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13 dans les années 2000, puis 15, 17 et aujourd'hui 19 où vont s'arrêter les largeur internes jantes routes et à quoi ça sert?


Serge NAVETAT

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En fait ce qui semble un paramètre majeur tient au style du pilote (puissance, gabarit, domaine de prédilection). Il est assez compréhensible qu'un sprinter de plus de 80 kgs développant un max de watts  aura  intérêt à monter sur un vélo qui  aura la capacité à supporter le type d'efforts fournis sans en absorber trop. En revanche un pilote de 65kgs plutôt puncheur et grimpeur affectionnant les brusques changements de rythme avec moins de watts bruts trouvera avantage à un cadre plus léger, voire un poil "élastique".

Et tout va dépendre en plus des condition de roulage: du plat, du vallonné, de la montagne.  Pour parler de ce que je connais, j'aime bien avoir deux vélos dont l'un est (pour ma constitution) supérieur sur le plat et propice à bien emmener du braquet à vive allure et un autre moins efficace dans ces conditions mais supérieur dès que la route s'élève et qu'il faut pouvoir supporter les changements de rythme ou les provoquer.

Mais tout ce raisonnement à une limite car mon gabarit (ma constitution) ne m'autorise pas avantageusement à exploiter les cadres dit "aero", style Venge et Propel, ni les roues trop hautes, avec lesquels je suis plus "scotché" sur le plat dans le style "diesel" et carrément dans les bosses, contrairement à mes compagnons de sortie d'un gabarit supérieur.

Il s'agit d'un mix à trouver pour chacun, mais c'est assez net que pour mes caractéristiques physiques, le poids est un paramètre qui semble avoir de l'importance.          

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il y a 28 minutes, Michel DURY a dit :

Le poids d'un vélo, je me demande si c'est vraiment LE point crucial?

 

...

Crucial, pas pour un "lourd et débutant" comme moi mais je m'interroge sur l'obsession de certains à gratter le moindre gramme sur le vélo au prix de plusieurs centaines d'euros ..., m'enfin, il en faut pour tout le monde.

 

Par contre, je reste admiratif pour ceux qui arrive à ressentir la rigidité d'un cadre, des roues ..., je suis plus grossier dans mon analyse minimaliste, signe peut être que je n'envoie pas suffisamment de watt ..., je crains qu'à 56 ans, ma marge de progression soit quasi atteinte, sauf en longue distance où la marge semble sans limite ou presque   .... désolé, je suis encore hors sujet 😉

 

 

 

 

 

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il y a 9 minutes, Mustafa HAKEM a dit :

Crucial, pas pour un "lourd et débutant" comme moi mais je m'interroge sur l'obsession de certains à gratter le moindre gramme sur le vélo au prix de plusieurs centaines d'euros ..., m'enfin, il en faut pour tout le monde.

 

Par contre, je reste admiratif pour ceux qui arrive à ressentir la rigidité d'un cadre, des roues ..., je suis plus grossier dans mon analyse minimaliste, signe peut être que je n'envoie pas suffisamment de watt ..., je crains qu'à 56 ans, ma marge de progression soit quasi atteinte, sauf en longue distance où la marge semble sans limite ou presque   .... désolé, je suis encore hors sujet 😉

 

 

 

 

 

56 ans, de ce que je connais du vélo, c'est sur que tu as de beaux et nombreux jours devant toi, sous réserve bien sur de suivre un entrainement adapté et suivi régulièrement. Et pas besoin d'avoir une vie de sacrifices pour ça, en revanche la régularité dans les entrainements, un travail  ni trop fort ni insuffisant vont permettre de progresser énormément. C'est une évidence.

Après il ne faut pas occulter que comme dans ts les sports, certaines constituions soient plus favorables à l'effort du pédalage que d'autres, mais la progression, elle, sera là et bien là.   

