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Posté

Tu ne manges pas beaucoup! A moins que ton boulanger soit à 100m de chez toi!😉

1075 pour moi, vu les conditions météo et le boulot je suis étonné...

Par contre la càp, du mal de décoller!

  • 4 weeks later...
Posté

1267 km, je n'ai jamais autant roulé en décembre.

Explications : il y a 5 WE complets ce mois de décembre, j'ai eu des congés à partir du 22 et puis avec les clubs Strava, on se fixe de belles sorties de plus de 100 km, chose que je ne serais pas trop motivé à faire tout seul en cette période sombre humide et froide.

Posté

Comme je te comprend. J'ai poussé un peu ces derniers jours pour passer les 15000 mais j'ai un peu de mal à faire plus de 80 en solo à cette saison.


Idem pour le mois de décembre. Près de 1200km. Jamais fait autant...

Posté

Et oui Michel, on roule, on roule...beaucoup sont en forme pour la saison, mais il faut aussi que le corps récupère; l'important c'est que ces km viennent naturellement, sans forcer. 80 km en solo cette saison, c'est déjà très bien. Le vélo est avant tout un plaisir et doit le rester.

Posté

En temps normal, je me repose davantage sur la fin d'année mais il faut dire que je roule  beaucoup moins.


Là, c'est nouveau pour moi. Bon, j'ai la chance de ne plus travailler donc j'aurai du temps pour récupérer...


Je verrai bien comment mon corps encaisse ce surplus de kilomètres et de dénivelé...

Posté

Salut Isaac et Christian , et bonne année à vous deux !

J'irais bien rouler ce matin car il fait 6 degrés avec route légèrement humide mais je dois aider à préparer le repas de midi donc j'suis coincé , mais après c'est fini et tant mieux j'en peux plus...j'ai le bide explosé 

Jr

Posté

"Tiens tu vas voir rappliquer le Maillet et m'asséner encore une de ses remarques biscornues ."

 

Impossible de ne pas répondre à une telle invite, le 1er de l'an kiplussé !

"Alors à la levée du jour , levée du corps vers la levée de la Loire."

Donc, je m'exékute ...

Avoue que tu baves d'envie, tu as bezoin d'une bonne ration, je ne saurais te décevoir, Isaac !

DONC : à la levée du jour, alors que le soleil amorce sa levée, tu te bouges le derche (= tu  lèves ton corps encore vermoulu suite à la dernière soirée, passons ...), tu évites la "levée de la Loire" dont je vois mal de koi il s'agit, movèze pioche, de ton fait, passons ... comme tu as la frite, tu te diriges vers la Wallonie pour te frotter à la Haute-Levée, passage obligé de LBL, alias Liège-Bastogne-Liège ... là, il faut lever le cul mais tu en as sous le pied, tu passes, le public convoqué par mes soins se lève à ton passage pour t'ovationner. Bon, il s'agit maintenant de récupérer, la foule qui t'a salué te traîne au troquet du coin, en fait une brasserie sympa nommée "La levée du patron" - et forcéman, tu réponds, pris par l'ambiance conviviale, par un lever de coude bien ajusté qui déclenche un barouf du feu de Dieu dans le local. Le chien qui dormait dans son koin, peinard, doit se lever et aboyer puissamment pour ramener l'ordre.

Bon, les meyeures choses ayant une fin, tu te lèves et siffles la levée du camp, il faut retourner dans tes pénates angevines       où madame, encore levée, t'attend - sans rouleau à pâtisserie à la main, pas d'embrouille, mais elle lèvera quand même le sourcil gauche.

Demain est un autre jour mais il faudra se lever - t'en  relèveras-tu, l'ami ?

Et n'oublie pas de m'envoyer le chèque que tu as rédigé à Genève, entre deux transaxions boursières (tu as vendu un paket d'actions de la multinationale ukrainienne Lalevait), la levée du courrier est à 1 plombe du matin ... les affaires ne s'arrêtent jamais en Suisse.

Et là, je stoppe - provisoirement ou définitivement ?? Le suspense n'est pas levé !   





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