
Bernard PIGUET
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Tour de Suisse 2019
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Frederic ANDRIEUX dans Discussions Route
Et bien j'ai raté l'étape, et vu seulement les commentaires d'après étape, et je les vois finir sur les pavés, je n'avais aucune idée du parcours, alors en effet ils ont fait le Lukmanier et Biasca, décidément. La surprise c'est bien Dennis et demain je ne sais pas comment ils font pour ne pas bloquer la seule route qui suit le glacier express, et ceci sans D+. -
Tour de Suisse 2019
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Frederic ANDRIEUX dans Discussions Route
OUI la 21 l'a annoncé en préambule, pas le nouveau parcours mais l'abandon du Susten. Finalement alternative toute indiquée, mais le Nufenen en entrée sans échauffement pas simple. Je pense que le Saint Gothard va se faire par le val Tremola. Et donc le Gothard jouera le même rôle même s'il manquera 30 bornes sur les compteurs et surtout 5/600 m de D+. De toutes façons peu de candidats pour les places d'honneur. -
Tour de Suisse 2019
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Frederic ANDRIEUX dans Discussions Route
Vraiment pas une bonne nouvelle ! Tu es sûr ? Ce Susten toujours très enneigé, nous en avons parlé sur un autre sujet, pourtant 200 m de moins que la Furka avec son glacier du Rhône. Le Susten je l'avais découvert en juillet par son versant est, et je l'avais après le tunnel trouvé très enneigé, donc il n'ont pas fait un tunnel assez bas en ne gagnant que 35 m sur le véritable col géographique. Attendons la suite les Suisses sont des experts en matière de voiries. -
Tour de Suisse 2019
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Frederic ANDRIEUX dans Discussions Route
Ta question d'hier sur "Dauphiné" Déjà un avant-goût aujourd'hui avec la montée du Chuderhüsi, que j'ai cherchée en vain sur une carte Michelin , la 217! Je l'ai trouvée sur une carte dédiée au cyclotourisme (de Kümmerly et Frey), mais qui ne la conseille pas, probablement parce qu'elle doit être trop casse-pattes! 3 x la montée, ainsi que la Schallenberg Strasse, au nord-est de Thun. Tu m'as fait chercher aussi, et pas facile, en essayant de voir le tracé du TDS, j'avais vu les 3 tours de Langnau, d'ailleurs identiques avec les 2 montées à chaque fois et pas très éloignées l'une de l'autre, 10 km au plus mais pas moyen d'agrandir les images profils, donc même avec la carte 552 plus récente qui fait la Suisse en 3 cartes seulement, mais pas mieux que la 217. Donc je vois près de Rothenbach un raidard signalé par 2x 3 flèches à Wurzbrunnen, et ceci est bien à peu près à 10 km du Schallenberg. Si l'on était encore plus curieux il faudrait faire un coup de Google map's, mais……. Reste que je voudrais bien voir le tracé de ce TDS, avant j'avais la piste quand la direction était Romande. -
Les jours passent, les étapes aussi, donc je réitère mes propos d'hier. Hier il faisait trop mauvais pour faire la course, et aujourd'hui trop beau, et puis après tout Fuglsang peut bien gagner un 2e Dauphiné. Trop drôle de voir Pinot secouer le cocotier à la flamme rouge. Maintenant notre attention sera sur le tour de Suisse, qui devrait offrir un parcours pour coureurs professionnels, bien que je n'ai pas encore découvert le tracé exact, ni les difficultés proposées, mais étant donnés les points d'arrivée cela devrait convenir même si l'Oberland, les Grisons et le Valais sont ignorés.
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BON, on reverra cela demain, si l'un d'eux envoie l'artillerie dès le Corbier et puis monte la vallée d'Abondance à 50 km/h. Car sur le papier c'est moins exigeant qu'aujourdh'ui. Bien entendu que j'ai noté la sortie de Quintana, et il l'a un peu payé à la fin, et voilà ce qui paralyse tout le monde.
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Ce jour FR3 n'est coupable de rien. Car au Dauphiné il n'y a pas eu course, vraiment les soit-disants "favoris" ne peuvent pas sortir d'un paquet de 15 gars, à croire qu'on ne leur offre pas le terrain. Et demain ce sera a peu de chose près la même mise en scène.