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il y a 20 minutes, Mustafa HAKEM a dit :

je reste admiratif pour ceux qui arrive à ressentir la rigidité d'un cadre, des roues ..., je suis plus grossier dans mon analyse minimaliste, signe peut être que je n'envoie pas suffisamment de watt ..., je crains qu'à 56 ans, ma marge de progression soit quasi atteinte, sauf en longue distance où la marge semble sans limite ou presque   .... désolé, je suis encore hors sujet 😉

 

Tu n'as pas connu les anciens cadres en tubes d'acier de petit diamètre. Dans faux-plats descendants abordés en puissance (elle est très relative en ce qui me concerne 😂) à 50 km/h, je sentais nettement le vélo se tortiller alors que mon poids est d'environ 64 kg. Les progrès sont indéniables de ce point de vue, quel que soit le matériau utilisé.

 

Concernant ta marge de progression, elle est difficile à prédire. Ta performance dépend de  ton entraînement, bien sûr, mais aussi de ton degré "d'entraînabilité". Des tests ont démontré que les individus d'un groupe soumis au même programme d'entraînement ne progressaient pas tous de la même manière, certains voyaient leur PMA augmenter significativement alors que d'autres s'étaient très peu améliorés. La nature est injuste 😈

Modifié par Thierry GEUMEZ
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Merci pour vos encouragements, je suis particulièrement admiratif de ceux qui font les longues distances, beaucoup de retraité avec des moyennes très honorable, j'espère suivre leurs exemples ..., j'aime cette discipline.

 

En fait, j'ai déjà, énormément progressé depuis mars/avril, avec 10 000km, c'est juste que j'aime la performance et quand j'en vois faire du 27/30/32 de moyenne sur + de 100km avec du D+ ..., j'en reste sur ma faim ..., je suis une vrai enclume dès que ça grimpe.

 

Bref, c'est tellement plaisant de rouler que je ne peut qu'espère que cela dure le plus longtemps possible.

 

 

 

 

Modifié par Mustafa HAKEM
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il y a 25 minutes, Mustafa HAKEM a dit :

Merci pour vos encouragements, je suis particulièrement admiratif de ceux qui font les longues distances, beaucoup de retraité avec des moyennes très honorable, j'espère suivre leurs exemples ..., j'aime cette discipline.

 

En fait, j'ai déjà, énormément progressé depuis mars/avril, avec 10 000km, c'est juste que j'aime la performance et quand j'en vois faire du 27/30/32 de moyenne sur + de 100km avec du D+ ..., j'en reste sur ma faim ..., je suis une vrai enclume dès que ça grimpe.

 

Bref, c'est tellement plaisant de rouler que je ne peut qu'espère que cela dure le plus longtemps possible.

 

 

 

 

Nous sommes toujours tentés de nous comparer aux autres, sinon les compétitions n'existeraient pas, mais le plus important est de progresser par rapport à soi-même, d'accepter l'oeuvre du temps... et de prendre du plaisir dans ce que l'on fait. 

 

Question philosophique : est-il logique que tu sois une enclume si tu restes sur ta faim ? 😇

 

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Il y a 23 heures, Thierry GEUMEZ a dit :

 

Les comparaisons avec les autres, me permettent de repousser les limites que m'imposes mes appropries, ça me réussit bien ...

C'est sur les moyennes avec du D+ que je stagne mais j'y travail.

J'ai quelques mois pour passer à 90 kg en restant en bonne forme.

Concernant la question philosophique c'est comme en monté, je cale 🙂 

Modifié par Mustafa HAKEM
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Il y a 6 heures, Mustafa HAKEM a dit :

Merci pour vos encouragements, je suis particulièrement admiratif de ceux qui font les longues distances, beaucoup de retraité avec des moyennes très honorable, j'espère suivre leurs exemples ..., j'aime cette discipline.

 

En fait, j'ai déjà, énormément progressé depuis mars/avril, avec 10 000km, c'est juste que j'aime la performance et quand j'en vois faire du 27/30/32 de moyenne sur + de 100km avec du D+ ..., j'en reste sur ma faim ..., je suis une vrai enclume dès que ça grimpe.

 

Bref, c'est tellement plaisant de rouler que je ne peut qu'espère que cela dure le plus longtemps possible.

 

 

 

 

Attention aux comparaisons, les vitesses moyennes atteintes en groupe homogène avec quelques locomotives n'ont rien à voir avec les vitesses en solo, on peut facilement chiffrer à 3/4 kms mini d'écart).   

