
Imanol ALCANTARA
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Bon je redeviens sérieux. Toutes les selles, TOUTES sont bonnes pour quelqu'un. La Prologo scratch pro est du point de vue fabrication comme toutes les Prologo une très bonne selle. Du point de vue efficacité, c'est à dire positionnement, confort, elle est comme toutes les autres selles, magnifique pour les uns, horrible pour les autres. Tu donnes toi-même la réponse à ta question. Tu étais super bien dessus et elle s'est cassée, la solution est évidente: achète la même.
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Oui il y a bien mieux, et de loin. Les collègues vont te le dire, prends un stylo et papier pour noter les références.
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Etude choix de selle fiable ou marketing ?
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Michel DELALANDE dans Le matos
Je propose enlever la selle et pédaler à même la tige, je garantis la cessation immédiate du mal d'ischions. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Il y a quelques années j'ai côtoyé des groupes de bikers, la plupart avaient des situations professionnelles dites hautes, médecins, ingénieurs etc. pas tout jeunes, pas mal de jeunes retraités, des bourgeois qui s'encanaillaient. Je suis de ton avis concernant le cyclisme son passé est rural et populaire, son avenir aussi. Mais comme ce n'est pas le cas son avenir est compromis je pense. -
Bartali.
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Bartali pouvait en effet se servir de se religiosité comme moyen de communication c'est exact. L'époque, la famille, le niveau de vie de Bartali ne prédisposent pas à être croyant, d'autres dans les mêmes conditions ne l'étaient pas, tout le contraire. J'ai lu le bouquin d'Ollivier il y a quelques années, être libertin recouvre plusieurs aspects et pratiques, à son époque avoir une maîtresse en étant marié te valait cette qualité. La Dame blanche a été forcément exploitée mais croire qu'elle n'avait aucun lien avec le dopage est comme croire que Lance Armstrong était le seul à se doper à son époque. Concernant DSK nul prédateur sexuel vu que les charges ont été abandonnées, il est aussi blanc que toi ou moi. Concernant Ramadan nul prédateur sexuel vu qu'il n'a pas été jugé ni encore moins reconnu coupable des faits reprochés par des personnes qui peut-être sont moins sincères que menteuses, et qui content moins ce qui leur est arrivé que ce qu'on leur a dit de dire qui leur était arrivé. Mais j'aime Bartali comme j'aime Coppi, leur duel était plus le fait de la presse que le leur à l'instar de celui de Saronni et Moser -
Bartali.
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard VAILLANT1639476554 dans Discussions Route
Il y avait Gino le pieux et Fausto le pieu. Grenouille de bénitier d'un côté et libertin de l'autre. Consensus chez le premier, scandale chez le second. Je préfère quand même Fausto, le cycliste, l'homme. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Le cyclisme est historiquement rural, tant le cyclisme professionnel que l'usage de la bicyclette dans les villages pour aller au marché par exemple ou à la poste. Le cyclisme pro est avant tout européen, Français, Espagnol, Italien, Portugais pour l'essentiel, et ses coureurs venaient des champs pour éviter devoir aller à l'usine. Les partenaires économiques étaient souvent familiaux ou régionaux, donc nous avions des coureurs ruraux courant pour des marques rurales. Ca s'est développé mais les grandes pages de l'histoire du cyclisme ont été écrites par des coureurs européens venant des campagnes et courant pour des équipes régionales ou nationales. C'est pourquoi le cyclisme pro ne suscite plus l'engouement qu'il suscitait hier, car jadis le vélo était populaire, avec des acteurs, des spectateurs, des équipes populaires. Ce n'est pas un hasard si le plus aimé était Poulidor, le paysan parfait. Toute la France, rurale à l'époque, se retrouvait dans Poupou, les gens des villes aussi, car ils venaient eux aussi des campagnes ou leurs parents avant eux. Le vélo pro ce n'est pas le tennis, le golf ou la F1, sports de tout temps riches pour gens riches, c'est un sport qui vient de la terre, après tout le vélo y roule dessus. Vouloir le mondialiser au niveau économique est un dessein mais pas productif je pense, car les spectateurs "bourgeois" n'ont que faire du cyclisme, et les spectateurs populaires ne se retrouvent plus devant des coureurs qui ont tous le même casque, les mêmes lunettes et qui courent pour une place de trentième sur des vélos qui ont perdu tout rapport à la mécanique simple et robuste. J'ai connu jeune le cyclisme d'hier et je connais adulte celui d'aujourd'hui, se promener autour des coureurs, des bus, des équipes avant un départ est toujours un peu la même chose. J'étais en 1985 devant Hinault comme