Xavier BOILEAU Posté le 2 février 2019 Share Posté le 2 février 2019 Exact .d' ailleurs certains prétendaient que c était de la folie Je me souviens que certains rigolaient .Il en demeure pas moins que les mecs du coin comme moi bouchionsle bec à cetrains pros qui venaient en reconnaissance. Bref des Mickey. Sinon tout va bien à l Ouest du Rio Grande ? ..... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier THYM Posté le 2 février 2019 Share Posté le 2 février 2019 Et encore dans les années 1980/81 un proche l' a monté avec un 42 x 22 sous les yeux stupéfaits de ceux qu'il "enrhumait " en passant .Presque idem, j'ai monté le Ventoux par Bédoin, en 77 ou 78 avec un 42 x 21 (5 vitesses), je pesais alors à peine 65 kg pour 1,78...😉 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Olivier THYM Posté le 2 février 2019 Share Posté le 2 février 2019 Pour cette Marmotte j'étais à l'aise avec 32 /22 et 24. Comme toi, en 89, Marmotte avec un triple "bricolé", 32 x 24, je m'en suis surtout servi pour la montée d'Allemont dans l'embouteillage et juste après Plan Lachat... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Franck PASTOR Posté le 2 février 2019 Share Posté le 2 février 2019 Vous me ferez toujours rêver avec vos braquets de fous furieux. Moi je me rappelle que je n'ai pas pu finir le col du Coq (8,5 % de moyenne sur 12,7 km) avec mon premier vélo de route équipé d'un 40/24, j'ai calé 2 km avant le sommet… J'ai dû échanger mon vélo avec celui de mon père, équipé d'un 32/24, pour finir comme je l'ai pu.Il y avait également un copain à moi qui nous accompagnait, celui-là avait un 42/21… Après coup, il nous a quand même avoué qu'il aurait préféré un 24 dents derrière.De quoi relativiser toute discussion sur « les braquets qu'il faut ». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pierre-Yves DESSIMOZ Posté le 2 février 2019 Share Posté le 2 février 2019 Autres temps, ages différents, en 90-92 on avait tous du 42, les cyclo comme les pros. Le GALIBIER, l'Izoard et l'Alpe, je les montais en 42-26 comme plus petit, mais sans les faire le même jour bien sûr. Une fois, mon frère peinait à finir le NUFENEN, car il n'avait qu'un 42-24, je lui avais refilé ma roue en 26 et donc fini en 24. Quand je faisais des cyclosportives de 95 à 99, j'étais passé au 53-39, 13-28, avec ça les 4 cols de la Pascal Richard (150km) ont très bien passé, en plus je n'avais jamais fait une telle distance de ma vie! Je ne sais pas si je pourrais le refaire avec 34-28 ou 32. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Karl COUDRE Posté le 4 février 2019 Share Posté le 4 février 2019 Salut Bernard,La montée devait être difficile sur ces chemins, mais la descente aussi , non ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Bernard MOREAU Posté le 4 février 2019 Share Posté le 4 février 2019 La descente, c'était affreux. J'ai crevé bien des fois sur ces 5 km! Cela dit, je ne l'ai pas faite très souvent.Pour te donner une idée de la difficulté de cette ascension, une fois j'ai pris la voiture jusqu'au début de ces 5 km pour faire seulement la montée de 4800 à 5230m. j'avais mis 50 minutes, donc 520 m/h.Si tu considères que l'altitude à 5000m fait perdre dans les 35%, sur le même chemin à basse altitude, il m'aurait quand même fallu 32-33 mn pour 430 m de dénivelé, donc même pas 800 m/h alors que je "valais" sans doute plus de 1300 m/h à l'époque.L'état de la route me faisait perdre autant ou plus que le manque d'air 😃En fait ce 8% je le ressentais donc comme du 1300/520 fois 8 = 20% à basse altitude.Merci pour ta question qui m'a fait évaluer un truc que je n'avais encore jamais fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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