Kevin SALAME Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 Quelle est, selon vous, la plus belle course d'un jour ou une etape d'un Tour que vous avez regardés et qui etait vraiment palpitante, que ce soit au final, le parcours.... Pour moi, lors du Tour de France 2010, lors de l'ascension du Tourmalet(Contador-Schleck)
Claude CARRIES Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 quand hinault a été champion du monde à sallanches(à chacun son époque)
CĂ©dric HUGON PostĂ© le 10 mai 2012 PostĂ© le 10 mai 2012 Quand Hinault a Ă©tĂ© champion du monde c'Ă©tait pas palpitant pour un non français! On a vu un "Ă©normissime"bourrin se mettre devant Ă 100 bornes de l'arrivĂ©e et tous les autres ont sautĂ© 1 Ă 1....Alors que ce type Ă©tait moribond 2 semaines avant.J'ai largement prĂ©fĂ©rĂ© le championnat du monde de 89 en terme d'indĂ©cision!Je ne me remet pas de Crans Montana 1984 avec les commentateurs dans les choux et Fignon qui aprĂšs avoir fait le mort, s'en va ramasser tous les grimpeurs et les exĂ©cute comme Merckx l'aurait fait.....intouchable!Â
Serge MASSELOT Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 bonsoir,le duel Poulidor ,Anquetil dans le puy de dome .a+
Samuel SINEAU Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 peut etre laurent brochard champion du monde
Eddy LEDOUX Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 Gilbert Duclos-Lassalle 1992 et 1993 ses victoires sur Paris / Roubaix
Pierre-Yves LAURENT Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 bonsoir,j'y était aprÚs avoir fait la montée en vélo
Pierre-Yves LAURENT Posté le 10 mai 2012 Posté le 10 mai 2012 et m'etre trompé à la fin du parcours
Michel DUSUN PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 Le championnat du monde sur route en Colombie en 1995, un dĂ©cor auquel on etait peu habituĂ©, un parcours difficile Ă 3.000 mĂštres d'altitude, Abraham Olano qui fait une course magistrale en contrant l'attaque de Marco Pantani et fait le dernier kilomĂštre Ă un rythme de folie sur route humide avec le pneu (boyau?) arriĂšre Ă plat. Indurain fait 2, Pantani troisiĂšme.Sinon je me rappĂšle de Lance Armstrong Ă Luz Ardiden en 2003, la victoire de Virenque Ă Paris-Tours et les quelques Ă©tapes du Tour que je suis allĂ© voir: l'arrivĂ©e Ă Albertville en 1998 ou le prologue Ă LiĂšge oĂč on pouvait vraiment approcher au plus prĂšs des courreurs...
Florian ECOFFEY Posté le 11 mai 2012 Posté le 11 mai 2012 Pour moi, entre autre, je me souviens de l'étape des Arcs sur le Tour'96... Jalabert craque dans le premier col, Heulot en jaune et en pleure dans Roselend, Zulle et Bruyneel dans le ravin dans la descente, puis Indurain qui lùche prise dans les Arcs aprÚs 5 victoires sur le Tour... une superbe étape.à revoir là : http://www.youtube.com/watch?v=pHjwyIOQHRo
AndrĂ© BERTHELOT PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 Ah que oui ! Une fameuse journĂ©e sous la flotte mais que d'Ă©motions avec l'attaque de Hinault et De Muynck dĂšs la premiĂšre montĂ©e de Domancy puis le long cavalier seul de Mariano Martinez et enfin la sĂ©ance de laminoir par le Blaireau lui-mĂȘme.Nous nous trouvions 20 m au dessus du virage oĂč Hinault a mis la derniĂšre mine Ă Baronchelli ... et au milieu des supporters italiens, je vous dis pas l'ambiance
Michel ROTH PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 L'Ă©tape des Tre Cime Lavaredo du Giro 1968 gagnĂ©e par Merckx sous la neige. Quand il dĂ©marre du peloton des favoris et reprend un Ă un le groupe d'Ă©chappĂ©s qui avait une dizaine de minutes d'avance au pied du col.Â
Franck PASTOR PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 Paris-Roubaix 1994 avec la victoire d'AndreĂŻ Tchmil aprĂšs plus d'une heure d'Ă©chappĂ©e en solitaire dans des conditions climatiques Ă©pouvantables. Jamais je n'ai Ă©tĂ© autant scotchĂ© devant ma tĂ©lĂ© que pour cette course-lĂ . Tchmil qui s'en va seul Ă une cinquantaine de bornes de l'arrivĂ©e. Johan Museeuw, muni d'un vĂ©lo tout suspendu, qui revient Ă 6 secondes de Tchmil et puis qui reperd du temps, de plus en plus de temps avant de crever. Duclos-Lassale et Ballerini qui crĂšvent simultanĂ©ment sur le mĂȘme secteur pavĂ© transformĂ© en bourbier et qui doivent continuer quand mĂȘme, au ralenti, la moto neutre de dĂ©pannage mettant une Ă©ternitĂ© Ă arriver. Tchmil qui saute par-dessus un terre-plein au centre d'une placette de village au lieu d'en faire le tour. Etc.