j'étais l'an passé devant Froome, c'est la même chose. Des coureurs affutés, muscles saillants et vélos rutilants, sentant la pommade, la sueur et les hormones excitées. Des vélos bichonés, régler un dérailleur arrière Spidel ou un Shimano électrique est finalement la même chose dans le même but, rien n'a changé fondamentalement à ces niveaux. Ce qui a changé et qui pour moi précipite ce sport vers sa fin c'est l'entourage financier. Certains s'égarent en pensant que le vélo c'est la F1 ou le tennis du point de vue des retombées qu'ils en attendent et des business-plans qu'ils échafaudent à ces fins. Il ne faut pas s'affranchir de l'humain dans le vélo car c'est lui qui est beau et qui compte dans ce sport. Et électriser les machines, faire disparaitre les coureurs derrière des casques, des lunettes et des combinaisons, les faire pédaler pour des points, les faire monter des cols à fond un kilomètre et se ranger quitte à être dépassé par un papy à vélo, toutes ces petites choses sans importance à première vue, modernes donc forcément bien selon des esprits peu avisés sont celles qui mises bout à bout auront raison de notre sport. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
C'est un des aspects je pense ou une conséquence de la société policée dans laquelle nous vivons, policée au sens de "tout doit être impeccable, rien ne doit dépasser, pas même un cheveu" et "policée" au sens de police, réglementations, obligations. Les professionnels hier cheveux au vent étaient surtout des hommes reconnaissables à leurs signes distinctifs, leurs visages, leurs attitudes. Je parlais de la beauté du diable de De Vlaeminck ou de l'air d'Elvis de Merckx ou de celui de Depardieu jeune de Maertens, Hinault jeune était aussi très beau. Si on imagine tous ces coureurs cachés par un casque et lunettes auraient-ils marqué autant les imaginations et les mémoires? Les professionnels standardisés et uniformisés par le casque et les lunettes ont perdu l'humanité qui en faisaient des idoles pour se transformer en robots clones les uns-les-autres. Tout s'est aseptisé, lavé, désinfecté, c'est propre et lisse comme une morgue d'hôpital alors que hier c'était sale, désordonné comme l'est la vie. Les coureurs pros sont à l'image de la société dans laquelle ils vivent, ils ne sont pas responsables, le casque leur a été imposé par la crétinerie et les lunettes par l'économie. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Le cyclisme a t-il vocation à être moderne? Il l'a toujours été en ce sens qu'en 1976 le vélo, les vélos, étaient à la pointe de la modernité. Comme le vélo et les vélos actuels sont à la pointe de la modernité - actuelle. Et comme tels ils sont déjà symboles du passé pour le futur qui commence dès l'instant présent. Mais il y a modernisme et modernisme et celui de 1976 n'était pas le même que celui de 2018. Le cyclisme moderne de 1976 c'était un cyclisme encore amateur dans le sens amoureux du terme, même en professionnel. Les intérêts financiers des équipes et sponsors étaient là, mais on peut penser que les intérêts d'une marque de fromage ou de guidoline étaient autres que ceux d'un établissement de crédit ou d'une banque. De même qu'étaient déjà là les ego sur dimensionnés de quelques coureurs, mais comme la médiatisation, sans internet, sans les réseaux sociaux, sans l'importance des intérêts financiers précités était très différente et beaucoup moins globale ou mondialisée, moins d'efforts étaient faits par ces egocentrés pour sortir du lot. Le cyclisme de 1976 était un reflet de cette époque comme celui de 2018 est un reflet de la sienne. Pour le meilleur et pour le pire . Le meilleur de 1976 on le connait, c'est une vie en France sous le signe de la liberté en général, d'action, de pensée (plus importante) d'inaction, de contestation et sous le signe d'une certaine solidarité et fraternité. Le meilleur en 1976 en cyclisme on le connait aussi, ce sont de magnifiques coureurs, certains commençant à tirer leur révérence, Merckx, d'autres commençant à pointer leur nez, Hinault. Ce sont des vélos magnifiques (subjectif) faits pour durer et capables de le faire, permettant à des coureurs comme Merckx, De Vlaeminck, Maertens etc. de marquer à jamais l'histoire de ce sport et la mémoire de milliers de jeunes qui viendront au cyclisme grâce à eux. 2018 c'est plutôt une France où la coopération a laissé la place à la compétition, placée sous le signe de la non liberté en général, d'action, de pensée (plus importante) de contestation et sous le signe de la haine de l'autre. 2018 en cyclisme ce sont des coureurs qui courent au millimètre, à la seconde pour préserver une place de vingtième pour glaner quelques points virtuels sensés satisfaire des employeurs et des sponsors timorés. 