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Avant l'étape 3 de ce jour plutôt favorable aux sprinters, hier nous avons vécu un bel épisode. Alaph….., Gaudu, Cavagna, Dumoulin décident de prendre l'air et de donner de la vitesse à l'étape (42,7 km/h de moyenne) et je puis vous dire que le relief y était. Donc ne vous poser pas trop de Q, sur il se retourne et… Il n'a pas suivi etc.... Puis mention TRES BIEN aux 2 1er, non rejoints par la première vague voulant faire l'écart avec d'autres prétendus favoris. Ce Dauphiné on le sait est une préparation au futur, et l'on va vérifier les bons reflexes, et surtout ceux des autres, mais cela n'enlève rien aux ambitions de tous et le remporter renforce une carte de visite. Heureusement je ne crois pas qu'ils montent au delà de 1500 m, car attention il faudrait des chaînes !
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Débuter en compétition.
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Sébastien GOHIN dans L'entrainement et la santé
Sébastien, Scotché ? Prêt à abandonner le cyclisme de compétition ? Car il est vrai que c'est un milieu fermé. Il y a bien longtemps j'étais dans ta position et je voulais savoir et m'améliorer et je posais sans cesse des questions aux dirigeants de club. Au point de les mettre mal à l'aise, puisque un jour l'un d'eux avait fini par me répondre " ferme ta G..... et pédale" -
Traversée des USA d’ouest en est
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Joël POL dans Discussions Route
Ah la R.A.A.M bien entendu que cela m'a trotté dans la tête, et ceci dans les belles années 80. Mais sujet très compliqué, du professionnalisme disons le. Car il faut trouver un créneau de liberté et surtout un sponsor qui comprenne l'enjeu. A l'époque pas d'expérience Française, et donc pas de conseils avisés qui auraient pu me souffler dans le dos. Je savais seulement qu'à l'arrivée de mes PBP, je pouvais continuer à rouler jusqu'à la 3e nuit de la même manière, donc disons 1500 km, mais après ? Le jeu est là, car c'est un jeu que Jonathan BOYER a bien voulu faire en 1985 pour ses 30 ans, lui qui avait déjà plusieurs TDF dans la musette. En 2005 Domi Briand me fit part de son projet en équipe de 2, et j'avais construit un tableau de marche ( je vais te le glisser en MP, en espérant que tu as toujours les mêmes coordonnées). Voilà l'histoire, et les quelques mots que tu souhaitais, et pour me consoler je pouvais me dire que le climat chaud ne m'aurait pas plus, ni les grandes lignes droites et loin d'êtres plates, et que traverser le Mississipi pouvait toutefois être une délivrance et l'offrande d'un meilleur décor. Toute une histoire ! -
Débuter en compétition.
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Sébastien GOHIN dans L'entrainement et la santé
Donc j'ai vu juste, 1h20'/1h30' et tu es en slip. Donc il faut apprendre à boire et alimenter le moteur en carburant. Le moteur du cycliste ne peut recevoir que des boissons isotoniques, surtout JAMAIS d'EAU, qui elle ressort par le corps à une vitesse V. Et elle te prive des éléments nécessaires. Manger ? Pas nécessaire pour une course, et qui n'a pas l'exigence d'une cyclosportive de + de 6 heures. Alors sache que comme toi nous avons connu des pannes de carburant, mais en 1974 des fabricants de produits tant en boissons qu'en gels et mêmes en boissons alimentaires nous ont apporté la solution. Alors sache que dans toute grande surface on trouve en rayon diététique : Isostar, cela me gène un peu de citer des marques, mais c'est à leur grand mérite, et Overstim's apporte aussi de grandes solutions variées et ceci chez les vélocistes ou encore en enseigne privée du sport. Le gros problème des clubs FFC, est de ne pas éduquer les nouveaux venus, et de ne prendre que des licences et gérer le calendrier des courses, et c'est chacun pour soi. -
Débuter en compétition.
