Aller au contenu

Les larmes de Mathieu Van der Poel


Michel ROTH

Messages recommandés

Ben quand tu parles à des gars qui n'ont que des certitudes dans la vie, une absence totale de doutes, je peux comprendre que pour eux l'idée de pleurer après une déception sportive doit être un concept difficile à appréhender

Personnellement je n'échangerais ma vie, pleine de doutes et d'incertitudes, contre la leur pour rien au monde 😳

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Tu accables VdP pour avoir pleuré après une défaite extrêmement frustrante (il était le plus fort et perd à cause du matériel) alors que la saison suivante il fait un quasi sans faute et encaisse parfaitement sa défaite aux ChM. 

Juste après tu glorifies Fignon ne pas se laisser submerger par une défaite extrêmement frustrante (il était le plus fort et perd à cause du matériel) tout en admettant que la suite n'a jamais été pareille (et que d'après les autres il a eu du mal à l'encaisser aussi)

Si je prend ta vision simpliste et pleine de raccourcis je dirais que VdP a réussi à rebondir alors que Fignon non donc c'est VdP le champion ?

Tu juges qui a le droit d'être frustré ou non, qui a la bonne ou la mauvaise réaction émotionnelle, qui est un champion ou non, selon tes critères floues et variables.

J'ai trop de respect ces deux coureurs pour tirer des comparaisons qui n'ont pas lieu d'être. 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Re bonjour,

Ce Tour 89 a été magnifique en effet. Sur le CLM Versailles-Paris, tout a été dit je pense, mais je me suis toujours demandé pourquoi il n'avait tout simplement pas mis au moins un casque de CLM (Versailles Paris est un parcours globalement descendant, donc rapide), et aussi quelle avait été le rôle de Guimard (souvent présenté ici comme un génie...) sur son choix ou plutôt son non-choix de matériel pour ce CLM.

Enfin, et peut être est ce mon tropisme de Haut-Alpin, j'ai toujours pensé qu'il avait perdu ce tour moins à Paris qu'à Briançon, à l'arrivée d'une étape gagnée par Pascal Richard mais où il s'était laissé décrocher un peu bêtement dans la montée vers la citadelle pour perdre 13 secondes sur le groupe  Mottet, Lemond, Gayant, Delgado, Theunisse et Rooks, alors qu'il avait été très à son aise auparavant dans Vars et l'Izoard.

Je me rappelle que ce jour là, simple spectateur à l'arrivée, je m'étais dit que ces 13 secondes risquaient de lui manquer à la fin.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Si il y a un rapport évident.  L'un est Français et l'autre Néerlandais. D'après toi, quand un Français perd il a le droit de laisser s'exprimer ses émotions, mais pas un italien ou un Néerlandais.

Le TDF c'est 3 semaines. Alors on pourrait te répliquer que Fignon ne l'a pas perdu  dans le dernier clm. Il avait une grande équipe à ses côtés. Il n'avait donc, avant le dernier clm, qu'à creuser suffisamment les écarts sur Lemond pour se mettre à l'abri. De plus Lemond n'avait pratiquement plus d'équipe. Pour rappel Lemond était alors dans une petite équipe belge et a terminé le Tour avec seulement 2 ou 3 équipiers.

C'est d'ailleurs pour voir la réaction de ceux qui fustigeaient l'attitude de Viviani que j'avais posté cette vidéo. Je ne suis pas déçu. 🆒

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Museeuw, Lammerts et Martens avaient été les seuls à terminer avec LeMond

Le seul coureur de l'équipe qui aurait pu l'aider un peu dans les ascensions, le norvégien Jaanus Kuum, avait été éliminé dès la 1ère étape des Pyrénées, autant dire que LeMond avait du se débrouiller tout seul en montagne sur ce Tour

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est cocasse que tu aimes Fignon, peu d'amateurs du vélo doivent pas ne pas l'aimer ceci dit, mais venant de toi c'est étrange. Tu aimes et défends la mémoire cycliste de Fignon alors que vulgairement parlant il fut une chaudière, il l'a reconnu et écrit, en même temps que tu conspues Froome qui jusqu'à preuve du contraire est innocent de tout dopage. Il semble que le troupeau de tes idées soit dispersé.
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

"C'était une époque où cela se jouait encore sur la qualité du seul leader en montagne"

 

C'est toujours en grande partie le cas, on ne gagne pas un grand tour si on n'est pas au niveau des meilleurs en montagne

On pourrait dire qu'à niveau égal celui qui a la meilleure équipe a plus de chances que les autres, mais celui qui est nettement en dessous en montagne, même avec une super équipe il n'a aucune chance

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites





×
×
  • Créer...