en milieu non urbanisé. Les catadioptres, les éléments réfléchissants, etc. par temps de forte luminosité, c'est de la franche rigolade. Aucun n'est visible à plus de 10 m dans ces conditions. Idem pour l'éclairage sauf si ≥250 lumens. Pourtant la visibilité du cycliste est un vrai sujet quand une luminosité élevée aveugle l'automobiliste.

Très instructif, même si l'essentiel était déjà connu.

Je crois avoir lu qu'une batterie externe de 10 000 mAh était obligatoire sur certaines épreuves, qui soit utilisable pour le smartphone, la navigation et les éclairages AV/AR également (donc assortie de tous les câbles appropriés).

Ce n'est pas incompatible. L'amélioration de l'efficacité au repos et sous exercice modéré ne préjuge pas du résultat lors d'un effort intense. L'augmentation de fréquence reste en effet "l'outil" le plus efficace pour répondre à un demande d'oxygène accrue (loin devant l'augmentation du volume systolique, etc. )

... dopants oui, mais pas dans les sports d'endurance, sauf exception,.

AMA (2024) Les bêtabloquants sont interdits (2024) en compétition seulement, dans les sports suivants, et aussi interdits hors compétition lorsqu’indiqué (*). • Automobile (FIA) • Billard (toutes les disciplines) (WCBS) • Fléchettes (WDF) • Golf (IGF) • Mini-Golf (WMF) • Ski (FIS) pour le saut à ski, le saut freestyle/halfpipe et le snowboard halfpipe/big air • Sports subaquatiques (CMAS)* pour toutes les sous-disciplines de plongée libre, la chasse sous-marine et le tir sur cible • Tir (ISSF, IPC)* • Tir à l’arc (WA)*

Je n'utilise ni l'une ni l'autre pour préparer mes sorties. Quand j'aurais un peu de temps, j'en comparerai les résultats avec les données de mes parcours réalisés.

Si tu fais allusion à ce genre de choses (fig. empruntée à El Masri & Bigazzi)... ... la plupart des applications de création de parcours (openrunner, komoot, garmin connect, brouter-web, etc.) sont à la ramasse. Le compteur GPS tire profit des données barométriques.

Je n'ai pas eu un grand nombre de modèles entre les mains, mais je partage quand même mon point de vue. J'ai toujours un Bryton d'entrée de gamme dans un tiroir, qui pour le prix donnait satisfaction quand je l'utilisais. Avec une petite réserve cependant sur la stabilité de la connexion avec le smartphone. La marque offre une gamme de produits d'un bon niveau de fabrication, pour la plupart équipés de capteurs et d'un affichage de qualité. Leur application pour smartphone était très médiocre, des progrès ont sans doute été réalisés, mais les mises à jour sont peu fréquentes (idem pour le firmware). Des utilisateurs se plaignaient sur les forums de la difficulté à transférer des traces GPX. De plus, les fichiers produits par une plate-forme tierce étaient difficilement reconnus. J'avais trouvé un tuto plutôt astucieux pour le Bryton 420, mais voyant qu'il fallait six étapes pour aboutir au résultat, j'avais finalement renoncé à acquérir ce modèle. J'ignore si ce problème a été résolu. En face, Garmin (sans exclure les marques que je ne connais pas) propose une solution plus complète, notamment en termes de suivi "live tracking"et d'analyse de données. Leur solution est autosuffisante pour qui ne se passionne pas pour la data sportive, n'a pas envie de payer un abonnement pour une application spécialisée ou bien ne souhaite pas divulguer ses données personnelles sur une multitude de sites. Celle de Bryton l'est moins. Garmin conserve un avantage sur la qualité du suivi GPS et le calcul de dénivelé (avoir de bons capteurs ne suffit pas). La politique tarifaire de Garmin fait quand même réfléchir quand vient le moment de sortir la carte bancaire. D'autant plus que la marque se montre peu généreuse en innovations entre une génération matériel et la suivante. Et ils se font maintenant tailler des croupières sur le calcul de dénivelé, pourtant censé être leur spécialité. Donc, Bryton, oui peut-être, mais à condition de bien définir ses besoins et ne pas limiter son analyse comparative au seul hardware.

Nicolas a raison. Les digressions sur l'IMC y compris ma contribution qui se voulait un trait d'humour m'ont fait oublier l'essentiel de ton post initial : une petite visite chez le médecin serait une sage précaution. Le tracé montre que la FC descend rapidement quand boxiboxi coupe son effort. C'est bon signe, mais mieux vaut vérifier.

Telle n'est pas mon intention. J'ai juste écrit qu'il fallait faire confiance au médecin avant d'embrayer sur des hypothèses pathologiques qu'il (elle) n'a pas retenues.

C'est vexant, il faut bien l'admettre, mais tu ne t'en tires pas si mal. Il n'y a pas si longtemps, il était question d'envoyer l'un parmi nous aux urgences cardiologiques alors que son médecin venait de le rassurer sur son état de santé.🙃

Ou en balnéation, si tu acceptes de me donner un rein (greffon) !

L'expression "cyclisme à deux vitesses" ne date pas du dernier TdF. Elle exprime à la fois le diagnostic d'un coureur et sa frustration de voir le fossé s'allonger entre une poignée de coureurs et des seconds rôles transformés brutalement en figurants (presque) muets. On peut être un figurant bien payé pour ce rôle et avoir d'autres ambitions. Romain Bardet l'exprime différemment qui a répété dans plusieurs interviews, qu'il continuait à gagner des watts, mais que quand il en gagnait 5, d'autres lui semblaient en gagner 12 (sur la fin de la phrase, je brode un peu). Donc, rien à redire, pour ma part, au propos tenu par Guillaume Martin. Le cyclisme à deux vitesses interroge même le milieu académique (cf "Can there be two speeds in a clean peloton?" par le Pr Karsten Øvretveit).

