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L'Etape du Tour 2023


Admin

Messages recommandés

il y a une heure, khron0ss a dit :

Dossard 15800, première participation, j'ai mis un objectif bas ne sachant pas trop ce que je peux viser comme moyenne.

Par contre je me demande niveau délai comment ça se passe ? Ceux qui partent plus tôt ont les même délai ?

Par ex, ceux qui partent a 7h on jusqu'à 19 et ceux à 8h jusqu’à 20 (chiffre totalement au hasard) ?

Ou alors c'est 20h pour tout le monde.

 

Ceux qui partent à 7h et 9h ont exactement les mêmes barrières horaires, ce qui avantage grandement ceux qui partent le plus tôt pour finir car ils ont 2h de plus ...

Quant à la moyenne, le parcours fait qu'elle va être plutôt basse.

Pour te donner une idée : je ne suis pas très bien depuis 2 mois, et j'ai tenu environ 21km/h sur les deux bouts de reco effectuées. Mais je ne suis pas du tout un grimpeur.

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Il y a 1 heure, Pierre PLANA a dit :

Fred c’est quoi le Sas 8 en terme de moyenne ? Je vois de temps en temps tes temps de montée sur les cols ariégeois… on a l’air de grimper tous les deux aussi mal 😀. Peut-être va on se croiser ? 

 

Grosso modo, Frederic tournait environ 15 à 30" moins vite au kilomètre que moi avant de coincer. J'ai fini à 20km/h de moyenne sur l'EdT l'an passé.

 

Selon les SAS cela peut être très variable car tu peux aussi avoir de nombreux cyclistes très bien entraînés qui prennent leur premier départ et vont te servir de bons lièvres.

Et dans les SAS de devant, des dossards bas obtenus tu ne sais pas trop comment (tours opérateurs ?) avec des cyclistes qui mettront pied à terre au troisième col.

Comme tu vas aussi avoir quelques furieux qui auront eu un dossard dans les derniers SAS mais qui vont te doubler à allure Top 500 de l'épreuve.

 

A mon avis SAS 8, tu devrais être à peu près autour de cette moyenne de 19-21km/h sur l'épreuve de cette année. Je ne compte pas faire beaucoup mieux, l'estimation selon ma forme actuelle serait autour de 21,5/21,7.

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Il y a 3 heures, Geoffroy CACHAT a dit :

Ceux qui partent à 7h et 9h ont exactement les mêmes barrières horaires, ce qui avantage grandement ceux qui partent le plus tôt pour finir car ils ont 2h de plus ...

Quant à la moyenne, le parcours fait qu'elle va être plutôt basse.

Pour te donner une idée : je ne suis pas très bien depuis 2 mois, et j'ai tenu environ 21km/h sur les deux bouts de reco effectuées. Mais je ne suis pas du tout un grimpeur.

Ah pas terrible ça du coup. Ayant mis un objectif relativement faible en terme de temps visé, je pensais justement qu'il serait pris en compte et que je partirai plus tôt.

Bon ben j'aurai la pression des délai plus que prévu. On fera avec.

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Il y a 4 heures, Geoffroy CACHAT a dit :

 

Grosso modo, Frederic tournait environ 15 à 30" moins vite au kilomètre que moi avant de coincer. J'ai fini à 20km/h de moyenne sur l'EdT l'an passé.

 

Selon les SAS cela peut être très variable car tu peux aussi avoir de nombreux cyclistes très bien entraînés qui prennent leur premier départ et vont te servir de bons lièvres.

Et dans les SAS de devant, des dossards bas obtenus tu ne sais pas trop comment (tours opérateurs ?) avec des cyclistes qui mettront pied à terre au troisième col.

Comme tu vas aussi avoir quelques furieux qui auront eu un dossard dans les derniers SAS mais qui vont te doubler à allure Top 500 de l'épreuve.