Bernard PIGUET a répondu à un(e) sujet de Sébastien GOHIN dans L'entrainement et la santé
Sébastien, Si on te lit bien : 50 km (plus de jus), cela voudrait dire que tu es au bout du rouleau ? Alors une piste, pendant ces 50 bornes disons en 1h 20', as tu bu au moins 50 cl de boisson isotonique, car sur une "hypo" on est vraiment à pied. SINON, je ne vois rien d'autre qu'une préparation plus serrée. -
Au terme de ce Giro, et pour ne pas surcharger le sujet en cours, je me permets d'ouvrir celui-ci. J'ai assez bien suivi l'évènement grâce à la 21, et finalement je suis un peu déçu du tracé final. Bon sang les Dolomites offrent un terrain de jeu formidable, et ils ont trouvé moyen de faire des parcours pour "juniors", hier samedi, avant hier ils trouvent moyen de faire une étape plane, et jeudi une arrivée quelconque, après bon nombre de vallées. Finalement ce Giro s'est joué à Courmayeur, et BRAVO à Carapaz qui est allé la chercher. Nibali comme Roglic étaient un peu courts, et même si on leur avaient proposés "Les 3 cimes", il aurait confirmé. Nibali comme Roglic étaient un peu courts. Et finalement le tracé était fait pour Dumoulin, dont je ne veux pas mésestimer les qualités, puisqu'il l'a emporté sur un vrai tracé. BON les 3 CLM étaient assez bien venus, même si à chaque fois il y avait escalade, le TDF devrait s'en inspirer. Attendons la suite.
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Pierre Yves, comme je viens de répondre à David sur le sujet, "les 10km ont été avalés en un rien de temps!". Et bien sache que Carapaz est monté en - de 35' et disons 35' 30'' pour ses poursuivants, alors cela fait du 16, 5 km/h, quel développement tiraient-ils tous ?, la caméra ne s'arrêtait jamais plus d'1' sur les mêmes coureurs pour tenter de voir leur vitesse de jambes. Et c'est vrai que c'est trompeur, et on souhaiterait que les commentateurs nous livrent quelques informations. L'an dernier même schéma avec le Zoncolan qui est plus dur, Froome a fait les 10 derniers km en 40'06", ses suivants très près, mais comme l'arrivée était au dessus, ils étaient à fond. Avant hier Carapaz a très bien terminé en 33' (pour les 17 de descente et la remontée Courmayeur de 7/8 km) prenant encore 1' à ses suivants plus nombreux, mais qui se sont un peu regardés. Voilà l'état des lieux, et c'est très dommage qu'ils ne fassent plus le Gavia, car c'était du costaud. Mais soyons rassurés le vainqueur aura de la G......
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David, je réponds quand même à ton message. Le résultat te donne raison, mais si l'arrivée avait été au dessus tout le monde serait monté plus vite et Carapaz en premier, qui a prouvé qu'il en avait encore sous le capot. Attendons la suite et cette dernière semaine pour voir l'état des forces en présence.
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David, Tu as raison, je découvre ce jour qu'ils vont monter la San Carlo, un dur, mais hélas ils redescendent pour arriver à Courmayeur, sinon le Giro allait se jouer sur ce juge de paix. De toutes façons c'est assez débridé, et ce sont des gars comme Simon Y..... qui vont foutrent la M..... Car il n'ont plus rien à perdre. Attendons la suite.
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C'est vrai Isaac, Michel nous manque quand il s'agit de nous remémorer des évènements passés. Justement sur "Monsieur 100000 volts", j'avais également précisé : Eclectique, il s’est exprimé sur tous les terrains, spécialiste du week-end Ardennais, qu’il a remporté 2 fois de suite en 1951 et 1952, en ratant un 3e de peu en 1954. Je précise bien WE, car à cette époque la flèche Wallonne se déroulait le samedi, et Liège-Bastogne-Liège le dimanche, avec classement sur l’ensemble à la clé. Comme tu le précise cela fait presque 70 ans, alors la mémoire !
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OUI triste fin pour Stan, qui chute sur le vélodrome d'Anvers à 500 m de chez lui, et il ne pouvait rater cette réunion. Lui qui ne tombait jamais a touché de la tête avec les casques à boudins de l'époque. Il avait donc 36 ans.
