Frédéric LARBAUD

Unilatérale droite. J'ai eu des semelles de compensation à ma reprise du vélo en 2016 suite à un syndrome rotulien gauche qui m'a pourri 2015. La correction est parfaite à gauche et me permet de retravailler la jambe bien en ligne, mais à droite je pense qu'il y a une compensation excessive (côté interne du pied, sous la voûte plantaire) qui entraîne une bascule externe du pied et qui est peut-être aussi à l'origine du problème. De toute façon mon psoas était trop rétracté et mon réglage de cale mauvais (talon écarté au lieu de rentrer, sans doute pour compenser le manque d'amplitude du psoas...) Bref à force d'y réfléchir je me dis que c'était une blessure "programmée". J'ai roulé pendant 5 ans avec une position beaucoup trop basse (765 mm pour un EJ de 91, actuellement 775 mm...) et depuis que je tente de relever ma position je dois régler l'un après l'autre des problèmes et des facteurs limitants parfois très anciens et liés à ma pratique sportive antérieure au vélo.

Pour ceux que la discussion a intéressé, j'ai enfin eu les résultats de l'échographie : tendinopathie de l'insertion basse du psoas iliaque. L'opérateur de l'écho qui voit beaucoup de sportifs et à qui j'ai décrit l'origine de mes problèmes m'a dit que c'était le genre d'atteinte qui pouvait s'expliquer par une compensation suite à une mauvaise position du bassin. A priori la position du pied sur la pédale est en cause : le réglage des cales, origine de tant de bobos... J'ai commencé la kiné il y a 10 jours mais apparemment ça peut prendre du temps.

Je réside en Vaucluse mais suis né en Picardie (où on cultive plus la betterave que les pavés, mais bon) Il y a un axe Nord-Sud dans cette équipe !

Bienvenue à toi 🆒 L'équipe est solide, et motivée !

Salut à tous, J'ai du retard à l'allumage cette année, pas vu ce topic, pas vu le MP de Didier... bref, il va falloir se remettre dans le rythme pour être affûté quand les choses sérieuses vont commencer ! Je suis partant pour une nouvelle année dans le bus survolté de la Ch'ti Whippet si mes ch'tis coéquipiers de l'Ardèche, de la Drôme et de la Côte d'Or veulent encore de moi. J'ai eu une proposition de reconduction de mon contrat par le DS, une aubaine après une première année de néo-pro toujours difficile à négocier dans le peloton des cadors !

Donc si je comprend bien, dans ton cas, c'est un blocage mécanique des sacro iliaques lié à une contracture au psoa? Oui c'est bien ça. Je te le dis parce que c'est l'articulation concernée par ton message et que pour ma part je ne savais absolument pas qu'une contracture du psoas (liée à ma pratique cycliste) pouvait avoir ce genre de conséquence. Donc pas d'inflammation a priori au niveau de l'articulation ? A priori non, il n'y avait juste plus de mobilité (mais depuis que je suis débloqué c'est bon) Dans mon cas, je souffre depuis septembre de lombalgies basses et douleurs sciatiques et assimilées. C'est arrivé après une période plutôt intensive de cyclisme. On me traite pour une hernie discale l5-s1 et on me suspecte depuis peu une sacro ilite. Je suis désolé de ne pas pouvoir t'aider sur ce point... En attendant les témoignages de personnes concernées et dans le cas où ton encadrement médical ne serait pas en mesure de se prononcer sur le lien éventuel avec le vélo, tu peux peut-être consulter un médecin du sport connaissant un minimum le cyclisme et ses pratiquants histoire de voir si ça peut être lié ?

Salut, Seul un médecin (il y en a sur le forum) pourrait te répondre, mais bon, tout me paraît possible si tu pars du principe que tes jambes sont fixées sur ton bassin :) Pour info (c'est tout frais puisque je suis passé chez mon ostéo la semaine dernière) j'ai souffert d'un blocage du sacrum suite à une contracture du psoas droit en fin d'année = plus de mobilité au niveau des 2 articulations sacro-iliaques. Dans mon cas la position sur le vélo et des déséquilibres musculaires sont en cause.