J'imagine mal une équipe pro, avec l'armada de scientifiques qui gravitent autour, faire joujou avec ça. Ces produits "ont la pancarte". S'ils ne sont pas détectés aujourd'hui, ils le seront dans deux ans sur plasma congelé quand les méthodes de détection auront progressé. Complètement suicidaire. Qu'un pro à titre individuel ou un amateur se fasse attraper par la patrouille serait moins surprenant.

De mémoire, l'installation d'une cartographie est facile sur un Garmin Edge, grâce aux fichiers prêts à l'emploi que l'on peut trouver sur la toile. Je ne les ai pas conservés longtemps, car j'utilise peu le guidage et les cartes. De plus, sur les 5x0/8x0, la meilleur lisibilité des cartes Garmin m'a convaincu d'écarter les alternatives plus détaillées. Pour les écrans plus grands (10x0), la réponse peut être différente.

Oui, et pour être sûrs d'avoir notre "ration" de sel, il faudrait contraindre les drôles, minots, mistons et autres jeunots à se servir en dernier !

D'accord avec toi, mais ce n'est pas le sujet. Il semble que Serge M. nous parle d'une hypotension orthostatique simple qu'il n'est pas nécessaire de médicaliser (si j'ai bien lu Serge M. sort de chez le médecin et ce dernier ne lui a prescrit aucun traitement médicamenteux). Dans ce contexte, l'usage du sel vise à maintenir au mieux les équilibres physiologiques au cours d'un effort prolongé sous des températures élevées. Quand le volume sanguin diminue (déshydratation) alors que la place disponible augmente (vasodilatation) , les artères ont beau avoir une certaine élasticité, vient un moment où... Par exemple avec un 11.5 au départ qui se transforme en 9.5 à l'arrivée, propice à l'hypotension orthostatique. Mais si tu d'hydrates bien, tu vas rentrer à 10 voire 10.5 et te sentir frais comme un gardon. Si tu étais à 14 au départ, une baisse de 2 points passera sans doute inaperçue, La recommandation de 20-30 de sodium mmol/litre de boisson (soit au minimum 1 g/l de sel de table) ne vise pas à modifier durablement la quantité de sodium dans l'organisme. L'objectif se limite à remplacer les pertes par transpiration. Le sodium aide à fixer l'eau, entretient la soif favorisant ainsi l'hydratation, etc. Ne boire que de la boisson isotonique dans des conditions forte chaleur est impossible. A l'inverse, boire des volumes élevés d'eau plate expose au risque d'hyponatrémie (baisse de la concentration sanguine en sodium). Nous avons tous ressenti les sensations désagréables à un moment ou à un autre de notre vie. Si on insiste, l'hyponatrémie devient une urgence absolue.

Je partage au moins deux points communs avec Serge Masselot, une tension artérielle basse par rapport à ma classe d'âge, et des sorties par temps chaud, voir très chaud. Si on ajoute à cela des pertes sudorales en eau et sodium supérieures à la moyenne, le retour veineux depuis les mollets vers le haut du corps qui fonctionne moins bien l'âge avançant et la vasodilatation due à la chaleur, tu as le quinté gagnant pour que ton cerveau crie : et moi, et moi ? Quand je suis rigoureux sur l'hydratation, j'évite l'hypotension orthostatique au retour d'une sortie. De temps à autre, un excès d'optimisme me rappelle à l'ordre, par exemple quand je me dis, tout va bien car je n'ai pas la sensation de soif, alors que j'aurai dû avaler un bidon de plus.

Au quotidien, il n'y a pas lieu de dépasser la limite rappelée par Serge N. En revanche, pendant l'effort et la phase de récupération, on met de côté sans hésitation les recommandations de l'ANSES et autres valeurs nutritionnelles de références - VNR - (EFSA). Elles ne sont pas faites pour ça. L'apport de sodium est indispensable pour les efforts de longue durée à raison de 20-30 mmol/litre de boisson. Les pertes sudorales (tant en volume que pour la concentration de la sueur en sodium) varient selon l'effort, les conditions climatiques, etc. et aussi, c'est important, d'un individu à l'autre. Pour les anglophones, l'American College of Sport Medicine a publié un document de consensus en 2017 (Exercise and Fluid Replacement) qui explique tout cela avec moult détails.

Certaines équipes tournent de nouveau à l'eau gazeuse, mais gare à ne pas se tromper de cartouche quand on recharge le Sodastream. Plaisanterie à tiroirs, discutable, mais difficile de résister...🙂

J'avais bien compris que ton intention était louable, mais quand j'ai vu un post se terminer par des points de suspension, suivi d'un autre qui ajoute le mot précédemment suggéré et, surtout, que beaucoup commençaient à plussoyer sévère, il était temps de calmer le jeu. Serge n'ayant fait état d'aucun trouble dans sa vie quotidienne, hors de son sport préféré, toute tentative de diagnostic a vista de nas était prématurée et alarmiste.

(-)1 Ne cherchons à donner des sueurs froides à Serge. Une alimentation adaptée suffit parfois à régler ce problème et pour longtemps. Il faudra bien sûr investiguer si cela ne suffit pas.

Pas si vite ! La plupart des céréales du petit déjeuner (sauf flocons d'avoine non transformés) ont un index glycémique nettement supérieur à celui du pain complet. Augmenter le pain complet ou ajouter de l'avoine, pourquoi pas, mais je maintiens mon commentaire sur l'hydratation.