2018 ce sont des vélos qui n'en sont plus ou parodies de ce qu'ils furent, épures en plastique d'objets ultra pointus sensés plus satisfaire l'amateur en quête de signe extérieur de richesse que le cycliste proprement dit. Ce sont des vélos kleenex qu'on change comme on change de chemise quand changent les saisons et qui ne durent pas plus qu'elles, se brisant au moindre trottoir sauté ou nid de poule non évité. Mais tout cela, le meilleur et le pire, est là car nous l'avons voulu. Ou laissé faire, mais laissé faire est vouloir que ça se passe en fin de compte. Comme certains ici parlent de 1976 avec entrain, nostalgie ou regret (ce sont de beaux sentiments n'en déplaise à certains qui n'ont pas la beauté d'âme pour s'en rendre compte), je ne sais pas si en 2058 les amateurs de cyclisme et les gens en général parleront de 2018 comme certains le faisons ici de 1976. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Oui, vues aériennes de plus. Raymond Depardon aurait pu tourner ainsi, du moins la partie départ, cafés etc. c'eut valu son pesant de cacahuètes. J'aime beaucoup Merckx qu'on savait maniaque sur sa position régler sa potence et sa selle ensuite lors de l'arrêt de la manifestation, un coup d'oeil sur sa clé et un coup d'oeil sur l'avant du groupe voir s'il ne repart pas, et hop, vite il repart .. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
C'est vrai que l'histoire de faire Paris-Roubaix avec des tartelettes dans le ventre prises en début d'épreuve est assez formidable. Quand on pense que de nos jours on ne peut plus faire une sortie de deux heures le dimanche sans quantité de gels et autres boissons de l'effort.. Le montage du film est très bien fait oui, pas de voyeurisme ou autres comportements à la mode aujourd'hui. De la retenue dans les images et les propos tenus, les coureurs à l'hommage dans ce qu'ils ont de plus beau. -
Mon vélo Gios Torino vintage
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Emile ARBES dans Discussions Route
Entre 500€ le cadre et 800€, compter la même somme pour le groupe et les roues en cherchant sur divers sites, Ebay est assez cher. https://www.ebay.fr/itm/GIOS-Torino-PROFESSIONAL-1986-Frameset-MIRROR-CHROMED-size-57/173288919472?hash=item2858d311b0:g:mNgAAOSwdW1Z6xRn Le vélo complet dans les 1000/1500€ ça reste très raisonnable pour la beauté et qualité de l'ensemble. C'est ce que je fais sur un cadre 1978. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
L'époque était inversement plus légère que ses vélos, mais à choisir c'est mieux que des vélos légers dans une lourde époque. Et puis, vélos légers aujourd'hui, pour quoi faire quant à nous autres cyclos? Et même pour les professionnels, l'intérêt d'un vélo léger est d'être le seul à le posséder, si tous l'ont comme c'est le cas il n'y a plus d'avantage. En 1976 tous les vélos pros étant au même poids comme le sont au même poids ceux d'aujourd'hui, hier comme aujourd'hui personne n'était ni avantagé ni pénalisé. La séquence du café, mais aussi de la manifestation sont sympathiques oui. J'aime aussi beaucoup le début et le mécano préparant le vélo. De même que les apparitions de De Vlaeminck, calme, beau, posé, élégant, beaucoup de classe, je n'en avais pas tel souvenir. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
A qui le dis-tu.. je recherche une copie la plus définie possible pour en profiter au maximum.. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Depardieu jeune, tu ne trouves pas en voyant Maertens (que j'adore) dans le café en costume? ;-) -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Je te l'accorde. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Je vais faire une entorse à ma promesse de ne pas dialoguer avec toi, juste car j'ai ouvert ce sujet. Lorsque je parle du casque, des vitesses au cadre ou autres caractéristiques du cyclisme de l'époque c'est moins pour polémiquer que pour signaler peut être à de possibles jeunes lecteurs que le cyclisme de haut de niveau et de qualité a existé avant la déferlante des technologies mercantiles. J'ai déjà donné ici mon point de vue concernant ces avancées technologiques. Pour moi elles n'en sont pas vraiment, aucune, même pas les pédales automatiques ou les vitesses indexées. Au mieux ce sont des avancées de confort d'usage mais qui ne changent rien au principe mécanique cycliste. Ni même le freinage sur disque, car à y bien regarder ce n'est pas autre chose qu'un freinage sur jante d'une autre manière. Le disque est une autre roue plus petite au centre de la principale et des patins freinent sur cette roue déportée comme les patins freinent sur la roue principale, c'est exactement le même principe rénové dirons-nous. Mais j'ai plus montré ce film car m'étant régalé à le voir, et que les plaisirs étant plus grands quand partagés, j'ai pensé que ça ferait plaisir. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Les apparences montrent un cyclisme simple, décomplexé non soumis aux calculs d'épiciers pour quelques points UCI. Des attaquants nés, les attaques de De Vlaeminck ou de Merckx dans le final, tout à droite plateau énorme. Vitesses au cadre, pas besoin d'électrique aux cocottes pour démarrer comme un champion. La même selle pour tous ou presque, personne ne se plaint. Pas de casque mais des casquettes, personne ne se plaint non plus. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