Equipe complète, mais peut-être un peu légère sur les classiques Ce qui est un handicap majeur sur les secteurs pavés 😃 Sinon, l'objectif majeur de Warren Barguil sera les Ardennaises. Ensuite le TdF et probablement la Vuelta, pour les étapes. Une saison 2017 réussie de cet acabit lui permettrait de prendre encore de la caisse en vue de jouer les CG en 2018-2019. Etant donné sa précocité et ses capacités de récup sur les courses par étapes, ça promet !

Un grand merci Adrien pour tous tes conseils. Je ne sais plus qui te le disait récemment sur ce forum, mais tu pourrais carrément ouvrir un blog 😉 Pour ce qui est des points 2, 3, 5 et 7 (étirements, renforcement chaînes postérieures, respiration ventrale et hydratation) j'y travaillais déjà avant le déclenchement du problème... Je n'ai en revanche jamais réfléchi à ma posture de travail, il va falloir que j'observe ça... Pour les auto-massages, c'est plus compliqué. J'ai tenté il y a quelques jours, bien détendu (ou à peu près) en localisant bien le point raide dans la fosse iliaque. Résultat étonnant, puisqu'après 2 minutes de compression, le point a disparu et j'ai vraiment senti une détente en profondeur. Seulement 2 heures plus tard, en plein milieu de la nuit, recontraction brutale avec douleurs terribles dans les lombaires. Je vais retenter, peut-être que le muscle sera plus tolérant.

Merci Laurent. Je vais essayer ton exercice, j'ai aussi récupéré 2-3 postures d'étirement et de yoga pas trop risquées pour détendre toutes les structures tout autour, jambes, cuisses, dos, bassin. La chaleur fait du bien aussi, temporairement. Mais les nuits sont difficiles... Pour l'anecdote, c'est justement depuis que j'essaie d'ouvrir davantage l'angle tronc/cuisse, en remontant ma selle, que j'ai ce type de problème. Dans mon cas (selle trop basse depuis mes premières années de vélo) je pense que les psoas sont tout simplement trop courts et trop faibles pour pouvoir travailler de manière répétée sur une plus grande amplitude. A vérifier avec un kiné à mon retour de congé mais ça risque de me demander un travail préalable de renforcement / assouplissement avant de pouvoir continuer à augmenter la hauteur de selle.

Question de stratégie sans doute, mais aussi d'identité et de sponsoring. La fibre d'AG2R c'est la montagne, avec une réserve (le Chambéry Cyclisme Formation) qui est une vraie pépite en la matière. Il ne me paraît pas anormal que la structure (probablement en lien étroit avec le sponsor-titre) cultive cette image d'une équipe de grimpeurs et axe sa stratégie autour de celui (Bardet) qui ramène le plus de points WT et entraîne le plus de retombées médiatiques. D'autres (Cofidis, Direct Energie) font le calcul que tu indiques autour d'un sprinteur, avec plus ou moins de bonheur, mais c'est un calcul dont l'objectif est le même (engranger des points WT). Or (pour reprendre ta critique) organiser un train comme celui de Bouhanni pour gagner en WorldTour, c'est extrêmement coûteux en effectifs. Cofidis a un sprinteur de classe internationale et construit sa stratégie autour de lui. Que fait-elle sur les flandriennes ? Sénéchal qui se sort les tripes pour faire un top20 à Roubaix c'est la belle histoire du printemps, mais il était bien seul à s'accrocher, comme Navarro dans la montagne au Tour. On voit aussi combien il est difficile pour les équipes qui essaient de jouer sur les 2 tableaux d'y parvenir, comme par exemple la FDJ avec Démare et Pinot. Le premier s'est plaint de ne pas bénéficier d'un vrai train au Tour, et le second n'a pas toujours la régularité qui lui permettrait de justifier une équipe entièrement construite autour de lui (même s'il en a assurément le talent). Ca ne doit pas être facile à gérer tous les jours pour le management, alors que dans des équipes plus spécialisées, avec une stratégie claire et affichées, c'est peut-être un peu plus simple : "tout pour untel". Bref, je ne vois pas pourquoi il serait irresponsable pour AG2R de construire une équipe autour d'un grimpeur de classe internationale comme Bardet, quand d'autres construisent leur collectif autour d'un grand sprinteur. 70% d'arrivées au sprint sans doute, mais 100% d'attention sur le Tour de France aussi, et on ne pourra pas dire que Bardet fait partie des Français qui y auront le moins brillé depuis 4 ans. Quant à savoir si ce sera l'unique podium de Bardet sur le TdF, l'avenir le dira, mais force est de constater qu'à l'issue de la saison et grâce à sa régularité sur tous les grands rendez-vous (et je dis bien tous) il est 6ème du classement WT, et 4ème si l'on ne tient compte que des grimpeurs en capacité de jouer le général sur les Grands Tours (Froome, Quintana, Valverde). Coquard a gagné beaucoup plus, mais il est 18ème du même classement (sans jugement de valeur de ma part, je mets tous ces coureurs - Démare, Pinot, Bardet, Coquard, Bouhanni, Alaphilippe - quasiment au même plan : pour moi, ils n'ont pas encore vraiment commencé à gagner, hormis les sprinteurs, mais quand ils vont arriver à maturité, ça va faire mal, y compris sur les classiques WorldTour).

