Bernard VAILLANT1639476554

Faux, absolument faux, totalement faux. Délirant. Rien ne saurait être bâti de durable avec des méthodes aussi perverses que celles qui sont dans ton esprit et seulement dans ton esprit. Le principe fondamental du marketing est bien plus positif ! On part des besoins et on cherche à y répondre ! La manipulation mentale est extrêmement marginale et, encore une fois, ne permettrait pas de perdurer sur le long terme. Je crains, ceci dit avec beaucoup de gentillesse -c'est une constante chez moi vis à vis des personnes malades- que tu mérites des soins.

C'est pas tout à fait ce que je veux dire. Il s'agit de faire émerger, petit à petit, un genre de droit suprême aux plus faibles ... en s'imposant. J'ai depuis longtemps constaté, à vélo, et ailleurs, que tu es bien plus en sécurité en t'imposant qu'en rasant le bord de la route. Faut pas être honteux de faire du vélo ... mais s'imposer comme à part entière de droit sur la route.

Eh bien mon grand, pour un nouveau Pascal, te voilà bien basique ... à dire bien des évidences de comptoir !

Ce qui montre bien qu'il y a des choses à changer dans les règles et les mentalités. Tes amis ne sont pas des cons. Ils sont juste en avance. Je vais illustrer par un exemple qui n'a rien à voir avec le vélo mais qui montre que, parfois, un autre angle de vue permet de solutionner bien des choses. Copropriétaire, à une époque, l'Assemblée des copropriétaires proteste contre le fait qu'une pelouse face à l'immeuble est systématiquement abimée par le passage des résidents. C'est pas beau, n'est ce pas, et c'est à qui de s'insurger contre le manque de discipline élémentaire des résidents. La première année je suggère qu'on officialise en quelque sorte le dit passage en en créant un véritable. On me rit au nez. L'année suivante, re belote ... . Je suggère à nouveau la même chose. C'est adopté ... et miracle ... plus de problème. C'est pareil avec les cyclistes : changeons et faisons changer les points de vue ! Ce sont tes amis, intelligents, c'est toi qui le dis, qui ont raison. Regardons les choses sous un autre angle !

C'est moi, c'était moi ... sans regret ... c'est comme ça qu'un cycliste urbain doit être ... dans le jeu !

Moi ... je suis ... j'étais des deux catégories. Cycliste urbain et cycliste de loisir. Juste un changement de vélo ! Et je ne me suis jamais considéré comme un "faux cycliste". J'étais un cycliste urbain libre qui souhaitait, qui souhaite toujours, les droits les plus larges aux cyclistes afin qu'ils pratiquent de manière ludique ; ce qui serait profitable pour l'environnement. C'est aux automobilistes de comprendre ... .

Il y a, naturellement, une part de destin .... une part de tempérament aussi. En ville en vélo taf ... je roulais très "libre", vite, sans respect absolu du code ... et, donc, j'étais tendu et vigilant en permanence ... j'anticipais. Impossible de faire des années de vélo urbain de la manière dont je le pratiquais sans anticipation. En milieu rural, en voiture d'une manière générale, c'est en voiture que j'anticipe en permanence. A vélo c'est plutôt "nez en l'air", "cheveux au vent", "rêveries vagabondes" ... d'où d'ailleurs ma peur désormais. Je sais que je suis une victime potentielle à vélo et également de mon fait, du fait de mon tempérament. Je pratique la marche qui a l'avantage du libre cours de mon tempérament avec un plus ... la méditation (impossible à vélo mais très pratique à pied !)

Perso je ne partage pas ce point de vue sur la plus grande dangerosité des grandes villes par rapport aux villes moyennes. Lille, où j'ai beaucoup roulé, me parait moins dangereuse que la campagne dense en bourgs qui font que les départementales sont très fréquentées. Paris aussi. J'ai fait maintes fois la route à vélo entre Saint Germain en Laye et Paris. Très urbanisé par Chatou ... Nanterre ... . Bouché en permanence ... le risque était pour mes poumons !

Tu es sévère ... c'est une discussion normale avec des phénomènes ... notamment l'"intellectuel" de caniveau ... . C'est plutôt drôle !

Je te remercie. Il y a une part d'humour ... ou plutôt ... je sais pas comment dire ... peut-être d'un humour qui renvoie à ces chères études notre nouveau "Pascal". Quant à mon fils je t'en dis un mot en MP.