La progression pour quelq'un de moyennement sportif qui démarre le vélo va au moins s'étaler sur deux ans et plus et à raison d'entrainements réguliers.

Ceci dit, 10.000 kms depuis mars la quantité est bien là. Attention aussi à la surcharge d'entrainement bien sur. Il faut diversifier très régulièrement son type d'entrainement si on veut bien progresser.

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Je diversifie, je teste de tout d'où mon plaisir à faire du vélo, je n'ai jamais rencontré une discipline avec autant de phase d’évolution au cours d'une sortie, surtout en longue distance  mais bon, je pars "encore" dans un hors sujet" 😁

Je veille particulièrement au phase de récupération, l'anabolisme est plus l contraignant car il faut accepter de se reposer, c'est une particularité qui fait la différence à court et long terme ...

 

Pour la moyenne, je sais que je suis à la peine car c'est en monté que je cède beaucoup de temps, c'est là que je me fais reprendre, le temps de converser avec de sympathiques cyclistes qui m'encouragent à apprendre "mouliner" et c'est un fait avéré, incontournable, la cadence n'est pas naturel comme le pédalage, ça se travail ...

Mon compte strava sera plus significatif

https://www.strava.com/athletes/88240039

 

Modifié par Mustafa HAKEM
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Tu dis vrai, un beau souvenir d'un gars que j'ai rattrapé, doublé en arguant un jouissif "bonjour" qu'il m'a rendu, plus loin en côte en me doublant avec la fierté de sa revanche , l'on s'en est bien amusés ...

L'on s'amuse comme on peut ... toujours dans le respect 😁

 

 

 

Modifié par Mustafa HAKEM
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Il y a 2 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

Attention aux comparaisons, les vitesses moyennes atteintes en groupe homogène avec quelques locomotives n'ont rien à voir avec les vitesses en solo, on peut facilement chiffrer à 3/4 kms mini d'écart).   

La progression pour quelq'un de moyennement sportif qui démarre le vélo va au moins s'étaler sur deux ans et plus et à raison d'entrainements réguliers.

Ceci dit, 10.000 kms depuis mars la quantité est bien là. Attention aussi à la surcharge d'entrainement bien sur. Il faut diversifier très régulièrement son type d'entrainement si on veut bien progresser.

Combien tu as raison... rester dans les roues c'est "facile"...

Il n'y a pas longtemps j'ai fait un "chrono" avec un copain, 12.5km avec une petite pente dans le bon sens (1%) et une petite brise dans le nez, on s'est fait un peu mal en se relayant de manière régulière.

Ma courbe de pulsation cardiaque oscille de 140 à 160 bpm avec les relais... donc dans la roue j'étais en récup et devant j'étais pas loin d'être à fond... 

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il y a 4 minutes, Pierre PLANA a dit :

...rester dans les roues c'est "facile"...

 

J'ai beaucoup d'invitation à rouler en groupe mais je flippe à cette idée d'être si proche de la roue d'autant que l'on me raconte pas mal de gamelle, rare mais quand même, je voudrais pas en être responsable donc, je rame tout seul 🙂

 

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Il y a 1 heure, Mustafa HAKEM a dit :

J'ai beaucoup d'invitation à rouler en groupe mais je flippe à cette idée d'être si proche de la roue d'autant que l'on me raconte pas mal de gamelle, rare mais quand même, je voudrais pas en être responsable donc, je rame tout seul 🙂

 

Effectivement c'est une technique à apprendre et pour  laquelle selon les gens il peut falloir un bon temps d'adaptation. Il faut être toujours attentif même quand ça roule cool. Placé dans les roues on ne voit pas grand chose de ce qui se passe devant et donc il faut pouvoir réagir vite quand c'est nécessaire, ne jamais faire d'écart, de freinage brusque, de laisser des trous dans le peloton, savoir rouler en phase avec son groupe.

C'est très différent de rouler seul ou à deux. Pour commencer il peut être utile de rester en queue de groupe pour observer comment  ça se passe, la manière dont se passent les relais, la linéarité de l'allure, il y a parfois selon les groupes des petites règles établies de fonctionnement et le mieux c'est de s'y conformer quand on arrive.