 

A mon avis SAS 8, tu devrais être à peu près autour de cette moyenne de 19-21km/h sur l'épreuve de cette année. Je ne compte pas faire beaucoup mieux, l'estimation selon ma forme actuelle serait autour de 21,5/21,7.

ça fait une éternité que je n'ai pas roulé avec Fred... Nous étions dans le même club avant que je remonte l'Ariège pour me reproduire (comme les saumons 🙂 ). Je me suis inscrit dans un SAS 19-21km/h. On verra bien... ça fait plusieurs jours que je suis fatigué, lundi un Prat d'Albis dans la souffrance, aujourd'hui j'ai réessayé et j'ai plié bagages en milieu de montée pour aller faire la sieste.

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Salut

Les délais sont malheureusement les mêmes que l'on parte du sas 1 ou du sas 15.

Si tu es entrainé, cela passe sans problème. Lors de ma première participation, j'avais eu le dossard 14595, cette année, c'est 1350.

Le seul soucis est en cas de problème mécanique durant les premiers km. Tu risques de te retrouver hors délais.

Manuel

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il y a 26 minutes, Pierre PLANA a dit :

ça fait une éternité que je n'ai pas roulé avec Fred... Nous étions dans le même club avant que je remonte l'Ariège pour me reproduire (comme les saumons 🙂 ). Je me suis inscrit dans un SAS 19-21km/h. On verra bien... ça fait plusieurs jours que je suis fatigué, lundi un Prat d'Albis dans la souffrance, aujourd'hui j'ai réessayé et j'ai plié bagages en milieu de montée pour aller faire la sieste.

Je ressens les mêmes choses dans les ascensions. Certaines ça va très bien et d'autres pas du tout. Il faudra faire avec de toutes façons et s'économiser au plus.

Modifié par Geoffroy CACHAT
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  • 2 weeks later...

Salut à tous,

 

Je vais certainement loger aux Gets pour la semaine avant/après l'étape? Je cherche éventuellement du covoit le matin de l'étape au départ de Cluses/Samoens/Taninges etc.

 

Y'a t'il d'autres baroudeurs dans ce coin?

 

Sinon, comment gérez vous cet écart entre ville départ/arrivée? 

 

Thibaud

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Le 18/06/2023 à 22:32, Thibaud CHERBONNEL a dit :

Salut à tous,

 

Je vais certainement loger aux Gets pour la semaine avant/après l'étape? Je cherche éventuellement du covoit le matin de l'étape au départ de Cluses/Samoens/Taninges etc.

 

Y'a t'il d'autres baroudeurs dans ce coin?

 

Sinon, comment gérez vous cet écart entre ville départ/arrivée? 

 

Thibaud

On est trois et l'un de nous a réservé la navette pour poser la voiture à l'arrivée... On loge près d'Annemasse mais il faut qu'on discute de logistique...

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Le 20/06/2023 à 08:42, Pierre PLANA a dit :

On est trois et l'un de nous a réservé la navette pour poser la voiture à l'arrivée... On loge près d'Annemasse mais il faut qu'on discute de logistique...

Autant les 50 bornes le matin me dérange car ça fait lever tôt. Autant ça ne m'aurait pas dérangeait le soir. En gros il faut juste remonter aux Gets et après ça descend. On reste 5 jours sur place et y'aura plus de chose à faire aux Gets qu'à Annemasse.  

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  • 2 weeks later...

Bon… finir l’étape du tour ce ne sera pas encore pour cette fois…

l’affaire avait déjà mal commencé : samedi en cherchant notre route j’ai mis la roue dans des rails de tramway…

et dimanche le départ tard est plus la chaleur on conduit l’un des nôtres à une grosse déshydratation après la Ramaz : on a donc bâché et couper vers les gets et morzine derrière l’ambulance.

sans remords joux-plane aurait été un calvaire 

  • Triste 1
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il y a 18 minutes, Pierre PLANA a dit :