C'est pas la peine de partir sur des délires avec un couillon décédé du nom de Pascal (au dessus) pour sortir des évidences. A part que tu présentes ça comme un "complot" mondial des fabricants de gadgets -ce qui est une abyssale connerie- ... il est tout à fait évident que la peur augmente les risques d'accidents ... et bien d'autres choses ... comme les cambriolages pour ceux qui en ont peur. Pour ma part, et je l'ai dit maintes fois : pas de casque ! Désolé de personnaliser mais mon père a pédalé -beaucoup- jusqu'à 90 ans, sans casque ; j'ai fait 50 ans de vélo ... sans casque. Par contre ... pas besoin non plus de pub en forme de complot -si on en croit ta parano- pour savoir que la nuit il faut être visible ... et c'est ce que j'ai toujours fait ... faits divers ou pas faits divers. Je n'ai pas besoin non plus de faits divers, mon ressenti suffit, pour savoir que j'ai peur désormais à vélo, en Bretagne et dans mon coin. Je suis moins souple ; moins habile ; je me retourne plus difficilement ; mes réflexes ne sont plus ceux de mes 20 ans ... on me frôle ... il arrive que le soleil aveugle les automobilistes, comme il m'aveugle ... et désormais ... je préfère m'abstenir ... aimant la vie et les beaux paysages inaccessibles à vélo comme le GR34. Les plaisirs sont multiples. Je n'ai besoin de personne et pas plus de couillons "analysateurs" pseudo intellectuel, complet archaïque à la coco et parano définitif ! PS : mon chien, qui a beaucoup lu Pascal, n'a peur de rien. Parfois, sur les falaises, je me dis ... nom d'un os, il va se casser la figue ... et bien jamais ... sans casque mais grâce à sa lecture approfondie du vieux claqué précité.

Le clou, absolu, indépassable, où je n'ai pas ri autant depuis longtemps, c'est quand notre immense génie littéraire (que Victor Hugo se tienne bien) reproche au témoignage de ce sportif accidenté de ne pas atteindre le niveau des Pensées de Pascal ! C'est un sommet. On met ça dans un spectacle humoristique je crois bien que, là, les gens ne rient pas, se disant : "vraiment c'est trop gros" !

Non. Ça n'a rien à voir avec du racisme. Ça serait plutôt comme si tu traitais quelqu'un d'"épicier", ou, de "boucher". Dire de quelqu'un que c'est un "nain" n'est pas faire insulte à quelqu'un de petite taille mais faire référence à des comportements que tu considères comme "petits". A ce titre une personne de petite taille peut être un "géant". Où alors c'est très simple : on ne peut plus rien dire ! Dire de tel dictateur que c'est un "boucher" deviendrait impossible.

C'est pas du tout ce que veut dire notre immense (je dis pas de quoi) ! Ça me fait penser à Orsenna. A un journaliste qui lui disait que certains considéraient l'écriture de d'Ormesson comme simple, peut-être simpliste, parfois, il a répondu : "ce sont des pisse-froids". On peut aussi "charabier" et être un pisse-froid !

Taratata ... merci d'éviter les leçons. Elles me poussent, d'où qu'elles viennent et dès mat sup (maternelle supérieure) ... elles m'ont poussé à la révolte. Ça va bien. à la retraite un peu de paix ! Figure toi que, maintenant, je n'aurais même plus envie de maculer le dos de la blouse blanche d'un quelconque rabâcheur de SVT d'encre de mon stylo à plume bien qu'on ne puisse pas en faire une utilisation plus utile et je crois bien que, désormais, j'irais pisser dans les chiottes plutôt que dans le seau à éponges de tableau noir. Bon sur ce ... j'ai pas que ça à faire ... à ce soir !

Le forum me permet de discourir de manière légère ... pas d'intellectualiser. Quant aux questions, précises, que je pose, ici, il n'y a pas de réponses et Jack London ... intelligent, n'en donne pas -il serait le roi des cons !-. Mais à l'instar de Jack London ... l'article, à un niveau moindre ... bien sûr ... interpelle.

Tu fais vraiment une fixation ... sur un genre de manipulation, mondialement organisée, peut-être par Lucifer ? sur la consommation de tout et n'importe quoi ! Les gens ... n'ont pas de couteau sous la gorge ! Ils achètent ce qu'ils veulent bien acheter et pour ma part je suis indifférent à toute publicité. Je ne les vois même pas.