Denis SENEJOUX PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 La victoire de Bjarne Riis en 1h10 sur l'Ă©tape le MonĂȘtier les Bains - SestriĂšres (46 Km) dans le tour 1996.L'iseran et Galibier sous la neigeđ
Daniel GRAZIANO Posté le 11 mai 2012 Posté le 11 mai 2012 Le championnat du monde de 1964 a Sallanches, avec chez les amateurs d'un certain Merckx. Le lendemain j'étais aux premiÚres loges pour la victoire de Janssen, et une brÚve rencontre inatendue dans les stands avec le grand Bahamontes, et plus tard avec Anglade dont j'ai toujours le bidon. Lorsqu'on a 16 ans et qu'on est fou de vélo on est marqué pour longtemps.La victoire en 2012 de Boonen sur Paris Roubai.Et puis plus humblement la 1ere victoire de mon petit frÚre a Culoz en 1968, la premiÚre d'une longue série.
Freddy MAERTENS PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 le grand luis ocana a orcierre merlette 9 au grand eddy  en 71 et le championat du mode en 81 de mon autre couchou  freddy maertens devant saronni et hinault  j ai pleure ce jour la car freddy revenait de loinđ
Claude CARRIES Posté le 11 mai 2012 Posté le 11 mai 2012 il est vrai que ce fut une sacré partie de manivelles.Lannée d avant en 68 MERCKx pour son 1er giro gagne au blawkaus et le titre du journal italien le lendemain fut :il MONSTRO;pourtant ils ont eu de grands champions,et ça en disait long sur celui qui allait devenir certainement le plus grand
François-Xavier BELOEIL Posté le 11 mai 2012 Posté le 11 mai 2012 Le Giro 88 avec la victoire d'Hampsten et le calvaire de Van der Velde.
AndrĂ© BERTHELOT PostĂ© le 11 mai 2012 PostĂ© le 11 mai 2012 Ah pour ça, c'Ă©tait un sacrĂ© dĂ©marrage et Baronchelli a dĂ» croire qu'il Ă©tait arrĂȘtĂ©.Ce qui Ă©tait impressionnant, Ă chaque tour quand il passait devant nous, c'Ă©tait la tĂȘte que faisait Hinault. On le sentait remontĂ© comme une pendule ... c'Ă©tait pas le moment de l'Ă©nerver đQuand il s'est fait larguĂ©, Baronchelli avait la tĂȘte d'un cadavre.Le plus poilant en dĂ©but de course, c'est la façon dont Raas s'est fait huer aprĂšs sa "victoire" de l'annĂ©e prĂ©cĂ©dente Ă Valkenburg ... mais il n'a pas subi longtemps car il s'est vite fait Ă©jecter.Il y avait aussi un petit jeune qui s'Ă©tait rĂ©vĂ©lĂ©, un certain Robert Millar.
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