Je découvre l'existence de mon psoas et c'est un peu désagréable. A l'origine, problème d'orientation de cale je pense, du coup j'ai forcé quelques sorties avec un pied trop tourné vers l'intérieur, et une tension/douleur croissante à l'insertion des adducteurs et sous la voûte plantaire. J'ai vu mon ostéopathe habituelle, qui m'a détendu tout ça, en m'indiquant que c'était mon psoas qui grognait et qu'il fallait lui donner un peu plus d'amplitude en l'étirant. Elle m'a donné le feu vert pour le vélo sous condition d'une révision de mes réglages. Et là, après quelques tours de roue sur HT, rebelote, en plus contracté encore : douleurs dans les lombaires, adducteur, projetées jusqu'au genou et à l'omoplate... et réveils fréquents la nuit, quasiment à chaque changement de position, depuis 3-4 jours. A l'étirement léger, je gagne un peu de relâchement et d'amplitude, mais le muscle ne met pas longtemps à se rétracter, comme l'escargot dans sa coquille... Bon, j'ai dû lui en faire baver : 10 ans de foot, 5 ans de vélo, jamais un étirement. Donc j'ai bien compris que ça ne servait à rien d'étirer pour le moment, mais je me demande comment relâcher le muscle petit à petit, sachant que je vais être loin de chez moi pendant 2 semaines et que, fêtes obligent, ça ne va pas être simple de consulter médecin du sport, kiné et compagnie... La respiration ventrale a l'air de me réussir, une bonne hydratation aussi, le repos évidemment, mais pour le reste, c'est l'inconnue. Pour ceux qui sont passés par là, existe-t-il des techniques simples et inoffensives qui permettent de relâcher un muscle contracturé sans l'agresser (donc sans l'étirer dans un premier temps) ?

Je ne le connaissais pas personnellement mais lisais régulièrement ses billets consacrés à l'histoire du cyclisme... toutes mes condoléances à ses proches.

J'ai bien lu l'article, merci... Quand on entreprend ce genre de démarche (encore une fois, prématurée s'il est encore sous contrat, et vaine s'il en attend une quelconque réparation) on s'expose à toutes sortes d'interprétations et de jugements de la part de quidams comme toi, moi ou d'autres ici. Et encore une fois, nous n'avons que sa vision des choses, nous ne pouvons pas savoir ce qui s'est réellement passé. Sans compter que, dans le monde professionnel comme ailleurs, il est très facile de ne pas se comprendre entre humains (le texte, le sous-texte, le hors texte, l'ambition, les attentes... qu'y a-t-il eu réellement comme promesses, et qu'est-ce qui a été compris comme une promesse, ou un engagement ?) Bref, tout ce que je perçois en lisant cet interview, c'est l'immense désillusion du principal intéressé, qui expose les choses avec beaucoup d'amertume. "Ils m'ont dégoûté du vélo", qu'est-ce que ça veut dire ? AG2R l'a dégoûté du monde professionnel, sans doute ; et quand on est un professionnel chevronné comme il l'est, avec l'expérience qu'il a, je répète que ça m'étonne. Je n'ai rien contre le coureur, que je ne connais pas personnellement, et sa deuxième place à Roubaix était une vraie belle performance. Mais je trouve que, dans son interview, il n'y a pas une once de remise en question (or c'est cela aussi, le professionnalisme, quel que soit le domaine dans lequel on travaille). Pour le reste, je te laisse commenter seul le management de J.-R. Bernaudeau, V. Lavenu et M. Madiot et extrapoler sur leurs choix stratégiques, parce que moi je ne sais pas ce qui se passe dans leurs équipes respectives.