Bon… finir l’étape du tour ce ne sera pas encore pour cette fois…

l’affaire avait déjà mal commencé : samedi en cherchant notre route j’ai mis la roue dans des rails de tramway…

et dimanche le départ tard est plus la chaleur on conduit l’un des nôtres à une grosse déshydratation après la Ramaz : on a donc bâché et couper vers les gets et morzine derrière l’ambulance.

sans remords joux-plane aurait été un calvaire 

Pierre, vous n'avez pas de regrets à avoir. Cette étape, dans les conditions dans lesquelles elle a été disputée, était extrême. Je l'ai trouvé plus difficile que l'an dernier entre Briançon et l'Alpe d'Huez.

Et pourtant j'évoluais à domicile, sur des cols que je connais quasiment par coeur.

J'espère que votre ami va mieux aujourd'hui et que vous allez pouvoir prendre la route du retour tranquillement.

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Le 10/07/2023 à 08:17, Geoffroy CACHAT a dit :

Pierre, vous n'avez pas de regrets à avoir. Cette étape, dans les conditions dans lesquelles elle a été disputée, était extrême. Je l'ai trouvé plus difficile que l'an dernier entre Briançon et l'Alpe d'Huez.

Et pourtant j'évoluais à domicile, sur des cols que je connais quasiment par coeur.

J'espère que votre ami va mieux aujourd'hui et que vous allez pouvoir prendre la route du retour tranquillement.

Salut Geoffroy

 

Le copain a récupéré assez vite une fois qu'il a été pris en charge... En fait avec  une bonne soupe salée ça a été réglé rapidement : apparemment l'organisation a une grande habitude de ce genre de situation et à l'antenne médicale ce n'était que ça !!!

Pour ma part, il y a bien longtemps que je sais m'arrêter avant de me mettre en danger. On a eu super chaud depuis le col de Jambaz, avant ça c'était cool... dans la Ramaz j'ai vu que je commençais à faire de l'hyperthermie (début de chair de poule) donc je me suis arrêté plusieurs fois pour faire descendre la température et le cœur.

J'étais fatigué (on a quand même fait 3200m de D+), mais ça allait...

Je ne voulais pas être en souffrance dans Joux-Plane juste pour finir. Je suis passé en haut de la Ramaz à 15h45.

Mais en partant SAS 11 (on s'est mis dans le SAS du copain qui avait le dossard le plus élevé), c'est un peu compliqué : il y a beaucoup de monde sur le route, il faut faire les descentes vraiment tranquille, aux ravitaillements c'est la cohue, il faut au moins 10 minutes pour récupérer une banane et un bidon...

A la réflexion on s'est demandé si on aurait pas mieux fait de s'arrêter dans un snack, de se poser 30 minutes... on aurait probablement terminé comme on était très loin devant la barrière horaire.

 

 

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Bonjour à tous,

 

Quelle journée, c'était ma première étape du tour, et même si j'imaginais bien la difficulté, j'étais encore très loin de la réalité !

Départ dans le sas 15, le dernier.

Du coup toujours cette pression de la barrière horaire, je n'ai jamais trop osé m’arrêter longtemps lors des ravitaillement.

Le début c'est plutôt bien passé, jusqu'à la Ramaz ça allait. J'arrivais à récupérer dans les descentes (physiquement et du temps).

Mais la Ramaz a été un enfer. Très chaud en bas, à la recherche de la moindre ombre sur la route. Un gel n'est pas passé et j'ai commencé à avoir mal à l'estomac. Je me suis arrêté plusieurs fois pour essayer de reprendre des forces.

J'ai marché tout le long du tunnel, et je n'étais pas le seul, quelle hécatombe ce col.

Dans la vallée après le tunnel, j'ai enfin pu récupérer de l'eau grâce au personne présente, mes deux bidons étaient vides depuis pas loin de 2/3 kilomètre. J'arrive au sommet et une personne du staff qui me rempli mes bidons me conseille de manger, j'imagine que je ne devais pas avoir l'air frais du tout 🙂

malheureusement, impossible d'avaler quoi que ce soit, les chips et saucisson ne me font pas envie du tout, j'essai d'avaler quelques abricots sec, mais ça coince.