Je me pose souvent la question de la grande souffrance animale, biologique et celles des hommes, c'est la même, qui n'ont pas à leur disposition une pharmacopée de répit. Y a t il des mécanismes biologiques, voire également spirituels, qui la limitent cette souffrance ? Cet article semble y répondre en partie. Quand il dit que malgré la violence du choc, sur le moment, il met son cerveau en mode "off" et qu'il ne souffre pas. Encore, naturellement, faut il en avoir un, comme par exemple le chimpanzé, plus évolué que mon instituteur de 12éme. Ça aussi c'est un témoignage qui se rapproche des constats qu'on peut faire lors de la mort de proches ou d'amis. Je n'ai, personnellement, jamais vu de masques de souffrance, après la mort, quelque soit la souffrance qui y a conduit. Y a t il un mécanisme, biologique, ou spirituel, qui console à la mort ... qui l'appelle ...et ces mécanismes bénéficient ils aux animaux ? Accessoirement peut-on exercer ces mécanismes de notre vivant. Jack London a écrit un remarquable roman (insupportable à lire tellement c'est dur mais mis au concours d’élèves officiers il y a quelques années) : "le passager des étoiles" ... où malgré d'indicibles souffrances le narrateur arriv eà s'évader vers les ... étoiles.

En tout cas ... ce qui est sûr ... c'est qu'il est moins enquiquinant à lire que toi ! Mais c'est pas difficile ... le sens de la vie ... pour toi ... semble être de faire du pseudo intellectualisme et, peut-être, de "défendre", hypocritement, les pas bons du tout en système économique. Ce qui, on l'avouera, nous donnerait une belle société de progrès ! Le témoignage semble toucher à autre chose qu'une vie limitée, donc, au pseudo intellectualisme et au terre à terre. Quelque chose m'a frappé, tout en nuances, dans ce témoignage, c'est un genre d'approche d'une certaine spiritualité très éloignée du "sens de la vie" d'un mec préoccupé, hypocritement, des petits salaires et qui semble penser que le "sens de la vie" s'apprend par l'étude ! Autrement dit ... jadis ... un couillon en blouse grise aurait pu m'apprendre le sens de la vie ! Ben ... je préfère le curé ! Ça n'est pas la première fois que j'entends quelqu'un sortir d'une très grande approche de la mort dire ... que ça lui est égal ... qu'il a envie de partir.

Un bémol quand même : dans l'alpinisme ... et autres ... tu recherches l'adrénaline du risque. Pas dans le vélo a priori ! Après, évidemment, naître c'est prendre le risque de mourir.

Je suis content d'avoir partagé ce texte qui, moi aussi, m'a beaucoup ému. Qui plus est c'est très bien exprimé. Très sensible. Intelligent. Ce qui montre une fois de plus que le sport de haut niveau, et ce qui gravite autour, est loin d'être le monde d'imbéciles que certains voudraient voir. Pour ma part : désormais j'ai peur. En Bretagne et dans mon coin. Je suis certain que ça n'aurait pas été le cas à Lille et (globalement) en Heuveland. Lille, dense, dense en circulation, faisait, à tort ou à raison, que je m'y trouvais en sécurité. Puis gagnant la Belgique par de très petites routes de campagne (par exemple entre Marcq en Baroeul et Comines) ... peu de voitures. En Belgique, outre la culture du vélo (même des automobilistes) et les très petites routes ... pas de problèmes. Ici, si on peut certes gagner des petites routes je trouve, outre qu'elles rendent difficiles des parcours cohérents, que pour y arriver on doit prendre des routes départementales trop fréquentées (à mon goût). Préférant donc la vie au vélo ... je marche dans des paysages d'ailleurs inaccessibles à vélo. Les réactions de tous me font plaisir et je suggère que chacun, tombant ainsi sur des sujets d'intérêt général, en fasse profiter le forum ... ce qui le fait vivre.

J'ai répondu, comme j'ai pu, imparfaitement. Tout n'est pas pertinent selon moi. Par exemple le coût éventuel ... 17 euros/mois pour le minimum (de mémoire). J'ai pas répondu : je ne paierais pas 17 euros/ mois pour le gardiennage d'un vélo a fortiori de ville. Mon vélo de ville a coûté 320 euros. Il a beaucoup été utilisé ... à la limite ... piqué ... j'en aurais racheté un autre et basta !

C'est ça : c'est avant tout sa façon d'être que je n'aimais pas.

sarko ... c'est parce que je le détestais (en tant que président, maintenant je m'en fiche) ... c'est pas pareil !

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