Sinon je confirme que la plupart des chutes interviennent en groupe, au club avec 4 ou 5 groupes il y a tjs plusieurs chutes par an, touché de roue, écart imprévu, freinage trop puissant et surprenant pour ceux de derrière, même avec des cyclos très habitués à rouler ensemble.

En plus d'1/2 siècle de vélo j'ai du chuter 10x plus en groupe qu'en solo.

Il n'en reste pas moins que je conçois mal de rouler exclusivement seul, le plaisir de pratiquer dans un groupe homogène offre des sensations  inconnues en solo.   

On découvre par exemple vite la notion d'abri qui permet de se refaire une santé en 5 mnts après un effort violent et qui autorise des vitesses élevées sur de grandes distances, et le "bruit des roues et des pneus" lancées entre 40 et 50 kmh, et la sensation des efforts des copains pour faire avancer chacun son tour la machine à ces allures,   c'est quelque chose.

Bon j'arrête là, pressé de remettre ça demain matin avec la "bande", s'il ne pleut pas trop      

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il y a 42 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

... la sensation des efforts des copains pour faire avancer chacun son tour la machine à ces allures,   c'est quelque chose....

J'ai souvenir d'un petit groupe croisé, eux en descente, c'était juste, magnifique à voir, l'harmonie, la vitesse, j'étais spectateur émerveillé.

50 ans de vélo, chapeau, belle persévérance Bruno, ça explique la précision, la pertinence de tes interventions ...

Pour moi, c'est niet, tant pis pour ces émotions collectives, je m'interdis de chuter 😁

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Il y a 11 heures, Bruno GUILLEVIC a dit :

Effectivement c'est une technique à apprendre et pour  laquelle selon les gens il peut falloir un bon temps d'adaptation. Il faut être toujours attentif même quand ça roule cool. Placé dans les roues on ne voit pas grand chose de ce qui se passe devant et donc il faut pouvoir réagir vite quand c'est nécessaire, ne jamais faire d'écart, de freinage brusque, de laisser des trous dans le peloton, savoir rouler en phase avec son groupe.

C'est très différent de rouler seul ou à deux. Pour commencer il peut être utile de rester en queue de groupe pour observer comment  ça se passe, la manière dont se passent les relais, la linéarité de l'allure, il y a parfois selon les groupes des petites règles établies de fonctionnement et le mieux c'est de s'y conformer quand on arrive.

Sinon je confirme que la plupart des chutes interviennent en groupe, au club avec 4 ou 5 groupes il y a tjs plusieurs chutes par an, touché de roue, écart imprévu, freinage trop puissant et surprenant pour ceux de derrière, même avec des cyclos très habitués à rouler ensemble.

En plus d'1/2 siècle de vélo j'ai du chuter 10x plus en groupe qu'en solo.

Il n'en reste pas moins que je conçois mal de rouler exclusivement seul, le plaisir de pratiquer dans un groupe homogène offre des sensations  inconnues en solo.   

On découvre par exemple vite la notion d'abri qui permet de se refaire une santé en 5 mnts après un effort violent et qui autorise des vitesses élevées sur de grandes distances, et le "bruit des roues et des pneus" lancées entre 40 et 50 kmh, et la sensation des efforts des copains pour faire avancer chacun son tour la machine à ces allures,   c'est quelque chose.

Bon j'arrête là, pressé de remettre ça demain matin avec la "bande", s'il ne pleut pas trop      

Je dois être le contre-exemple... j'ai recommencé le vélo en groupe en 1994 et j'ai chuté plusieurs fois depuis mais un seule fois en groupe, en fait quand je suis en groupe nous sommes plus concentrés probablement.

Sur les chutes dont je me souviens :

- 4 glissades dans des ronds-points (très dangereux les ronds-points, il y a souvent du gasoil au sol)

- 1 glissade dans un virage avec de la mousse au pays basque

- 1 virage raté en redescendant de Beille (tout droit)

- 1 boyau déjanté

- le vélo d'une cycliste belge qui traverse la route

- et donc la seule chute en groupe, une rafale de vent de travers violent qui a mis tout le groupe dans le fossé (heureusement on n'était pas vite)

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Il y a 6 heures, Pierre PLANA a dit :

Je dois être le contre-exemple... j'ai recommencé le vélo en groupe en 1994 et j'ai chuté plusieurs fois depuis mais un seule fois en groupe, en fait quand je suis en groupe nous sommes plus concentrés probablement.