Je me lance dans la descente, je sais que ma femme et mon fils et mes beaux parents m'attendent à taninges.

La descente et chouette, mais plus on se rapproche de la fin, plus je sens la chaleur arriver.

Je m'arrête reprends un peu de courage, j'arrive enfin à avaler un gel et c'est reparti.

La transition se fait vraiment au courage, cette longue ligne droite, quasi tout seul. J'en vois certains me doubler à une vitesse telle que je ne tente même pas de prendre la roue et je me demande ce que je fais encore là.

A ce moment, il me reste moins de deux heure avant le hors délai, donc pas le temps de m'arrête au ravito au pied de joue plane, j'attaque direct.

Le début du col se passe plutôt bien, je passe les premiers murs, j'arrive à peu près à maintenir une allure qui me ferait arriver en haut dans les délai.

Je passe les kilomètres les plus pentus et là, le drame. Je suis pris de nausée, il me reste 3,5km avant le sommet, mais je n'arrive plus à rouler, je tourne les jambes à 35tr/min roule à 4/4,5.

Je pose le pied a terre en espérant arriver à remonter sur le vélo. Mais même en marchant, les nausées ne passe pas, je vois le temps défiler. Le bus me rattrape, et je sais que je ne finirais pas dans les temps. Je monte donc dans le bus à 2,5km de l'arrivée, le cœur serré, rageant contre ces nausées. Le temps de rejoindre l'arrivée, on récupèrera encore pas mal de monde, certains vraiment mal en point.

 

Ma femme me fera relativiser "l'échec" à 2km, ce n'était que ma première, je n'avais pas réussi à m'entrainer autant que je l'aurai souhaité, "seulement" 1700km cette année, la faute à un boulot bien plus prenant que prévu, et puis avec 1 ou 2 sas de moins, j'y serai peut être arrivé.

Dimanche il était inconcevable pour moi d'y retourner, mais aujourd'hui, je veux ma revanche.

Je sais sur quel point il faudra travailler, l'alimentation en est clairement un, je pense qu'une grande parti de ma défaillance vient de l'absence de solide salé dans ce que j'ai mangé.

 

Félicitations à tout ceux qui y auront participé, terminé ou pas, il faut le faire.

Et rendez-vous l'année prochaine !

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Il y a 5 heures, khron0ss a dit :

Bonjour à tous,

 

Quelle journée, c'était ma première étape du tour, et même si j'imaginais bien la difficulté, j'étais encore très loin de la réalité !

Départ dans le sas 15, le dernier.

Du coup toujours cette pression de la barrière horaire, je n'ai jamais trop osé m’arrêter longtemps lors des ravitaillement.

Le début c'est plutôt bien passé, jusqu'à la Ramaz ça allait. J'arrivais à récupérer dans les descentes (physiquement et du temps).

Mais la Ramaz a été un enfer. Très chaud en bas, à la recherche de la moindre ombre sur la route. Un gel n'est pas passé et j'ai commencé à avoir mal à l'estomac. Je me suis arrêté plusieurs fois pour essayer de reprendre des forces.

J'ai marché tout le long du tunnel, et je n'étais pas le seul, quelle hécatombe ce col.

Dans la vallée après le tunnel, j'ai enfin pu récupérer de l'eau grâce au personne présente, mes deux bidons étaient vides depuis pas loin de 2/3 kilomètre. J'arrive au sommet et une personne du staff qui me rempli mes bidons me conseille de manger, j'imagine que je ne devais pas avoir l'air frais du tout 🙂

malheureusement, impossible d'avaler quoi que ce soit, les chips et saucisson ne me font pas envie du tout, j'essai d'avaler quelques abricots sec, mais ça coince.