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Ah le grand Ferdi m'avait inspiré quand le TDF arriva a son 100aire, et comme il était le doyen de la soirée des anciens vainqueurs, je m'étais attelé à un écrit et en voici un extrait : A 36 ans Ferdi est au départ du TDF 1955, pas pour figurer, pour se battre conformément à son statut de guerrier. Et le 19 juillet vaut un commentaire pour mieux situer l’homme, ce jour là sous un ciel de feu, le Ventoux version Bédoin est au menu, avec arrivée en Avignon. A l’approche du géant de Provence, il s’isole à l’avant avec Scodeller et Géminiani qui avait toujours trop chaud dans un peloton. Dès les premières rampes « Le grand Gem » voulut modérer l’ardeur de Ferdi « Attention Ferdi ce col n’est pas comme les autres », que diantre quel était cet empêcheur ? Et il rétorqua « Mais Ferdi non plus, pas coureur comme les autres ». Et bien sûr les difficiles pentes arides, peu ombragées, propices à la dégradation physique, châtièrent une fois de plus un non calculateur, travers qu’il assuma en donnant de la voix, et si ce n’était pas sa première détresse, elle s’avéra suffisamment cuisante pour que ce soit la dernière. Il est vrai qu’il n’apparût plus dans les résultats, néanmoins en 1957, au critérium de Daumesnil qui se courrait derrière scooter, il fut un des 4, avec Bobet, Baldini et Darrigade, à ne pas prendre un tour par le nouveau prodige Jacques Anquetil. Décidément le cyclisme possède une histoire, ou alors c'est la faiblesse de notre passion qui engendre de telles récapitulations. Je ne pensais pas que cela nous conduise si loin.
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Isaac, C'est un plaisir d'échanger avec toi, car tu es incollable sur les surnoms des grandes vedettes de l'époque. Alors sur les anciens championnats en 1951 c'est à Varèse et c'est "l'aigle d'Adliswil" qui est sacré ou le "cheval fou" comme tu voudras. Donc tu dis le grand Fausto à Lugano ? Et bien c'est en 1953, et cela faisait depuis 1932 avec Binda qu'un Italien n'avait plus été champion. Toute une histoire, mais vraiment une belle et avec des écarts, le 2e à 6'22'' et le 3e encore Stan Ockers à 7'29''.
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Comme vous tous je regarde le déroulement du GIRO sur la 21, et c'est vrai que les commentaires…... Mais qu'importe, pour ma part je souhaite toujours savoir ou ils sont, et je sors les cartes pour suivre, et voilà qu'avant hier Frascati m'a interpellé. Sur le coup je dis à mon épouse, je crois qu'il y a un circuit automobile à proximité. Et bien pas du tout, ce nom avait une consonnance cycliste, puisque Frascati a accueilli les championnats du monde en 1955. Un grand vainqueur Stan OCKERS, sur un circuit exigeant et presque 300 bornes, pas de photo finisch, ni de déclassement pour ne pas avoir gardé sa ligne. NON de grands champions, et on savait leur donner le terrain approprié. D'ailleurs l'Italie à cette époque était souvent citée pour recevoir les championnats.
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Ah Emile ! Je ne rate jamais tes rénovations, et là j'y vais de ma version. Tu es un artiste ! On redécouvre les années 50, et ce serrage du tube de la selle à l'avant, ainsi que les gaines de freins qui passent dans son tube de cadre. Quand je dis on redécouvre, et bien NON on découvre, car mes premiers souvenirs sont plutôt début 1960. Encore BRAVO, et bonne continuation.
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Absent 2 jours, je n'ai pas pu te répondre quand nous avons entamé le sujet sur LBL. Pour Torgon ils donnent une arrivée à 1140 m pour 11,4 km de montée, cela donne quand même du 6,6 %. Genève c'est 17 km pour le CLM final. NON il y a à dire sur ce tracé. C'est bien le Jaunpass côté Gruyères qui sera le plus dur, et quand même il ne va pas s'enneiger avant samedi ? Mais comme le disent les médias, course de préparation, alors ?
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MERCI Pierre Yves, mais attend je vois heureusement sur les "vieilles" cartes Michelin la 217, Torgon bien à 1085, mais attention il y a 600 m de D+, cela monte combien ? Peut-être pas si facile. Par contre je n'ai pas trop regardé le CLM de Genève, je vais aller voir cela, avant que la 21 nous la retransmette.
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TRES TRES TRES méritée cette victoire de J.F, très présent en ce début de saison et de toutes les classiques. Maintenant suivons le reste, Alaph… va prendre quelques semaines de repos s'il veut être présent en juillet. Pierre Yves ici même évoque le tour de Romandie, alors j'ai découvert le tracé hier. Et je le trouve assez quelconque, pour preuve ils ne vont faire qu'à peine plus de 10 km en Valais ! Alors, toujours l'argent qui dirige, et que vaut cette montée de Torgon dont je n'ai pas trouvé l'altitude ?