Bernard VAILLANT1639476554

Attention quand même. J'ai su féliciter le site pour cette rubrique mais je trouve là un genre de limite et je m'adresse avant tout au rédacteur. Son approche dithyrambique du personnage en tant que financier m'ennuie. Il aurait dû se concentrer uniquement sur l'aspect "sportif". Le lieu n'est pas au développement, ce qui pourrait gêner le site mais en ma qualité de Breton d'adoption, de connaisseur du monde mutualiste, je dirai simplement que le personnage est très controversé (ça n'a rien à voir avec l'engagement de l'entreprise dans le cyclisme et c'est pour ça qu'on aurait dû éviter "finance et business"). "Cherchez et vous trouverez" ... Google est là pour ça.

Ça s’appelle somatiser. Dans le fond ça rejoint mes "théories" sur l'efficacité de la croyance là en négatif. Un jour j'avais de gros soucis professionnels. Lumbago. Le toubib m'a dit : "pas étonnant vous en avez plein le dos, comme on dit".

Plus sérieusement je crois qu'il y a beaucoup de lien entre ces désagréments et ce qui se passe dans nos caboches. "Se faire de la bile" etc ... . Je suis convaincu que l'"aigreur" mentale rejaillit sur l'aigreur stomacale.

Aucun. Mais c'est niveau du bide quand même ! J'ai quand même pris du gaviscon.

Témoignage. J'étais jeudi en Provence. Je vais à Le Castelet. J'achète pour cadeau, boutique pour touristes, un pastis artisanal. C'est exceptionnel je le bois avec mon fils. 25 cl à 2. C'est beaucoup. Je vais au resto. Brasserie (dégueu). Eperlans frits. Entrecôte. Côte de Provence. Nuit. Je dors bien. Le matin : incroyables troubles. Pas possible d'être debout. Avion à prendre. Médecin. Indigestion. Citrate de betaine (Beta i ne). Ça va mieux mais comment est-il possible d'être autant malade pour juste avoir bouffé et un peu picolé ? La faute au gouvernement ?

Je suis merckxiste ! C'est lui qui m'a vraiment fait aimer le vélo. Mais j'avoue mon émotion ce matin en voiture entendant la nouvelle. "Tu vas pas chialer" m'a dit mon épouse. Elle a vu mon émotion. "Tu sais c'est un peu moi, comme toutes les personnes de ma génération, qui part" ai-je répondu.

L'humour et le désespoir sont frères. Je comprends qu'on puisse dire ce qui peut sembler à certains indigne, horrible. C'est une façon de pouvoir le supporter (même si je ne sais pas si ça était exprimé dans ce cadre).

Comme chacun je suis triste du départ de Poulidor. C'est un bel âge et il aura vécu 32 ans de plus qu'Anquetil. Je me souviens des discussions acharnées, en récréation, avec mes deux meilleurs amis (et qui le sont restés, l'un étant mort). J'étais anquetiliste. Je suis désormais poulidoriste.

L'humour belge est, souvent, surréaliste. C'est pas pour rien qu'ils ont inventé Magritte. Et, à titre personnel, je le trouve souvent désespéré. Ce sont les marques d'un humour de grande qualité.

Quel beau parcours ! Bravo à lui. Et à l'article. Bel image d'un entrepreneur qui, porté par sa passion, réussit en créant de la valeur autour de lui. Comme quoi "vouloir c'est pouvoir" !

Merci.

J'ai lu la presse papier pendant toute ma vie professionnelle. J'achetais le journal spécialisé "sport" chaque matin. Je le lisais soit pendant le transport (Paris), soit avant d'aller bosser avec un café. Du jour au lendemain j'ai cessé. Je me rends parfaitement compte que j'ai perdu beaucoup de la culture "sport". En même temps c'est de la faute de ce journal. Il y avait là des journalistes qui savaient écrire. Ils ont disparu progressivement. Le sport était l'opportunité de rendre compte d'aventures humaines et d'épopées. Ah ! Pierre Chany ! C'est devenu "glacial".