Je me lance dans la descente, je sais que ma femme et mon fils et mes beaux parents m'attendent à taninges.

La descente et chouette, mais plus on se rapproche de la fin, plus je sens la chaleur arriver.

Je m'arrête reprends un peu de courage, j'arrive enfin à avaler un gel et c'est reparti.

La transition se fait vraiment au courage, cette longue ligne droite, quasi tout seul. J'en vois certains me doubler à une vitesse telle que je ne tente même pas de prendre la roue et je me demande ce que je fais encore là.

A ce moment, il me reste moins de deux heure avant le hors délai, donc pas le temps de m'arrête au ravito au pied de joue plane, j'attaque direct.

Le début du col se passe plutôt bien, je passe les premiers murs, j'arrive à peu près à maintenir une allure qui me ferait arriver en haut dans les délai.

Je passe les kilomètres les plus pentus et là, le drame. Je suis pris de nausée, il me reste 3,5km avant le sommet, mais je n'arrive plus à rouler, je tourne les jambes à 35tr/min roule à 4/4,5.

Je pose le pied a terre en espérant arriver à remonter sur le vélo. Mais même en marchant, les nausées ne passe pas, je vois le temps défiler. Le bus me rattrape, et je sais que je ne finirais pas dans les temps. Je monte donc dans le bus à 2,5km de l'arrivée, le cœur serré, rageant contre ces nausées. Le temps de rejoindre l'arrivée, on récupèrera encore pas mal de monde, certains vraiment mal en point.

 

Ma femme me fera relativiser "l'échec" à 2km, ce n'était que ma première, je n'avais pas réussi à m'entrainer autant que je l'aurai souhaité, "seulement" 1700km cette année, la faute à un boulot bien plus prenant que prévu, et puis avec 1 ou 2 sas de moins, j'y serai peut être arrivé.

Dimanche il était inconcevable pour moi d'y retourner, mais aujourd'hui, je veux ma revanche.

Je sais sur quel point il faudra travailler, l'alimentation en est clairement un, je pense qu'une grande parti de ma défaillance vient de l'absence de solide salé dans ce que j'ai mangé.

 

Félicitations à tout ceux qui y auront participé, terminé ou pas, il faut le faire.

Et rendez-vous l'année prochaine !

Bravo pour ton courage sur le terrain et ensuite ici, pour raconter cette petite défaite et ta volonté de revanche.

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Il y a 6 heures, Pierre PLANA a dit :

Salut Geoffroy

 

Le copain a récupéré assez vite une fois qu'il a été pris en charge... En fait avec  une bonne soupe salée ça a été réglé rapidement : apparemment l'organisation a une grande habitude de ce genre de situation et à l'antenne médicale ce n'était que ça !!!

Pour ma part, il y a bien longtemps que je sais m'arrêter avant de me mettre en danger. On a eu super chaud depuis le col de Jambaz, avant ça c'était cool... dans la Ramaz j'ai vu que je commençais à faire de l'hyperthermie (début de chair de poule) donc je me suis arrêté plusieurs fois pour faire descendre la température et le cœur.

J'étais fatigué (on a quand même fait 3200m de D+), mais ça allait...

Je ne voulais pas être en souffrance dans Joux-Plane juste pour finir. Je suis passé en haut de la Ramaz à 15h45.

Mais en partant SAS 11 (on s'est mis dans le SAS du copain qui avait le dossard le plus élevé), c'est un peu compliqué : il y a beaucoup de monde sur le route, il faut faire les descentes vraiment tranquille, aux ravitaillements c'est la cohue, il faut au moins 10 minutes pour récupérer une banane et un bidon...

A la réflexion on s'est demandé si on aurait pas mieux fait de s'arrêter dans un snack, de se poser 30 minutes... on aurait probablement terminé comme on était très loin devant la barrière horaire.

 

 

Merci pour le compte-rendu ! Quel que soit le résultat, la mésaventure ou le succès, c'est sympa de partager cette expérience.

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