Pour moi, la seule chose que Turgot démontre preuves à l'appui dans cet interview, c'est qu'il n'a pas l'éthique d'un cycliste professionnel dans la maîtrise de sa communication médiatique. Il doit probablement encore être en contrat avec AG2R (jusqu'au 31/12) qui doit stipuler (là encore très probablement) une forme de devoir de réserve vis-à-vis de son employeur. Et même si on était le 01/01/2017, il me semble qu'au nom des valeurs qu'il met en avant dans son discours, une forme de discrétion médiatique de sa part s'imposerait... Sur le fond, il donne surtout l'impression de ne pas assumer ses choix de carrière ("c'est pas de ma faute, c'est celle des autres") ; il rejoint une formation de niveau WT dont l'objectif annuel majeur (public et assumé) est le TdF et s'étonne que le maximum des moyens de la structure soit donné aux grimpeurs. Bon... S'agissant de son licenciement, c'est malheureusement la loi du milieu, et c'est bizarre qu'il ait l'air de la découvrir à cette occasion (Bernaudeau ne doit pas procéder très différemment, et après tout lorsqu'on ne souhaite plus conserver un coureur dans l'effectif il faut bien lui annoncer d'une façon ou d'une autre... Je ne sais plus dans quel bouquin - "Gregario" de Wegelius ? - j'avais lu l'anecdote vraiment sinistre de coureurs licenciés par SMS ou lettre recommandée...) Je ne dis pas qu'il faille cautionner l'insécurité professionnelle et le traitement réservé aux cyclistes pros par les structures qui les emploient (bien au contraire) mais lorsqu'on a de bonnes raisons de s'en plaindre on le fait devant les prud'hommes, et pas dans une interview. Car le problème dans ces cas-là c'est qu'en tant que lecteurs on n'a qu'une partie de la vérité sous les yeux ; donc on se fait son propre récit de ce qui s'est passé (comme je viens de le faire) qui est forcément une version déformée de ce qui s'est vraiment passé. J'espère surtout que Sébastien Turgot parviendra à tourner la page et réussira sa reconversion.

C'est annoncé dans l'Equipe du jour apparemment : Thibaut Pinot participera au Giro. http://www.cyclingnews.com/news/pinot-to-target-the-giro-ditalia-in-2017/

Oui ce serait le meilleur plan pour lui (pour envisager, pourquoi pas, de viser à nouveau le général du Tour en 2018)

Ben non 😉

Oui Didier, cela dit Lavenu avait bien dit que ce serait la décision du coureur et que quelle qu'elle soit le staff et l'équipe suivraient. Bardet le dit lui-même (avec un peu d'orgueil, mais bon c'est ça aussi d'être leader) : courir le Tour en 2017 est une décision de sa part et non une option imposée par son entourage professionnel. Et je ne pense pas qu'il s'agisse (ou pas seulement) d'une forme de storytelling visant à rendre la structure AG2R plus sympathique en la démarquant du "cyclisme business" (cf. l'article de Pierre Carey dans Libé il y a quelques semaines, peut-être moins candide que moi...) En parlant du Giro, j'espère vraiment que Pinot va le courir en 2017, le parcours lui convient vraiment et quand on voit les débuts de saison tonitruants qu'il fait depuis 2 ans, de La Marseillaise à Tirreno, on peut se dire qu'il a tous les atouts de son côté pour remporter son premier Grand Tour (sauf l'équipe, d'après moi, mais c'est une autre histoire...)