C'est pas faux. Une autocritique de Julien Jurdie aurait été possible et également de nature à orienter vers le progrès.

Jalabert. Le style rédactionnel n'est pas le même Je le trouve légèrement ampoulé. S'agirait il d'une réincarnation de Michel Crépel ? (passionné mais quand il était lancé on ne pouvait pas l'"arrêter").

J'aimerais bien m'exprimer en flamand comme tu le fais en français !

Le Tour devrait être plus animé. Et, pour les spectateurs, je trouve les CLM soporifiques comme les longues étapes de plat. Par contre l'idée d'étapes "dantesques" en montagne : ça me plait.

C'est Pinot (gris) qui va gagner.

Excellent !

Certains petits esprits diront que je "léchouille". Mais pas du tout, c'est pas mon style. Mon "style" est à la valorisation de la réussite et de l'excellence. C'est une marque de fabrique qu'on retrouve, parfois, dans des thèmes qui touchent à l'éducation (avec parfois un soupçon de moquerie). Faire réussir, encourager, voir où est l'excellence est un leitmotiv et devrait être le leitmotiv de tous les éducateurs, entre autres en sport. Je voudrais donc signaler l'impact très positif que peut avoir un article comme celui qui nous présente ici Valentin Madouas. Ça ne peut que lui donner l'envie, la motivation, de continuer pour réussir. Et, tant qu'à faire, intrigué par la qualité rédactionnelle de l'article, je me suis amusé à tenter de connaître (très succinctement !) qui était l'auteur : Jean-Guillaume Langrognet. Si je ne me suis pas trompé, vu sa formation, je ne suis étonné de rien. Vive la jeunesse et le talent.

En voilà donc un, Patrick Lefevere, qui "fait le cyclisme". Ce que je n'arrive pas à comprendre c'est pourquoi on ne regarde pas ce qu'il fait pour faire ... la même chose ! A moins qu'il ait un secret. Peut-être aussi faut-il regarder du côté des sponsors. Ont ils des exigences particulières ? Cela a t il un impact ?

Il y a plusieurs faits déclencheurs. Mon père était un "grand" cycliste. Véritable cyclotouriste il s'échappait régulièrement pour visiter telle ou telle région de France. Il m'a initié au voyage. Un peu plus jeune j'allais régulièrement chez un cousin en Flandre Occidentale Belge, à vélo (25 km). Il organisait avec ses petits copains Flamands des courses autour du village. Je ne comprenais pas grand chose bien que je sois arrivé à me faire comprendre d'une jolie fille d' un village près d'Ypres, premier flirt qui m'a fait oublier un peu le vélo. Premier voyage seul de Lille à Trêves à moins de 16 ans. J'ai été bouleversé là d'entendre en direct la mort de Simpson (je voyageais avec un "transistor" !). Gros problème d'argent, plus un sou au milieu des Ardennes. Trop long de rentrer à Lille directement. Arrêt à Bruxelles chez la grand-mère de mon célèbre ami qui, lui, était en Espagne. Je jure que le GPS est peu utile lorsqu'on a faim. On trouve ! Ajoutons la passion médiatique à suivre les courses de l'époque que je voyais comme très "romantiques" et d'"épopées". Je n'ai jamais cessé de pédaler. Pendant 13 ans à Paris uniquement en urbain. A Dijon uniquement VTT. Retour à Lille, route. Bretagne, route mais j'ai cessé. Les routes, je trouve, y sont incroyablement dangereuses et je trouve magique le bord de la mer, inaccessible en VTT -bien que certains l'oublient au risque d'abimer le GR34-.

Histoire et parcours personnel de personnes qui font vivre le vélo actuellement. C'est ça l'idée de la rubrique.

C'est pas ça ! L'idée est de rendre hommage à ceux qui font avancer le vélo !

Au minimum post très positif question éclairage sur le site !

Bien sûr et qui aurait dû être de l'initiative de chacun. J'ai vu son nom à Yad Vashem. Mais je crois que la rubrique est au présent !