En effet l'ambiance des cafés, les visages de romans, les vêtements, la façon de parler, ça sent bon les années 70, voir les gens de si bonne humeur un ou plusieurs verres de vin, de bière ou d'alcools divers est du petit lait pour moi. Je retrouve les ambiances qui m'ont fait aimer ce sport, populaires, simples, fraternelles. Si loin maintenant des ambiances actuelles, moins par le temps écoulé que par les moeurs changées. Je retiens une simplicité de vivre qui manque cruellement de nos jours. Je retiens un cyclisme professionnel qui encore arborait des publicités pour des marques de vin, de guidoline ou de fromage. Je retiens des vélos magnifiques (je suis en train de m'en monter un de 1978 tout Campagnolo nuovo record que je n'échangerais pas contre 10 Spécialized ou Pinarello actuels). Les douches d'arrivée sont magnifiques, dans leur architecture, dans leur symbolique, dans leur usage. Les coureurs fatigués faisant la toilette avec un savon dur, nus devant tout le monde, presse compris. La grève aussi me plait, "Amaury pourri", de la poésie à mes oreilles, des faciès de romans de gare, des pneus crevés, des motards qui glissent sur les tracts de papier, les tapes sur les épaules des coureurs de la part des grévistes. C'était la France de Giscard, critiquable à maints égards, mais une autre époque, et ici formidablement retransmise. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
De rien, comme j'ai pris un grand plaisir à le visionner j'ai pensé qu'il pourrait en être de même pour d'autres. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Oui j'ai gagné la course de mon quartier et le prix était un pc et un clavier avec interligne ;-) Quant au film c'est la France, l'époque et le cyclisme que j'aime. -
Paris-Roubaix 1976
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Imanol ALCANTARA dans Discussions Route
Ce qui m'a beaucoup plu, mais je reconnais que ça ne peut être que personnel c'est que ce soit plus un film cinéma qu'autre chose. De la prise de vue, avec du film 16mm (ça pourrait être du 35mm mais ce n'est pas dit car le matériel devient imposant mais je vais me renseigner), le son d'ambiance, le montage du film, tout me séduit dans ce film. Je ne savais pas De Vlaeminck d'apparence si belle et à la fois si timide, et Merckx si... fin. Les vélos sont pour moi magnifiques (les plus beaux vélos étant pour moi ceux des années 70, allez jusqu'à 1982) et on se rend compte de la vitesse de la course, je n'ai pas les moyennes, mais ils ne se trainent pas malgré leurs vélos que beaucoup considèrent aujourd'hui incapables de bon rendement, tu parles. Comme je disais et sans polémique ou alors à peine et car l'évidence saute aux yeux plus que sur les pavés: pas de casques et pas de problème à signaler. Je vais tenter de récupérer une très bonne copie de ce film pour me la projeter sur l'écran que j'ai chez moi. -
Je ne sais pas si vous connaissiez ce film, je pense que oui mais je mets le lien au cas où. 1976, une équipe ciné allemande suit et filme les préparatifs de cette édition de Paris-Roubaix. Pas de caméra TV ici mais de la bobine 16mm et caméras de cinéma. Caméra sur épaule style neutre et respectueux à la Depardon. Tout ce que personnellement j'aime dans le vélo. Les vélos d'abord, je ne dis rien car les mots me manquent. Les coureurs ensuite, la beauté magique de De Vlaeminck, le physique de Merckx, Maertens clone de Depardieu... Les à-côtés, l'ambiance, les cafés, l'alcool.. Note: Pas de casques Pas de boyaux de 40 Pas de vélos carbone et jantes hautes et les vitesses sont remarquables Personne ici avec nos vélos actuels aurait tenu 500m dans la roue du plus mauvais ce jour-là et son vélo acier. Le film:
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Mon vélo Gios Torino vintage
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Emile ARBES dans Discussions Route
Roger De Vlaeminck ce n'était pas ce modèle de Gios, en 1986 il n'était plus coureur. De Vlaeminck c'était la beauté du diable, une gueule d'acteur, d'ailleurs il a eu des femmes très belles dans sa vie. Très belle restauration que ce Gios mais je préfère celui du Gitan, c'est à dire de 1976. -
Ça vous choque ou pas?
Imanol ALCANTARA a répondu à un(e) sujet de Bernard LEROUX dans Discussions Route
"on a le droit de se cultiver, non?" Heureusement le Conseil Constitutionnel a censuré cette disposition instaurant ce délit, non sans bataille de la part des professionnels du droit.