Oui, il n'assume pas encore tout à fait le statut d'un vainqueur potentiel de Grand Tour, estimant que c'est encore un peu tôt compte tenu de son niveau de maturité physique et de la concurrence actuelle. Cela dit, après une 2ème place au Tour de France, il y a 2 possibilités : soit admettre qu'on n'a pas encore le niveau suffisant pour être sur la première marche et chercher un nouveau défi pour prendre de la caisse et ne pas décevoir, soit assumer cette place et tenter le défi de faire au moins aussi bien ou mieux, au risque de décevoir et de rompre une dynamique. Donc d'aller sur le Tour pour un podium ou une victoire (en fonction du déroulement de la saison et des circonstances de course) ; ce qui ne sera vraiment pas facile si la FDJ accepte que Pinot fasse le Giro, avec une pression énorme pour le seul Bardet en juillet... Pour moi, cette 2ème place sur le Tour (comme la 3ème de Pinot en 2014) n'est pas usurpée, mais elle arrive peut-être un peu tôt dans le tableau de marche de Bardet. Mais le fait de retourner sur le Tour "quand même" l'année suivante, il faut avoir les c*, et ce n'est pas qu'une question de gros sous. Dernière chose : Bardet dit qu'il envisage toujours de courir le Giro dans les années à venir (2018 ? 2019 ?) mais avec une préparation et une planification qui se feraient bien en amont de l'échéance, afin d'y aller avec des chances à la mesure de ses ambitions.

Oui et non Guillaume, ce qu'il dit dans son interview à l'Equipe c'est qu'après 4 préparations du Tour ces 4 dernières années (avec une place dans le top15, 2 places dans le top10 et une place sur le podium) il est dans des rails et peut même se permettre d'affiner et de potentialiser son approche pour être à 100% de ses moyens. A l'inverse, il n'a aucun repère à l'heure actuelle pour arriver en forme sur un Grand Tour en mai : courses de préparation, stage en altitude, reconnaissance des étapes... Sinon, il va courir encore moins que d'habitude cette année avant le Tour : Méditerranéenne, Abu Dhabi, Paris-Nice, Pays Basque, Liège, Romandie, Dauphiné. Encore une fois, il fait une croix sur les ardennaises. Dans son interview, il dit quelque chose comme : "je suis prêt à assumer un retour sur le Tour après ma 2ème place ; j'y serai au maximum de mes possibilités actuelles, et advienne que pourra". Compte tenu du recrutement d'AG2R cet hiver, je ne peux interpréter une telle déclaration de sa part, à rebours de ce que certains prétendent sur ce post, que comme l'aveu qu'il se prépare à jouer la victoire sur le Tour cet été.

Salut, Beau sujet :) Pour moi cette année : les Alpilles (un peu) le Gard (beaucoup) et le Vaucluse (régulièrement) Et aussi : dans le Var du côté d'Antibes, en Saône-et-Loire (avec toujours beaucoup de plaisir entre Tournus et Mâcon, même si les routes ne rendent rien) la Loire et un petit bout du Puy-de-Dôme, le Lot (entre Figeac et Saint-Circq-Lapopie) et la Corrèze (du côté de Turenne, beau coin et belles routes aussi) et enfin la Loire-Atlantique, du côté de Nantes (je me souvenais pas que c'était aussi plat, surtout Nord-Nantes) Finalement une belle année de balades pour un retour de blessure.

Merci pour vos réponses, du coup je vais attendre que James déballe ses cadeaux 😆

Je remonte le post pour demander une précision aux possesseurs de ce type de veste. Pour la Perfetto de Castelli (anciennement Gabba) les sites marchands indiquent une plage de température d'utilisation allant de 5°C à 12°C voire 4°C à 15°C. Pour la Fiandre No Rain de Sportful, la seule plage que je trouve indiquée est 5°C - 12°C : faut-il en conclure que cette veste est plus chaude que la Perfetto ? peut-elle se porter sans surchauffe un peu au-delà des 12-13°C ? Pour les sorties froides (température constamment < à 5°C) j'ai une thermique qui fait très bien l'affaire, avec le sous-vêtement qui va bien ; et au-dessus de 14-15°C, aucun problème non plus pour m'habiller (pas besoin de couche coupe-vent) Entre les deux en revanche (5°C - 15°C) je galère souvent pour être à l'aise, ne pas avoir froid ni transpirer, en rajoutant (ou pas) un gilet coupe-vent par dessus la veste, en l'ouvrant (ou pas) en montée, etc... Ce que je cherche du coup, c'est une veste respirante et coupe-vent, capable de faire le boulot dans la tranche indiquée, sans surchauffe excessive (y compris sur de larges amplitudes thermiques) : la Fiandre No Rain a l'air très bien, mais n'est-elle pas trop chaude pour mon besoin ?

"Très dur. Mais j'étais tellement content que je...chantais en grelottant" Ahah l'image est géniale, on t'y voit parfaitement 😃 Bravo à toi.