Jacques VANDEWIELE Posté le 16 septembre Share Posté le 16 septembre Il y a 8 heures, Pierre-Yves DESSIMOZ a dit : Tu dis poc et on pas tac! Tu as donc regardé leTDF et les envolées EF sous leurs maillots roses et leurs casques très moches , les POC? Mon premier Limar n’a pas apprécié un choc contre une voiture, fendu net et moi dans les pommes! Le dernier que je porte tjrs a aussi subi un choc et porte une vilaine tache noire, mais j’ai de la peine à m’en séparer! Pourtant il est conseillé après un choc , une chute au cours de laquelle le casque touche durement , de le changer ! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Michel DURY Posté le 16 septembre Share Posté le 16 septembre Il y a 10 heures, Franck PASTOR a dit : Quand on est rabougri on pèse pas grand'chose, et ça sert dans les montées. 😛 Sans doute, mais il avait au moins 120 ans, et son vélo n'en était pas loin. Je crois l'avoir tenu 200 mètres avant qu'il me largue comme rien. Ca m'a bien fait rigoler après le moment de stupéfaction, puis vint l'admiration et ensuite la dépression. Depuis lors je suis devenu alcoolique. 4 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
René KUENTZLERRE Posté le 16 septembre Auteur Share Posté le 16 septembre il y a une heure, Michel DURY a dit : 80Sans doute, mais il avait au moins 120 ans, et son vélo n'en était pas loin. Je crois l'avoir tenu 200 mètres avant qu'il me largue comme rien. Ca m'a bien fait rigoler après le moment de stupéfaction, puis vint l'admiration et ensuite la dépression. Depuis lors je suis devenu alcoolique. tu étais peut être tombé sur une de nos gloires locale, Roger Gagneux un des tout meilleurs régionaux des années 1970 -80 et Champions du Monde FFC sur route des plus de 70 et 80 ans une paire de fois. Il y a 4 - 5 ans je l'avais rattrapé dans une bosse (en me mettant dans le rouge) je ne l'avais pas reconnu et pensait le déposer, surprise au sommet il était dans ma roue 🤣, on a roulé ensemble le reste de la sortie. Il roulait sur un VTT avec des roues de route qui faisait bien 12 kgs en me disant que quand il reprenait son carbone pour la compèt il avait l'impression de voler. Le Markstein et la Route des Crêtes étaient son jardin. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
René KUENTZLERRE Posté le 23 septembre Auteur Share Posté le 23 septembre il n'a "que 66 ans", il a été surnommé Grand Père d'acier, c'est une belle histoire Suédoise dans une épreuve genre bickpacking. Thierry Michel - Constructeur D'audace En 1951, Nils Gustaf Håkansson s'inscrit à la course d'endurance Sverigeloppet qui traverse pratiquement toute la Suède. Sa candidature a été rejetée en raison de son âge – il avait 66 ans. Leur raisonnement était qu'il n'aurait ni la force ni l'endurance nécessaires pour rivaliser avec les 50 autres coureurs, qui avaient tous moins de la moitié de son âge. Néanmoins, après avoir parcouru 600 milles pour ... atteindre la ligne de départ, Gustaf était présent le jour de la course sur la selle de son vélo équipé de garde-boue, d'un phare, d'un panier avant et de sacoches. Il portait un dossard fait maison avec le numéro 0 dessus, car il sa participation n'était pas validée. En raison du nombre de coureurs, Gustaf a franchi la ligne de départ environ 20 secondes après le début de la course, mais cinq jours, cinq heures et 1 000 milles plus tard, il a franchi la ligne d'arrivée en premier – plus d'un jour avant le coureur suivant. Gustaf n'était pas lié à une règle que les autres participants « officiels » étaient obligés de suivre. Dans le cadre du règlement de course, les concurrents devaient se retrouver et s'arrêter à un point de contrôle en fin de journée pour se ressourcer et redémarrer le lendemain matin. Au lieu de cela, Gustaf n'a pris qu'une heure de repos avant de repartir au milieu de la nuit. Cela lui a permis de rattraper les 10 milles qu'il avait derrière après 300 milles et de mettre un écart de 20 milles entre lui et le reste du peloton. Après trois jours et seulement cinq heures de sommeil, Gustaf menait le peloton avec plus de 120 milles. À un moment donné, la police a tenté de le persuader de s'arrêter pour un examen médical, mais il s'est contenté de rire et de pédaler. Finalement, avec seulement 800 mètres environ à parcourir, Stålfarfar ou "Grand-père d'acier", comme on l'appelait dans les villages qu'il avait traversés, s'arrêta brusquement. Mais ce n'était pas la fatigue qui l'avait arrêté : son vélo avait subi sa première et unique crevaison ! Imperturbable, Gustaf descendit et se dirigea vers la ligne d'arrivée où, avec seulement quelques mètres à parcourir, il remonta pour franchir la ligne, le 7 juillet 1951. Malgré la victoire, quoique non officielle, une audience ultérieure avec le roi de Suède et le fait d'être généralement comblé de gloire et d'honneur, la plus grande satisfaction de Gustav est venue de donner tort aux médecins qui pensaient qu'il était mieux adapté dans un fauteuil roulant que dans une selle ... Le "Grand-père d'acier" a continué à faire du vélo jusqu'à sa mort en 1987 à l'âge de 102 ans. 3 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Jacques VANDEWIELE Posté le 24 septembre Share Posté le 24 septembre Un " Biking Man " d'alors . Très belle histoire . Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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