Sur les chutes dont je me souviens :

- 4 glissades dans des ronds-points (très dangereux les ronds-points, il y a souvent du gasoil au sol)

- 1 glissade dans un virage avec de la mousse au pays basque

- 1 virage raté en redescendant de Beille (tout droit)

- 1 boyau déjanté

- le vélo d'une cycliste belge qui traverse la route

- et donc la seule chute en groupe, une rafale de vent de travers violent qui a mis tout le groupe dans le fossé (heureusement on n'était pas vite)

Certes ls circonstances jouent énormément dans le décompte individuel mais les ostéos notamment (j'en cotoie pas mal) voient beaucoup de cyclistes pour des chutes et très majoritairement en groupe.

Bon à ce sujet ce matin, météo pas top mais plutôt clémente entre eux passages dépressionnaires, on sort à 10 et on se fait un peu saucer mais bonne sortie quand même, sauf que à 20 bornes de la fin, chute dans un rond point glissant du doyen de la bande (75 quand même, mais qui tient sans pb les roues à 32/33 de moyenne), grosse difficulté à se relever, douleur au niveau de la hanche, et perte de mémoire sur l'évènement. Impossible de repartir dan ces conditions et on décide de plutôt joindre l'épouse  que les pompiers pour le rapatriement. 

Pour le coup ce n'est pas l'effet de groupe qui est à l'origine  de la chute mais bien les traces  de GO sur la chaussée. Pour l'instant pas encore de news du pote.

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Il y a 7 heures, Pierre PLANA a dit :

Je dois être le contre-exemple... j'ai recommencé le vélo en groupe en 1994 et j'ai chuté plusieurs fois depuis mais un seule fois en groupe, en fait quand je suis en groupe nous sommes plus concentrés probablement.

Sur les chutes dont je me souviens :

- 4 glissades dans des ronds-points (très dangereux les ronds-points, il y a souvent du gasoil au sol)

- 1 glissade dans un virage avec de la mousse au pays basque

- 1 virage raté en redescendant de Beille (tout droit)

- 1 boyau déjanté

- le vélo d'une cycliste belge qui traverse la route

- et donc la seule chute en groupe, une rafale de vent de travers violent qui a mis tout le groupe dans le fossé (heureusement on n'était pas vite)

J'en ai oublié une très ancienne : en cyclosportive (Clarac Auscitaine), on roulait fort en groupe avec des relais par la droite... un imbécile a remonté le groupe par la gauche au moment où je m'écartais après mon relais et ma attrapé le guidon par l'arrière...

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il y a 13 minutes, Bruno GUILLEVIC a dit :

Certes ls circonstances jouent énormément dans le décompte individuel mais les ostéos notamment (j'en cotoie pas mal) voient beaucoup de cyclistes pour des chutes et très majoritairement en groupe.

Bon à ce sujet ce matin, météo pas top mais plutôt clémente entre eux passages dépressionnaires, on sort à 10 et on se fait un peu saucer mais bonne sortie quand même, sauf que à 20 bornes de la fin, chute dans un rond point glissant du doyen de la bande (75 quand même, mais qui tient sans pb les roues à 32/33 de moyenne), grosse difficulté à se relever, douleur au niveau de la hanche, et perte de mémoire sur l'évènement. Impossible de repartir dan ces conditions et on décide de plutôt joindre l'épouse  que les pompiers pour le rapatriement. 

Pour le coup ce n'est pas l'effet de groupe qui est à l'origine  de la chute mais bien les traces  de GO sur la chaussée. Pour l'instant pas encore de news du pote.

Bon rétablissement pour ton pote... le Gasoil et les ronds-points c'est mortel...

Je pense que chez nous il y a un peu moins de chute de groupe, d'une part parce qu'il n'y a pas de gros clubs et que d'autre part comme l'Ariège "ça monte et ça descend", on est rarement à plat à rouler à fond en nombre

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